‎Ruat Capucine‎
‎Celle qui ne parle pas‎

‎Stock 2006 93 pages 12cmx18 5cmx1cm. 2006. Broché. 93 pages. Le médecin me dit que je suis une enfant. J'ai le corps d'une fillette. Ce n'est pas grave ça se répare un corps. Il y a un an je ne pesais pas grand-chose on aurait pu me glisser dans une mallette ou m'accrocher à un cintre. Me souffler comme une allumette ou me froisser dans du papier de soie. Ma peau était une vieille fripe. Je l'enfilais à l'envers et je marchais de travers. J'ai grossi comme j'ai pu‎

Reference : 42423
ISBN : 9782234058309


‎French édition - le livre présente des petites marques de stockage et/ou de lecture sur la couverture et/ou les pourtours mais du reste en très bon état d'ensemble. Expédition soignée dans un emballage adapté depuis la France‎

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Démons et Merveilles
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‎Le monde musique François Nicolas 4/ 4‎

Reference : 5119

‎Le monde musique François Nicolas 4/ 4 150,00 ? François Nicolas Le monde musique Editions Aedam Musicae, 2014, in 8°, broché, 4 volumes, 259, 347, 381, 385 pp., Très bel exemplaire Comment comprendre que la musique puisse constituer un monde à part (ce qui n'est pas dire un espace autarcique), un monde qu'on nommera monde- Musique , un monde fait de morceaux de musique plutôt que de musiciens, un monde où l'existence se concentre dans des morceaux singuliers qu'on appellera ouvres , un monde dont l'intensité sensible relève de l' écoute , un monde dont l'autonomie relative procède d'une logique originale (le solfège), un monde que les musiciens ne cessent de visiter pour y prêter leur corps en jouant sans parler, un monde apte à résonner/raisonner avec un environnement non musical?? Répondre, avec la rigueur requise, à ces questions nécessitera quatre tomes : successivement une théorie de l'écoute musicale à l'ouvre (I), une théorie de la logique d'écriture légitimant qu'on parle ici d'un «?monde?» musical (II), une théorie de cette discursivité langagière propre au musicien qu'on nommera intellectualité musicale (III), une théorie de ces rapports du monde- Musique avec son environnement qu'on nommera raisonances I. L'ouvre musicale et son écoute : À quel titre la musique est-elle un art de l'écoute?? Qu'est-ce qu'écouter musicalement? ? Est-ce seulement percevoir, auditionner, appréhender?? S'agit-il de la même écoute que celle (religieuse) des fidèles ou celle (flottante) des psychanalystes?? À quelles conditions musicales une telle écoute est-elle possible?? Comment suivre à la trace le travail musical d'une telle écoute lorsqu'elle a la grâce de pouvoir s'engager?? La thèse centrale sera la suivante : pour que l'auditeur de musique puisse devenir un écouteur, il faut qu'en cours d'ouvre, il arrive quelque chose à la musique : on appellera moment- faveur cette surprise musicale où l'ouvre avoue ce secret qu'on nommera intension . On examinera minutieusement comment ce tournant interne au discours musical autorise qu'un écouteur puisse, à partir de là, tricoter les mailles d'un temps musical qui viendra, une fois l'ouvre achevée, déposer dans la mémoire du musicien cette Forme qu'on nommera inspect . II. Le monde-Musique et son solfège La musique vit d'un grand écart : d'un côté art de l'écoute (I), elle est l'emblème - avec la poésie - du sensible « concret » qui ravit ; de l'autre, discipline de l'écriture (II), elle est l'emblème - avec la mathématique - de l'intelligible « abstrait » qui se déchiffre. Et c'est cette tension vivifiante qui rend la musique capable de faire monde propre.On théorisera le monde-Musique - à la lumière de la mathématique (Grothendieck) et à l'ombre de la philosophie (Badiou) - en soutenant que son cour logique est cette écriture spécifiquement musicale - le solfège - déjà millénaire. Ce faisant, il s'agira donc de tirer toute consé-quence du fait que la musique est le seul art à s'être jamais doté de sa propre écriture.En quel sens entendre une telle existence du « monde-Musique » ? Quels en sont les acteurs et les corps, les opérations et les instruments, la logique et les frontières, les relations et les processus ? À quelles conditions ce monde ne deviendra-t-il pas submergé, au XXIe siècle, par l'inflation numérique et sonore ? III. Le musicien et son intellectualité musicale Depuis trois siècles, des musiciens s'attachent à formuler, par écrit, les enjeux de la musique qu'ils pratiquent : il y a ainsi des intellectualités musicales qui nomment et énoncent sur une musique dont pourtant la pensée propre, non langagière, ne nomme ni n'énonce. Pour qu'un tel projet émerge à partir de Rameau, il aura fallu que la musique se constitue en monde (relativement) autonome [tome II], que la philosophie en prenne mesure (Descartes) et qu'un embrasement idéologique sans précédent (les Lumières) vienne mobiliser le musicien. D'où un nouveau type de discursivité musicienne conjoignant une théorisation, u‎


Phone number : 06 82 53 12 00

EUR108.00 (€108.00 )

‎ - Dumont Ernest,Bénech Ferdinand Louis - Bénech Ferdinand Louis,Dumont Ernest‎

Reference : 97107

(1925)

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR25.00 (€25.00 )

‎BOURRELY, Marius‎

Reference : 63977

(1841)

‎[ 3 lettres autographes signées adressées à Melchior Barthès : ] 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]‎

‎3 L.A.S. adressées à Melchior Barthès, à savoir : 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]‎


‎3 très belles lettres autographes signées adressées par l'écrivain d'expression provençale et majoral du Félibre Marius Bourrely (1820-1896) à son confrère le poète occitan de Pons-de-Thomières, Melchior Barthès (1818-1886). Ces lettres sont d'autant plus remarquables que Marius Bourrely fut le préfacier des "Flouretos" de Berthet, et qu'il s'y exprime sur les difficultés rencontrées dans la publication de la littérature occitane, et s'y justifie de sa traduction en provençal des "Contes" de La Fontaine.‎

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