‎Claude Farrère‎
‎Le chef‎

‎Ernest Flammarion 1930 1930. Claude Farrère: Le Chef/ Ernest Flammarion 1930‎

Reference : 400038889


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‎GILLIERS, Joseph.‎

Reference : LCS-18461

‎Le Cannameliste Français, ou Nouvelle instruction pour ceux qui désirent d’apprendre l’office, Rédigé en forme de Dictionnaire, contenant Les noms, les descriptions, les usages, les choix & les principes de tout ce qui se pratique dans l’Office, l’explication de tous les termes dont on se sert ; avec la manière de dessiner & de former toutes sortes de contours de Tables & de Dormants. Enrichi de planches en taille-douce. Par le sieur Gilliers, chef d’office, et Distillateur de Sa Majesté le roi de Pologne, Duc de Lorraine & de Bar. Edition originale du Cannaméliste, célèbre ouvrage gastronomique du siècle de Louis XV.‎

‎Chef‑d’œuvre de Gilliers, chef d’office du roi de Pologne, l’un des seuls répertorié relié en maroquin de l’époque à dentelle. Nancy, Abel-Denis Cusson, au nom de Jesus et se vend à Lunéville, chez l’Auteur, 1751. In-4 de 1 frontispice, (2) ff., iii pp., 238 pp., 13 pp. de table, 13 planches gravées dépliantes, pte. déch. restaurée sans manque sur 3 pl., tache en marge de la p. 149. Plein maroquin rouge, dentelle droite dorée ornant les plats, dos à nerfs orné, coupes décorées, roulette intérieure, tranches dorées. Reliure en maroquin à dentelle de l’époque. 257 x 188 mm.‎


‎Édition originale fort rare de l’un des grands classiques de la littérature gastronomique française, ornée de 13 planches hors-texte dont Oberlé ne décrivait que la seconde édition. L’originale de 1751 est si rare que Katherine Golden dans sa Gastronomica Bibliography ne décrit aussi que la seconde édition de 1768. «Le Cannaméliste français est un livre très recherché, non seulement par ceux qui s’intéressent à l’histoire de la friandise et à l’art culinaire, mais par les artistes et les orfèvres qui trouvent, dans les planches signées à gauche du dessinateur Dupuis et à droite du graveur Lotha, des modèles de pièces élégantes et gracieuses du XVIIIe siècle, telles que gobelets, gobichons, verres à tiges pour monter un fruit, mettre des neiges, surtouts de table, cafetières d’argent, etc. Ces gravures sont finement exécutées. Le frontispice, qui porte bien le cachet du siècle dernier, n’est pas signé.» (Vicaire, col. 405) « Un des plus fameux traités de cuisine du XVIIIe siècle. La première édition a paru en 1751. Gilliers était le cuisinier du roi Stanislas Leczinski. L'ouvrage est dédié au duc de Tenczin-Ossolinski, premier grand officier de la Maison du Roi de Pologne Mécène de la Cour d'un Nouvel Auguste». C'est un manuel à l'usage des débutants, avec de nombreuses recettes de confitures, pâtes, biscuits, bonbons et nougats, autant de friandises délicates pour lesquelles Gilliers a mis à contribution les travaux de ses confrères de Nancy, Cécile, Travers et Touchard. L'ouvrage présente également un grand intérêt artistique, car inspiré par les grands ornemanistes, il renferme 1 frontispice et 13 planches dépliantes de modèles de vaisselle, verres, gobelets, surtouts de table, cafetières, pièces montées et coupes variées». (Oberlé. Les Fastes de Bacchus et de Comus n°122). Chef d'office et distillateur, à Lunéville, du roi Stanislas de Pologne, duc de Lorraine et de Bar, Gilliers a dédié son ouvrage au premier grand officier de la maison du souverain, le duc Ossolinski Tenczin, chef du conseil aulique, Mécène de la Cour d'un nouvel Auguste. Dictionnaire historique des mets sucrés, le Cannaméliste tire son nom de l'ancien mot cannamelle ou canamelle, formé de canna et mel (miel), désignant le goût de la canne à sucre. Destiné aux officiers de bouche de la cour de lorraine, le livre évoque les différents aspects de la consommation du sucre, décrit quantité de mets et propose des recettes variées. Dans sa préface, l'auteur indique qu'il y enseigne la manière de confir toutes sortes de fruits, tant secs que liquides, & à l'eau-de-vie ; de faire tous les ouvrages de sucre qui s'y pratiquent, avec la méthode de les servir. Il y a joint la connoissance générale des cuissons du sucre, la manière de faire les Liqueurs rafraîchissantes, les Pastilles, Pastillages, toutes sortes de Neiges, Mousses, & Fruits glacés, avec la méthode de les colorer. Cannameliste vient de cannamelle, mot par lequel les Anciens désignaient la canne à sucre, dont le goût se rapproche de celui du miel, canna et mel. Quant aux gourmands qui recherchent plutôt les moyens de faire bonne chère que les merveilles de verrerie et d’orfèvrerie, le sieur Gilliers, dans le Cannameliste français; leur fournira nombre de recettes aussi délicates que friandes pour satisfaire leur très respectable passion. La belle et curieuse illustration se compose d'1 frontispice, 1 vignette en tête de la dédicace, gravée par Colin, aux armes du duc de Tenczin, et 13 planches hors texte gravées par l'artiste lorrain Lotha d'après Dupuis, non signées ; elles présentent une centaine de figures, de tables montées, surtout, gobelets, verres, pièces d'argenterie, modèles des meubles les plus appropriés au service, etc... Tiré à petit nombre, l'ouvrage ne semble pas avoir connu de diffusion, le tirage original devant être remis en vente à Paris, 17 ans après, avec un titre renouvelé. Précieux exemplaire, l’un des seuls répertorié relié en maroquin rouge à dentelle de l’époque. Cet ouvrage ne se rencontre que très difficilement en première édition et dans une reliure de qualité.‎

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EUR9,500.00 (€9,500.00 )

‎BALZAC, Honoré de‎

Reference : LCS-18208

‎Eugénie Grandet. L’un des plus beaux exemplaires répertoriés en reliure de l’époque non tomée d’ Eugénie Grandet, chef-d’œuvre de la littérature mondiale.‎

‎Paris, 1834. Paris, Madame Charles-Béchet, 1834. In-8 de 384 pp., (1) f. de table. Demi-veau rouge cerise à coins, dos à nerfs orné de triple filets dorés et de fleurons estampés à froid. Elégante reliure de l’époque. 206 x 125 mm.‎


‎Précieuse édition originale d’ « Eugénie Grandet », chef-d’œuvre balzacien, conservée dans l’une des rarissimes reliures de l’époque non tomées spécialement réalisée à Paris pour cette œuvre remarquable. Carteret, I, 69 ; Vicaire, I, 197. Ce volume « contient : ‘Eugénie Grandet’ (inédit). C’est l’édition originale de ce roman » (Vicaire). L’édition originale d’« Eugénie Grandet », l’une des plus recherchées de l’œuvre balzacienne, se trouve généralement insérée dans les douze volumes tomés des « Études de Mœurs au XIXe siècle » et les bibliographes attirent notre attention sur le fait que, vendu isolément, l’on a généralement masqué la tomaison du volume sous un fleuron moderne. M. Clouzot (p. 21) écrit notamment : « Eugénie Grandet se vend souvent séparément. Ce volume en reliure d’époque porte en principe un numéro de tomaison au dos, chiffre souvent dissimulé sous un fleuron moderne. Se méfier. » D’où l’intérêt majeur de cet exemplaire relié séparément dès l’origine sans mention de tomaison. Eugénie Grandet publié vers la fin de 1833 est le premier des grands livres de Balzac. Quelques-uns disent son chef-d’œuvre. Dans la ville de Saumur, le terrible père Grandet, ex-tonnelier, a réuni grâce à une série d’heureuses spéculations une fortune qu’il augmente avec une héroïque et atroce avarice. Le lecteur est transporté au sein de la famille, qui comprend la fidèle servante Nanon, l’épouse de Grandet, femme sans volonté, et la fille de Grandet, la jeune Eugénie, un être d’une lumineuse beauté à l’âme noble et délicate, autour de laquelle se combattent les cupidités et les intrigues des deux grandes familles bourgeoises de la ville, les Cruchot et les Des Grassins, qui espèrent s’unir par un mariage à la très riche héritière. Le soir même de l’anniversaire d’Eugénie, occasion d’une petite fête chez les Grandet, arrive à l’improviste Charles Grandet, jeune Parisien élevé dans le luxe et l’oisiveté, fils d’un frère du vieux Grandet qui, à la suite d’une faillite de quatre millions, s’est fait sauter la cervelle. Le vieil avare apprend la mort de son frère par une lettre qui le prie de prendre soin de la liquidation et de fournir à son fils des moyens d’aller tenter fortune aux Indes. Durant les quelques jours que passe dans la maison ce jeune homme bouleversé par le malheur prend naissance chez Eugénie une profonde passion pour son cousin, un véritable grand amour que Charles, ému, semble partager. Puis le jeune homme part, non sans avoir prêté des serments d’éternelle fidélité. Cette première partie est la meilleure : les personnages ont un relief incomparable, les faits s’entremêlent et se développent d’une façon classique, l’amour d’Eugénie enfin est saisi avec une délicatesse qui ne fut peut-être jamais plus atteinte par Balzac. Le reste n’est que la conclusion, l’histoire d’Eugénie dépendant entièrement de ce premier épisode décisif auquel s’oppose le portrait classique de l’avare, le personnage du père, qui prend peu à peu une terrible importance. L’œuvre resplendit d’une force d’art incomparable : le personnage d’Eugénie et celui de son père sont justement considérés parmi les plus heureux de tous les portraits dus à la plume de ce créateur de génie. Le style se montre, ici, mobile, pénétrant et beaucoup moins minutieux et lourd que dans bien d’autres œuvres du même romancier ; pas de longues digressions morales qui, si elles confèrent à certaines de ses œuvres un réel intérêt, en gâtent souvent la pureté de lignes. L’un des plus beaux exemplaires répertoriés, non lavé et presque totalement dénué de rousseurs, de l’un des chefs-d’œuvre de la littérature mondiale.‎

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EUR3,500.00 (€3,500.00 )

‎GAUTIER, Théophile‎

Reference : LCS-18029

‎Le Capitaine Fracasse. Rare édition originale du Capitaine Fracasse, le chef-d’œuvre de Théophile Gautier, conservée dans ses élégantes reliures de l’époque.‎

‎Rare dans cette condition. Paris, Charpentier, 1863. 2 tomes en 2 volumes in-12 de : I/ (2) ff., iv pp., 373, (3) ; II/ (2) ff., 382 pp., (2). Reliés en demi-veau blond, dos à nerfs ornés de filets dorés droits et pointillés, pièces de titre et de tomaison de maroquin havane et vert, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 176 x 112 mm.‎


‎« Edition originale rare » (Bulletin Morgand et Fatout, n°8224) du chef-d’œuvre de Théophile Gautier. « Il n’existe pas de grand papier de cet ouvrage, un des chefs-d’œuvre de Gautier » (Carteret, I, 333). « Recherché. Rare en reliures d’époque de qualité » (Clouzot, 129). « Il nous présente d’abord un château abandonné en Gascogne, dans la première moitié du XVIIe siècle, où le dernier héritier des Sigognac vit mélancoliquement dans la misère, avec la seule compagnie d’un vieux valet, d’une haridelle et d’un chat. Une troupe de neuf comédiens errants interrompt sa solitude pleine de paresse, en lui demandant l’hospitalité pour une nuit. Ces gens étranges accompagnés de quatre femmes, avec leur enjouement, leur langage gracieusement maniéré, avec leur bonne humeur sans arrière-pensée, enchantent le jeune baron de Sigognac et le persuadent de se joindre à eux, au moins pour rejoindre Paris où il trouvera meilleure fortune. Ensuite le jeune homme finit par se lier d’amitié avec ces braves gens et, à la mort du pauvre Matamore, accepte de prendre sa place, en prenant le nom de Capitaine Fracasse. Un amour profond et délicat commence à le lier à la jeune Isabelle. Pendant ce temps se déroulent d’étranges aventures et défilent sous nos yeux d’agréables descriptions de pays, de villages, d’auberges, tavernes, bouges, théâtres et villes... Il est clair que cette œuvre dérive du ‘Roman comique’ de Scarron. Une fois de plus la meilleure inspiration de Th. Gautier est d’ordre descriptif : il a ici dessiné et colorié une belle série d’estampes Louis XIII, comme il avait cherché à faire une collection d’exquis tableaux de la fin du XVIIe siècle dans ‘Mademoiselle de Maupin’ [...] le livre doit être considéré comme l’œuvre en prose la mieux réussie et la plus caractéristique de cet écrivain pittoresque. » (Dictionnaire des Œuvres, I, 555). Bel exemplaire du chef-d’œuvre de Gautier revêtu d’élégantes reliures de l’époque. Rare dans cette condition.‎

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‎BALZAC, Honoré de‎

Reference : LCS-18006

‎Les contes drolatiques colligez ez abbayes de Touraine et mis en lumière par le sieur de Balzac pour l’esbattement des pantagruelistes et non aultres. Cinquiesme édition. Illustrée de 425 dessins par Gustave Doré. Le chef-d’œuvre de Gustave Doré. Précieux exemplaire d’une grande rareté, l’un des 25 sur Chine.‎

‎Superb wide-margined copy, with some untrimmed pages, preserved in its elegant signed contemporary binding. Paris, Bureaux de la Société générale de librairie, 1855. Grand in-8 de xxii pp., 614 pp., (1) p. Relié en plein maroquin rouge de l’époque, large encadrement de six filets dorés autour des plats, dos à nerfs orné du même encadrement de filets dorés dans les caissons, large roulette intérieure dorée, double filet doré sur les coupes, tranches dorées sur témoins. Etui. Reliure de l’époque signée Cuzin. 206 x 124 mm.‎


‎Première édition illustrée des Contes drolatiques et premier tirage des 425 illustrations de Gustave Doré, gravées sur bois, considérées comme le chef-d’œuvre de l’artiste. Carteret, III, pp. 48-53 ; Bulletin de la Librairie Morgand et Fatout, II, 6445 ; Berny, Livres anciens, romantiques et modernes, III, 92 ; Rahir, VI, 1875. Précieux exemplaire, l’un des 25 hors commerce sur papier de Chine. « Il a été tiré quelques exemplaires sur papier de Chine, très probablement 25, non mis dans le commerce, qui sont d’une grande rareté » (Carteret). Cet ouvrage, considéré comme le chef-d’œuvre de Gustave Doré, est apprécié pour la qualité de son illustration variée et abondante : 425 compositions, vignettes et grands bois. Toute une pléiade de graveurs a concouru à la mise en œuvre des illustrations de M. Doré. « M. Henri Beraldi a écrit que... tout ce qui est amateur de livres a une dévotion spéciale aux contes drolatiques et que de tous les ouvrages de Doré, ‘S’il n’en reste qu’un seul, ce sera celui-là ! ‘» Une illustration de toute beauté magnifiée par le support du papier de Chine. « Les épreuves sont très belles grâce à la qualité du papier de Chine, amoureux de l’impression ; les grands prix qu’atteignent ces rares exemplaires justifient leur qualité de grand papier et de premier tirage » Carteret. Superbe exemplaire à très grandes marges, avec témoins, conservé dans son élégante reliure signée de l’époque.‎

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Phone number : 01 42 84 16 68

EUR35,000.00 (€35,000.00 )

‎[s.n.] - ‎ ‎Service Central de l'Ingénieur en Chef Compagnie des Chemins de fer de l'Est ; SAUVAGE ; DIETZ, David‎

Reference : 56071

(1870)

‎[ Dossier de 11 courriers manuscrits adressés à David Dietz, chef d'atelier : La Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870 ] I : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 20 juillet 1870, précisant le rôle de leurs services et l'organisation des Corps Francs des Chemins de fer. M. Dietz est nommé dans ce cadre chef du matériel roulant, 2 pp. ; II : Lettre de nomination à ce poste signée du Directeur de la Compagnie M. Sauvage, 1 p. ; III : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 ; IV : Copie manuscrite de la décision de nomination d'un second, M. Doré ; IV : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 à M. Dietz, précisant les "divers travaux ou fournitures qu'exigent les transports militaires" qui sont de deux sortes, "les uns qui restent à la charge de la Compagnie, tels que confections de strapontins... les autres directement demandés par l'autorité militaire et restant à la charge de l'Etat" ; V : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 2 août 1870 à M. Dietz, approuvant notamment les hamacs installés par Dietz [ pour le confort des blessés ] ; VI : Copie conforme signée par Vuillemin d'une réquisition de l'Armée du Rhin ; VII : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 3 août 1870, évoquant la livraison de bidons, d'urinoirs et de deux modèles de hamacs ; VIII : Lettre à en-tête de l'Exploitation de la Compagnie, datée du 4 août 1870 "J'ai immédiatement adressé à Messieurs les médecins de la Cie de l'Est une circulaire pour les inviter à prêter leur concours tant pour le transport que pour la visite des blessés de l'armée" ; IX : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 4 août 1870, relative à l'envoi d'un troisième modèle de hamac, de 30000 pitons, etc. ; X : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 5 août 1870 ; XI : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef signé de Vuillemin à M. Dietz, datée du 5 août 1870 : "J'ai remarqué que pour les transports des blessés militaires, sur vos hamacs dans les wagons N ou autres, il faut un temps assez long pour amener les blessés aux wagons et pour les placer sur les hamacs. En supposant que les gares dans lesquelles doit s'effectuer l'embarquement soient pourvues de hamacs avec les cordes et leurs pitons, nos hommes seraient en mesure de tout disposer dans le premier wagon venu, pour peu qu'ils soient prévenus quelques heures d'avance. Il ne serait donc pas nécessaire de garnir tous nos wagons de pitons, mais il faudrait toujours avoir aux gares d'embarquement des pitons que nos ouvriers placeraient dans les wagons..." ; XII : on joint 3 autres pièces‎

‎Lot de 14 courriers dont 11 adressés à David Dietz, chef d'atelier à la Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870, du 20 juillet 1870 au 5 août 1870 (en général 1 ou 2 pages par lettres) : I : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 20 juillet 1870, précisant le rôle de leurs services et l'organisation des Corps Francs des Chemins de fer. M. Dietz est nommé dans ce cadre chef du matériel roulant, 2 pp. ; II : Lettre de nomination à ce poste signée du Directeur de la Compagnie M. Sauvage, 1 p. ; III : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 ; IV : Copie manuscrite de la décision de nomination d'un second, M. Doré ; IV : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 à M. Dietz, précisant les "divers travaux ou fournitures qu'exigent les transports militaires" qui sont de deux sortes, "les uns qui restent à la charge de la Compagnie, tels que confections de strapontins... les autres directement demandés par l'autorité militaire et restant à la charge de l'Etat" ; V : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 2 août 1870 à M. Dietz, approuvant notamment les hamacs installés par Dietz [ pour le confort des blessés ] ; VI : Copie conforme signée par Vuillemin d'une réquisition de l'Armée du Rhin ; VII : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 3 août 1870, évoquant la livraison de bidons, d'urinoirs et de deux modèles de hamacs ; VIII : Lettre à en-tête de l'Exploitation de la Compagnie, datée du 4 août 1870 "J'ai immédiatement adressé à Messieurs les médecins de la Cie de l'Est une circulaire pour les inviter à prêter leur concours tant pour le transport que pour la visite des blessés de l'armée" ; IX : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 4 août 1870, relative à l'envoi d'un troisième modèle de hamac, de 30000 pitons, etc. ; X : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 5 août 1870 ; XI : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef signé de Vuillemin à M. Dietz, datée du 5 août 1870 : "J'ai remarqué que pour les transports des blessés militaires, sur vos hamacs dans les wagons N ou autres, il faut un temps assez long pour amener les blessés aux wagons et pour les placer sur les hamacs. En supposant que les gares dans lesquelles doit s'effectuer l'embarquement soient pourvues de hamacs avec les cordes et leurs pitons, nos hommes seraient en mesure de tout disposer dans le premier wagon venu, pour peu qu'ils soient prévenus quelques heures d'avance. Il ne serait donc pas nécessaire de garnir tous nos wagons de pitons, mais il faudrait toujours avoir aux gares d'embarquement des pitons que nos ouvriers placeraient dans les wagons..." ; XII : on joint 3 autres pièces‎


‎Lot de 14 courriers dont 11 adressés à David Dietz, chef d'atelier à la Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870, du 20 juillet 1870 au 5 août 1870 (en général 1 ou 2 pages par lettres) [ Dossier de 11 courriers manuscrits adressés à David Dietz, chef d'atelier : La Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870 ] I : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 20 juillet 1870, précisant le rôle de leurs services et l'organisation des Corps Francs des Chemins de fer. M. Dietz est nommé dans ce cadre chef du matériel roulant, 2 pp. ; II : Lettre de nomination à ce poste signée du Directeur de la Compagnie M. Sauvage, 1 p. ; III : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 ; IV : Copie manuscrite de la décision de nomination d'un second, M. Doré ; IV : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 à M. Dietz, précisant les "divers travaux ou fournitures qu'exigent les transports militaires" qui sont de deux sortes, "les uns qui restent à la charge de la Compagnie, tels que confections de strapontins... les autres directement demandés par l'autorité militaire et restant à la charge de l'Etat" ; V : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 2 août 1870 à M. Dietz, approuvant notamment les hamacs installés par Dietz [ pour le confort des blessés ] ; VI : Copie conforme signée par Vuillemin d'une réquisition de l'Armée du Rhin ; VII : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 3 août 1870, évoquant la livraison de bidons, d'urinoirs et de deux modèles de hamacs ; VIII : Lettre à en-tête de l'Exploitation de la Compagnie, datée du 4 août 1870 "J'ai immédiatement adressé à Messieurs les médecins de la Cie de l'Est une circulaire pour les inviter à prêter leur concours tant pour le transport que pour la visite des blessés de l'armée" ; IX : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 4 août 1870, relative à l'envoi d'un troisième modèle de hamac, de 30000 pitons, etc. ; X : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 5 août 1870 ; XI : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef signé de Vuillemin à M. Dietz, datée du 5 août 1870 : "J'ai remarqué que pour les transports des blessés militaires, sur vos hamacs dans les wagons N ou autres, il faut un temps assez long pour amener les blessés aux wagons et pour les placer sur les hamacs. En supposant que les gares dans lesquelles doit s'effectuer l'embarquement soient pourvues de hamacs avec les cordes et leurs pitons, nos hommes seraient en mesure de tout disposer dans le premier wagon venu, pour peu qu'ils soient prévenus quelques heures d'avance. Il ne serait donc pas nécessaire de garnir tous nos wagons de pitons, mais il faudrait toujours avoir aux gares d'embarquement des pitons que nos ouvriers placeraient dans les wagons..." ; XII : on joint 3 autres pièces‎

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