‎Eddie Constantine Eddie Constantine‎
‎Ah ! Les Femmes‎

‎Marianne Melodie 2004 14x13x1cm. 2004. CD.‎

Reference : 29116
ISBN : 3220010416272


‎French edition - L'article peut présenter des micro-rayures mais du reste en parfait état de fonctionnement - expédié soigneusement depuis la France dans enveloppe à bulles‎

€6.00 (€6.00 )
Bookseller's contact details

Démons et Merveilles
M. Christophe Ravignot

contact@demons-et-merveilles.com

07 54 32 44 40

Contact bookseller

Payment mode
Cheque
Transfer
Others
Sale conditions

Rapidité d'envoi Tous nos articles sont expédiés le jour même de la confirmation de la commande Soin de l'emballage Un soin particulier est apporté à l'emballage, vos objets voyagent en toute sécurité. A votre écoute Si toutefois un incident devait survenir lors de l'acheminement de votre paquet, n'hésitez pas à nous contacter, nous mettrons tout en oeuvre pour vous satisfaire, en vous proposant un retour, un remboursement ou toute autre soluton à votre convenance. Professionnalisme Les livres que nous vendons sont pour la plupart des livres anciens, nous tâchons d'être le plus objectif possible quant à leur état.

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎SOLANAS Valerie‎

Reference : 81425

(1971)

‎[SCUM Manifesto] S.C.U.M. Le premier manifeste de la libération des femmes‎

‎Olympia & La Société Nouvelle, Paris 1971, 11x18cm, broché.‎


‎Édition originale de la traduction française établie par Emmanuelle de Lesseps . Bel et très rare exemplaire. Présentation de Christiane Rochefort. Discrimination de genre, discours de haine et appel au génocide, passage à l'acte avec une tentative de meurtre rageur, prémédité et sans repentir sur l'un des plus célèbres artistes du XXè, promotion d'une anarchie violente dans un grand rire scatologique, élimination ou humiliation programmée de la moitié du genre humain... Dans son pamphlet misandre, Scum manifesto («?Society for Cutting Up Men?»), Valerie Solanas ne témoigne d'aucune empathie, ne laisse aucune place à la modération ou à la réconciliation, n'accorde aucune exception à son projet de suppression de tous les hommes sinon pour «?les hommes qui s'emploient méthodiquement à leur propre élimination [...] [comme] les travelos qui, par leur exemple magnifique, encouragent les autres hommes à se démasculiniser et à se rendre ainsi relativement inoffensif?». Le premier manifeste du féminisme radical ne s'adresse pas qu'aux femmes, il englobe également dans son combat les identités sexuelles rejetées par la société phallocrate que Solanas veut mettre à bas avec une rage inédite pour un tel combat. «?Life in this society being, at best, an utter bore and no aspect of society being at all relevant to women, there remains to civic-minded, responsible, thrill-seeking females only to overthrow the government, eliminate the money system, institute complete automation and destroy the male sex.?» Introduction qu'en 1971, Emmanuèle de Lesseps, s'attelant à une version française, traduira par?: «?Vivre dans cette société, c'est au mieux y mourir d'ennui. Rien dans cette société ne concerne les femmes. Alors, à toutes celles qui ont un brin de civisme, le sens des responsabilités et celui de la rigolade, il ne reste qu'à renverser le gouvernement, en finir avec l'argent, instaurer l'automation à tous les niveaux et supprimer le sexe masculin.?» À la fois programme politique insurrectionnel, délire paranoïaque et texte poétique, le manifeste de Solanas dérange par son refus de se laisser enfermer dans un genre, sérieux, utopiste ou satirique. Car la question que pose un tel ouvrage n'est peut-être pas celle de sa moralité, mais du droit de son autrice à revendiquer l'excès. Publié après sa tentative de meurtre sur Andy Warhol, le terrible manifeste de Solanas est l'affirmation littéraire et littérale que l'homme n'a pas le monopole de la violence. Bien qu'il s'offre comme un cri de colère rédigé dans l'urgence, SCUM est en réalité le fruit de deux années de réflexion et d'écriture avant d'être, à défaut d'éditeur, ronéotypé par Solanas en 1967 et vendu dans la rue (1 pour les femmes et 2 pour les hommes), sans rencontrer aucun succès. En quête de reconnaissance, Valérie Solanas évolue alors dans le milieu underground new-yorkais et se lie d'amitié avec le pape de la contre-culture, Andy Warhol, dont elle fréquente la Factory. À défaut de pouvoir faire éditer son manifeste, «?le meilleur texte de toute l'histoire, qui ne sera surpassé que par mon prochain livre?», Solanas s'attèle à sa première uvre littéraire?: Up your Ass, une pièce de théâtre qu'elle veut faire produire par son mentor. Malheureusement, Warhol refuse la pièce et en égare l'unique manuscrit. En compensation, il offre à son amie un rôle dans deux de ses films. Solanas ne se satisfait pas de ce petit succès artistique et, le 3 juin 1968, fera feu à trois reprises sur Andy Warhol, blessant grièvement l'artiste et accédant du même coup à la célébrité. La jeune femme ne cache pas que son geste meurtrier, plus qu'une vengeance contre l'artiste, est surtout un acte politique et une nécessité artistique pour lui permettre de diffuser son uvre. Ainsi, interrogée sur les motivations de sa tentative criminelle, elle soumet à la justice et aux médias cette réponse laconique?: «?Lisez mon manifeste, vous saurez qui je suis?». Maurice Girodias, le sulfureux éditeur d'Olympia Press, condamné à plusieurs reprises notamment après la publication de Lolita et du Festin Nu, avait déjà remarqué Solanas l'année précédente. Il avait alors rejeté son manifeste mais lui avait proposé un contrat pour ses uvres à venir. Après l'attentat, il décide finalement de publier également le pamphlet féministe de cette criminelle atypique qui déclare la toute-puissance des femmes et la nocivité du sexe masculin. Comble de la provocation, Girodias reproduit en second plat de couverture la une du New-York Post, relatant la tragique hospitalisation de Warhol. Le livre de Solanas est-il l'uvre de cette femme malade, enfant violée, lycéenne et étudiante prostituée, adulte diagnostiquée schizophrène paranoïde, échappée de plusieurs asiles, et qui finira ses jours dans une solitude et une pauvreté extrême? Ou cette interprétation est-elle justement la démonstration de l'interdiction pour une femme de revendiquer toutes les extrémités du délire et de l'utopie anarchiste que l'on accorde aux hommes? En 1968, au cur de l'interminable guerre du Vietnam, la violence n'est plus l'apanage des oppresseurs et la colère montante des minorités contre les discriminations endémiques des États-Unis se manifeste par de violents affrontements et la naissance de groupes radicaux tels que les Black Panthers. Mais les femmes restent exclues des revendications et leurs droits sont niés par les deux camps, comme le dénonceront également Angela Davis et Ella Baker. Cependant, contrairement à elles, Solanas n'adhère à aucun combat d'émancipation et refuse toutes les utopies en vogue qui ne libèrent, d'après elle, que l'homme?; la femme restant, au mieux, une récompense?: «?Le hippie [...] est follement excité à l'idée d'avoir tout un tas de femmes à sa disposition. [...] L'activité la plus importante de la vie communautaire, celle sur laquelle elle se fonde, c'est le baisage à la chaîne. Ce qui allèche le plus le hippie, dans l'idée de vivre en communauté, c'est tout le con qu'il va y trouver. Du con en libre circulation?: le bien collectif par excellence?; il suffit de demander?». «?Laisser tout tomber et vivre en marge n'est plus la solution. Baiser le système, oui. La plupart des femmes vivent déjà en marge, elles n'ont jamais été intégrées. Vivre en marge, c'est laisser le champ libre à ceux qui restent?; c'est exactement ce que veulent les dirigeants?; c'est faire le jeu de l'ennemi?; c'est renforcer le système au lieu de le saper car il mise sur l'inaction, la passivité, l'apathie et le retrait de la masse des femmes?». Véritable déflagration dans les milieux contestataires, S.C.U.M. divise les mouvements féministes émergeant comme NOW ou Women's Lib et donne naissance au féminisme radical. Pourtant, Solanas refuse toute affiliation et rejette même l'aide de l'avocate militante Florynce Kennedy en plaidant coupable à son procès alors que Warhol n'a pas voulu porter plainte contre elle?: «?Je ne peux pas porter plainte contre quelqu'un qui agit selon sa nature. C'est dans la nature de Valerie, alors comment pourrais-je lui en vouloir?». (Fascinant témoignage de l'emprise psychologique qu'exerçaient mutuellement ces deux êtres contraires). Dans un grand feu d'artifice d'obscénité et d'extrémisme rigolard, l'ouvrage de Solanas déconstruit toutefois méthodiquement les propositions des intellectuelles progressistes autant qu'elle dévoile la structure irrémédiablement machiste d'une société faussement moderne. «?S.C.U.M. se dresse contre le système tout entier, contre l'idée même de lois et de gouvernement. Ce que S.C.U.M. veut, c'est démolir le système et non obtenir certains droits à l'intérieur du système?». Cinquante ans après, le manifeste de Solanas reste d'une acuité mordante, et la verve parfois délirante de son autrice ne saurait justifier l'effacement progressif de sa mémoire dans l'histoire sociale, à l'image de sa propre mère détruisant à sa mort tous ses manuscrits. Outré(e), convaincu(e) ou abasourdi(e) par la cathartique violence du texte, nul(le) ne prétend ressortir indemne de l'expérience S.C.U.M. . Cela est sans doute lié à la force littéraire presque célinienne de la plume de Solanas mais peut-être également à l'indéniable actualité de sa révolte?: «?Celles qui, selon les critères de notre «?culture?», sont la lie de la terre, les S.C.U.M. ... sont des filles à l'aise, plutôt cérébrales et tout près d'être asexuées. Débarrassées des convenances, de la gentillesse, de la discrétion, de l'opinion publique, de la «?morale?», du «?respect?» des trous-du-cul, toujours surchauffées, pétant le feu, sales et abjectes, les S.C.U.M. déferlent... elles ont tout vu - tout le machin, baise et compagnie, suce-bite et suce-con - elles ont été à voile et à vapeur, elles ont fait tous les ports et se sont fait tous les porcs... Il faut avoir pas mal baisé pour devenir anti-baise, et les S.C.U.M. sont passées par tout ça, maintenant elles veulent du nouveau?; elles veulent sortir de la fange, bouger, décoller, sombrer dans les hauteurs. Mais l'heure de S.C.U.M. n'est pas encore arrivée. La société nous confine encore dans ses égouts. Mais si rien ne change et si la Bombe ne tombe pas sur tout ça, notre société crèvera d'elle-même.?» - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎RETTE Adolphe‎

Reference : 83420

(1895)

‎Poème quatrain en alexandrin autographe signé intitulé "Les femmes au bord de la mer" et dédié au peintre Puvis de Chavannes‎

‎S.n., s.l. 1895, 13,5x19cm, une feuille.‎


‎Poème en quatrain alexandrin autographe signé du poète symboliste Adolphe Retté intitulé "Les femmes au bord de la mer". Le poème, 19 lignes à l'encre noire sur un feuillet et dédié au peintre Puvis de Chavannes, paraîtra dans le N°1 de Janvier 1895 de la revue symboliste 'L'ermitage" avec quelques variantes : "Les femmes au bord de la mer A Puvis de Chavannes Calyste, Noémie et la triste Néère Eprises des flots purs dont le chant les câline, Sur le roc où languit une flore marine Rêvent d'amour étrange et de grève étrangère. Calyste est toute grave et pleure Noémie, Ouit l'hymne fuyant de plaintives sirènes, La brise les adule et soupire leurs peines - Et Néère confine une fée ennemie. Le ciel s'épanouit en pâles violettes, La mer dort son sommeil de déesse perfide, Vers l'horizon paré de brume et d'or limpide Ondule un peuple lent de vagues inquiètes. Quel héros aux beaux yeux guidera sa galère Au port où veille triple et tentante la femme Et viendra délivrer, leur apportant une âme, Calyste, Noémie, et la triste Néère?... Adolphe Retté." Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR300.00 (€300.00 )

‎RAYNOUART & DEMOUSTIER Charles-Albert & FABRE D'EGLANTINE & BOUILLY J. N.‎

Reference : 61114

(1806)

‎Les templiers [Ensemble] Les femmes [Ensemble] Les précepteurs [Ensemble] L'abbé de l'Epée [Ensemble] Le tyran domestique‎

‎Chez Giguet et Michaud & Maradan & André, Paris 1806, In-8 (13x20cm), 69pp. ; (2) xiv, 76pp. ; (8) 133pp. ; xv (1) 86pp. (1) ; viij, 94pp. (2), relié.‎


‎Recueil factice composé de 5 pièces dont suit le détail : Les Templiers. Raynouart. 1806. Chez Giguet et Michaud. Un frontispice figurant le Grand Maître des Templiers. Edition originale. Les femmes. Demoustier. An 3 (1794). Chez Maradan. Les précepteurs. Fabre D'Eglantine. An 8 (1798). Imprimerie de la République. Edition originale, portant la signature manuscrite de Fabre d'Eglantine fils, éditeur de cette pièce posthume. L'abbé de l'épée. Bouilly. An 8 (1798). Chez André. Edition originale. Le tyran domestique. Alexandre Duval. 1805. Chez Vente. Edition originale. Reliure en pleine basane racinée d'époque. Dos lisse orné de 5 fleurons différents type Directoire. Pièce de titre en maroquin beige. Petit manque en tête. Frottements, notamment sur le dos. Pour Les femmes, page de titre brunie doublée venant combler un manque en marge. une déchirure p. 11 de L'abbé de l'épée, sans manque. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR400.00 (€400.00 )

‎FAURE Christine (Dir.)‎

Reference : SPN-269

(1997)

‎Encyclopédie politique et historique des femmes (Europe, Amérique du Nord)‎

‎Paris : Presses Universitaires de France, 1997. Ouvrage relié avec jaquette couleur, 885 pages, mappemonde couleur HT en fin d'ouvrage présentant le nombre et la proportion de femmes dans tous les parlements du monde au 30 juin 1995 (Union interparlementaire), index des noms de personnes. Bristol manuscrit de Christine Fauré à l'universitaire et féministe Danielle Haase-Dubosc.‎


‎La loi salique / Souveraineté et subordination des femmes chez Luther, Calvin et Bodin / L'action politique et militaire des femmes dans la Fronde / De l'idée de sujétion naturelle à l'indifférenciation par convention : les femmes dans la pensée politique de Sir Robert Filmer, Thomas Hobbes et John Locke / L'action des femmes dans les Révolutions anglaises / L'action des femmes dans la Révolution américaine / L'action politique des femmes pendant la Révolution française / Le sexe ou le rang ? La condition des femmes selon la philosophie des Lumières / Des droits de l'homme aux droits des femmes : une conversion intellectuelle difficile / Le rôle des femmes dans les révolutions de Liège et du Brabant / Les femmes aux côtés des deux révolutions néerlandaises, de 1781-1787 et 1794-1795 / La traite des négresses au 18e siècle / L'action des femmes dans la Révolution grecque , 1800-1827 / 1826 ou les femmes dans le philhellénisme / Utopie et contre-utopie, les femmes dans l’œuvre de Fourier / En 1848 à Paris / Les femmes de 1848 dans les États allemands / L'émancipation des femmes dans l’œuvre de Marx et Engels / 1871 : la Commune de Paris / Les femmes dans la Russie des Révolutions 1861-1926 / Les femmes dans la Révolution allemande : Rosa Luxembourg et les conseils ouvriers / De Lénine à Staline, la section féminine du Komintern / Les droits des femmes et le suffrage aux États-Unis 1848-1920 / Suffrage féminin et démocratie au Canada / Du droit des femmes au féminisme en Europe 1860-1914 / Droits politiques des femmes européennes : bilan des deux guerres mondiales / L'action des femmes dans la Guerre d'Espagne / La Condition féminine sous le nazisme : entre tradition, modernité et hiérarchisation raciale / Collaboration et résistance des femmes sous le fascisme italien / Dans la France du Maréchal / Le salazarisme / La liberté et l'égalité des femmes dans les pays socialistes d'Europe de l'Est 1960-1980 / Le féminisme des années 1970 / Femmes et islam en Occident / Femmes turques immigrées / Les femmes dans les Parlements et dans les partis politiques en Europe et en Amérique du Nord / La construction de l'égalité dans l'action des organisations internationales;‎

Librairie Bois d'Encre - Moulins la Marche
Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 02 33 24 76 09

EUR25.00 (€25.00 )

‎Le Calvez (Françoise), ed. - Evelyn Reed - Diane Feeley - Linda Jenness - Caroline Lund et Cindy Jacquith - Norman Oliver - Maxine Williams - Myrta Vidal - Betsey Stone - Carol Lipman - Matilde Zimmermann - Debby Woodroofe‎

Reference : 82929

(1978)

‎Féminisme et socialisme aux Etats-Unis - Textes du Parti socialiste des travailleurs traduits et présentés par Françoise Le Calvez (Feminism and Socialism in the U.S.A.) , (Comment les femmes ont perdu le contrôle de leur destinée et comment elles peuvent le regagner ? - Les femmes : Caste, classe ou sexe opprimé - La famille - Un programme socialiste pour la libération des femmes, vers un mouvement féministe de masse (résolution de congrès du Socialist Workers Party - Pourquoi faut-il combattre les lois contre l'avortement - L'avortement libre, un droit des femmes - La triple oppression des femmes noires - Pourquoi le mouvement de libération des femmes est-il important pour les noires - Les chicanas prennent la parole - Les femmes et le pouvoir politique - Contre la chasse aux sorcières dans le mouvement des femmes - Les femmes luttent pour leurs droits élémentaires - Nos soeurs en lutte, 1848-1920)‎

‎Union Générale d'Editions - UGE , 1018, Série Rouge Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1978 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur violet, illustrée d'une photographie en noir et blanc de femmes lors d'une manifestation avec des pancartes In-8 1 vol. - 251 pages‎


‎ inédit dans cette édition, 1ere édition, 1978 Contents, Chapitres : Sources et introduction - Evelyn Reed : Comment les femmes ont perdu le contrôle de leur destinée et comment elles peuvent le regagner ? - Les femmes : Caste, classe ou sexe opprimé - Diane Feeley : La famille - Un programme socialiste pour la libération des femmes, vers un mouvement féministe de masse (résolution de congrès du Socialist Workers Party - Linda Jenness : Pourquoi faut-il combattre les lois contre l'avortement - Caroline Lund et Cindy Jacquith : L'avortement libre, un droit des femmes - Norman Oliver : La triple oppression des femmes noires - Maxine Williams : Pourquoi le mouvement de libération des femmes est-il important pour les noires - Myrta Vidal : Les chicanas prennent la parole - Betsey Stone : Les femmes et le pouvoir politique - Carol Lipman : Contre la chasse aux sorcières dans le mouvement des femmes - Matilde Zimmermann : Les femmes luttent pour leurs droits élémentaires - Debby Woodroofe : Nos soeurs en lutte, 1848-1920 couverture à peine jaunie, intérieur propre, papier legerement jauni, sinon bon etat - format de poche‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR7.00 (€7.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !