‎Bozzi José‎
‎Lendemain De Bal‎

‎Petit Écho De La Mode 1933 1933.‎

Reference : 200013982


‎Livre en assez bon état d'usage. Livre format poche. En stock. Frais de port dégressifs. Vendeur PRO Français. N'hésitez pas à me contacter pour toutes questions ou photos supplémentaires. Expédition rapide et soignée sous enveloppe cartonnée ou à bulles‎

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Démons et Merveilles
M. Christophe Ravignot

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‎COLLECTIF‎

Reference : R110046976

(1989)

‎ECRITS DE PARIS - REVUE DES QUESTIONS ACTUELLES N° 503 - François CATHALA•Lendemain de bal . Michel PELTIER•Ce siècle sans légendes. Jean-Paul ANGELELLI•Les gendarmes ne rient plus...Le carrefour des lecteurs.‎

‎S.P.E.P.. SEPTEMBRE 1989. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 96 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : François CATHALA•Lendemain de bal . Michel PELTIER•Ce siècle sans légendes. Jean-Paul ANGELELLI•Les gendarmes ne rient plus...Le carrefour des lecteurs. Edith DELAMARE•L’ « affaire » du Carmel d’Auschwitz. Jean-Claude ROLINAT•Pour un Roumain, la Bulgarie c’est le Pérou ! Jean DENIPIERRE•Les trois erreurs d’Hitler. Suzanne LABIN•Les tyranneaux sont les affameurs des pays décolonisés. Agu KRIISA•Gorbachev se réjouit de leurrer le monde. DOCUMENT•La primauté des primautés : « La lutte contre le racisme » Stéphane de SILMARILE•L’inquiétante montée de l’analphabétisme religieux . S. -H. PARISOT•Le Québec, base pour une éventuelle reconquête ? Frédéric BONNET•Société moderne : illettrisme et informatique. Pasteur P. RIGAL•Les protestants et la révolution. Jean SILVE DE VENTAVON•A l’écoute de Clio. Yves CHIRON•L’autre révolution. Luc-Olivier D’ALGANGE•Un grand seigneur : Villiers de L’Isle. Adam Pierre GRIPARI•Lumières et libertinage. Patrick LAURENT•Cannes 89 : le Festival bis . Dominique VERGNON•Delacroix, ou la symphonie des tons . Notes de lecture Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO10078272

(1848)

‎L'ILLUSTRATION JOURNAL UNIVERSEL N° 272- M. Bûchez. M. Bûchez, président de VAssemblée nationale• — Voc bulalre démocratique, par M. Francis Wey. (Suite.) — Beau API». Salon de 1848. Quatrième article. Le Lendemain du bal; le Se ment du Jeu de Paume .....‎

‎Au bureau du journal. 13 mai 1848. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 162 à 176. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎


‎SOMMAIRE : M. Bûchez. M. Bûchez, président de VAssemblée nationale• — Voc bulalre démocratique, par M. Francis Wey. (Suite.) — Beau API». Salon de 1848. Quatrième article. Le Lendemain du bal; le Se ment du Jeu de Paume ; le Matin ; VEclair. — Lettres d’un Fli neur. IV. Une flânerie en Icarie. — Histoire de la semaine. L membres du gouvernement provisoire se rendant à VAssemblée nati nale, le 4 mai 1848; proclamation officielle delà République sur péristyle du palais de VAssemblée nationale, le 4 mai 1848; vue inl Heure de la salle de VAssemblée nationale. — Principales mesur prises par le gouvernement provisoire. — Académie d< .Sciences. — Courrier de Paris. Monument funèbre érigé par peuple sur l'emplacement où le maréchal Ney a été fusillé en 1815; po volant construit par Vartillerie pour remplacer provisoirement pont d’Asnières, incendié le 25 février. Passage du pont d’Arco, scène militaire à VHippodrome ; fraternisation de la garde nati nale avec Varmée. — Bulletin bibliographique. — Le Dan mark, les duchés deScbleswig et de Hofrieln, la Prusse la Confédération germanique. Carie du théâtre de la guerre en Danemark. - Rébus Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR39.80 (€39.80 )

‎DALSEME A.-J. ‎

Reference : 136986

(1880)

‎L'envers de Paris. Première partie : La banque Duvoisin. 2e partie Un lendemain de bal.‎

‎Couverture rigide. Reliure demi-chagrin rouge. 412 + 340 pages. Légère mouillure en marge.‎


‎Livre. 2 tomes en un volume. Editions Jules Rouff, Sans date, vers 1880.‎

Librairie et Cætera - Belin-Beliet

Phone number : +33 (0) 5 56 88 08 45

EUR54.00 (€54.00 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎Ciné-ParisDirecteur de la publication : Georges-Edouard d'Almeida‎

Reference : 50729

Phone number : 04 78 38 32 46

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