Frimousse 2014 32 pages 14x28x1cm. 2014. Relié. 32 pages.
Reference : 100056953
ISBN : 9782352412083
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Démons et Merveilles
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s.d. Un manuscrit. 25 x 38 cm. 116 p. numérotées 1 à 110 (+ une p. dex-dono, une de titre n. ch., ainsi que quatre pp. dactylographiées additionnelles numérotées 14, 33, 34 et 35bis). Le manuscrit, entièrement écrit à la plume par Edmond Jaloux, est raturé et porte de nombreuses corrections dauteur. Il sagit vraisemblablement ici de la copie remise à limprimeur, comme le montrent les multiples indications typographiques (tailles des caractères, sauts de paragraphes, etc.), ainsi que la mention suivante, écrite sur la page de titre: «A composer, 22/6/33». Lensemble porte de fréquentes salissures dues à une manipulation intense, mais est bien complet de tous ses feuillets, fort lisible et en très bon état.
Écrivain, critique littéraire et historien de la littérature, Edmond Jaloux (1878-1949) a collaboré à plusieurs revues et publié de nombreux ouvrages, avant dêtre élu à lAcadémie française en 1936. Chargé de mission culturelle en Suisse, il termine sa vie sur les bords du lac Léman. Son oeuvre, très prolifique, se partage entre des essais sur la littérature, avec une prédilection pour la littérature étrangère, et des romans. Parmi eux, Les routes du bel univers, dont le manuscrit est présenté ici, est publié à Paris en 1933 dans la revue littéraire Les oeuvres libres, vol. 147, avant dêtre réédité chez Plon en 1936. Le texte est précédé dun ex-dono dEdmond Jaloux libellé en ces termes: «Ce manuscrit est offert à Paul Bonard et aussi à Jean-François, en gage de ma sincère affection, Lutry: 7 octobre 1940». Paul Bonard (1900-1982), était professeur du secondaire suisse, historien et homme de grande culture. Passionné d'histoire régionale, il avait publié un ouvrage intitulé Fontaines des campagnes vaudoises (1977). Le don de ce manuscrit à une personnalité du canton de Vaud souligne le profond enracinement de Jaloux en Suisse et sa proximité avec le milieu intellectuel et artistique local. On se souvient par exemple que Jaloux a régulièrement écrit pour le Bulletin de la Guilde du livre et le Journal de Genève. Les routes du bel univers est dédié à Monique Saint-Hélier (1895-1955), pour qui Jaloux a toujours montré un intérêt particulier: il a notamment pris soin dintroduire cette dernière dès 1932 dans le milieu des lettres parisiennes en préfaçant son roman La Cage des rêves. En plus de Saint-Hélier, le manuscrit révèle quEdmond Jaloux avait prévu de dédier son texte à quelqu'un d'autre encore, mais le nom, illisible, a été raturé avant limpression. Très beau manuscrit original d'un roman écrit par un critique littéraire majeur du XXe siècle. [Ref. RHV, 91(1983), pp. 7-8. Bulletin de la Guilde du livre, 9/1943, p. 148. Anne-Lise Delacrétaz, Daniel Maggetti, Histoire de la littérature en Suisse romande, t. 3, p. 57-60.]
1981, Les éditions du fromage, in-4 cartonné, édition originale | Etat : bon état (Ref.: Gaman3016)
Les Éditions du Fromage
Edmond de Goncourt (1822-1896) / Jules de Goncourt (1830-1870)
Reference : DMI-952
(1901)
Edmond de Goncourt (1822-1896) Jules de Goncourt (1830-1870) L'Art du XVIIIe siècle Paris, Bibliothèque-Charpentier / Fasquelle, 1901-1902, 413 + 452 + 455 p. [3 tomes reliés en 2 volumes], reliure de l'époque au chiffre de Claudius Jacquet signée par J. Vieulle + carte de visite autographe d'Edmond de Goncourt, 53 boulevard de Montmorency (Auteil) à Claudius Jacquet lui signalant la "réouverture du grenier", contrecollée sur la page de faux-titre du tome 1. Belle édition de ce classique de la littérature artistique du XIXe siècle consacré à Watteau, Chardin, Boucher, La Tour, Greuze, Les Saint-Aubin, Gravelot, Cochin, Eisen, Moreau, Debucourt, Fragonard, Prudhon. Les frères Goncourt commencent à écrire sur l'art en tant que chroniqueurs dans de petits journaux. Ils ont reçu une formation artistique (Edmond a fréquenté l'atelier du peintre Dupuis), ils pratiquent tous deux l'aquarelle, leur ami et mentor Paul Gavarni les met en relation avec certains des artistes dont ils rendent compte dans leur Salon de 1852 : Charles Jacque, Célestin Nanteuil, Félix Haffner, Guiseppe Palizzi, Amédée Servin. D'entrée de jeu, ils seront ainsi sensibilisés aux techniques artistiques. C'est la pratique de la collection qui va ensuite les conduire vers la recherche historique, même si l'attention à l'art contemporain ne se démentira jamais, comme en témoigne le Journal, régulièrement tenu de 1851 à 1896. Au contact d'une tante, Edmond a acquis tout jeune le goût de chiner et commence assez tôt à acheter estampes et dessins à des prix abordables. Par ailleurs, traduits en 1853 devant la 6e chambre correctionnelle pour un article jugé trop licencieux, les Goncourt s'écartent du journalisme et se lancent dans l'écriture d'une fresque historique, qui s'appuie sur toute une collection de brochures et de petits journaux d'époque empruntés à un confrère. Dans cette Histoire de la société française pendant la Révolution (1854), un chapitre est consacré à l'art, dans ses aspects institutionnels et idéologiques (la suppression de l'Académie de peinture, l'influence de David, le vandalisme révolutionnaire). Dans le volume suivant (Histoire de la société française pendant le Directoire, 1855), le chapitre sur l'art – publié simultanément sous forme d'extrait dans L'Artiste – comprend de rapides portraits d'artistes : Gérard, Girodet, Guérin, Isabey, Carle Vernet, Houdon et surtout Prud'hon. D'autres vont suivre, plus étoffés, suscités par la rencontre de tel ou tel document (manuscrit, estampe, dessin) : L'Artiste publie plusieurs études des deux frères sur le graveur Le Bas (juillet-août 1856), sur Watteau (septembre 1856), sur le peintre Doyen (novembre 1856), sur les Saint-Aubin, famille de dessinateurs (octobre 1857) : le XVIIIe siècle apparaît bien alors, tant au niveau de la collection que de l'écriture historique, comme l'époque de prédilection. Ces études sont ensuite, pour certaines, reprises en volumes aux côtés d'autres portraits, d'érudits, d'hommes de lettres (Portraits intimes du XVIIIe siècle, 1857-1858).Parallèlement, et selon la même méthode qui accorde une place essentielle aux documents autographes largement cités, à une iconographie finement décrite, les Goncourt se lancent dans de vastes monographies d'actrices (Sophie Arnould, d'après sa correspondance et ses mémoires inédits, 1857), de reines (Histoire de Marie-Antoinette, 1858), de favorites (Les Maîtresses de Louis XV, 1860).Au seuil des années 1860, la rencontre de collectionneurs de tableaux du XVIIIe siècle (les frères Marcille, Louis Lacaze, Laurent Laperlier, François Walferdin), la visite de l'exposition Tableaux et Dessins de l'école française, principalement du XVIIIe siècle, tirés de collections d'amateurs présentée de juillet à décembre 1860 boulevard des Italiens (Francis Haskell en a souligné le rôle décisif dans l'évolution du goût) et la découverte la même année des grands musées allemands et autrichiens permettent aux Goncourt le contact direct avec la peinture du XVIIIe siècle, à une époque où elle est encore peu représentée dans les musées français et surtout connue par le biais d'estampes. Cette expérience capitale, conjuguée à l'érudition minutieuse et au fétichisme documentaire précédemment mis en œuvre, va nourrir le vaste projet de L'Art du XVIIIe siècle. Au printemps 1868, chassés par le bruit de la rue Saint Georges, Edmond et Jules de Goncourt quittent leur appartement pour s'installer dans un petit hôtel particulier d'Auteuil. C'est à cette adresse, 53 boulevard de Montmorency, qu'ils espèrent trouver le calme au milieu de leurs œuvres d'art, notamment des bronzes japonais et des porcelaines de Chine. La proximité d'une voie ferrée les oblige à faire d'importants travaux qui dureront plusieurs mois. Après le décès de Jules le 20 juin 1870, Edmond envisage de louer la maison qui pendant le siège de Paris sera touchée par un petit obus, l'un des derniers tirés par les Versaillais. A l'automne 1884, Edmond de Goncourt décide d'ouvrir à ses amis le Grenier, ce qui avait été aussi le vœu de son frère. Il note dans le Journal : «Le haut de ma maison, je le bouscule et jette à bas les cloisons et cherche à faire des trois pièces du second sur le jardin une espèce d'atelier sans baie pour y installer, à la sollicitation de mes amis de la littérature, une « parlote » littéraire le dimanche.» Parmi les nombreux écrivains admis à fréquenter le Grenier on retrouvera les « dix hommes de lettres de talent » qui vont former la première académie. Il semble que Claudius Jacquet faisait également parti des intimes. Claudius Jacquet, secrétaire et collaborateur de la Nouvelle Revue, épousa en 1901 Angela Gras, la fille de Félix Gras. Le félibre mourut d'ailleurs l'année du mariage de sa fille. Claudius Jacquet fut également le beau-frère du peintre Edmond-Jean. Envoi soigné avec suivi, assurance et remise contre signature.
[GAVARNI] - GAVARNI - Edmond TEXIER - Edmond et Jules de GONCOURT-Paul GAVARNI
Reference : 24618
(1855)
1855 Morizot, Paris,(1855) in-folio (38x28cm),, in-folio, percaline colorée, plats à motifs géométriques et floraux, écoinsons à devises morales et impériales estampées dorées, tranches dorées, 20 planches. chaque fascicule: 2ff. (faux titre et titre orné d'une vignette), 16 pages de texte et 10 lithographies pleine page numérotées dans le bas,page de titre de chaque Dizain illustrée,bon état,rare
Edition originale. Textes par Edmond Texier, Edmond et Jules de Goncourt. Bel exemplaire et 1er tirage des 20 lithographies de GAVARNI sur Papier vélin fort. Tirage sur blanc (verso blanc).en très bel état (pratiquement sans rousseur), sous serpentes, dont Une orgie. (bibliophile devant les boîtes des bouquinistes des quais de la Seine à Paris). Planche n°26 de la série D'APRES NATURE.Plats Reliure époque, gardes et dos muet modernes..GAVARNI (Paul Chevalier, dit), 1801-1857, est dessinateur et caricaturiste. En 1835, il crée le journal satiriste "Gens du Monde". Il saisit les attitudes de ses contemporains, lorettes, grisettes, bourgeois et pauvres gens, avec une verve inépuisable et une grande vérité d'observation. Au bas de chaque croquis de spirituelles légendes expliquent la situation et complètent la signification. C'est "Le La Bruyère des lorettes, des bals masqués et des boudoirs" (Jules Janin).La virtuosité des dessins de Gavarni est magnifiée par des légendes non moins savoureuses qu’il rédige lui-même. Les frères Goncourt, auteurs d’un livre sur leur artiste d’ami témoignent de la composition de ces dernières: «Un soir que nous parlions à Gavarni de ses légendes et que nous lui demandions comment elles lui venaient: "Toutes seules, nous dit-il ; j’attaque ma pierre sans penser à la légende, et ce sont mes personnages qui me la disent..."» (Gavarni, l’homme et l’œuvre). Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
[Michel Lévy Frères, A la Librairie Nouvelle] - GONDINET, Edmond ; BERTON, Pierre ; ACHARD, Amédée ; [ MONTAN BERTON, Pierre ]
Reference : 56974
(1867)
1 vol. in-12 reliure de l'époque demi-chagrin rouge, dos à 4 nerfs orné (caissons), , Michel Lévy Frères, A la Librairie Nouvelle, Paris, 1868, 2 ff., 93 pp. ; Deuxième édition, Michel Lévy Frères, A la Librairie Nouvelle, Paris, 1867, 2 ff., 46 pp. ; Michel Lévy Frères, A la Librairie Nouvelle, Paris, 1868, 2 ff., 60 pp. ; Michel Lévy Frères, A la Librairie Nouvelle, Paris, 1867, 2 ff., 60 pp. ; Michel Lévy Frères, A la Librairie Nouvelle, Paris, 1867, 2 ff., 61 pp. ; Michel Lévy Frères, A la Librairie Nouvelle, Paris, 1867, 2 ff., 67 pp. Rappel des titres Le Comte Jacques. Comédie en trois actes, en vers, par Edmond Gondinet [Edition originale ] [ Avec : ] La Cravate blanche. Comédie en un acte, en vers, par Edmond Gondinet [ Avec : ] Les Grandes Demoiselles. Comédie en un acte, par Edmond Gondinet [ Edition originale ] [Avec : ] La Vertu de ma Femme. Comédie en un acte par Pierre Berton [ Edition originale ] [Avec : ] Didier. Pièce en trois actes par Pierre Berton [ Edition originale ] [Avec : ] La Vertu de ma Femme. Comédie en un acte par Pierre Berton [ Edition originale ] [Avec : ] Albertine de Merris. Comédie en trois actes par Amédée Achard
Bel exemplaire réunissant de nombreuses éditions originales dont de nombreux pièces d'Edmond Gondinet (1828-1888), ou l'édition originale de Didier, l'une des premières pièces de Pierre Berton (1842-1912), fils de l'acteur Francisque Berton et de la romancière Caroline Samson. Les 4 personnages principaux en sont un chimiste, un médecin, un chirurgien et un notaire.