Paris, Garnier, 1850. In-12 en demi-basane au dos lisse orné de filets dorés. Faux-titre, titre, 325 pp, 1 f. de table des matières. Frottements au dos, aux coins et aux mors, Intérieur frais.
Reference : DEZ-8312
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1851 Paris, Garnier, 1851. 3e edition, revue, corrigée et augmentée. Kl.-8 . Goldgepr. .in12 reliure demi chagrin vert 380 p.- Livre écrit à la prison de Sainte-Pélagie. Ç. à la fois récit de la révolution de février par un de ses acteurs et autobiographie. Il s"y trouve aussi des considérations politiques et philosophiques qui annoncent les prochains grands livres ldée générale de la Révolution et la Justice. Littérairement le plus beau livre de Proudhon, au jugement de Sainte-Beuve. [il] termine son livre par un éloge de l"ironie devenu à bon droit classique.É (G. Guy-Grand. Pour connaître la pensée de Proudhon, )
RAY J5
Ixelles lez Bruxelles, Delevigne et Callawaert, 1849. Un volume relié (11,5 x 18 cm) de 288 pages. Reliure demi percaline beige, dos lisse, pièce de titre rouge, couverture conservée. Dernière page restaurée sans manque. Percaline légèrement salie sinon bon exemplaire. Même année que l'originale française.
Représentant du peuple à l'Assemblée Nationale en 1848 et rédacteur de plusieurs journaux, Proudhon fut condamné pour son opposition à Louis Napoléon Bonaparte, à la prison (1849-1852) où il rédigea ses Confessions. « C'est une sorte d'histoire de France depuis 1789 jusqu'aux journées de Février 1848, dans laquelle celles-ci étaient jugées par un de leurs propres acteurs ; comme des mémoires sur la vie et la pensée de celui qui les rédigea, desquels on peut extraire cette formule qui résume tout le programme proudhonien : Il faut vaincre le pouvoir, en ne lui demandant rien ; prouver le parasitisme du capital, en le suppléant par la liberté des individus, en organisant l'initiative des masses. » (Bourgeat). Bourgeat, 251 ; Haubtmann, 1068 ; Nettlau, 59.Ces confessions, écrites en six semaines en prison, racontent la vie politique du penseur social (du 24 février 1848 au 8 juillet 1849). « L'histoire d'un penseur entraîné malgré lui dans le somnambulisme de sa Nation. »
Paris, Garnier, 1851. 3e edition, revue, corrigée et augmentée. Kl.-8 . Goldgepr. .in12 broché,non coupé, 380 p., - Nettlau 19. Nicht im I.F.H.S. -
Livre écrit à la prison de Sainte-Pélagie. «. à la fois récit de la révolution de février par un de ses acteurs et autobiographie. Il s"y trouve aussi des considérations politiques et philosophiques qui annoncent les prochains grands livres l""Idée générale de la Révolution» et la «Justice». Littérairement le plus beau livre de Proudhon, au jugement de Sainte-Beuve. [il] termine son livre par un éloge de l"ironie devenu à bon droit classique.» (G. Guy-Grand. Pour connaître la pensée de Proudhon, p. 63 sq.). (Nettlau, p. 19 ; Stammhammer, i, p. 189 ; Woodcock, Anarchism). Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Paris, Au Bureau du Journal La Voix du Peuple, 1849. In-4 de (4)-106-(2) pp., cartonnage moderne.
Édition originale imprimée sur deux colonnes. Représentant du peuple à l'Assemblée Nationale en 1848 et rédacteur de plusieurs journaux, Proudhon fut condamné pour son opposition à Louis Napoléon Bonaparte, à la prison (1849-1852) où il rédigea ses Confessions. « C'est une sorte d'histoire de France depuis 1789 jusqu'aux journées de Février 1848, dans laquelle celles-ci étaient jugées par un de leurs propres acteurs ; comme des mémoires sur la vie et la pensée de celui qui les rédigea, desquels on peut extraire cette formule qui résume tout le programme proudhonien : Il faut vaincre le pouvoir, en ne lui demandant rien ; prouver le parasitisme du capital, en le suppléant par la liberté des individus, en organisant l'initiative des masses. » (Bourgeat). Bourgeat, 251 ; Haubtmann, 1068 ; Nettlau, 59.
Paris, Au Bureau du Journal La Voix du Peuple, 1849. In-4 de (4)-106-(2) pp., demi-toile (reliure de l'époque).
Édition originale imprimée sur deux colonnes. Représentant du peuple à l'Assemblée Nationale en 1848 et rédacteur de plusieurs journaux, Proudhon fut condamné pour son opposition à Louis Napoléon Bonaparte, à la prison (1849-1852) où il rédigea ses Confessions. « C'est une sorte d'histoire de France depuis 1789 jusqu'aux journées de Février 1848, dans laquelle celles-ci étaient jugées par un de leurs propres acteurs ; comme des mémoires sur la vie et la pensée de celui qui les rédigea, desquels on peut extraire cette formule qui résume tout le programme proudhonien : Il faut vaincre le pouvoir, en ne lui demandant rien ; prouver le parasitisme du capital, en le suppléant par la liberté des individus, en organisant l'initiative des masses. » (Bourgeat).Bourgeat, 251 ; Haubtmann, 1068 ; Nettlau, 59. Relié à la suite : Le Nouveau Monde de Louis Blanc, 8 premières livraisons (1849).