‎Adolphe, Ennery de.‎
‎Seule!‎

‎Paris, Rouff, sans date. 2 volumes in-4, demi basane, dos lisse orné de filets dorés, titre doré, pagination continue, 1672 pp. Ouvrage orné de nombreuses gravures in texte en noir et blanc. Coins émoussés, quelques tâches sur le cuir, papier jauni, quelques rousseurs, coiffes légèrement frottées. ‎

Reference : DEZ-637


‎‎

€70.00 (€70.00 )
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14000 Caen
France

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‎FAURE-DECAMPS Veuve DENTU, Mme Léonie ; BINOT DE VILLIERS‎

Reference : 44465

(1887)

‎[ La fin d'une Dynastie de Libraire-Editeur : Importantes archives réunissant 7 dossiers manuscrits datés de 1887 à 1892 relatifs à la liquidation de la Librairie Edouard Dentu ] I : Mémoire de Madame veuve Dentu [ Mémoire manuscrit autographe de Léonie Dentu, 8 pp. in-folio, circa 1887 : ] "Madame Veuve E. Dentu, mise en cause, en vertu d'insinuations dépourvues de tout fondement lui imputant des dépenses exagérées, et une gestion imprudente de ses biens et revenus personnels, croit devoir protester avec la dernière énergie contre les calomnies dirigées contre elle dans un but intéressé. Elle met ses adversaires au défi de fournir une seule preuve de tous les faits qu'ils ont allégués. Elle n'a pas d'autre réponse à faire que d'exposer la situation désastreuse qui lui a été créée par l'incurie des liquidateurs de la succession de son mari." [Suit tout le détail de la situation, depuis le décès d'Edouard Dentu le 13 avril 1884. On relève quelques passages :] " M. Sauvaître qui avait été institué administrateur judiciaire après le décès de M. Dentu, avait présenté au notaire liquidateur, sans livre, ni écriture de commerce, des inventaires et des bilans qui n'avaient aucun caractère d'authenticité. [...] Il n'a pu ou n'a voulu fournir aucune situation relativement à ses comptes ; il s'est refusé à dresser un nouvel inventaire, à ouvrir les livres exigés par la loi, à remettre aux employés comptables les pièces leur permettant de dresser les états qu'il ne voulait ou ne pouvait faire lui-même. De plus, par son imprévoyance il accumulait de nouvelles et lourdes charges pour la maison de librairie déjà durement éprouvée par la crise commerciale ; enfin il empiétait sur les prérogatives de Mme Dentu en traitant sans mandat les auteurs. Par exemple il faisait imprimer le livre "Le Gaga" et se hâtait de le mettre en vente malgré une défense expresse de Mme Dentu. Déjà blessée par l'attitude outrageante qu'il prenait à son égard, elle ne put se dispenser de le congédier après inutiles remontrances [ ... ] C'est ainsi que la reconstitution entière de la comptabilité et les rectifications d'écriture qui en étaient la conséquence n'ont pu être essayées qu'après le départ de M. Sauvaître à dater du 1er janvier 1886. Elles ont abouti en peu de temps à la constatation de la situation désastreuse qui avait été faite à Mme Dentu. [ Celle-ci se tourne en vain de tous côtés : ] Elle fit plusieurs versements pour une somme totale de 50000 fr. à la caisse de la librairie. Elle essaya en outre de s'associer des capitalistes. Dès le mois de juin 1886 un acquéreur présenté par M. de La Batut étudiait un projet d'achat dans des conditions paraissant avantageuses [ ... mais c'est l'échec. Elle souscrit un emprunt ] Mais malgré ses efforts et en raison des manoeuvres de concurrents et des ennemis acharnés surgissant de tous côtés contre elle, elle n'eut pu suffire à conjurer le péril d'une suspension de paiement si elle n'eût conclu en février 87 un acte d'association qui consacrait presque entièrement tous les avantages et toutes les prérogatives qu'on lui avait attribués lors du partage. Malheureusement la persistance de la crise commerciale et le danger de continuer les opérations qui pouvaient créer pour l'avenir des charges qu'elle n'eût été en état de supporter même partiellement l'obligèrent à conclure de nouveaux arrangements pécuniaires pour partager la responsabilité commerciale avec ceux des associés qui étaient mieux qu'elle en mesure d'en subir les conséquences, puis à se retirer entièrement, et définitivement par acte de cession du 1er octobre 87. [...] Sans entrer dans une discussion de chiffre quelconque, il est facile d'établir quelles sont les causes directes du déficit laissé par Dentu à son décès : ce sont exclusivement les dépenses personnelles engagées depuis l'année 1879 jusqu'à la fin de 1883, notamment l'achat de divers immeubles de plaisance, d'un prix élevé, coûteux d'entretien et sans revenus avec les frais d'aménagement d'installations et d'ameublement (sans parler de l'établissement de Mme de la Batut) ; les sommes déboursées pour ces différentes affaires dépassaient pour cette période 500000 fr., prélevés sur le compte courant du comptoir d'escompte c'est-à-dire les recouvrements effectués sur les clients de la librairie, le véritable actif commercial, qui n'était alors nullement disponible". [ etc.] II : Rapport d'arbitrage par Binot de Villiers daté du 26 novembre 1892. Contestation entre Madame Veuve Dentu Demanderesse d'une part et MM. Hippeau, Curel, Gougis, Richardin d'autre part [ Rapport d'arbitrage de 39 pp. manuscrites in-folio, détaillant avec grande clarté et précision le litige complexe opposant la Veuve Dentu à ses nouveaux associés, liés par divers contrats sur la seule année 1887. Remarquable document sur l'histoire de la librairie et de l'édition à la fin du XIXe siècle. On citera notamment ce passage : ] "Pour obtenir une avance de la librairie Dentu, un auteur promet d'apporter prochainement un manuscrit, et la librairie lui fait cette avance pour qu'il n'aille pas apporter son manuscrit ailleurs et c'est-à-dire pour s'assurer la préférence. Si l'auteur ne remplit pas sa promesse la librairie subit une perte presque toujours irrecouvrable. S'il remplit sa promesse, pas de difficultés si ce n'est qu'à ce moment on lui verse généralement le complément de ses droits d'auteur. Comme la librairie n'a d'espoir d'être remboursé que sur le produit de la vente et c'est ce qu'indique très clairement la convention du 13 octobre 1887, lorsqu'elle est édicte que le remboursement des avances se fera par voie de déduction sur les sommes auxquelles ont droit les auteurs, la librairie commence par déduire des droits d'auteur les avances déjà faites et ne se libère ensuite que contre remise du manuscrit. Elle ne court plus alors que le risque de l'insuccès de l'ouvrage." ; III : Liquidation de la Société Dentu & Cie dissoute le 30 juin 1887. Deuxième Compte [ 8 feuillets in-folio. Le rapport d'arbitrage indique : " à la date du 8 février 1887, une société était formée sous la raison sociale Dentu & Cie entre Mme Veuve Dentu et M. Hippeau, associés en nom collectif et M. Curel simple commanditaire ; mais quelques mois plus tard, c'est-à-dire le 16 juillet 1887, cette société était dissoute avec effet rétroactif aux 30 juin" ] ; IV : Compte Personnel de Mme Vve Dentu du 1er octobre 1887 au 30 Juin 1888 [ 1er et 2e compte, ensemble 4 feuillets in-folio ] ; V : Librairie Dentu. Société Curel Gougis et Cie. Compte Personnel de Madame Vve Edouard Dentu, période du 1er juillet au 8 novembre 1888 [ 4 ff. in-folio] ; VI : Lot d'une cinquantaine de feuillets d'inventaire, essentiellement Inventaire des Magasins de Ségur [ Comme le précise le rapport de l'arbitre, "Le magasin de l'avenue de Ségur n'était pas un magasin de vente était uniquement un lieu de dépôt choisi par Mme dentu dans une maison montée des propriétaires et elle seule avait la clé de ce dépôt où elle avait rassemblé les ouvrages qui n'étaient plus de vente courante."] ; VII : Compte Principal de Madame Dentu chez son mandataire M. Albert Baudry depuis le 10 décembre 1889 [ 4 feuillets in-4 sous chemise, daté du 31 mars 1892 ]‎

‎Important ensemble de 7 dossiers manuscrits datés de 1887 à 1892 relatifs à la liquidation de la Librairie Edouard Dentu ] I : Mémoire de Madame veuve Dentu [ Mémoire manuscrit autographe de Léonie Dentu, 8 pp. in-folio, circa 1887 : ] "Madame Veuve E. Dentu, mise en cause, en vertu d'insinuations dépourvues de tout fondement lui imputant des dépenses exagérées, et une gestion imprudente de ses biens et revenus personnels, croit devoir protester avec la dernière énergie contre les calomnies dirigées contre elle dans un but intéressé. Elle met ses adversaires au défi de fournir une seule preuve de tous les faits qu'ils ont allégués. Elle n'a pas d'autre réponse à faire que d'exposer la situation désastreuse qui lui a été créée par l'incurie des liquidateurs de la succession de son mari." [Suit tout le détail de la situation, depuis le décès d'Edouard Dentu le 13 avril 1884. On relève quelques passages :] " M. Sauvaître qui avait été institué administrateur judiciaire après le décès de M. Dentu, avait présenté au notaire liquidateur, sans livre, ni écriture de commerce, des inventaires et des bilans qui n'avaient aucun caractère d'authenticité. [...] Il n'a pu ou n'a voulu fournir aucune situation relativement à ses comptes ; il s'est refusé à dresser un nouvel inventaire, à ouvrir les livres exigés par la loi, à remettre aux employés comptables les pièces leur permettant de dresser les états qu'il ne voulait ou ne pouvait faire lui-même. De plus, par son imprévoyance il accumulait de nouvelles et lourdes charges pour la maison de librairie déjà durement éprouvée par la crise commerciale ; enfin il empiétait sur les prérogatives de Mme Dentu en traitant sans mandat les auteurs. Par exemple il faisait imprimer le livre "Le Gaga" et se hâtait de le mettre en vente malgré une défense expresse de Mme Dentu. Déjà blessée par l'attitude outrageante qu'il prenait à son égard, elle ne put se dispenser de le congédier après inutiles remontrances [ ... ] C'est ainsi que la reconstitution entière de la comptabilité et les rectifications d'écriture qui en étaient la conséquence n'ont pu être essayées qu'après le départ de M. Sauvaître à dater du 1er janvier 1886. Elles ont abouti en peu de temps à la constatation de la situation désastreuse qui avait été faite à Mme Dentu. [ Celle-ci se tourne en vain de tous côtés : ] Elle fit plusieurs versements pour une somme totale de 50000 fr. à la caisse de la librairie. Elle essaya en outre de s'associer des capitalistes. Dès le mois de juin 1886 un acquéreur présenté par M. de La Batut étudiait un projet d'achat dans des conditions paraissant avantageuses [ ... mais c'est l'échec. Elle souscrit un emprunt ] Mais malgré ses efforts et en raison des manoeuvres de concurrents et des ennemis acharnés surgissant de tous côtés contre elle, elle n'eut pu suffire à conjurer le péril d'une suspension de paiement si elle n'eût conclu en février 87 un acte d'association qui consacrait presque entièrement tous les avantages et toutes les prérogatives qu'on lui avait attribués lors du partage. Malheureusement la persistance de la crise commerciale et le danger de continuer les opérations qui pouvaient créer pour l'avenir des charges qu'elle n'eût été en état de supporter même partiellement l'obligèrent à conclure de nouveaux arrangements pécuniaires pour partager la responsabilité commerciale avec ceux des associés qui étaient mieux qu'elle en mesure d'en subir les conséquences, puis à se retirer entièrement, et définitivement par acte de cession du 1er octobre 87. [...] Sans entrer dans une discussion de chiffre quelconque, il est facile d'établir quelles sont les causes directes du déficit laissé par Dentu à son décès : ce sont exclusivement les dépenses personnelles engagées depuis l'année 1879 jusqu'à la fin de 1883, notamment l'achat de divers immeubles de plaisance, d'un prix élevé, coûteux d'entretien et sans revenus avec les frais d'aménagement d'installations et d'ameublement (sans parler de l'établissement de Mme de la Batut) ; les sommes déboursées pour ces différentes affaires dépassaient pour cette période 500000 fr., prélevés sur le compte courant du comptoir d'escompte c'est-à-dire les recouvrements effectués sur les clients de la librairie, le véritable actif commercial, qui n'était alors nullement disponible". [ etc.] II : Rapport d'arbitrage par Binot de Villiers daté du 26 novembre 1892. Contestation entre Madame Veuve Dentu Demanderesse d'une part et MM. Hippeau, Curel, Gougis, Richardin d'autre part [ Rapport d'arbitrage de 39 pp. manuscrites in-folio, détaillant avec grande clarté et précision le litige complexe opposant la Veuve Dentu à ses nouveaux associés, liés par divers contrats sur la seule année 1887. Remarquable document sur l'histoire de la librairie et de l'édition à la fin du XIXe siècle. On citera notamment ce passage : ] "Pour obtenir une avance de la librairie Dentu, un auteur promet d'apporter prochainement un manuscrit, et la librairie lui fait cette avance pour qu'il n'aille pas apporter son manuscrit ailleurs et c'est-à-dire pour s'assurer la préférence. Si l'auteur ne remplit pas sa promesse la librairie subit une perte presque toujours irrecouvrable. S'il remplit sa promesse, pas de difficultés si ce n'est qu'à ce moment on lui verse généralement le complément de ses droits d'auteur. Comme la librairie n'a d'espoir d'être remboursé que sur le produit de la vente et c'est ce qu'indique très clairement la convention du 13 octobre 1887, lorsqu'elle est édicte que le remboursement des avances se fera par voie de déduction sur les sommes auxquelles ont droit les auteurs, la librairie commence par déduire des droits d'auteur les avances déjà faites et ne se libère ensuite que contre remise du manuscrit. Elle ne court plus alors que le risque de l'insuccès de l'ouvrage." ; III : Liquidation de la Société Dentu & Cie dissoute le 30 juin 1887. Deuxième Compte [ 8 feuillets in-folio. Le rapport d'arbitrage indique : " à la date du 8 février 1887, une société était formée sous la raison sociale Dentu & Cie entre Mme Veuve Dentu et M. Hippeau, associés en nom collectif et M. Curel simple commanditaire ; mais quelques mois plus tard, c'est-à-dire le 16 juillet 1887, cette société était dissoute avec effet rétroactif aux 30 juin" ] ; IV : Compte Personnel de Mme Vve Dentu du 1er octobre 1887 au 30 Juin 1888 [ 1er et 2e compte, ensemble 4 feuillets in-folio ] ; V : Librairie Dentu. Société Curel Gougis et Cie. Compte Personnel de Madame Vve Edouard Dentu, période du 1er juillet au 8 novembre 1888 [ 4 ff. in-folio] ; VI : Lot d'une cinquantaine de feuillets d'inventaire, essentiellement Inventaire des Magasins de Ségur [ Comme le précise le rapport de l'arbitre, "Le magasin de l'avenue de Ségur n'était pas un magasin de vente était uniquement un lieu de dépôt choisi par Mme dentu dans une maison montée des propriétaires et elle seule avait la clé de ce dépôt où elle avait rassemblé les ouvrages qui n'étaient plus de vente courante."] ; VII : Compte Principal de Madame Dentu chez son mandataire M. Albert Baudry depuis le 10 décembre 1889 [ 4 feuillets in-4 sous chemise, daté du 31 mars 1892 ]‎


‎Important ensemble réunissant diverses pièces relatives au "naufrage" de la librairie Dentu, au lendemain du décès du grand éditeur Edouard Dentu. On notera un remarquable rapport d'arbitrage détaillant avec une grande clarté les litiges très complexes qui opposèrent la Veuve Dentu à ses nouveaux associés. L'arbitre plonge dans les arcanes de l'édition et de la librairie parisienne des années 1884-1890. Prix du lot, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR1,400.00 (€1,400.00 )

‎BERNIER, CLERAMBAULT, BAPTISTIN, MONTECLAIR, BURETTE, BOURGEOIS, ANONYME.‎

Reference : 7333

(1720)

‎Cantates françoises ou Musique de chambre à voix seule et à deux voix, avec symphonie et sans symphonie tirées de plusieurs auteurs fameux, comme Bernier, Clerambault, Monteclair etc.- Les Syrenes de Montéclair, sans symphonie. - L'amour vangé du mesme sans symphonie. - Le Triomphe de psiché de Bernier sans symphonie. - Diane et endimion à deux voix sans symphonie de Bernier. - Les bains de Tomeri à voix seule et à deux dessus de violon de Baptistin. - La mort d'Hercule, Cantate de Basse avec Symphonie de Clerambault. - Le printems Cantate à voix seule avec deux dessus de violons par Burette. - La MERDE. Cantate de Basse à voix seule, sans symphonie par Mr.... - Léandre et Hero avec symphonie de Clérambault. - La Badine, sans symphonie de Monteclair. - Zephire et flore avec deux dessus de violons de Bourgeois. - Narcisse avec symphonie par M.... - Bacchus Cantate de basse avec symphonie de Bernier.‎

‎ 1720 veau brun époque (dos restauré). in-4 à l'italienne, (1f.), 324pp., (2ff.), ‎


‎Manuscrit du premier tiers du XVIIIe siècle, d'une bonne écriture très lisible. La moitié des œuvres ont le chiffrage de la basse indiqué. La cantate La M*** est non seulement scatologique mais coprophagique…détails sur demande. Manque à la Bibliotheca Scatologica.Pour la cantate Narcisse une note indique que "les paroles sont de Mr de *** et la musique de mr. *, cette copie a été tirée sur l'original du musicien qui la composa en 1726". A la p. 264 il est précisé :"cantate composée à Avignon…"Ceci ne nous avance guère et nous aurions préféré trouver l'auteur de la cantate scatologique.Premières éditions des Cantates contenues en ce Recueil :- Les Syrenes : Montéclair, Michel Pignolet. éd. dans Cantates à une et deux voix… Second Livre. Paris : Foucault, s.d. (1713)- L’Amour Vangé : Montéclair Michel Pignolet. éd. dans Cantates à une et deux voix… Second Livre. Paris : Foucault, s.d. (1713)- Le Triomphe de Pysché : Bernier, Nicolas. éd. dans Cantates Françoises ou Musique de Chambre…les paroles sont de Mr. Fuzellier. Second Livre. Paris : Foucault, s.d. (ca 1703)- Diane et Endimion : Bernier, Nicolas. éd. dans Cantates Françoises ou Musique de Chambre…les paroles sont de Mr. Fuzellier. Second Livre. Paris : Foucault, s.d. (ca 1703)- Les Bains des Tomery : Stuck, Jean-Baptiste (connu egalement comme « Baptistin »). éd. dans Cantates Françoises à I, II voix… [Livre IIIe]. Paris : C. Ballard, 1711.- La Mort d’Hercule : Clérambault, Louis-Nicolas. éd. dans Cantates Françoises melées de Simphonies (sic)... Livre IIIe. Paris : Foucault, 1716- Le Printemp : Burette, Bernard éd. dans Le Printemps et l’Ête, Cantates Françoises... Paris : Boivin, 1722- La Merde : Anon.- Leandre et Hero : Clérambault, Louis-Nicolas. éd. dans Cantates Françoises melées de Simphonies... Livre IIe. Paris : Foucault, 1713La BnF (Cote D. 14883) conserve un autre Ms. avec cette musique mais avec un texte religieux : Retour d’un Pecheur- La Badine : Montéclair Michel Pignolet. éd. dans Cantates à voix seule… Premier Livre. Paris : Foucault, s.d. (ca 1709)- Zephire et Flore : Bourgeois, Jean-Baptiste Drouart de. Pas d’édition connue.- Narcisse : Broiu, Desfontaines ou Anon. À controler avec la partition.- Bacchus : Bernier, Nicolas. éd. dans Cantates Françoises ou Musique de Chambre. Livre IVe. Paris : Foucault, s.d. (ca 1703) ‎

Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03

EUR4,500.00 (€4,500.00 )

‎Robert (Pierre)‎

Reference : 85944

(1977)

‎L'énergie éolienne - la seule solution pour assurer l'indépendance énergétique de l'Europe et la sauvegarde des libertés individuelles (La seule solution pour l'épanouissement des libertés, la reprise des investissements et le progrès général)‎

‎Chez l'Auteur, Pierre Robert Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1977 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur rouge In-8 1 vol. - 182 pages‎


‎ édition de 1977, sans doute la première édition Contents, Chapitres : Introduction : L'éolienne de Saint Georges de Chesne - 1. Diverses sources d'énergie : Les diverses formes de l'énergie - Utilisation de l'énergie au niveau familial - Utilisation de l'énergie dans l'agriculture - Utilisation de l'énergie dans l'industrie et le commerce - Influences sur les libertés individuelles - Seule l'énergie éolienne peut résoudre le problème de l'énergie en Europe - 2. L'éolienne source d'énergie : Installation d'une éolienne pour le chauffage d'une maison familiale - Installation d' éoliennes dans une groupe de maisons, un immeuble, dans l'agriculture, et dans l'industrie - Cout de l'énergie : Comparaison du coût de l'énergie entre l'éolienne et les autres sources d'énergie - 4. Perspectives d'avenir - nb : l'auteur est l'inventeur d'un procédé d'éolienne : Les éoliennes Robert bon état, intérieur frais et propre‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR7.00 (€7.00 )

‎Robert (Pierre)‎

Reference : 86038

(1977)

‎L'énergie éolienne - la seule solution pour assurer l'indépendance énergétique de l'Europe et la sauvegarde des libertés individuelles (La seule solution pour l'épanouissement des libertés, la reprise des investissements et le progrès général)‎

‎Chez l'Auteur, Pierre Robert Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1977 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur rouge In-8 1 vol. - 182 pages‎


‎ édition de 1977, sans doute la première édition Contents, Chapitres : Introduction : L'éolienne de Saint Georges de Chesne - 1. Diverses sources d'énergie : Les diverses formes de l'énergie - Utilisation de l'énergie au niveau familial - Utilisation de l'énergie dans l'agriculture - Utilisation de l'énergie dans l'industrie et le commerce - Influences sur les libertés individuelles - Seule l'énergie éolienne peut résoudre le problème de l'énergie en Europe - 2. L'éolienne source d'énergie : Installation d'une éolienne pour le chauffage d'une maison familiale - Installation d' éoliennes dans une groupe de maisons, un immeuble, dans l'agriculture, et dans l'industrie - Cout de l'énergie : Comparaison du coût de l'énergie entre l'éolienne et les autres sources d'énergie - 4. Perspectives d'avenir - nb : l'auteur est l'inventeur d'un procédé d'éolienne : Les éoliennes Robert bon état, intérieur frais et propre‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR7.00 (€7.00 )

‎LARBAUD (Valery).‎

Reference : 12063

‎Gwenny-toute-seule.‎

‎ Neuchâtel, Ides et Calendes, 1949 ; in-8 (23 x 18 cm). 2ff. blancs-28ff.-2ff. blancs. Cartonnage éditeur recouvert de papier marbré gris, pièce de titre en papier bordeaux. Parfait état. ‎


‎Édition originale. Fac-similé reproduit en phototypie du manuscrit original de "Gwenny-toute-seule" qui avait été offert par Larbaud à André Gide en 1912. Tirage unique à 150 exemplaires numérotés. Dans une lettre adressée à Gide en mai 1912, Larbaud lui annonce : "... je sous enverrai... le ms. de "Gwenny toute seule" que je renonce à publier, et que je brûlerais certainement si vous ne m'aviez pas réconforté un peu sur elle. Vous garderez ce cahier pour vous, n'est-ce pas et ne le montrerez à personne ? La chose est trop intime, et puis mal faite comme arrangement". (Cité par Christophe Bataillé, in Cahiers Larbaud N°43, 2008, pp. 53-63). ‎

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