‎Champfleury.‎
‎La Comédie académie.‎

‎Paris, Charpentier, 1875. In-12, demi basane époque, dos lisse orné de filets dorés, titre doré, faux-titre, titre, 358 pp. Troisième édition. Coins usés, 1 coin presque cassé, déchirure et frottements sur le papier marbré, quelques rousseurs, mouillure angulaire en début de volume, pages de faux-titre et de titre détachées.‎

Reference : DEZ-4814


‎‎

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‎[CORNEILLE / CHAPELAIN].‎

Reference : LCS-18159

‎Les Sentimens de l’Académie françoise sur la Tragi-comédie du Cid. La rare édition originale du premier ouvrage de la toute jeune Académie française par lequel elle prend part à la vive querelle déclenchée par la parution du Cid en 1637.‎

‎Rare édition originale du premier travail de la toute jeune Académie française créée deux ans plus tôt, qui prend ici part à la violente querelle du Cid. Paris, chez Jean Camusat, 1638.In-8 de (1) f.bl., 192 pp., (1) f.bl. Longue note manuscrite ancienne à l’encre au verso du titre. Relié en plein vélin souple de l’époque, dos lisse avec le titre manuscrit en tête. Reliure de l’époque.176 x 108 mm.‎


‎Rare édition originale du premier travail de la toute jeune Académie française créée deux ans plus tôt, qui prend ici part à la violente querelle du Cid.Picot, Catalogue Rothschild, n° 1143 ; Tchemerzine, II, 235 ; Picot, Bibliographie cornélienne, n° 1380 ; Rahir, La Bibliothèque de l’amateur, 379. « Ce fut Chapelain que l’Académie nomma pour recueillir ses observations » (Bulletin Morgand et Fatout, n°7835).« Scudéry s’étant avisé d’écrire un libelle contre Corneille sous le titre d’’Observations du le Cid’ et d’en appeler au jugement de l’Académie, le cardinal de Richelieu prit son parti et força la Compagnie, malgré ses répugnances, à se mêler d’une affaire dans laquelle le sentiment public s’était déjà vivement prononcé :‘En vain contre le Cid un ministre se ligueTout Paris pour Chimène a les yeux de Rodrigue’.Le 16 juin 1637, l’Académie, pour complaire à son puissant protecteur, confia à trois commissaires, dont Chapelain et Conrart, le soin de préparer la réponse aux ‘Observations’ de Scudéry.Le manuscrit de Chapelain est conservé à la Bibliothèque nationale. Presque à chaque page, de la main du cardinal ou de celle de Clitois, son médecin, on trouve des notes marginales, des passages soulignés, des ratures qui témoignent de l’intervention passionnée de Richelieu. Si bien qu’on peut presque affirmer que le livre qui a pour titre : ‘Les Sentimens de l’Académie françoise sur la tragi-comédie du Cid’, est bien plus son œuvre que celle de la Compagnie. »Bibliothèque H. De Backer, n°852.A travers le présent ouvrage rédigé en grande partie par Valentin Conrart et Jean Chapelain, l’Académie française prend part à la vive polémique déclenchée par la parution du chef-d’œuvre de Corneille en 1637.C'est l'unique fois où l'Académie s'érige en arbitre littéraire« La préférence que le public adjugea à Corneille sur tous ses concurrents lui attira l’envie de plusieurs auteurs entre lesquels il y en eut qui écrivirent contre le "Cid". L’Académie Françoise se vit même obligée par le Cardinal de Richelieu d’examiner cette pièce, plus pour y trouver des défauts que pour en faire remarquer les beautés. C’est ce qui produisit le livre intitulé ‘Sentiments de l’Académie Françoise sur la Tragi-comédie du Cid’. Le Cardinal, malgré l’estime qu’il avait pour corneille, à qui même il donnait pension, voyait avec déplaisir tous les travaux des autres auteurs & les siens mêmes effacés par ce dernier. Ca ce Ministre se piquait d’exceller en Poësie, comme en toute autre chose. Mais on eut beau écrire et cabaler, le Cid eut toujours une approbation générale ». (Moreri, Le Grand dictionnaire historique, II, p. 379).« Corneille ayant fait représenter son ‘Cid’, il fut mis infiniment au-dessus de tous les autres… Entre ceux qui ne purent souffrir l’approbation qu’on donnait au ‘Cid’, et qui crurent qu’il ne l’avait pas méritée, M. de Scudéry parut le premier, en publiant ses ‘Observations’ contre cet ouvrage, ou pour se satisfaire lui-même, ou, comme quelques-uns disent, pour plaire au Cardinal. En de différent qui partagea toute la Cour, le Cardinal sembla pencher du côté de M. de Scudéry, et fut bien aise qu’il écrivit à l’Académie française pour s’en remettre à son jugement… Le 16 juin 1637 il fut ordonne que l’Académie examinerait le ‘Cid’ et les ‘Observations’ contre le Cid. M. Chapelain présenta le manuscrit de ses mémoires au Cardinal. J’ai vu avec beaucoup de plaisir ce manuscrit apostillé par le Cardinal en sept endroits, de la main de M. Citois, son premier Médecin. Ces apostilles témoignent qu’il était persuadé de ce qu’on reprochait à M. Corneille, que son ouvrage péchait contre les règles. Il examina cet écrit avec beaucoup de soin et d’attention. Ainsi furent mis au jour, après environ cinq mois de travail, les ‘Sentimens de l’Académie françoise sur le Cid’. Le Public reçut avec beaucoup d’approbation et d’estime ce travail de l’Académie Françoise. Ceux-là même qui n’étaient pas de son avis ne laissèrent pas de la louer : & l’envie qui attendait depuis si longtemps quelque ouvrage de cette Compagnie, pour le mettre en pièces, ne toucha point à celui-ci. Pour moi, je ne sais si les plus fameuses Académies d’Italie ont rien produit de meilleur, ou d’aussi bon, en de pareilles rencontres. Je compte en premier lieu pour beaucoup, que sans sortir des bornes de la justice, ces Messieurs pussent satisfaire un premier Ministre, tout puissant en France et leur Protecteur qui certainement était animé contre le ‘Cid’. Si ensuite vous examinez ce livre de plus près, vous y trouverez un jugement fort solide, auquel il est vraisemblable que la postérité s’arrêtera ; beaucoup de savoir, & beaucoup d’esprit, sans aucune affectation de l’un, ni de l’autre ; et depuis le commencement jusqu’à la fin une liberté, & une modération tout ensemble, qui ne se peuvent assez louer. » (Pellisson, Histoire de l’Académie françoise, 1743, pp. 110-130).« Cet ouvrage est un chef-d’œuvre en son genre. De toutes les critiques, c’est peut-être la seule bonne, et qu’on puisse lire avec fruit. L’Abbé Desfontaines a dit, que qui voudrait s’instruire, comparerait cette critique, avec l’examen qu’a fait Corneille lui-même de sa pièce. Voyez Querelles littéraires, tom. 1, article Corneille & le Cardinal de Richelieu » (note manuscrite ancienne rédigée à l’encre au verso du titre).Précieux exemplaire d’une grande pureté, particulièrement grand de marges car conservé dans son vélin souple de l’époque.‎

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Phone number : 01 42 84 16 68

EUR4,500.00 (€4,500.00 )

‎PIEYRE (Alexandre).‎

Reference : 8587

(1788)

‎L'Ecole des pères. Comédie en cinq actes, en vers, par M. Pieyre, de l'Académie royale de Nîmes ; representée pour la première fois, par les comédiens françois, le 1er juin 1787. Les Amis à l'épreuve, comédie en un acte, en vers croisés. Par M. Pieyre, de l'Académie de Nîmes representée pour la première fois par les comédiens françois, le 19 juillet 1787.‎

‎A Paris, chez Debure l'ainé, 1788. 2 pièces en 1 vol. in-8 de 123 pp. et 40 pp., maroquin rouge, dos lisse orné de 5 caissons dorés avec fleurs de lis, triple filet d'encadrement doré sur les plats, armes sur les plats, filet doré sur les coupes, dentelle intérieure, doublures et gardes de papier moiré bleu roi, tranches dorées, signet de soie vert (reliure de l'époque). ‎


‎Exemplaire de dédicace aux armes duc de Chartres, futur roi Louis-Philippe Ier.Édition originale des deux premières pièces du dramaturge Pieyre (1752-1830). La première comédie est dédiée à Monseigneur le duc de Chartres, futur roi Louis Philippe 1er, alors agé de 14 ans. La représentation au Théâtre-Français (1er juin 1787) eut un véritable succès. Louis XVI, enchanté, envoya à l'auteur une riche épée à poignée d'or aux armes de France sur la garde, avec ces mots autour de la poignée : Don du roi à M. Pieyre, auteur de l'École des Pères, février 1788, comme un témoignage de son estime. Quelque temps après, Pieyre fut attaché à l'éducation du duc de Chartres dont il fut le mentor et dont il devint l'ami ; il était aux côtés du duc de Chartres le 27 juin 1791 lorsque le prince, alors colonel du régiment de dragons en garnison à Vendôme, sauva plusieurs prêtres que le peuple voulait exécuter. Un tableau d'Horace Vernet a immortalisé la scène.Olivier-Hermal-Roton, planches 2574 et 2577. ‎

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Phone number : 33 01 46 33 57 22

EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎DOUCET, Camille ; MONVAL, Georges ; DELPIT, Albert‎

Reference : 65128

(1885)

‎[ 3 L.A.S. adressées à Mlle Simone Arnaud Delage ] Lettre autographe signée de Camille Doucet, de l'Académie Française, 1 page à en-tête de l'Institut de France sous enveloppe marquée "Académie Française", datée du 25 mai 1885 : "Mademoiselle et chère confrère, Rien de plus touchant et de plus dramatique que votre Roche "Mengan", j'en suis encore tout ému & je m'empresse de joindre mes très sincères compliments aux remerciements que je vous dois pour votre bon et gracieux souvenir" ; Lettre autographe signée de Georges Monval, Bibliothécaire Archiviste de la Comédie Française, datée du 12 février 1883, 1 page sous enveloppe : "Mademoiselle, J'ai l'honneur de vous informer que, dans sa séance du 8 février, le Comité d'Administration du Théâtre Français a pris connaissance du rapport fait par la Commission d'examen sur votre comédie : "Mademoiselle du Vigean". J'ai en même temps le plaisir de vous annoncer que le Comité, s'associant aux conclusions de ce rapport, a réservé votre ouvrage pour l'envoyer devant le Comité de Lecture" ; Lettre autographe signée de l'écrivain Albert Delpit, 4 pages sous enveloppe : "Mademoiselle, j'irai vous voir demain. [ ... ] Il est fort possible que je ne sois pas libre à 4 h ; mais plus tard. Et j'ai besoin de vous voir car j'ai des conseils importants à vous donner sur Jane Grey. Voulez-vous que nous admettions ceci ? Si vous ne receviez rien de moi, demain avant midi, c'est que j'irai rue St Pétersbourg [ ... ] ‎

‎[ 3 L.A.S. adressées à Mlle Simone Arnaud Delage ] Lettre autographe signée de Camille Doucet, de l'Académie Française, 1 page à en-tête de l'Institut de France sous enveloppe marquée "Académie Française", datée du 25 mai 1885 : "Mademoiselle et chère confrère, Rien de plus touchant et de plus dramatique que votre Roche "Mengan", j'en suis encore tout ému & je m'empresse de joindre mes très sincères compliments aux remerciements que je vous dois pour votre bon et gracieux souvenir" ; Lettre autographe signée de Georges Monval, Bibliothécaire Archiviste de la Comédie Française, datée du 12 février 1883, 1 page sous enveloppe : "Mademoiselle, J'ai l'honneur de vous informer que, dans sa séance du 8 février, le Comité d'Administration du Théâtre Français a pris connaissance du rapport fait par la Commission d'examen sur votre comédie : "Mademoiselle du Vigean". J'ai en même temps le plaisir de vous annoncer que le Comité, s'associant aux conclusions de ce rapport, a réservé votre ouvrage pour l'envoyer devant le Comité de Lecture" ; Lettre autographe signée d'Albert Delpit, 4 pages sous enveloppe : "Mademoiselle, j'irai vous voir demain. [ ... ] Il est fort possible que je ne sois pas libre à 4 h ; mais plus tard. Et j'ai besoin de vous voir car j'ai des conseils importants à vous donner sur Jane Grey. Voulez-vous que nous admettions ceci ? Si vous ne receviez rien de moi, demain avant midi, c'est que j'irai rue St Pétersbourg [ ... ] ‎


‎Ensemble de 3 lettres autographes signées adressées à la future Mme Copin-Albancelli, par Camille Doucet, Georges Monval et Albert Delpit.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR295.00 (€295.00 )

‎[De l'Imprimerie du Citoyen Cailleau, Chambeau, Brunet, Ruault, veuve Duchesne] - ‎ ‎MARSOLLIER, B.J. ; BEAUMARCHAIS, M. de ; KOTZEBUE ; LE POINTE ; BARTHE ; SEDAINE‎

Reference : 51483

(1770)

‎Adolphe et Clara ou Les deux prisonniers ; Comédie en un acte et en prose ; mêlée d'ariettes. Représente, pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre de l'Opéra-Comique national, rue Favart, le 12 pluviôse , an 7 [ Avec : ] La Folle Journée, ou Le Mariage de Figaro, Comédie en cinq Actes, en Prose, par M. de Beaumarchais. Représentée pour la première fois par les Comédiens Français ordinaires du Roi, le Mardi 27 avril 1784 [ Avec : ] L'Orphelin de la Chine, Tragédie par Mr. Arouet de Voltaire, Représentée pour la première fois à Paris, le 20 août 1755 [ Avec : ] Elina et Nathalie, ou Les Hongrois, Drame en trois actes et en prose, traduit de Kotzebue, par Le C. Pointe, Représenté, pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre de Molière, le 8 Ventôse an X, arrangé pour la scène française par les Citoyens Dé*** et A.-J. Dumaniant [ Avec : ] Les Fausses Infidélités, Comédie en un Acte et en Vers ; par M. Barthe, de l'Académie de Marseille, Représentée par les Comédiens François ordinaires du Roi, le 25 janvier 1768 [ Avec : ] Le Mai, Comédie en trois actes, mêlée de vers et de prose, d'ariettes et de vaudevilles, et terminée par un Ballet, représente pour la première fois, par les Comédiens Italiens Ordinaires du Roi, le 8 mai 1776 [ Avec : ] Aucassin et Nicolette, ou Les Moeurs du Bon Vieux Temps, Comédie, remise en trois actes et en vers, dont une partie est en musique ; représentée pour la première fois, devant Leurs Majestés, à Versailles, le 30 décembre 1779, par les Comédiens Italiens Ordinaires du Roi, & à Paris, le 3 Janvier 1780, & reprise le 7 Janvier 1782‎

‎1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-basane à petits coins marron, Adolphe et Clara ou Les deux prisonniers ; Comédie en un acte et en prose ; mêlée d'ariettes. Représente, pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre de l'Opéra-Comique national, rue Favart, le 12 pluviôse , an 7, De l'Imprimerie du Citoyen Cailleau, Paris, An Septième, 36 pp. [ Ave : ] La Folle Journée, ou Le Mariage de Figaro, Comédie en cinq Actes, en Prose, par M. de Beaumarchais. Représentée pour la première fois par les Comédiens Français ordinaires du Roi, le Mardi 27 avril 1784, Chez Ruault, Au Palais Royal, 1785, 2 ff., lvi pp., 1 f., 234 pp. [ Avec : ] L'Orphelin de la Chine, Tragédie par Mr. Arouet de Voltaire, Représentée pour la première fois à Paris, le 20 août 1755, Conforme à l'édition in-4 donnée par l'auteur, Chez Louis Chambeau, Avignon, 1770, 50 pp. [ Avec : ] Elina et Nathalie, ou Les Hongrois, Drame en trois actes et en prose, traduit de Kotzebue, par Le C. Pointe, Représenté, pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre de Molière, le 8 Ventôse an X, arrangé pour la scène française par les Citoyens Dé*** et A.-J. Dumaniant, Chez Barba, Libraire, palais du Tribunat, Paris, An X, 1802, 63 pp. [ Avec : ] Les Fausses Infidélités, Comédie en un Acte et en Vers ; par M. Barthe, de l'Académie de Marseille, Représentée par les Comédiens François ordinaires du Roi, le 25 janvier 1768, Chez Louis Chambeau, Avignon, 1769, 27 pp. [ Avec : ] Le Mai, Comédie en trois actes, mêlée de vers et de prose, d'ariettes et de vaudevilles, et terminée par un Ballet, représente pour la première fois, par les Comédiens Italiens Ordinaires du Roi, le 8 mai 1776, Chez la Veuve Duchesne, Paris, 1776, 65 pp. (au privilège : lu et approuvé par Crébillon) [ Avec : ] Aucassin et Nicolette, ou Les Moeurs du Bon Vieux Temps, Comédie, remise en trois actes et en vers, dont une partie est en musique ; représentée pour la première fois, devant Leuers Majestés, à Versailles, le 30 décembre 1779, par les Comédiens Italiens Ordinaires du Roi, & à Paris, le 3 Janvier 1780, & reprise le 7 Janvier 1782, Chez Brunet, A Paris, 1782, 46 pp. et 1 f.‎


‎Intéressant recueil rassemblant notamment une rare traduction de Kotzebue, et 6 autres pièces. Etat très satisfaisant ("La Folle Journée" est incomplète des 2 derniers feuillets, petit mq. à un mors en queue, nombreux ex-libris manuscrit Gualy de St-Rome ou Dauriac Gualy Chevalier de Saint Louis)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

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