‎Hector Malot‎
‎En famille ‎

‎illustrations de Lanos Reliure Cartonnage éditeur en percaline rouge, noir et or, dos orné, premier plat avec une grande composition polychrome, 28x20, tranches dorées, leg. usure aux coins, 512pp. Paris, Ernest Flammarion, vers 1884 Henri Lanos, né 19 août 1859 à Paris où il est mort le 6 janvier 1929, est un dessinateur, peintre, aquarelliste et illustrateur français. Il illustra de nombreux articles scientifiques et romans merveilleux-scientifiques. Il signait parfois ses dessins Nosal. Hector-Henri Malot dit Hector Malot, né le 20 mai 1830 à La Bouille et mort le 18 juillet 1907 à Fontenay-sous-Bois, est un romancier français. Malot a commencé sa carrière comme journaliste et écrivain en publiant des articles dans divers journaux et revues.‎

Reference : CZC-9784


‎Dernier roman pour la jeunesse qu’il ait fait publier du vivant de Malot, En famille est le cinquantième ouvrage d’un auteur, qui a milité pour les droits des enfants naturels et dénoncé, dans son œuvre, les conditions de travail, particulièrement celles des enfants, ou l’inégalité devant la maladie. Dans la lignée des récits d’enfants à la recherche de leurs origines, ce roman familial et social se penche également sur la question sociale qui préoccupait beaucoup d’écrivains de l’époque. Ce roman d’initiation narre le destin d’une jeune orpheline d’une douzaine d’années, Perrinec, et retrace la vie et l’évolution d’un grand complexe industriel de la fin du XIXe siècle, calqué sur les usines Saint Frères à Flixecourt dans la Somme ‎

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‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR750.00 (€750.00 )

‎[L. Péricat Imprimerie Ladevèze] - ‎ ‎Collectif , CHEVALIER ; BOSSEBOEUF ; Louis de Grandmaison ; LABBE ; E. THOUVEREZ‎

Reference : 52773

(1893)

‎[ Recueil d'articles relatifs à la Famille de Descartes ] Notice sur la famille Descartes, par M. l'abbé Lalanne [ Avec : ] Origines tourangelles de Descartes, par l'abbé C. Chevalier [ Avec : ] Notes sur la Famille Descartes, par A. Labbé [ Avec : ] Troisième Centenaire de Descartes, Société Archéologique de Touraine [ Avec : ] Nouvelles Recherches sur l'origine et le lieu de naissance de Descartes, par Louis de Grandmaison [ Avec : ] Les Ancêtres de René Descartes, par L. Bosseboeuf [ Avec : ] La Famille Descartes d'après les documents publiés par les Sociétés savantes de Poitou, de Touraine et de Bretagne, par E. Thouverez, dédicacé par l'auteur‎

‎1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-basane bleue, Notice sur la famille Descartes, par M. l'abbé Lalanne, Extrait du Bulletin de la Société des Antiquaires de l'Ouest, 1857, pp. 233-266 [ Avec : ] Origines tourangelles de Descartes, par l'abbé C. Chevalier, Imprimerie Ladevèze, Tours, 1872, 31 pp. [ Avec : ] Notes sur la Famille Descartes, par A. Labbé, dédicacé par l'auteur, Imprimerie Bichon-Jacob, Chattelerault, 1893, 25 pp. [ Avec : ] Troisième Centenaire de Descartes, Société Archéologique de Touraine, L. Péricat, Tours, s.d., 110 pp. [ Avec : ] Nouvelles Recherches sur l'origine et le lieu de naissance de Descartes, par Louis de Grandmaison, Extrait de la Bibliothèque de l'Ecole des Chartes, Paris, 1899, pp. 1-34 ; 45-68 [ Avec : ] Les Ancêtres de René Descartes, par L. Bosseboeuf, Bulletin de la Société Archéologique de Touraine (circa 1900), pp. 247-264 [ Avec : ] La Famille Descartes d'après les documents publiés par les Sociétés savantes de Poitou, de Touraine et de Bretagne, par E. Thouverez, dédicacé par l'auteur, in Sonderabdruck aus dem Archiv für Geschichte der Philosophie, 1900, pp. 505-577 et 84-110‎


‎Rare recueil composite d'articles relatifs à la famille de Descartes (dont plusieurs articles dédicacés à M. Barbier, Trésorier de la Société des Antiquaires de l'Ouest). Avec quelques pages d'archéologie de l'ouest (non décrites ici)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR450.00 (€450.00 )

‎[L'école et la Famille] - ‎ ‎L'école et la Famille (Journal) ; ROBERT, E. (dir.)‎

Reference : 40999

(1877)

‎L'école et la famille , Journal d'éducation, d'instruction et de récréation , 1ère année et 2me année [ du n° 1 du 1er janvier 1876 au n° 48 du 15 décembre 1877 , rel. en 1 vol. ] ‎

‎1 vol. in-8 rel. demi-basane rouge, L'école et la Famille, Impr. X. Levain, Lyon, 1876 et 1877, 572 pp. + 3 ff.‎


‎Etat satisfaisant (couv. frottée, bon état par ailleurs, avec intérieur frais) pour ce recueil, peu courant, des tout premiers numéros de ce journal bi-hebdomadaire. Poids de 1 Kg‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR49.00 (€49.00 )

‎[Chez E. Quentin, A la Librairie Blériot] - ‎ ‎DABOT, François, Fursy & Henri‎

Reference : 61611

(1899)

‎Registres, Lettres et Notes d'une Famille Péronnaise [ Edition originale - Livre dédicacé par l'auteur ] [Suivi de : ] Lettres d'un Lycéen et d'un Etudiant de 1847 à 1854, pour faire suite aux Registres, Lettres et Notes d'une Famille Péronnaise [ Edition originale - Livre dédicacé par l'auteur ]‎

‎2 vol. in-12 reliure pleine percaline marron, reliure signée Henry-Joseph, Chez E. Quentin, Péronne, A la Librairie Blériot, chez Henri Gautier, Paris, s.d. [ circa 1899 ], 84 pp. ; 120 pp. et 1 f. Rappel des titres : Registres, Lettres et Notes d'une Famille Péronnaise [Suivi de : ] Lettres d'un Lycéen et d'un Etudiant de 1847 à 1854, pour faire suite aux Registres, Lettres et Notes d'une Famille Péronnaise‎


‎Rare ensemble réunissant les deux ouvrages en édition originale, chacun d'eux enrichi d'un envoi signé de l'auteur : "Hommage respectueux à Mr. de Chantepie de mon petit livre de raison" et ""très respectueux de mon souvenir de Louis le Grand, à M. de Chantepie, l'un de ses plus brillants élèves". Le premier titre est enrichi d'une belle note autographe du grand bibliophile Gustave Mouravit : "Les publications de l'avocat Dabot, non mises dans le commerce et fort curieuses, sont d'une excessive rareté. Je possède, avec celui-ci, les "Lettres d'un Lycéen", qui y font suite. L'un et l'autre exemplaire portant un intéressant envoi autographe à Mr. de Chantepie". En fin du second titre, on trouvera une lettre du Directeur du "Journal de Péronne" adressée à Gustave Mouravit, évoquant ces ouvrages d'Henri Dabot ("Depuis longtemps ils sont épuisés, lui même payant 10 fr. l'exemplaire à tous les bouquinistes qui parvenaient à lui en rapporter". Bon exemplaire de ce livre de raison qui couvre la première partie du XIXe siècle, et de son complément, l'ensemble provenant de la prestigieuse bibliothèque du fameux bibliophile Gustave Mouravit (1840-1920), notaire à Aix-en-Provence (il fut le notaire de la famille de Cézanne) puis établi à Marseille, avec son charmant petit cachet d'ex-libris à l'encre violette aux initiales M. et G (à l'envers).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR495.00 (€495.00 )

‎Anonyme‎

Reference : 47564

(1909)

‎Lot de 17 vues photographiques stéréoscopiques de Blois. [15 aout 1909 ] Numéro 45 : La cour intérieure et la porte d'entrée - 46 : La cour intérieur et l'escalier - 47 : La cour intérieure et la chapelle - 48 : Vue prise de la terrasse. L'Eglise Saint Nicolas - 49 : La cour inérieure du château - 50 : L'escalier monumental dans la cour - 51 : Groupe de turistes en face de l'escalier - 52 : La vue Denis Papin pris d'en bas - 53 : La vue Denis Papin pris d'en haut - 54 : La cathédrale - 55 : Le château façade François Ier - 56 : Le château façade François Ier - 58 : Une rue dans la vieille ville - 58 [bis ] : Groupe de famille sur la terrasse du château - 59 : Ancienne maison dans une rue de la Vieille Ville - 60 : L'Eglise Saint Nicolas - 61 : Groupe de famille sur la terrasse du château ‎

‎17 vues stéréo, tirage albuminés, s.n. [ Famille Rodot ], format 15 x 7 cm, 15 août 1909. Détail : Numéro 45 : La cour intérieure et la porte d'entrée - 46 : La cour intérieur et l'escalier - 47 : La cour intérieure et la chapelle - 48 : Vue prise de la terrasse. L'Eglise Saint Nicolas - 49 : La cour inérieure du château - 50 : L'escalier monumental dans la cour - 51 : Groupe de turistes en face de l'escalier - 52 : La vue Denis Papin pris d'en bas - 53 : La vue Denis Papin pris d'en haut - 54 : La cathédrale - 55 : Le château façade François Ier - 56 : Le château façade François Ier - 58 : Une rue dans la vieille ville - 58 [bis ] : Groupe de famille sur la terrasse du château - 59 : Ancienne maison dans une rue de la Vieille Ville - 60 : L'Eglise Saint Nicolas - 61 : Groupe de famille sur la terrasse du château ‎


‎Intéressant lot de 17 vues stéréoscopiques amateur de la ville de Blois, prises le 15 août 1909. Bon ensemble. Prix du lot, non séparable.‎

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