Tome X. les chants guerriers Couronne poétique et Fac-similé d'écriture de Napoléon Bonaparte, Berthier, Brune, Davoust, Desaix, Desolle, Hoche, Kellermann, Kleber, Marmont, Masséna, Moreau, Ney, Oudinot, Soult, Suchet. volume grand in-8, 20x15, relié demi cuir, frottements, coins émoussés, bon état intérieur, 360pp Paris, Panckoucke, 1821
Reference : CZC-10432
Livres anciens & Autographes
M. Pascal Poidevin
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1 vol. in-8 reliure demi veau rouge, dos lisse orné en long, toutes tranches marbrées, C.L.F. Panckoucke, Paris, 1821, 352 pp. avec 16 fac-similés.
Cette "Couronne Poétique" concluait l'importante série des "Victoires, conquêtes, désastres, revers et guerres civiles des Français". Bon état (un bandeau de papier contrecollé sur la mention "tome dernier" porte l'inscription manuscrite "tige de Cramane", petit accroc sans manque au feuillet de titre, qq. rouss., très bon état par ailleurs) pour cet exemplaire bien relié.
1819 Paris, Panckouke, 1819 , in-folio, oblong,brochés, 1 carte + 2 ff. + planches signées Ambroise Tardieu / Ch. Normand, faibles rousseurs éparses, couvertures conservées. Route du Simplon / La révolte du Kaire / Bataille de Wagram / Passage du pont de Vienne / Bataille d' Austerlitz etc. etc. Recueil de tous les objets d'arts, arcs de triomphe, colonnes, bas-reliefs, routes, canaux, tableaux, statues, médailles, consacrés à célébrer les victoires des Français de 1792 à 1815. Cent planches en vingt-cinq livraisons. Les Monumens, arcs de triomphe, routes, canaux, sont décrits par Charles Dupin. Les tableaux, statues, médailles, par Voïard. Les combats de mer et tableaux de marine, par J.T. Parisot. Planches gravées sur cuivre au trait sous la direction d'Ambroise Tardieu (la plupart par C. Normand) d'après des tableaux de Gros, Vernet, Gérard, Girodet, etc. et des plans d'architectes comme Percier et Fontaine.D'après Barbier, le texte a été rédigé par J.-P. Voïart, qui signe d'ailleurs certaines notices.
paru par souscription,en vingt-cinq livraisons ?,rare condition avec le texte en regard,detail sur demande Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Recueil de tous les Objets d'Arts, Arcs de Triomphe, Colonnes,Bas-Reliefs, Routes, Canaux, Tableaux, Statues, Médailles, Consacrés à célébrer les Victoires des Français de 1792 à 1815. De la planche 1-Plan de la Route du Simplon, construite par les Français de 1800 à 1807 à la planche 99- Napoléon blessée devant Ratisbonne. Soit 99 planches légendées précédées d'une feuille de présentation. Paris, C.L.F. Panckoucke, Éditeur, 1822. In-folio (27x42cm) oblong, relié demi chagrin rouge par Ch. Moret, dos à faux-nerfs et titre doré et filets horizontaux dorés. Parfait état.
Bon état, sans rousseurs et reliure signée Ch. Moret
Paris, Panckoucke 1819 In-folio, oblong, , reliure amateur muette restaurée, 99 planches légendées précédées d’un ff. de présentation. Rousseurs marginales en continue, humidité marginale in fine. En l’état.
Etat correct d’occasion
Paris, Goeury, libraire des ingénieurs et de l'école royale des ponts et chaussées, 1820. In-4 broché de [4]-64 pages et une carte rempliée.
Bien complet de la "Carte de la Route du Simplon entre Brigg et Domo d'Ossola" dessinée par Nicolas Céard, lithographiée par L. Houblou. Édition originale de toute rareté.Ci-dessous la notice rédigée par Georges Savary pour l'association Patrimoine versoisien:Né le 22 janvier 1745 à St Martin d'Arconoisse, Nicolas Céard sort de l'École royale des Ponts et Chaussées en 1769. Une de ses premières missions le conduit sur le chantier de Port-Choiseul à Versoix, seul accès du royaume de France sur la rive nord du lac Léman. En 1774, il épouse une Genevoise, Françoise Massé et achète un domaine aux portes de Versoix (Montfleury). De 1784 à 1786 il est employé à la construction des ports de Cherbourg, du Havre et de Honfleur. Il est ensuite nommé ingénieur en chef de l'Ain en 1791. Maire de Versoix de 1790 à 1792. Contraint à émigrer en Suisse pendant la Terreur, il réalise les plans de nombreux ouvrages d'art sur la rive droite du Léman (port d'Ouchy, pont Saint Antoine à Vevey). De retour en France, il est nommé ingénieur en chef du nouveau département du Léman en 1798 puis inspecteur des travaux du Simplon à partir de 1800. La construction de la route du Simplon va constituer l'œuvre maîtresse de sa carrière et lui assurer la célébrité. D'abord en concurrence avec les militaires et les officiers du génie chargés des travaux sur le terrain, il devient dès 1801 seul responsable de l'ensemble du chantier conduit par une dizaine d'ingénieurs des Ponts et d'élèves ingénieurs sortis depuis peu de la toute jeune Ecole Polytechnique.Des tournées nombreuses, une activité continue, un solide réseau de relations à Paris comme à Milan, l'appui sans faille de son Directeur, Emmanuel Crétet, et la volonté forte de Bonaparte vont lui permettre d'achever la première route alpine moderne en l'espace de quatre années. Il est nommé, en 1805, inspecteur divisionnaire chargé de l'inspection de Lyon tout en conservant l'inspection du Simplon. En 1813, il est la tête de la division de Grenoble avant de prendre sa retraite en 1815. Nicolas Céard participe à de nombreux conseils d'administration des Ponts et Chaussées réunis par l'Empereur. Lors de ces conseils, comme le rapporte le Baron Fain dans ses Mémoires, il est toujours pour Napoléon " l'Homme des Alpes ". Sous la Restauration, la paternité de la route du Simplon est revendiquée par de nombreuses personnes ayant participé à sa construction, ingénieurs des Ponts, généraux, ou officiers du génie. En 1820, pour répondre à ces différentes revendications, Céard écrit ses Mémoires et observations historiques et critiques sur la route du Simplon. Les recherches historiques récentes montrent d'ailleurs le rôle capital qu'il a joué dans cette oeuvre pharaonique. Dans son "Mémoire et observations historiques et critiques sur la route du Simplon et autres objets d'art" il écrit à propos de Versoix: "De retour à Paris, j'eus ordre de me rendre à Versoix pour y prendre part au projet insensé, d'établir en ce lieu une ville de quatre-vingt mille âmes, avec une citadelle bien entendu, un port militaire, etc. etc., pour nuire aux Genevois qui ne firent qu'en rire, et avec raison ; j'étais en sous-ordre, et j'obéissais. Les plans gravés, fournis par moi, ayant été approuvés, des terrains furent concédés, pour y bâtir, à des colons qui s'y ruinèrent. Un canal d'arrosement devait être dérivé de la rivière de Versoix j'en fis le projet et le fis exécuter. C'est la seule chose utile qui ait subsisté de cette folle entreprise." (Nous lui devons aussi le pont sur le Nant-de-Braille qui est à l'origine du lieu-dit Pont-Céard).