‎Beccaria, Cesare‎
‎DES DELITS ET DES PEINES‎

‎LE MONDE/FLAMMARION.. 2010. In-8°. Broché. 184 pages‎

Reference : LITT3934M


‎Livre en excellentes conditions, intérieur frais et complet. Comme neuf.‎

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‎BECCARIA - César-Bonesana marquis de.‎

Reference : YRG-107

(1766)

‎ TRAITÉ DES DÉLITS ET DES PEINES.‎

‎Édition Originale. Petit in-12, plein cuir de l'époque, dos lisse orné, titre de tomaison marocain rouge, toutes tranches rouges, 239 pages. Petit manque sur la partie haute du dos, mors fendu sur le haut du plat avant, fendu également sur le bas du mème plat avec un manque, petite épidermique sur le plat avant ainsi qu'un tout petit manque en haut à gauche du mème plat, manque aux coins supérieurs, petite trace de mouillure sur le bas de la page de gauche. A PHILADELPHIE. Petite tâche dans la marge de la page 6, intérieur très frais. ‎


‎Beccaria Cesare Né en 1738, mort en 1794, les écrits du marquis Cesare Beccaria relèvent des incontournables du réformisme pénal des Lumières. Éduqué chez les Jésuites de Parme, docteur en droit, il fut scandalisé par le supplice de Jean Calas, dont le fils a été retrouvé mort en 1761. Il s’agissait sans doute d’un suicide, mais le parlement de la ville a aussitôt accusé Jean Calas, protestant, d’avoir tué son fils qui songeait, d’après certaines rumeurs, à devenir catholique. Après un procès empreint de fanatisme catholique, Jean Calas a été condamné à mort et assassiné sur la place publique. Par la suite, grâce à l’indignation de certains (dont Beccaria et Voltaire) face à une condamnation sans véritable preuve, le procès a été révisé et Jean Calas innocenté et réhabilité. Marqué par le libéralisme et la modération de Montesquieu (Esprit des lois, 1748) et le contractualisme de Rousseau, Beccaria critique la pratique de l’excès pénal enraciné dans l’héritage inquisitorial. Beccaria, compagnon de route des philosophes, élargit le problème de la modération pénale en prônant au nom des Lumières la suprématie de la raison, l'éducation populaire et la sécularisation des normes morales pour les droits de l'homme. Homme d'un seul livre d'importance publié pour la première fois en langue italienne à Livourne, chez Coltellini, en 1764, alors qu’il n’a que vingt-six ans, il propose un nouveau paradigme du droit de punir. Il récuse la tradition pénale romaine et prône l'abolition du gibet, réclame la décriminalisation du suicide et de l'homosexualité et propose de remplacer l'arbitraire des délits et des peines par leur légalité. Le crime est pour lui moins un péché qu'une infraction sociale, aussi la peine ne doit-elle pas être la rétribution expiatoire du péché. Déjà en 1764, il réclame sine die l'abrogation de la peine capitale qui n'a jamais « rendu les hommes meilleurs » et dont la « cruauté » est socialement nuisible dans un livre qui n’est alors pas signé, par crainte de représailles. “Si je prouve que cette peine n’est ni utile ni nécessaire, écrit Beccaria, j’aurai fait triompher la cause de l’humanité.” Le succès de l’ouvrage de Beccaria conduira des souverains éclairés, tel le grand-duc Pierre-Léopold de Toscane, à s'en inspirer lorsqu’en 1786 il supprime la peine capitale. Aux États-Unis, l'ouvrage inspire les pères fondateurs de la démocratie américaine. En France, les rédacteurs du Code pénal (1791) le suivent partiellement en abolissant les supplices, en généralisant le système carcéral comme institution démocratique de la pénalité en République, tout en maintenant la peine capitale. Adulé ou combattu, Beccaria est à l’origine du régime pénal de l'État de droit né de la Révolution qui trouve son prolongement dans l’abolition de peine capitale au sein de tous les pays de l'Union européenne et la consécration d’un droit criminel respectueux des droits de l'homme, loin des dérives sécuritaires. Dès 1766 Voltaire adhère au réformisme beccarien. Le commentaire sur le livre Des délits et des peines qu’il réalise est publié à Genève en 1767. Ce commentaire est joint à l’ouvrage de Beccaria traduit à Trois éditions de l’ouvrage de Beccaria furent épuisées en six mois. La troisième édition, parue au début de 1765 – avec l’indication du lieu d’édition fictif de Lausanne – fut traduite en français par l’abbé Morellet, sur les instances de d’Alembert, qui la lui avait remise. D’Alembert avait écrit, le 9 juillet 1765 : « Ce livre, bien que de format petit, suffit à assurer un nom immortel à son auteur. Quelle philosophie ! Quelle vérité ! Quelle logique ! Quelle précision et en même temps quelle humanité dans son œuvre ! » (cité par Paul-Emile Schazmann, « Le Traité des délits et des peines en Suisse », Revue Pénale Suisse, 1943, p. 67). « Un livre où l’on plaide la cause de l’humanité, une fois devenu public, appartient au monde et à toutes les nations », avait justement proclamé l’abbé Morellet dans sa Préface. Avant la traduction française de Morellet, une traduction polonaise (anonyme) avait paru, en 1762, et une traduction allemande, en 1765 (cf. Stefan Glaser, « Beccaria et son influence sur la réforme du droit pénal », Revue internationale de droit pénal, vol. 5, 1, 1928, p. 429). Brissot de Warville et Diderot l’annotaient, et Voltaire en donnait un Commentaire presque aussi célèbre que l’original. Le Commentaire de Voltaire est publié à la suite même du traité de Beccaria, dont il semble inséparable. C’est en se dissimulant – sous le nom de « M. Cassen, avocat au Conseil du Roi » – que Voltaire, la même année, adresse à M. le marquis de Beccaria sa Relation de la mort du chevalier de La Barre, et qu’il publia, sans nom d’auteur ni de lieu et sans date, son Commentaire sur le livre des Délits et des peines, par un Avocat de province, imprimé clandestinement par Cramer, à Genève. ‎

Phone number : 0983795509

EUR610.00 (€610.00 )

‎BECCARIA - CÉSAR-BONESANA, marquis de.‎

Reference : YRG-340

(1766)

‎TRAITÉS DES DÉLITS ET DES PEINES‎

‎In-12, plein cuir,dos a nerfs, caissons rehaussés de liserets, pièce de titre, double filets sur les plats.‎


‎Né en 1738, mort en 1794, les écrits du marquis Cesare Beccaria relèvent des incontournables du réformisme pénal des Lumières. Éduqué chez les Jésuites de Parme, docteur en droit, il fut scandalisé par le supplice de Jean Calas, dont le fils a été retrouvé mort en 1761. Il s’agissait sans doute d’un suicide, mais le parlement de la ville a aussitôt accusé Jean Calas, protestant, d’avoir tué son fils qui songeait, d’après certaines rumeurs, à devenir catholique. Après un procès empreint de fanatisme catholique, Jean Calas a été condamné à mort et assassiné sur la place publique. Par la suite, grâce à l’indignation de certains (dont Beccaria et Voltaire) face à une condamnation sans véritable preuve, le procès a été révisé et Jean Calas innocenté et réhabilité. Marqué par le libéralisme et la modération de Montesquieu (Esprit des lois, 1748) et le contractualisme de Rousseau, Beccaria critique la pratique de l’excès pénal enraciné dans l’héritage inquisitorial. Beccaria, compagnon de route des philosophes, élargit le problème de la modération pénale en prônant au nom des Lumières la suprématie de la raison, l'éducation populaire et la sécularisation des normes morales pour les droits de l'homme. Homme d'un seul livre d'importance publié pour la première fois en langue italienne à Livourne, chez Coltellini, en 1764, alors qu’il n’a que vingt-six ans, il propose un nouveau paradigme du droit de punir. Il récuse la tradition pénale romaine et prône l'abolition du gibet, réclame la décriminalisation du suicide et de l'homosexualité et propose de remplacer l'arbitraire des délits et des peines par leur légalité. Le crime est pour lui moins un péché qu'une infraction sociale, aussi la peine ne doit-elle pas être la rétribution expiatoire du péché. Déjà en 1764, il réclame sine die l'abrogation de la peine capitale qui n'a jamais « rendu les hommes meilleurs » et dont la « cruauté » est socialement nuisible dans un livre qui n’est alors pas signé, par crainte de représailles. “Si je prouve que cette peine n’est ni utile ni nécessaire, écrit Beccaria, j’aurai fait triompher la cause de l’humanité.” Le succès de l’ouvrage de Beccaria conduira des souverains éclairés, tel le grand-duc Pierre-Léopold de Toscane, à s'en inspirer lorsqu’en 1786 il supprime la peine capitale. Aux États-Unis, l'ouvrage inspire les pères fondateurs de la démocratie américaine. En France, les rédacteurs du Code pénal (1791) le suivent partiellement en abolissant les supplices, en généralisant le système carcéral comme institution démocratique de la pénalité en République, tout en maintenant la peine capitale. Adulé ou combattu, Beccaria est à l’origine du régime pénal de l'État de droit né de la Révolution qui trouve son prolongement dans l’abolition de peine capitale au sein de tous les pays de l'Union européenne et la consécration d’un droit criminel respectueux des droits de l'homme, loin des dérives sécuritaires. Dès 1766 Voltaire adhère au réformisme beccarien. Le commentaire sur le livre Des délits et des peines qu’il réalise est publié à Genève en 1767. Ce commentaire est joint à l’ouvrage de Beccaria traduit à Trois éditions de l’ouvrage de Beccaria furent épuisées en six mois. La troisième édition, parue au début de 1765 – avec l’indication du lieu d’édition fictif de Lausanne – fut traduite en français par l’abbé Morellet, sur les instances de d’Alembert, qui la lui avait remise. D’Alembert avait écrit, le 9 juillet 1765 : « Ce livre, bien que de format petit, suffit à assurer un nom immortel à son auteur. Quelle philosophie ! Quelle vérité ! Quelle logique ! Quelle précision et en même temps quelle humanité dans son œuvre ! » (cité par Paul-Emile Schazmann, « Le Traité des délits et des peines en Suisse », Revue Pénale Suisse, 1943, p. 67). « Un livre où l’on plaide la cause de l’humanité, une fois devenu public, appartient au monde et à toutes les nations », avait justement proclamé l’abbé Morellet dans sa Préface. Avant la traduction française de Morellet, une traduction polonaise (anonyme) avait paru, en 1762, et une traduction allemande, en 1765 (cf. Stefan Glaser, « Beccaria et son influence sur la réforme du droit pénal », Revue internationale de droit pénal, vol. 5, 1, 1928, p. 429). Brissot de Warville et Diderot l’annotaient, et Voltaire en donnait un Commentaire presque aussi célèbre que l’original. Le Commentaire de Voltaire est publié à la suite même du traité de Beccaria, dont il semble inséparable. C’est en se dissimulant – sous le nom de « M. Cassen, avocat au Conseil du Roi » – que Voltaire, la même année, adresse à M. le marquis de Beccaria sa Relation de la mort du chevalier de La Barre, et qu’il publia, sans nom d’auteur ni de lieu et sans date, son Commentaire sur le livre des Délits et des peines, par un Avocat de province, imprimé clandestinement par Cramer, à Genève. ‎

Phone number : 0983795509

EUR720.00 (€720.00 )

‎BECCARIA Cesare Bonesana marquis de (1738-1794). SERVAN Joseph-Michel-Antoine (Romans 1737 - Saint-Rémy de Provence 1807).-‎

Reference : ORD-15476

‎Trois ouvrages importants: 1. Traité des Délits et des Peines, traduit de l'Italien d'après la 3e Édition revue, corrigée & augmentée par l'Auteur. Avec des Additions de l'Auteur qui n'ont pas encore paru en Italie.‎

‎Nouvelle édition plus correcte que les précédentes. Philadelphie. 1766. 2. SERVAN: Discours sur l'Administration de la Justice criminelle. Genève. 1767. 3. SERVAN: Discours de Mr Servan Avocat-Général au Parlement de Grenoble, dans la Cause d'une Femme Protestante. Genève et Grenoble, chez Grabit. 1767. 3 ouvrages en 1 volume in-12 (96 x 161mm) pleine basane racinée, dos à 5 nerfs ornés, pièce de titre rouge, tranches rouges, XL, 239; 2ff., 152 et 2ff., 112 pages. Coiffe supérieure arasée, des rousseurs, cachet discret d'un précédent possesseur mais bon exemplaire de ces trois livres importants pour l'administration de la justice criminelle.‎


‎Le traité des délits et des peines apparut comme l'application de la philosophie française, du rationalisme français à la législation pénale; il invoquait contre la tradition juridique la raison et le sentiment; il traduisait éloquemment les protestations de la conscience publique contre la procédure secrète, le serment imposé aux accusés, la torture, la confiscation, les peines infamantes, l'inégalité devant le châtiment, l'atrocité des supplices; il séparait nettement la justice divine de la justice humaine, les délits des péchés, répudiait le droit à la vengeance, assignait au droit de punir l'utilité générale, déclarait la peine de mort inutile,... Larousse XIX°. Servan dans son discours sur la justice criminelle critique les abus de la justice de l'Ancien Régime et se place dans le sillage du libéralisme de Montesquieu, du contractualisme selon Rousseau et de la sécularisation des délits et des peines de Beccaria. Son discours dans la cause d'une femme protestante abandonnée par son mari à la suite de la Révocation de L'Edit de Nantes, l'a rendu célèbre. SCIENCES HUMAINES.|ESOTÉRISME._______,SCIENCES SOCIALES.,SCIENCES HUMAINES.|ESOTÉRISME._______,DROIT.JUSTICE.,SCIENCES HUMAINES.|ESOTÉRISME._______,CRIMINALITÉ.,LIVRES ANCIENS.,LIVRES DU XVIII°.‎

Phone number : 0494895924

EUR900.00 (€900.00 )

‎MERLIN DE DOUAI (Philippe-Antoine).‎

Reference : 226776

‎Rapport et projet de code des délits et des peines présentés au nom de la Commission des Onze. Séance du 10 vendémiaire, an IV [2 octobre 1795]. Imprimés par ordre de la Convention nationale‎

‎Paris, Imprimerie nationale, vendémiaire an IV (octobre 1795) in-8, 142 pp., 580 articles, dérelié. ‎


‎Edition originale de ce très important projet auquel le nom de Merlin de Douai doit autant rester attaché que son oeuvre subséquente de jurisconsulte : c'est la première mouture du Code des délits et des peines, mis en place par la Convention nationale le 3 brumaire an IV [25 octobre 1795], peu de temps après la Constitution de l'an III qui fondait le Directoire, et qui demeura en vigueur jusqu'au Code d'instruction criminelle de 1808. Avec ses 646 articles finaux, ce fut à la fois un code qui traite de l'organisation judiciaire, de la procédure criminelle et des peines. Il distingue les missions de police administrative, qui relèvent de la prévention des crimes et des délits, des missions de police judiciaire, qui relèvent de la répression de ces crimes et délits. Martin & Walter, 24038. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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EUR80.00 (€80.00 )

‎Cesare Beccaria, ‎

Reference : 014817

‎Traité des délits et des peines [.] auquel on a joint plusieurs pièces très intéressantes pour l'intelligence du texte. ‎

‎Cesare Beccaria, Traité des délits et des peines [.] auquel on a joint plusieurs pièces très intéressantes pour l'intelligence du texte. Paris, J-Fr. Bastien, 1773. In-12, [4]-XXVIII-424-[3]-[1bl]-93-[2]p. Edition originale de la traduction de Chaillou de Lisy, faite sur la sixième édition italienne, seconde édition française après la traduction d'André Morellet (1766) faite sur la troisième édition. La traduction de Morellet, bien qu'acceptée par Beccaria, avait été fortement critiquée car Morellet avait aussi fait un travail de réécriture. Chaillou a, lui, respecté l'ordre des chapitres et est donc plus fidèle. L'ouvrage est aussi enrichi du Jugement d'un célèbre professeur et d'une Réponse à un écrit intitulé notes et observations sur le livre des délits et des peines. La seconde partie est un commentaire sur le traité (93p) de Voltaire qui avait été publié anonymement en 1766. Pleine veau marbré, dos à nerfs orné, tranches marbrées. Deux coins abîmés, légers défauts, rousseurs éparses. Très bel exemplaire. ‎


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