1994 / 94 pages. Broché. Editions Bibliothèque de l'image.
Reference : ART651M
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Précieux et unique album d’aquarelles aux coloris très vifs rehaussés d’or, dédié aux professions artisanales dans l’Inde du début du XIXe siècle. Inde, début du XIXe siècle. Album in-4 composé de (2) ff. bl. et de 60 aquarelles. Petite déchirure sans gravité à 2 planches. Relié en plein maroquin brun, encadrement et décor composés de motif végétaux dans un style oriental frappés à froid sur les plats. Dos anciennement refait. Reliure de l’époque. 277 x 180 mm.
[video width="1828" height="1028" mp4="https://www.camillesourget.com/wp-content/uploads/2016/11/Album-aquarelles-Inde-MD-version-site-web.mp4"][/video] Précieux album d’aquarelles constitué au XIXe siècle par un Lieutenant Britannique en poste en Inde et représentant principalement l’ensemble des professions artisanales telles qu’elles étaient alors pratiquées en Inde. L’album compte 60 superbes aquarelles d’une grande finesse d’exécution parmi lesquelles 10 représentent des souverains Sikhs aux costumes chatoyants et aux drapés élaborés, 40 les professions artisanales telles qu’elles étaient pratiquées au XIXe siècle en Inde et 10 des vues de monuments comme le Temple d’Or d’Amritsar, la tombe de Ranjît Singh, la Mosquée Dorée de Lahore au Pakistan, le Taj Mahal à Āgrā... La suite d’aquarelles consacrée aux métiers présente: un cordonnier, un forgeron, un potier, un tisserand, un ébéniste, un dresseur de serpent, un chasseur, un teinturier, des musiciens, un barbier, un boucher, etc. Chaque artisan est représenté en plein travail, entouré de ses outils et de ses réalisations en cours. Chaque scène offre une vision détaillée et réaliste de l’atelier de l’artisan, avec les divers outils et instruments qui lui sont nécessaires dans son travail accrochés au mur, posés sur une table ou à même le sol. Les aquarelles aux coloris particulièrement vifs et chatoyants ont été subtilement rehaussées à l’or et sont délimitées par un liseré peint. Les noms des personnages, des monuments et des professions représentés sont inscrits en persan à l’encre noire sous les cadres. Un rare témoignage de l’activité artisanale dans l’Inde du début du XIXe siècle. Recueil unique composé de 60 aquarelles peintes au début du XIXe siècle, dédié aux souverains de l’empire sikh et aux professions artisanales typiques de l’Inde de cette période, d’une grande valeur artistique et du plus haut intérêt pour l’histoire de l’artisanat. Provenance : ex libris manuscrit “L.S. Parry. Found by Lieutenant C.J. Tyler, R.A., in the Bagh Palace at Lucknow after the seige. 1856” sur la garde.
Précieux et unique album d'aquarelle dans les plus fraiches couleurs, dédiés à l'artisanat et aux costumes indiens au XIXe siècle. N.p.n.d., certains feuillets indiquent 1881 et 1882.In-folio de 72 aquarelles consacrés à l'artisanat indien, 7 aux bateaux chinois sur papier de riz, 1 fiche et 1 peinture chinoise sur tissu, toutes montées sur papier coloré. Demi-basane noire, dos lisse. Reliure de l'époque. [290 x 230 mm]
Précieux recueil d'aquarelles réalisé au XIXe siècle, représentant principalement la vie quotidienne et l'artisanat indien du XIXe siècle. Ce recueil contient 72 superbes aquarelles d'une grande délicatesse d'exécution consacrées à la vie quotidienne et l'artisanat indien comme on les pratiquait au XIXe siècle. On peut y voir : un marchand de fruit, un marchant d'épices, des fermiers, un teinturier, un potier, un musicien, une procession d'éléphants, etc.Les aquarelles sont d'une couleur particulièrement vives et scintillantes. Collection unique de 72 aquarelles dédiées aux coutumes et à la vie quotidienne indienne au XIXe siècle, d'une grande valeur artistique et du plus haut intérêt pour l'histoire de l'artisanat.
Un recueil témoignant de l’imagination créative de l’artiste, inventeur de talent du néo-classicisme et dont l’influence dans l’art décoratif serait de première importance à la veille de la Révolution. 6 dessins ou aquarelles de format in-folio, sous maries-louises bleues, regroupés dans une boite-étui en demi-maroquin rouge signée Devauchelle. -Projet de fauteuil en cabriolet vu de trois quarts. Aquarelle, plume et encore noire. 245 x 320 mm. Signé en bas à gauche à la plume « J.D. Dugourc. Inv. Del. Paris », vers 1790. Fauteuil en cabriolet au dossier ovale décoré d’une lionne dans un semis de fleurs. Les accotoirs, dégagés du dossier, sont recouverts d’un motif de palmette, comme le coussin. -Projet de fauteuil de profil et de chaise de face. Plume et encre noire sur papier calque collé sur le support en deux morceaux. 197 x 330 mm. Titre « Fauteuil et chaise pour salle à manger », vers 1790. La chaise décorée d’une lionne est assortie au fauteuil et reprend les mêmes motifs. -Projet de feu à griffons. Pierre noire. Titre « Idées de Bronzes ». 190 x 255 mm. Le feu est orné de deux griffons médaillés, séparés par un autel de feu. Sur l’autel, les initiales des prénoms du Comte de Provence, à qui ces feux étaient destinés. -Projet de girandole à cinq branches. Plume et encre noire sur papier calque collé sur le support. Titre « 24, girandolle ». 225 x 145 mm. Girandole à cinq branches portées par deux grotesques dont le corps terminé en volute est posé sur un socle aux pieds en sabre. Ces figures sont reliées entre elles par des pendeloques de cristal. -Projet de lit à la duchesse. Plume et encre noire, rehaussée de lavis brun et de gouache blanche sur papier calque collé sur le support. Titre « Lit à la duchesse ». 510 x 308 mm. Couronnement décoré de plumets et de petits amours. -Projet de trône. Plume, encre noire et lavis gris. Un aigle, ailes étendues figure au-dessus de l’impériale, un brin de laurier au bec et le pied sur la foudre. Deux pans de rideaux retenus par des trophées tombent de chaque côté du trône aux piétements en forme de sabres courbes entrecroisés ; deux hérons buvant dans une coupe décorent le dossier du trône.
Recueil de dessins et aquarelles de projets de mobilier et ornements réalisés par Jean-Démosthène Dugourc, l’un des créateurs du néo-classicisme. Un document passionnant publié par M. Anatole de Montaiglon dans « Nouvelles Archives de l’Art français » (1877, p. 367 à 371) nous révèle la biographie de ce célèbre ornemaniste adulé par les Grands sous Louis XVI. « Dugourc est né à Versailles, en 1749, d'un père qui, depuis plus de vingt ans, était contrôleur ordinaire de la Maison de Mr le Duc d’Orléans, premier prince de sang, et jouissait de beaucoup d'aisance. Il montra dès son enfance des dispositions peu communes. A huit ans il dessinait d’après nature des académies; à dix ans il savoit la géométrie, l’architecture et perspective ; à douze, il commençait sa rhétorique au Collège de Jully, le plus célèbre de ceux des Oratoriens, lorsqu’il fut placé près du duc de Chartres pour partager ses études et ses récréations. Là il apprit la physique de l’abbé Nolet et de Brisson, l’histoire naturelle d’Aubenton, la langue française de Chateaubrun et Foncemagne, tous deux de l’Académie Française, l’histoire et l’éloquence du savant auteur du ‘Jeune Anacharsis’, l’abbé Barthélemy. Avec de tels secours il devint à quinze ans un homme que le Comte de Cani, nommé Ambassadeur extraordinaire à Rome, demanda à son père pour l’y accompagner ; mais à peine y étoit il arrivé que la mort de sa mère le força de retourner en France, ayant seulement entrevu cette ville fameuse et vu quelques moments le célèbre Winckelmann, dont l’enthousiasme lui inspira le goût de l’Antiquité, dont il s’est depuis occupé sans cesse. Revenu dans sa patrie, la fortune de son père s’évanouit par la perte d’un long procès, et, d’amateur qu’il étoit, Dugourc devint artiste. Alors la peinture, la sculpture et la gravure devinrent ses délices pendant quelques années jusqu’à ce que M. de Gribeauval, Inspecteur général de l’Artillerie, l’associât à ses travaux militaires dans son Gouvernement de Valenciennes, servant dans le corps Royal du Génie. Dugourc ne put suivre longtemps cette carrière ; les instances de son père le rengagèrent dans celle des arts. L’Antiquité devint alors le but de toutes ses recherches et, dans un ouvrage publié en 1779, il posa les premiers fondements de la réforme totale des costumes théâtraux. Dans le cours des neuf ou dix années qui précédèrent la Révolution, le premier il donna l’exemple d’employer les genres Arabesque et Etrusque, non seulement dans les décorations d’architecture, mais encore pour les dessins exécutés à Lyon par Pernon, ainsi que tous les bronzes et les bijoux présentés en cette Cour par feu Godon ont été inventés et dirigés par lui. Il peut même assurer que tout ce qui s’est fait à Paris de précieux et de recherché pendant cet espace de temps a été conduit par lui et soumis à son examen. Il partagea toujours avec Belanger, son beau-frère et premier architecte de M. le Comte d’Artois, les soins donnés aux bâtimens du Prince de Paris, Maisons, Saint-Germain et Bagatelle, bâtimens dont la dépense s’élevoit annuellement de trois à quatre millions de livres. Il fit de la même manière pour Laborde, banquier de la Cour, et pour Saint-James, Trésorier de la Marine, les deux plus riches particuliers de France, des maisons de plaisance et des jardins du genre Anglais d’une vaste étendue, et pour Mylord Schelburnn, l’un des membres les plus distingués du Parlement d’Angleterre, les projets d’un Muséum très magnifique. En 1780, il devint Dessinateur du Cabinet de Monsieur, frère du Roi, et dirigea les fêtes et les spectacles donnés à Brunoy pour la Reine et le Roy. En 1781, Dugourc fut chargé par S.M. le Roi de Suède de donner les dessins des décorations et des habits pour monter six opéras pour la salle nouvellement bâtie à Stockholm. En 1782, le Grand-Duc de Russie, depuis Paul Ier, étant à Paris, lui fit les propositions les plus brillantes pour l’emmener ; mais, marié depuis peu, Dugourc n’accepta point les offres de ce prince, pour lequel il fit depuis les dessins d’une grande galerie pour la Palais de Camenoïstrof, comme il fit, pour l’Impératrice Catherine II, les projets d’un palais pour le Général Lanscoy, l’un de ses confidents, dont la mort subite empêcha l’exécution. En 1783, la direction des décorations et des costumes de l’Opéra lui fut confiée. En 1784, il devint Dessinateur du Garde-meuble de la Couronne et Intendant des Bâtimens de Monsieur. Enfin, à l’époque de la Révolution, la place d’Inspecteur général des Manufactures de France lui était offerte, et il balençoit à l’accepter parcequ’il préféroit celle de Directeur particulier des Bâtimens du Roi, Jardins, Arts et Manufactures Royales, que la Reine vouloit créer en sa faveur pour soulager d’une partie du travail du Département Mr d’Angivillier, qui en étoit Ordonnateur Général ». Fondateur du néo-classicisme par ses références constantes à l’Antiquité, Dugourc allait insuffler des idées novatrices aux décorateurs, étendre son champ d’investigation à des domaines très divers en faisant aussi bien des suggestions aux bronziers (son projet de feu à griffons) qu’en proposant des modèles aux ébénistes (ses projets de chaise, fauteuil, lit, trône...) et en créant lui-même des motifs de décoration pure. Son projet de fauteuil illustre le génie de Dugourc qui mêlait ainsi intimement références antiques dans les lignes ou les motifs, aux sujets très nouveaux à thème de feuillage ou animalier puisés dans la nature. Un recueil témoignant de l’imagination créative de l’artiste, inventeur de talent du néo-classicisme et dont l’influence dans l’art décoratif serait de première importance à la veille de la Révolution.
1945 Milano: Enrico Damiani Editore, 1945. In-4 relié: 19 x 27 cm, 215-[3] pp., 10 pl. lith. Poésies de Verlaine choisies par Enrico Emanuelli et illustrées par Filippo de Pisis de dix aquarelles originales reproduites hors-texte en lithographie couleurs. Edition tirée à 642 exemplaires. Celui-ci, un des 600 exemplaires du tirage courant (no. 408). Reliure signée Roger Hirsig en plein chagrin rouge. Dos à cinq nerfs bordés de filets dorés. Pièce de titre et pièce de tomaison de chagrin bleu sombre. Entre-nerfs ornés d'un trèfle doré. Filet doré en encadrement des plats, trèfles dorés aux angles. Doublures et gardes de papier marbré. Couverture illustrée d'origine conservée. Etui assorti bordé de chagrin rouge. Bords de l'étui frottés. Bel exemplaire.
Choix de Poèmes de Paul Verlaine extraits des recueils: Premiers Vers, Poèmes Saturniens, Fêtes Galantes, La Bonne Chanson, Romances sans paroles, Sagesse, Jadis et naguère, Amour, Parallèlement, Bonheur, Chansons pour Elle, Liturgies intimes, Odes en son honneur, Élégies, Dans les Limbes, et Poèmes Divers. Filippo de Pisis (1896-1956), peintre et poète italien, issu la de la famille des marquis Tibertelli, composa ces aquarelles pour Verlaine alors qu'il vivait à Venise où il séjourna jusqu'en 1949. On dit qu'il y menait une vie dispendieuse et qu'il voulait retrouver l'art de Guardi.
P., Les Éditions Nationales, 1934-1936. 10 vol. grand in-8° carré, pleine peau "maroquinée" rouge d'éditeur, dos à 5 nerfs, titres dorés, têtes dorées, tranchefiles, signets, non rognés, gardes suédées, 1ère de couv. et dos conservés.
Œuvres Illustrées de Octave Mirbeau, tiré à 3875 ex., 1 des 500 pur chiffon de Bruges, celui-ci n°33. Quelques transparences de tâches sur les plats, légers frottements sur 7 nerfs, sinon très bel exemplaire.