‎(LAMARTINE). DE PIERRECLAU (Léon).‎
‎Né à Cormatin. 1813-1841. Fils naturel de Alphonse de Lamartine et de Nina Dézoteux (père putatif Guillaume de Pierreclau). 7 L.A.S. « Léon Pierreclau » à « Falconnet » [Ernest Falconnet]. S.l., 20 janvier 1837, 15 février 1837, 17 février 1837, 4 s.d. 5 pages in-8 et 1/2 page in-4. Suscription et cachets postaux.‎

‎ Ces lettres sinscrivent dans une correspondance entre Léon de Pierreclau et Ernest Falconnet, elles font plusieurs fois référence à Alphonse de Lamartine et Louis-Aimé Martin. Il sagit essentiellement dinvitations et de rendez-vous :…M. delamartine ma chargé de vous dire, que vous aviez du le trouver bien impoli la derniere fois que vous êtes venu chez lui, il ma chargé de vous en faire ses excuses ; ce nest que quand vous avez été parti quil (sic) sest rappelé votre nom, et les beaux vers que vous lui aviez adressés. Il sera bien aise de vous voir souvent… … M. Aimé Martin, mon cher Falconnet me prie de vous faire savoir que votre lecture de mardi est remise a jeudy. Jen suis charmé pour mon Compte puisque le changement me permettra dy assister… Léon de Pierreclau est né de lunion sans amour de Lamartine et de Nina Dézoteux, son père putatif Guillaume de Pierreclau resta un ami proche de Lamartine. À sa mort, Lamartine décida de prendre en charge léducation de Léon quil affectionnait beaucoup, ce dernier effectua alors des études de droit. Il épousa en 1838 à Mâcon Alix de Glans de Cessiat, mais mourut à lâge de 28 ans seulement de consomption. Louis-Aimé Martin (1782-1891), surnommé « Aimé Martin » dans la correspondance, était un littérateur français qui abandonna ses études de droit pour se concentrer sur la littérature. À sa mort, Lamartine dit sur ce dernier : « Toute la vie dAimé Martin (sic) se raconte en un mot : il fut un homme de lettres dans lantique et grande signification de ce mot ; cest-à-dire quaprès avoir jeté un regard sur toutes les occupations, sur toutes les ambitions, sur toutes les gloires qui soffrent à lhomme de talent à son entrée dans la vie, il nen trouva quune digne de lui. Cultiver sa pensée, perfectionner son intelligence, … ». Ernest Falconnet (1815-1891), le destinataire de ces sept lettres, était un magistrat, avocat général à Lyon et un hélléniste français. Il publia un livre sur Lamartine en 1840.‎

Reference : 5054


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