‎LEBRUN (Pierre-Antoine).‎
‎Ensemble de 7 lettres autographes signées.‎

‎ 8 pages in-8 et in-4.Pierre-Antoine Lebrun (1785-1873), poète dont la première oeuvre, Ode à la Grande Armée, lui valut une pension de Napoléon. Il donna le meilleur de lui au théâtre avec Pallas (1806), Ulysse (1814) et surtout avec Marie Stuart (1820) et Le Cid d'Andalousie (1825). Il fut nommé à l'Académie française en 1828. Ensemble de 7 lettres autographes signées à la plume, dont 3 sur papier à en-tête de la direction de l'Imprimerie royale au ministère de la Justice.‎

Reference : 27213


‎‎

€200.00 (€200.00 )
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‎DEGAINE (Edouard) peintre français, considéré comme l’un des précurseurs de la rénovation de la tapisserie (1887-1967) ‎

Reference : 40C40

‎Le conservateur Bruno Ythier, précédemment, conservateur de la Cité internationale de la tapisserie d'Aubusson, l’avait remarqué pour sa technique et dont le modernisme de ses tapisseries et de ses cartons, l’avait particulièrement intéressé. Ensemble de 16 lettres autographes signées des « Degaine », au libraire et éditeur Georges Courville, libraire actif à Angers. 6 lettres ou cartes autographes signées du peintre Edouard Degaine, 3 lettres autographes signées de son épouse Marguerite Degaine et 7 lettres autographes signées de leur fille « Riquette ». Paris et Vallière, principalement de 1938 à 1947. Plusieurs enveloppes conservées avec affranchissements. ‎

‎Belle correspondance amicale et professionnelle. Plusieurs lettres font état de rencontres et invitations partagées avec l’éditeur. L’une d’elle, a été particulièrement appréciée par les Degaine revenant de Bretagne, où leur séjour a été magnifique, « magnifique à tous points de vue et je pense que nous aurons plaisir a en parler ensemble car c’est bien souvent que les "Courville" étaient évoqués… Nous devions vous envoyer une ou plusieurs cartes les trois hommes Zunz (Robert, banquier et mécène), Briant (Théophile, son galeriste pendant plusieurs années) et moi, mais en mer, il n’y a pas encore de boite aux lettres et sur terre il faut rouler ! ». 1947. Il lui avoue qu’il prend conscience de son « affreuse déficience amicale ? C’est un peu comme si elle se matérialisait, je la palpe, je la considère et écœuré, je la rejette à l’écart ». Il continue à travailler dans « son coin » et ne vois pour ainsi dire personne. « Lors de mon séjour à Paris, en 45 mon ami Briant….m’informait que Robert Rey (l’historien d’art et conservateur de musée), qui fréquentait dans les temps anciens sa galerie et aimait ma peinture, venant d’être nommé, directeur des Arts Plastiques à l’Education nationale, Briant l’avertissait de ma présence à Paris et lui parlait de mes portes laquées ; a la suite de ça, Rey venait me voir et se déclarait fort intéressé, il me donne la certitude d’importantes commandes. En attendant le Mobilier national me commande un petit paravent et c’est ce dernier que j’ai livré il y a une quinzaine. Il fut fort bien accueilli par M. Fontaine administrateur du Mobilier National qui me dit qu’il irait sans doute à l’Elysée ou à Rambouillet ; Mme Auriol et sa belle fille étant deux femmes de goût…». Il est très sensible de la bonne volonté de son ami éditeur au sujet d’illustrations possibles, « mais il faut que cette sorte de travail, être en contact avec éditeur, imprimeur et collaborer et s’entendre sur la conception que l’on a de l’illustration ; pour ma part je ne la conçois que comme une sorte d’accompagnement plastique très loin du descriptif… ». Il a vu également à Paris, le relieur Bernasconi et l’interrogea pour une éventuelle collaboration concernant « La Mort de Venise ». Il lui demande des nouvelles de Zunz, car sa mère l’avait poussé à solliciter « Bernasconi à faire quelque chose ». Très certainement, il pourrait participer à la création de « très intéressantes reliures, mais il faut-il encore trouver de nouveaux amateurs dans le genre de Robert Zunz… ». Marguerite, son épouse, très attachée à son mari et à ses filles conseille, aux Courville, en septembre 1939, de ne pas « s’exposer à Paris ni de remonter le courant. Quels remous ! ». Elle l évoque à l’épouse du libraire, leurs difficultés du quotidien et précise que son mari n’a pas travaillé du tout dehors. « Il dit que cette période est révolue et que le calme de l’atelier lui est nécessaire – Il a peint qqs natures mortes et fait 2 têtes de laque. Il se plait beaucoup ici (à Vallière), loin des ascenseurs, chauffage central, concierge etc… Zunz lui avait demandé en effet d’illustrer un manuscrit de G. Marcel, il ne se sentait pas au moment même dans l’atmosphère souhaitable, mais ça peut venir, l’inspiration étant une grande fantasque… ». Quant à Riquette qui entretient avec la jeune « Luce » des Courville, une correspondance soutenue, on constate qu’une réelle amitié est installée entre les deux jeunes filles et un échange constructif concernant leur scolarité y est présent. Une de ces lettres est terminée par quelques lignes autographes du peintre, en signe d’amitié.‎


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EUR850.00 (€850.00 )

‎FISCHER, Max et Alex‎

Reference : 64006

(1920)

‎Ensemble de 7 lettres autographes signées, d'une lettre tapuscrite signée et d'une carte de visite avec quelques lignes autographes signées [ adressées à Fernand Hauser dont : ] "Cher Monsieur Hauser, Je tremble encore à l'idée qu'après avoir interrogé trois groupes de frères qui n'ont rien de commun avec Etéocle ni avec Polynice, vous auriez pu me poser, devant mon frère, une question analogue sur un divorce possible. Aussi, tandis que mon frère s'occupe à lire votre intéressant article de la "Presse" sur "l'Accord Fraternel", je prends bien vivement cette feuille de papier blanc qui traîne sur la table, et je vous écris en cachette, pour vous affirmer que nous continuons toujours à nous entendre, comme si le lieu de notre naissance était Bangkok (Siam)" [signé Max Fischer, et l'on peut lire, écrit de la même main, le même texte en regard, signé d'Alex Fischer ! ] ; [On joint : ] Quelques coupures de presse relatives à Max et Alex Fischer et une carte postale représentant les frères Fischer‎

‎Ensemble de 7 lettres autographes signées, d'une lettre tapuscrite signée et d'une carte de visite avec quelques lignes autographes signées, au total 10 pages, rédigées entre 1910 et 1925 [ adressées à Fernand Hauser dont : ] "Cher Monsieur Hauser, Je tremble encore à l'idée qu'après avoir interrogé trois groupes de frères qui n'ont rien de commun avec Etéocle ni avec Polynice, vous auriez pu me poser, devant mon frère, une question analogue sur un divorce possible. Aussi, tandis que mon frère s'occupe à lire votre intéressant article de la "Presse" sur "l'Accord Fraternel", je prends bien vivement cette feuille de papier blanc qui traîne sur la table, et je vous écris en cachette, pour vous affirmer que nous continuons toujours à nous entendre, comme si le lieu de notre naissance était Bangkok (Siam)" [signé Max Fischer, et l'on peut lire, écrit de la même main, le même texte en regard, signé d'Alex Fischer ! ] ; [On joint : ] Quelques coupures de presse relatives à Max et Alex Fischer et une carte postale représentant les frères Fischer‎


‎Bel ensemble de courriers adressés à l'écrivain Fernand Hauser par le duo d'écrivain comique d'origine suisse Max Fischer (1880-1957) et Alex Fischer (1881-1935), qui furent notamment directeurs littéraires aux Editions Flammarion à partir de 1904. Plusieurs courriers jouent avec humour sur cette relation fraternelle peu commune en littérature.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

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‎VIVIEN Renée‎

Reference : 78940

(1905)

‎Le feu et la glace. Ensemble de deux lettres autographes signées "Paule" et "Pauline" adressée à Natalie Clifford Barney : "Lorely - Undine - Viviane - reçois mon coeur entre tes mains étranges - et si douces !"‎

‎s.l. [Londres] s.d. [25 juillet 1905], 12,4x16,7cm, 4 pages sur un double feuillet et 2 pages 1/2 sur un double feuillet.‎


‎Deux lettres autographes signées "Paule" et "Pauline" adressées à Natalie Clifford Barney et rédigées à l'encre noire sur un double feuillet à en-tête à violette argentée et à l'adresse du 3 rue Jean-Baptiste Dumas. Sur la lettre signée "Pauline", l'adresse de l'en-tête est barrée d'un trait de plume.Pliure transversale inhérente à l'envoi. Habile contrepoint amoureux de la virtuose Renée Vivien qui, tour à tour Paule et Pauline, orchestre ses relations sentimentales avant sa fuite vers Lesbos. Après deux ans d'une rupture rocambolesque durant laquelle Natalie Clifford Barney tenta de reconquérir la Muse aux violettes, cette dernière retomba finalement dans ses bras. La première lettre, signée «Paule» est d'une grande sensualité : "J'ai pensé à toi si profondément et avec tant de douceur, depuis ton départ! Et je te revois, dans ta robe frémissante d'opales, féérique et prestigieuse... Et le sortilège d'hier a retrouvé sur moi sa puissance éternelle... Il est maintenant trois heures du matin et je ne dors point et je pense à toi, intensément... et je songe avec amertume qu'un soir lorsque tu étais auprès de moi, une stupide fatigue m'a sottement traversée... Tandis que cette nuit où je suis seule, je ne puis dormir."On découvre au détour d'une phrase que cette missive, écrite à la hâte, est absolument confidentielle: «Ne sois pas surprise, jolie, de recevoir ces jours-ci une lettre glaciale te disant que je vais en Hollande avec mon amie et je ne sais qui encore. Mon amie a exigé que je t'écrive cette lettre, elle est très inquiète, très nerveuse, à ton sujet. Je t'en prie, ne m'en veux pas lorsque tu recevras cette lettre, j'ai dû l'écrire pour tranquilliser et rassurer mon amie. Encore une fois, pardonne-moi!» L'«amie» en question n'est autre que la baronne Hélène de Zuylen, avec qui Renée entretient une relation stable depuis sa rupture avec l'Amazone en 1901. La «Brioche», comme la surnommeNatalie, qui tente par tous les moyens de préserver Renée des tourments de son cur, lui demande même d'écrire «une lettre glaciale» à sa rivale.Ce faux courrier, d'un ton très éloigné du premier, semble avoir été écrit directement sous sa dictée: «Après ton départ j'ai beaucoup réfléchi à tout ce qui vient de se passer, et je ne puis que te répéter que ce que je t'ai déjà dit : il m'est impossible de te revoir, sous n'importe quelles conditions. Le trouble nerveux dont je souffre maintenant et dont toi seule est la cause exige la plus grande tranquillité dans l'intérêt de ma santé, et je te prie de t'abstenir, dans le futur, de tout essai de rapprochement, qui, je te le préviens d'avance, sera absolument inutile. Tu verras, par cette lettre, que je suis en Hollande, auprès de mon amie, comme je te l'avais annoncé. Nous sortons ensemble, parmi les calmes paysages, un repos charmant. Adieu, Natalie, et souviens-toi que tu as été la cause unique de tout ce qui est arrivé. Pauline» Mais une troisième égérie occupe toutes les pensées de Renée: la jeune ottomane Kérimé Turkhan-Pacha avec laquelle elle entretient une correspondance ardente et suivie depuis une année. Quelques jours plus tard, elle quittera la France avec Natalie pour Mytilène (Lesbos) et profitera de l'occasion pour s'échapper et enfin rencontrer pour la toute première fois sa sultane du Bosphore. Très beau témoignage de l'ubiquité amoureuse de Renée Vivien. C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette,Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographiqueUne Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorablement. Je n'essayai point de la fuir, car j'aurais échappé plus aisément à la mort.» «Hiver 1899-1900. Débuts de l'idylle. Un soir, Vivien est invitée par sa nouvelle amie dans l'atelier de Mme Barney [mère de Natalie], 153 avenue Victor-Hugo, à l'angle de la rue de Longchamp. Natalie s'enhardit à lire des vers de sa composition. Comme Vivien lui dit aimer ces vers, elle lui répond qu'il vaut mieux aimer le poète. Réponse bien digne de l'Amazone.» (J.-P. Goujon,Tes blessures sont plus douces que leurs caresses) Suivront deux années d'un bonheur inégal, rythmées par les infidélités récurrentes de Natalie et la jalousie maladive de Renée dont les lettres oscillent entre déclarations enflammées et douloureuxmea culpa. «Renée Vivien, c'est la fille de Sappho et de Baudelaire, c'est la fleur du mal 1900 avec des fièvres, des envols brisés, des voluptés tristes.» (Jean Chalon,Portrait d'une séductrice) En 1901 survint une importante rupture qui durera presque deux années; Renée, malgré les sollicitations de Natalie et les intermédiaires qu'elle lui envoie pour la reconquérir, résiste. «Les deux amies se revirent, et se fut, en août 1905, le pèlerinage à Lesbos, qui constitua une déception pour Natalie Barney et demeura sans lendemain. [...] Le ressort était définitivement brisé. Les deux anciennes amies cessèrent de se voir dès 1907, et Vivien mourut sans qu'elles se soient revues. » (J.-P. Goujon,Ibid.) Précieuses et très rares lettres de Sapho 1900 à l'Amazone. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR4,500.00 (€4,500.00 )

‎COMEDIE-FRANCAISE‎

Reference : 4341

‎Ensemble de 8 Lettres Autographes Signées de Pensionnaires ou Sociétaires de la Comédie-Française.Ensemble de 8 Lettres Autographes Signées de Pensionnaires ou Sociétaires de la Comédie-Française.‎

‎ - ESCANDE (Maurice). 1892-1973. S.l.n.d. 1/2 p. in-4. Alors administrateur de la Comédie-Française, il répond à un questionnaire sur la gastronomie ...Mais je vais vous faire un aveu : jaime encore mieux le déguster chez « Lapérouse » car là je suis certain de sa perfection... - SEGOND-WEBER (Eugénie Caroline). 1867-1945. L.A.S. « Second-Weber » à « Monsieur le Recteur ». [Paris], 21 juin 1920. 1 p. in-4, papier de deuil à son adresse. Elle sollicite ...quelques minutes daudience (...), après avoir été la Roxane de Racine, je prends le train pour porter Agrippine aux Arênes de Nîmes...- BERTIN (Pierre). 1891-1984. Carte-lettre S. « Pierre Bertin » à « Cher Monsieur Brousse ». [Paris], 23 février [1929]. 1 p. in-12, au nom de la Comédie-Française. Timbre et cachet postal. ...Seriez-vous libre pour venir à Lille jouer Félix avec Madeleine Renaud et Baumer le samedi 9 mars... - DUPONT (Louise-Charlotte-Valentine Rougeault, dite). 2 L.A.S. « C. Dupont », soubrette de la Comédie-Française, dont 1 à M. Arago. [Paris, 1er avril 1836] et S.l.n.d. 2 pp. in-8 au total : ...il y a 2 Rôles à approfondir le reste sera joué pour les pensionnaires dont jai mis les noms... - Mon dieu que les amoureux sont oublieux ! Cen est donc fait. Pas un seul souvenir pour une ancienne amie ? Cest mal, cest très mal. Cependant elle a quelque chose à vous dire (...). Et puis elle a aussi à vous demander deux places pour voir les Bardeurs, les lui apporterez-vous...- LAMBERT (Albert). 1865-1941. L.A.S. « Albert Lambert » à Albert Carré. Paris, 31 décembre 1913. 2 pp. in-12. Papier de deuil. Albert Carré vient dêtre nommé administrateur de la Comédie-Française. Lambert lui souhaite la bienvenue, en même temps que ses vœux pour la nouvelle année. Il ajoute : ...Je tiens à vous remercier vivement de lempressement que vous avez mis à obtenir de Henri Lavedan ce que je vous demandais... hier. Je suis très heureux davoir à interpréter ce très beau rôle de « lAbbé Daniel »... Albert LAMBERT fut sociétaire de la Comédie-Française de 1891 à 1935. Henri LAVEDAN (1859-1940) était un journaliste et dramaturge français. Il fut élu à lAcadémie française en 1898- MOUNET-SULLY (Jean-Sully Mounet, dit). 1841-1916. L.A.S. « Mounet-Sully » à « Mon cher Maître » [A. Thomas]. S.l.n.d. 1 page in-8 : …Jaccepte avec grand plaisir lhonneur que vous voulez bien me faire, en minvitant à assister aux Concours de Tragédie et Comédie dans la loge du Jury…- VENTURA (Marie). 1888-1954. L.A.S. « Marie Ventura » à « Monsieur ». S.l.n.d. 2 pp. in-4 oblong. Lettre enjouée relative au succès que lactrice rencontra au théâtre dans la pièce dAlfred de Vigny « Chatterton » et dans laquelle elle incarne le personnage de Kitty Bell : ...jai été infiniment touchée par ladorable trouvaille de me faire décerner des éloges par Alfred de Vigny (...). Hé, je réalise ce que Vigny et vous avez dit ? Je le voulais mais nose le croire. Quoi quil en soit votre article de ce matin ma fait un bien grand plaisir et je vous en remercie... - MONVAL (Georges Hippolyte Mondain, dit). 1845-1910. Archiviste de la Comédie-Française. L.A.S. « H. Monval » à Monsieur Juncker. Paris, 11 janvier 1888. 2 pp. 1/2 in-8. En-tête imprimé de la Comédie-Française : la lettre de lactrice Mlle Bourgoin en sa possession est …certainement antérieure à 1822 et probablement même à 1817, car le rôle de Rosalie était, entre ces deux dates, joué par Mlle Devin. Le destinataire est certainement Alexandre Pieyre, auteur de LEcole des Pères, comédie en 5 actes, en vers, représentée pour la première fois à la Comédie Française le 1er juin 1787 et restée longtemps au répertoire, dont elle a disparu depuis la Restauration (...). Quand à Mlle Volnais (...), elle fut une sociétaire en 1802 et épousa un Mr Roustan...Georges MONVAL fut archiviste à la Comédie-Française pendant plus de vingt ans et, en 1879, il fonda une revue consacrée à MOLIÈRE. En 1891, il fit la découverte dun manuscrit autographe original du Neveu de Rameau de Denis DIDEROT. ‎


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‎JOUBIN (André) archéologue et conservateur de musée français. Il fut entre autre conservateur du musée Fabre de Montpellier de 1915 à 1920 (1868-1944) ‎

Reference : 53C40

‎Ensemble de 3 lettres autographes signées adressées au libraire éditeur Georges Courville, actif à Angers. Eynesse (en Gironde), le 5, 9 et 26 juillet 1935. 5 pp.et demi petit in-4. André Joubin se consacra à la publication et à l’étude des œuvres de Delacroix, ainsi qu’à sa correspondance. Le recueil de ces lettres fut donné par Soulier fils, à Philippe Burty qui l’utilisa dans la correspondance de Delacroix. Ce recueil fut légué ensuite par Burty à Maurice Tourneux. En 1935, les héritiers le cédèrent à la bibliothèque d’art et d’archéologie.‎

‎Très belles et intéressantes lettres relatives à cette correspondance dont le libraire Courville, participa passionnément et généreusement comme le témoigne cet échange avec le conservateur. 5 juillet. Il le remercie d’être intervenu rapidement concernant sa dernière interrogation. « …c’est bien là le recueil de copies des lettres de Delacroix à Soulier [Charles Louis Raymond Soulier, 1792-1866], que j’essayais de contacter depuis 5 ans et il arrive 4 ans après le dépôt de mon manuscrit chez Plon. Mais sans votre conseil, j’avais averti l’éditeur que je pourrai être amené à modifier le style de lettres à Soulier. Si vous voulez bien m’envoyer à mes frais bien entendu, ce manuscrit……je vous en serai bien obligé. Je le collationnerai aussi rapidement que possible et je vous dirai tout de suite s’il y a pour la bibliothèque intérêt à l’acquérir, s’il a été publié tel quel par Burty, [Philippe Burty, critique d’art et collectionneur, 1830-1890] cela n’a plus aucune importance ». Il l’invite à remercier pour lui les héritiers et de leur préciser qu’il se conformera à leurs désirs. « Pour les lettres régionales, dont vous me parlez, c’est une autre histoire. Pouvez-vous me dire à qui elles sont adressées ? Ne serait-ce point les originaux des lettres de Soulier. En principe, j’en serais acquéreur pour la Bibl. [othèque], ainsi que du reliquaire, si le prix en est abordable. ». 9 juillet. A la réception de l’envoi du libraire, il ne trouve rien d’inédit. « Mais Burty, comme d’habitude, a coupé les passages qui ne lui paraissaient pas intéressant, et en éditeur scrupuleux je me vois obligé de las rétablir. Je me fais envoyer par Plon, les parties de mon manuscrit qu’il faut revoir et compléter. Ce sera je pense l’affaire d’une quinzaine. La seconde partie de mon manuscrit -1837-1863) est resté à Paris ; je verrai comment procéder… ». 26 juillet. Il lui adresse un règlement de 350 frs. pour l’achat du recueil de lettres de Delacroix à son ami Raymond Soulier et le remercie de prendre à cœur les intérêts de la bibliothèque. « Ce ne sont que des copies, il est vrai, en parties publiées ; mais elles l’ont été si mal par Burty qu’il est toujours bon d’en conserver dans notre Bibl. une copie intégrale. Ces lettres ont été copiées par Soulier lui-même dans sa vieillesse ; elles sont numérotées par lui de 1 à 72. Toutefois il manque un certain nombre de lettres, soit ou elles ont été supprimées par Soulier lui-même ; comme trop intimes, soit qu’elles avaient été égarées par Burty ou Tourneux [Maurice Tourneux, archiviste et bibliographe français, 1849-1917] Si par hasard, les orignaux ont été conservés par les héritiers Tourneux, on pourra sans doute éclaircir la question. La chose est fort possible car notez que la pièce II du Reliquaire est justement une lettre de Delacroix à Soulier et j’ai toujours conservé le souvenir d’une fiche (dans le fameux fichier que vous n’avez pas vu) portant mention de 92 lettres autographes de Delacroix à Soulier. Pour le Reliquaire, je suis en principe acquéreur pour la bibliothèque, dans la mesure où le prix sera abordable. ». ‎


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