Bibliothèque-Charpentier, 1893, reliure cuir souple avec première de couverture conservée.
Reference : ZNF-30
Roman paru en 1893.
Bouquinerie Kontrapas
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Galerie Maeght - Editions Pierre à Feu Paris 1982 Numéro 250 de 1982, de cette revue in-folio ( 380 X 280 mm ), édité en août 1982 en hommage, suite à leurs décès, à Marguerite et Aimé MAEGHT. 116 pages reliées. 25 lithographies originales de Steinberg, Chagall, Mirò, Palazuelo, van Velde, Rebeyrolle, Tàpies, Tal Coat, Alechinsky, Ubac, Bury, Klapheck, Titus-Carmel, Monory, Adami, Arakawa, Riopelle, Takis, Gardy-Artigas, Fiedler, Chillida, Kelly, Bazaine, Garache. Tirage original. Tous les précédents numéros de DLM y sont décrits. Edition originale et premier tirage. Très bel exemplaire.
Henri Durville Paris S.D. In-8 ( 185 X 120 mm ) de 64 pages, broché sous couverture imprimée. Petites étiquettes contrecollées. Bon exemplaire.
Éditions Rencontre, Lausanne, 1962. In-12 à l'italienne (13,5 x 20 cm). 13 volumes (collection complète).Cartonnages d’éditeur, couvertures photo. Collection composée de : J’aime la danse (Jeanloup Sieff). J’aime la corrida (Yvan Delain). J’aime le cirque (Robert Gnant). J’aime le théâtre (Sabine Weiss). J’aime le cinéma 1 et 2 (archives et Magnum). J’aime la télévision (Frank Horvat). J’aime le mime (Monique Jacot). J’aime le dessin animé (archives). J’aime le strip-tease (Frank Horvat). J’aime le music-hall (Yvan Delain). J’aime l’opéra (Kurt Blum). J’aime les marionnettes (Jean Mohr). E.O.
Éditions Sun à Paris. 11 volumes in-4, reliés, sous jaquettes.
Exemplaires en assez bon état. Quelques marques d'usages. Quelques rousseurs sur les parties supérieurs. intérieurs frais et agréable. Possibilité d'acheter séparément
, , 1848-1870. Ensemble 12 lettres manuscrites in-8 de une ou plusieurs pages.
Aimé Sureau (1809-1872) incarne une figure emblématique des luttes politiques et ouvrières de la première moitié du XIXe siècle. Condamné sous la Monarchie de Juillet à trois ans de prison pour délit politique, il s'inscrit parmi les acteurs radicaux qui, avant et après la Révolution de Février 1848, ont milité pour une plus grande intégration des classes populaires dans les structures institutionnelles, notamment au sein de la Garde nationale.Le contexte des événements d’avril 1848. Le 26 avril 1848, sur la place publique de Saint-Ouen, Aimé Sureau prend la parole pour réclamer l’incorporation et l’armement des ouvriers dans la Garde nationale. Le lendemain, il est accusé d'avoir sonné le ralliement et promis des armes aux insurgés. Lui-même et son ami Durand-Neveu affirment qu’il tenta, au contraire, de désamorcer la confrontation. Cependant, les soupçons qui pèsent sur lui conduisent à sa fuite dès le soir du 28 avril.Condamnation et exil. La répression qui suit les événements de 1848 se montre implacable envers Aimé Sureau. Le 7 décembre 1848, la Cour d’assises de Caen le condamne aux travaux forcés à perpétuité. Cette sentence semble davantage motivée par son passé politique sous la Monarchie de Juillet et son rôle de président du club de Saint-André après la Révolution de Février que par son implication réelle dans les événements d’avril. Le 17 avril 1849, cette condamnation est commuée en une déportation en Algérie, marquant une étape supplémentaire dans la répression des militants révolutionnaires.Un témoignage épistolaire exceptionnel. Les archives liées à Aimé Sureau offrent un éclairage rare sur son engagement et sa trajectoire personnelle. Parmi les documents conservés figurent :Trois lettres autographes datées de Bicêtre (6 septembre et 27 octobre 1848) et d’Alençon (13 mars 1850).Trois lettres de Nougaret (datées des 19 septembre, 14 septembre, et 15 septembre 1870), toutes adressées à un certain Dalleine, tailleur.Un billet signé conjointement par Dalleine et Sureau.Une copie manuscrite de coupures de presse.Une lettre de son frère, Félix Sureau, adressée à son avocat.Deux billets d’Henry Cellier destinés à Sureau, ainsi qu’un billet anonyme débutant par ses mots « si tu as besoin de témoins…»