Write to the booksellers
NAUDE Gabriel,
Apologie pour les grands hommes soupçonnez de magie.
Amsterdam, Pierre Humbert, 1712. In-8°, [18]-470 pp., sans le frontispice (couv. brunie et doublée, petit trou de vers en marge de queue, qqs rouss. ou rares mouill. Marg.). Rel. de l'ép. : plein veau, dos fleuronné doré à nerfs, tranches rouge (rel. solide mais frottée et lég. us. avec petits manques aux coiffes). Exemplaire agréable néanmoins.
Reference : 10455
Dernière édition où l'on a ajouté quelques remarques. # Coumont p. 368 N5.7 ; Guaïta 755-1648 ; Yve-Plessis 1647 ; Caillet III-7923 ; Dorbon 3227 "Il est vraisemblable que l'auteur des remarques est le spirituel libraire hollandais Jean Frédéric Bernard, à qui l'on doit l'"Éloge de l'Enfer". Le frontispice bien conservé est gravé par Lamsfeld. L'auteur cherche à réhabiliter ces grands écrivains, philosophes et savants qui se sont intéressés à l'occultisme, aux sciences astrologiques, mathématiques dont Zoroastre, Orphée, Pythagore, Numa Pompilius, Démocrite, Empédocles, Apollonius, Socrate, Aristote, Plotin, Porphyre, Jamblique, Geber, Artephius, Raymond Lulle, Arnaud de Villeneuve, Paracelse, Agrippa, Nostradamus, Saint Thomas d"Aquin, Bacon, Trithème etc.
Bookseller's contact details
ARCA Librairie
Antoine de Lophem
Rue du Lambais 70
B-1390 Grez-Doiceau
Belgium
00 32 (0)479 474 542
Payment mode
Sale conditions
Selon la déontologie propre à tout libraire.
1 book(s) with the same title
Apologie pour les grands hommes soupçonnez de magie.
A Amsterdam, chez Jean Frédéric Bernard (1 bl), frontispice par Lamsveld, (9) (préface et table des chapitres), 470 pp., (2bl). In-8 en plein veau moucheté, dos à 5 nerfs orné de fleurons, pièce de titre, exemplaire aux armes du Comte Le Blanc de la Combe (frappées postérieurement), chiffres frappés aux angles.
Dernière édition augmentée de ce texte défendant les esprits éclairés accusés de sorcellerie depuis les origines. Gabriel Naudé (1600-1653), bibliothécaire érudit, s’employa à rendre ce courageux hommage à tous les novateurs confrontés à la tyrannie de l'obscurantisme : chapitre V, « Que les Mathématiques ont faict soupçonner de Magie plusieurs de ceux qui les ont pratiquées. »
