‎BERNARD (Claude) :‎
‎La science expérimentale. ‎

‎Paris, Librairie J.-B. Baillière et fils, 1878. In-18 [NOTE 1], 448pp. [dont faux-titre et titre] -(4) ff. [table/extrait du catalogue de l’éditeur],demi-chagrin brun foncé, dos à nerfs surlignés et encadrés à froid, titre doré (reliure de l’époque ; dos uniformément passé ; tache brune en marge supérieure (pp.353/354, s’atténuant sur les feuillets adjacents) ; assez bel exemplaire). Deuxième édition de ces textes publiéss peu après le décès de l’auteur (10 février 1878) ; elle est quasiment identique à l’originale, seulement augmentée de huit pages, in fine, du « Discours d’ouverture de la séance publique annuelle des cinq Académies » (composant l’Institut de France), prononcé par Claude Bernard, le 14 août 1869. « Avec figures intercalées dans le texte », au nombre de vingt-quatre [NOTE 2]. ‎

Reference : MED026

‎ Menu (affiché sur le titre) : « Progrès des sciences physiologiques - Problèmes de la physiologie générale - La vie, les théories anciennes et la science moderne - La chaleur animale - La sensibilité - Le curare - Le coeur - Le cerveau ». En dessert, « Discours de réception à l'Académie française », prononcé le 27 mai 1869 ». Ne figurent pas au Menu, les deux Entrées, les discours prononcés aux obsèques de Claude Bernard, par MM. Dumas, Vice-Président du Conseil supérieur de l’Instruction publique, et Paul BERT, le 12 février 1878 (pp. 5-35). [NOTE 1] et non pas in-12, comme fréquemment annoncé. [NOTE 2] parfois, dans l’originale, on ne trouve que vingt-trois figures : la dernière a disparu ( ???) : un malheureux Columba livia domestica ( « pigeon après l’ablation des lobes cérébraux : l’animal perd immédiatement l’usage de ses sens et la faculté de chercher sa nourriture ». Mais, si on le nourrit de force, « il peut survivre » et, « peu à peu, le cerveau se régénère » (pp.398-399). ‎