Gallimard, 2004, "in-8 br. (14 x 20), 1428 p., coll. ""Quarto"", édition publiée sous la direction d'Eliane Bouvier avec la collaboration de Pierre Starobinski, préface de Christine Jordis,252 illustrations, bon état".
Reference : QWA-14814
À quel envoûtement obéit un jeune Suisse bien né, sur le berceau duquel les fées se sont penchées, pour "prendre la route" à 24 ans, ses diplômes en poche, en Fiat Topolino, mais sans un sou vaillant et pour un aller simple ? Il est décidé à en découdre. Avec lui-même, avec la vie et avec l'écriture. De la Yougoslavie au Japon, c'est dur, mais c'est cette dureté qu'il recherche : la descente en soi qui peut être illumination ou descente aux enfers, l'intensité de l'instant et l'ennui qu'il faut meubler avec des riens. Le pittoresque, l'observation ne sont que des supports à la quête de soi et à la douleur de l'écriture, mais ils nous valent des portraits truculents, des récits merveilleux car ce conteur est un enchanteur. Il fait son miel avec les surprises de la route qui ne sont pas ce que l'on croit. Ainsi ce corps encombrant qui réclame chaque jour sa pitance et que frappe un cortège de malarias, de jaunisses à répétitions, sans parler des dents qui prennent la poudre d'escampette. On s'en va "pour que la route vous plume, vous rince, vous essore, vous rende comme ces serviettes élimées par les lessives qu'on vous tend avec un éclat de savon dans les bordels... Sans ce détachement et cette transparence, comment espérer faire voir ce qu'on a vu ?". Mission accomplie. Nicolas Bouvier a payé sa livre de chair et bien au-delà, et son écriture de l'extrême exigence, de l'économie du mot, fait de nous des visionnaires par procuration auxquels il arrache "des râles de plaisir".
Librairie de la Garenne
M Christian Boyer
01 42 70 11 98
Vente par correspondance uniquement. Conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne. Les prix indiqués sont nets. Les frais de port sont en sus. Les livres peuvent être commandés ou réservés par téléphone, courrier ou courriel. Paiement par chèque ou virement
Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade", 1986. In-12 relié (17,5 x 11 cm), reliure éditeur plein cuir vert, dos lisse orné de filets dorés sous jaquette blanche imprimée, rhodoïd et étui gris de l'éditeur, 2112 pages. - Édition de Marius-François Guyard. Ce volume contient : Méditations poétiques - La Mort de Socrate - Nouvelles Méditations poétiques - Le Dernier Chant du pèlerinage d'Harold - Chant du Sacre ou La Veille des armes - Épîtres - Harmonies poétiques et religieuses. Des «Harmonies» à «Jocelyn» : Fragments des «Visions» - Odes politiques - Poèmes recueillis dans l'édition des «uvres» de 1832 - Poèmes recueillis dans l'édition des «uvres complètes» de 1834 - Voyage en Orient. Jocelyn. De «Jocelyn» à «La Chute d'un ange» : La Chute d'un ange - Recueillements poétiques. Des «Recueillements» à l'édition des souscripteurs : Poèmes ajoutés aux «Recueillements» (1840) - Pièces nouvelles de l'édition des «uvres complètes» (1843) - Les Confidences. Édition des souscripteurs : Pièces ajoutées aux «Méditations poétiques» - Méditations poétiques inédites - Pièces ajoutées aux «Harmonies» - Pièces ajoutées aux «Recueillements» - Poésies diverses. Toussaint Louverture - Les Visions - Poèmes du «Cours familier de littérature» - Saül. uvres posthumes : Pièces datées - Pièces non datées. Complet en un volume. Très bon état.
Paris, éd. Seuil, 1995, in-8, cartonnage souple, couv. photo en noir éditeur, 562 pp., nb. photos en noir, notes, bibliographie, index,table des matières, "Le livre est chronologique, commençant par des événements épars dans la décennie précédant la Seconde Guerre mondiale. À cette époque, les nazis utilisaient leur influence et leur argent pour acquérir des œuvres d'art, tandis que les marchands et le grand public anticipaient la guerre. La discussion de l'occupation nazie commence dans le troisième chapitre. Le milieu du livre traite du pillage nazi pendant la guerre, ainsi que des efforts des Soviétiques pour sauvegarder leurs trésors. Au milieu du livre, le rôle des organisations américaines et alliées est présenté, y compris la planification provisoire frustrante et le manque de ressources auxquels elles ont été confrontées. Le livre suit le chemin de la libération, les Alliés repoussant l'Axe, tandis que les œuvres d'art disparues sont recherchées et celles qui ont été récupérées conservées. Le livre se termine par des chapitres consacrés aux activités d'après-guerre : résolution des problèmes de propriété, coordination du retour des œuvres d'art volées et tentative de collecte de ce qui manque encore. La question de savoir à qui appartiennent les œuvres d'art en fin de compte est intrigante sur le plan philosophique. Comme cette dernière phase de récupération et de restitution est en cours, ce livre a une incidence sur les activités actuelles". RARE Très bon état
À Berlin 1789 CCV + 287 pages in8. 1789. Broché. CCV + 287 pages. Œuvres posthumes du roi de Prusse servant de supplément aux différentes éditions des œuvres de ce Monarque envoyées en 1737 à Voltaire par le prince Royal de Prusse depuis le Roi Frédéric II
tranche fanée frottés couverture d'attente dos abîmé intérieur propre dans l'ensemble quelques tâches et rousseurs
L’une des plus élégantes éditions collectives des œuvres d’Alfred de Musset éditée par A. Lemerre en 1876-1877. 1876-1877.11 volumes in-12 de : I/ (1) f.bl., (2) ff., 1 frontispice, 404 pp., 4 gravures hors texte, (1) f., (1) f.bl.; II/ (1) f.bl., (2) ff., 1 portrait en double état, 335 pp., (1) p., (1) f.bl., 5 gravures hors texte ; III/ (1) f.bl., (2) ff., 1 portrait en double état, 453 pp., (3) pp., (1) f.bl., 6 gravures hors texte ; IV/ (1) f.bl., (2) ff., 405 pp., (3) pp., (1) f.bl., 3 gravures hors texte ; V/ (1) f.bl., (2) ff., 413 pp., (3) pp., (2) ff. bl., 6 gravures hors texte ; VI/ (1) f.bl., (2) ff., 1 portrait en double état, 391 pp., (5) pp., (1) f.bl., 3 gravures hors texte ; VII/ (1) f.bl., (2) ff., 390 pp., (2) ff., (1) f.bl., 5 gravures hors texte ; VIII/ (1) f.bl., (2) ff., 351 pp., (5) pp., (1) f.bl., 6 gravures hors texte ; IX/ (1) f.bl., (2) ff., 436 pp., (1) f., (1) f.bl. ; X/ (1) f.bl., (2) ff., 1 portrait en double état, 275 pp., (2) pp., (1) f.bl., 3 gravures hors texte ; XI/ (1) f.bl., (2) ff., 1 portrait en double état, 361 pp., (4) pp., (1) f.bl.Plein maroquin havane, triple filet doré encadrant les plats, dos à nerfs richement ornés, coupes décorées, roulette intérieure, tranches dorées. Reliure de l’époque signée de Pagnant.160 x 87 mm.
1°) Œuvres de Alfred de Musset.- Poésies. 1828-1833. Contes d’Espagne et d’Italie. – Poésies diverses. – Spectacle dans un fauteuil. Namouna. Ibid., id., (Impr. J. Claye), MDCCCLXXVI (1876), petit in-12.2°) Œuvres… Poésies, 1833-1852. - Rolla. - Les Nuits. - Poésies nouvelles- Contes en vers . Ibid., id., MDCCCLXXVI (1876), petit in-12.3°) Œuvres… Comédies et proverbes. - La Nuit vénitienne. - André del Sarto. - Les Caprices de Marianne. - Fantasio. - On ne badine pas avec l'amour. - Barberine. Ibid., id., MDCCCLXXVI (1876), pet. in-12. 4°) Œuvres... Comédies et proverbes. - Lorenzaccio. - Le Chandelier. - Il ne faut jurer de rien. Ibid., id., MDCCCLXXVI (1876), pet. in-12.5°) Œuvres... Comédies et proverbes. - Un Caprice. - Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée. - Louison. - On ne saurait penser à tout. - Carmosine. - Bettine. Ibid., id., MDCCCLXXVI (1876), pet. in-12. 6°) Œuvres... La Confession d'un enfant du siècle. Ibid., id., MDCCCLXXVI (1876), pet. in-12. 7°) Œuvres ..... Nouvel1es. – Les deux Maîtresses. - Emmeline. - Le fils du Titien. - Frédéric et Bernerette. - Croisilles. – Margot. Ibid., id., MDCCCLXXII (1876), pet. in-12.8°) Œuvres ..... Contes et Nouvelles. - Croisilles. - Le Merle blanc. - Pierre et Camille. – Le secret de Javotte. - Mimi Pinson. – La Mouche. Ibid., id., MDCCCLXXVI (1876), petit in-12. 9°) Œuvres ..... Mélanges de littérature et de critique. - Le Tableau d'église. - Revue fantastique. - L'Art moderne. - Salon de 1836. - Lettres de Dupuis et Cotonet. - Faire sans dire. - De la tragédie. – Mlle Pauline Garcia. —Discours de réception à l'Académie française. Ibid., id., MDCCCLXXVI (1876), pet. in-12. 10°) Œuvres ..... Œuvres posthumes. - Poésies diverses. - Un souper chez Mlle Rachel. - Faustine, - L'Ane et le Ruisseau. - Lettres. Ibid., id., MDCCCLXXVI (1876), Pet. in-12.Cette édition est complète en 10 volumes ; on y joint généralement un onzième volume, la Biographie de Alfred de Musset, par son frère Paul de Musset.160 x 87 mm.L’une des plus élégantes éditions collectives des œuvres d’Alfred de Musset éditée par A. Lemerre en 1876-1877.Précieux exemplaire du tirage de luxe imprimé sur papier de Chine portant le numéro 62 sur un tirage de 110.Il a été tiré 42 eaux-fortes, dessinées par Henri Pille et gravées par Monziès, pour illustrer cette édition. L’exemplaire est enrichi de plusieurs portraits tirés sur Chine en double état avant lettre, en noir et sanguine.Alfred de Musset a laissé une œuvre considérable ; l'étonnant dans son cas est que le meilleur et le plus profond de cette œuvre a été écrit entre dix-neuf et vingt-huit ans. On ne peut que s'étonner de la précocité non seulement de son talent de poète, mais surtout de sa connaissance de l’homme. Relativement rédigé dans sa grande période de création, il pourra cependant voir naître sa gloire, surtout à partir de 1850. Il reste par son éloquence, sa chaleur, sa sensibilité, celui de nos poètes romantiques qui parle le plus directement au cœur, un des plus modernes, malgré l'imperfection de la forme, par le drame moral et intellectuel qu'il a vécu ; son théâtre, longtemps méconnu, a trouvé au XXè siècle une audience considérable et presque unique. En particulier, au cours des années 1920-1935, aucun auteur français n'a eu autant de représentations d'œuvres différentes. Ce succès tient à ce fait que, débarrassé des contraintes matérielles de la représentation, Musset a pu devancer son temps et donner en toute liberté à son œuvre dramatique la fantaisie, la profondeur ou la justesse d’observation que demande le public moderne. (Philippe Van Tieghem)Précieux et superbe exemplaire appartenant au tirage de luxe imprimé sur Chine revêtu d’élégantes reliures en maroquin havane de l’époque.
Cette précieuse édition des œuvres du «poète maudit» n’est recensée qu’à 4 autres exemplaires. A Paris, Iouxte la Copie imprimée à Rouen, chez Jean de la Mare, 1627. - Suivi de: Œuvres du Sieur Theophile. Seconde partie. 1628. - Suivi de: Recueil de toutes les pièces que le Sieur Théophile a mises en lumiere pendant sa prison, iusques à present. Avec quelques autres Œuvres à luy envoyees par ses Amis. Troisieme partie. 1628. - Suivi de: Apologie de Theophile au Roy. Soit 4 parties en 1 volume in-8 de (8) ff., 336 pp., 160 pp., (1) f. de titre, pp. 163 à 285, 69 pp. Plein vélin souple, dos lisse, restes de liens. Reliure de l’époque. 165 x 103 mm.
Rarissime édition collective en partie originale des Œuvres de Théophile de Viau (1590-1626) réunissant les trois parties qui avaient été publiées séparément, savoir, la première partie, Paris, J. Quesnel, 1621, in-8; la seconde, Paris, Quesnel et Billaine, 1623; la troisième en 1624, le volume s’achève sur une partie séparée de 69 pp.: «L’Apologie de Theophile au Roy». Notre édition est si rare qu’elle est demeurée inconnue de la plupart des bibliographes. Tchémerzine cite une autre édition de 1627 d’après le catalogue solar, et G. Saba, Théophile de Viau, 2007, n°50, ne recense que 4 autres exemplaires: Arsenal, Orléans, Yale et Toronto. La première édition collective des Œuvres de Théophile de Viau fut imprimée à Paris, chez Billaine, l’année précédente, en 1626. Elle est bien sûr introuvable et Tchemerzine ne la connaît pas. «Elle est de toute rareté; le père Niceron semble l’avoir vue, mais l’abbé Goujet n’a connu que celle de 1627 et une de 1643 qu’il appelle la Seconde, et enfin une in-12 de 1662. Lachèvre dont la documentation est immense dit ne pas l’avoir vue. Nous ne la connaissons pas.» (Tchemerzine, V, p. 860). Selon l’abbé Goujet (Tome XIV, p. 496), la première édition collective serait identique à la nôtre, imprimée à Rouen, chez Jean de la Mare, en 1627. Elle est si rare que Tchemerzine mentionne «nous ne la connaissons pas». En fait les éditions collectives de 1626-1627 sont tellement rares – Théophile, mort en 1626, venait de vivre un terrible procès et ses œuvres étaient condamnées et brûlées – qu’elles sont aujourd’hui ou inconnues – cas de celle présentée ici – ou répertoriées à quelques rares exemplaires dans le monde. Le seul autre exemplaire imprimé à Paris en 1627 cité par Tchemerzine (V, p. 863): «l’édition de Paris, 1627, est citée au catalogue Solar, n°1311» est en fait une autre édition composée différemment qui se termine par la Tragédie de Pasiphae. La première édition collective à pagination continue ne sera publiée que deux ans plus tard, en 1629, chez le même imprimeur. A Paris, Iouxte la Copie imprimée à Rouen, chez Jean de la Mare, aux degrez du Palais, 1629. La place de Théophile est essentielle dans la littérature française. Selon Ant. Adam, il a «renouvelé la poésie française», il est «le premier en date de nos grands prosateurs classiques». Vivant dans le milieu libertin, il s’est heurté aux Jésuites qui ont déployé tous leurs efforts pour le faire condamner. Sa paraphrase du Phedon sous le titre de «Traicté de l’immortalité de l’âme», l’a fait classer parmi les suiveurs de Giordano Bruno et de Vanini et la hardiesse de ses vers licencieux ont noirci le tableau qu’ils ont fait de lui. «Il ne connut les flammes que sous la forme d’un homme de paille vêtu d’un pourpoint de satin, il fut néanmoins condamné, et ses amis reçurent la double leçon, de son péril d’abord, et de son angoisse…». (R. Pintard). Théophile de Viau est mort à 36 ans, plus usé, écrit Henri Mondor, par les persécuteurs que par son libertinage. Assuré par contre, aux dires des meilleurs esprits de son temps, de l’immortalité littéraire… (il) a été un des grands poètes lyriques français. La brève beauté des femmes, leur souriante trahison, leur vieillesse décrépite… l’ont particulièrement inspiré… les grâces de son ton naturel annonçaient La Fontaine; sa bravoure et sa liberté avaient continué Villon. Mallarmé… accordait, à Théophile de Viau, une place si importante qu’elle se trouve honorer l’un et l’autre. Un premier exil avait mené le poète aux Pays-Bas, avec Guez de Balzac. Selon Henri Mondor, une brouille, peut-être par quelques points comparable à celle de Verlaine et de Rimbaud, les sépara. Rentré en France, pensionné par Louis XIII, Théophile de Viau devait de nouveau fuir en Angleterre où le duc de Buckingham l’accueillait; revenu en 1621, il abjurait le protestantisme et se mêlait aux poètes des cabarets de l’île Saint Louis; accusé d’être l’auteur de poèmes scandaleux, il fut arrêté et incarcéré dans le propre cachot de Ravaillac. Au terme d’un long procès, il bénéficia de la protection du roi et ne fut exécuté qu’en effigie. Maintes fois rééditées, ses «œuvres poétiques» connaîtront au XVIIe siècle un succès tel que la gloire de Malherbe même en pâlira. Symbole d’un temps mal assuré, fort de ses hésitations, qui prépare l’avènement de l’ordre classique, mais n’y a encore rien sacrifié, l’art de Théophile a les vertus et les limites de sa préciosité. «L’univers borne ses horizons, consent à plus de «matin» ou de «Solitude». L’auteur de l’«Elégie à une dame» manque de peu le secret de Jean de la Fontaine; celui d’une paresse qui est disponibilité, d’une flânerie qui est docilité aux dieux. Il arrive aussi qu’un songe, un pressentiment fissurent telle ode, en lézardant le surnaturel de convention. Le meilleur Théophile est-il dans la prose dépouillée des lettres, de l’«Apologie au roi», de la nouvelle latine «Larissa», des «Fragments d’une histoire comique», ou bien dans le lyrisme flamboyant de ses tragédies, «Pasiphaé», «Pyrame» et «Thisbé»? Plus musical que Racan, plus robuste que Tristan, l’oiseau Théophile traverse plus heureusement les siècles qu’il n’a fait son temps.» Antoine Duminaret. Sa Poésie enchantera Mallarmé. Renouvelant profondément la poésie baroque par le naturel de son lyrisme et la vivacité de son imagination le poète substitue à l’inspiration religieuse l’exaltation de la nature en témoignant d’un naturalisme épicurien de tendance nettement matérialiste. «Je veux faire des vers qui ne soient pas contraints, Promener mon esprit par de petits desseins, Chercher des lieux secrets où rien ne me déplaise, Méditer à loisir, rêver tout à mon aise,…». Avec une sensibilité très affirmée Théophile chante la solitude, la passion amoureuse et la Beauté de la nature: … « la charrue écorche la plaine; Le bouvier, qui suit les sillons, Presse de voix et d’aiguillons Le couple de bœufs qui l’entraîne… Une confuse violence Trouble le calme de la nuit Et la lumière, avec le bruit, Dissipe l’ombre et le silence…» Les œuvres complètes de Théophile de Viau imprimées avant 1630 reliées en vélin de l’époque sont de la plus insigne rareté. Superbe exemplaire de cette précieuse édition collective en partie originale, conservé dans son vélin souple de l’époque.