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CHARDONNE Jacques
l’Epithalame
Deux volumes in 12 brochés,267 et 363 pages.Edition Originale sur papier d’édition.Envoi manuscrit autographe de l’auteur P.V Stock éditeur 1921
Reference : 634
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Epithalame sur le mariage de tresillustre prince Philibert Emanuel, duc de Savoye, et de tresillustre princesse Marguerite de France, sœur unique du Roy, et duchesse de Berry.
Paris : Fédéric Morel, 1559 In-8, (14) feuillets. Exemplaire établi dans un vélin ancien.
Première édition. Les poètes de la Renaissance tentèrent de revivifier la forme première de l'épithalame, chant choral en l'honneur des nouveaux époux remontant à l'antiquité grecque, qui prit alors une dimension officielle. Mais tandis que Ronsard et Belleau privilégient l'exploitation des motifs hérités du genre antique, Du Bellay, comme Dorat, rend compte des enjeux politiques des mariages princiers. Dans cet épithalame, il rappelle, par la bouche de Mercure, que l'alliance entre Emmanuel-Philibert de Savoie et de Marguerite de France, sœur de Henri II et protectrice du poète, est l'instrument de la paix entre la France et l'Espagne. Elle constitue en effet l'une des clauses du traité du Cateau-Cambrésis signé entre les deux puissances en avril 1559. Le mariage eut lieu le 9 juillet 1559, hâté par Henri II qui, blessé lors du tournoi organisé à l'occasion du mariage de sa fille Elisabeth avec Philippe II d'Espagne, mourut le lendemain. L'épithalame de Du Bellay aurait dû être représenté, lors du banquet nuptial, par un chœur de "trois vierges natives de Paris" du nom de Camille, Lucrèce et Diane, filles de Jean de Morel, "instituées es langues Grecques, & Latines, & en toutes sortes de bonnes lettres" ("Au lecteur", p. 2). Henri II agonisant, le festin fut annulé et cette saynète jouée en famille, au logis de Morel. J. P. Barbier, Bibliothèque poétique, La Pléiade, n° 22 ; N. Ducimetière, Mignonne, Allons voir…, n° 92 ; Tchemerzine III, 66.
Advertissement venu de Rheims du sacre, couronnement et mariage de Henry III , très chestien roy de France & de Pologne. Avec un épithalame.
Paris, Denis Du Pré, 1575.
Seule édition. L'avertissement n'occupe que les premières pages 3 à 5. Le reste du volume est occupé par l' "Epithalame sur le mariage du Roy & de tres-noble & tres-excellente princesse Loyse de Lorraine", une pièce en vers signée "F.R. Parisien", qui est attribué à Nicolas Du Mont. Nicolas Du Mont, de Saumur, "homme très savant et fort ami des savants", correcteur de la Bibliothèque de La Croix du Maine, et sans doute des livres de Bernard de Palissy. L'épithalame est une pièce en vers composée à l'occasion d'un mariage. Buchanan, Ronsard, Malherbe et Scarron se sont illustrés dans ce genre. L'exemplaire a été lavé. Picot, Catalogue des livres Rothschild, 2192. /// In-12 de 31 pp. Demi-chagrin marron. (Reliure moderne.) //// /// PLUS DE PHOTOS SUR WWW.LATUDE.NET
EPITHALAME en l'hommeur des époux LOUIS Wetterwald et Marie Fleck.
Colmar, Imprimerie J. B. Jung & cie , 1885; in-8, 7 pp., broché. Dont le mariage célébré a Turckheim, le 1er septembre 1885 a été béni par M. l'Abbé Xavier Wetterwald frère du marie.
Dont le mariage célébré a Turckheim, le 1er septembre 1885 a été béni par M. l'Abbé Xavier Wetterwald frère du marie.
"la revue de France n°9 du 15 Juillet 1921 - 1re année - Sommaire: l'épithalame (1re partie) par J. Chardonne, lettre inédite à Castelar par Gambetta L., scènes de la ""chanson de Roland"" par J. Bédier, poésie par P. Valéry etc..."
La Renaissance du Livre. non daté. In-8. Broché. Etat passable, Tâchée, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 448+16 pages - quelques illustrations en noir et blanc dans le texte - lettrines et bandeaux en noir et blanc dans le texte - papier jauni - dos fendu. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
"Sommaire: l'épithalame (1re partie) par J. Chardonne, lettre inédite à Castelar par Gambetta L., scènes de la ""chanson de Roland"" par J. Bédier, poésie par P. Valéry etc... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"
Lettre autographe signée d'Octave Mirbeau adressée à Alfred Natanson : "je voudrais pouvoir chanter en votre honneur un bel épithalame. Le malheur est que je ne suis pas poète."
Nice, Villa Ibrahim, chemin des Baumettes 8 Février 1901, 12,5x17,6 cm, une feuille.
Amicale lettre autographe signée d'Octave Mirbeau, adressée au dramaturge et fondateur de la Revue Blanche, Alfred Natanson, quelques temps après son mariage.12 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, papier de deuil à encadrement noir, filigrané "JDL & cie", enveloppe jointe. "Je vous envoie, à votre femme et à vous, tous nos vux affectueux, et je voudrais pouvoir chanter en votre honneur un bel épithalame. Le malheur est que je ne suis pas poète. Mais nous somme vos amis et nous vous embrassons de tout notre cur. Nous avions espéré que vous viendriez passer quelques jours à Cannes et nous nous faisions une fête de vous avoir ici. Misia nous dit que vous avez renoncé à ce voyage. Comme c'est ennuyeux ! [...]". Mirbeau a été particulièrement proche du groupe de la Revue Blanche, depuis le lancement de celle-ci à Paris en 1891. Mais c'est depuis l'affaire Dreyfus que s'est renforcée son amitié intime et durable avec les frères Natanson, Thadée, Alexandre et Alfred. Après des divergences de vue esthétiques sur l'Art Nouveau et les Nabis, Mirbeau retrouve finalement Thadée autour de 1900, dans une inclination désormais commune pour les jeunes peintres Nabis de la Revue Blanche, Bonnard, Vallotton et Vuillard. La Revue Blanche a joué un rôle essentiel en France, c'est ce que confirme l'historien Paul-Henri Bourrelier : "La plupart des écrivains, peintres, musiciens, hommes politiques, intellectuels les plus marquants de la fin duXIXeet du début duXXesiècle y ont collaboré ou l'ont côtoyée. Créée, financée et dirigée par les trois frères Natanson, jeunes Juifs polonais, avec la complicité enthousiaste de leurs condisciples du lycée Condorcet,La Revue blanchedevient vite un lieu de débat sur tous les sujets qui agitent la France. Elle mène des combats politiques sous l'impulsion d'anarchistescomme Fénéon, Mirbeau; de socialistes, tels Blum, G. Moch, Péguy; de dreyfusards et de fondateurs de la Ligue des droits de l'homme, comme Reinach et Pressensé." - Photos sur www.Edition-originale.com -
