‎DIMEY Bernard ‎
‎"Aussi français que vous" ‎

‎in 12 broché,couverture illustrée en couleurs,faux-titre, titre;210 pages,Calmann-Lévy éditeur 1965 édition originale service Presse (SP) Hommage manuscrit de l’auteur sur la page de faux-titre. Petites rousseurs dans les marges(qualité du papier?) paroliers dont"Syracuse" interprété par Jean SABLON et Henri SALVADOR."Mémère" interprété par Michel SIMON ‎

Reference : 2593


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Charbonnel
M. Sylvain Charbonnel
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55000 Bar le Duc
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‎Dimey Bernard‎

Reference : 300010590

(1965)

‎Aussi Français que vous (Collection Labiche)‎

‎Calmann-Lévy 1965 213 pages 1965. 213 pages.‎


Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR15.00 (€15.00 )

‎D'AVIAU DU BOIS DE SANZAY, Mgr. Charles-François‎

Reference : 49555

(1805)

‎Diocèse de Bordeaux. Lettre de M. l'Archevêque à MM. les Curés et Desservans du Diocèse. [ 25 Novembre 1805 ] "Monsieur le Vice-Préfet de la Gironde a désiré que je vous engageasse, Messieurs, à initer fortement les conscrits de vos paroisses à se rendre sans délais où ils sont appelés. Outre les motifs d'honneur auxquels les coeurs Français sont naturellement si sensibles, ils ont à considérer tant la condamnation personnelle et sévère dont se voient menacés les contrevenants, que les autres peines qui ne manqueroient pas de retomber sur leurs familles. J'ai déjà observé, Messieurs, vous entretenant une autre fois sur ce sujet, combien il convenoit à notre ministère de porter ceux que le Gouvernement convoque pour être enrôlés dans sa milice, et en même temps aussi les parens, à relever leurs sentimens, leurs démarches et leurs sacrifices, par les vues non moins consolantes que sublimes de la Religion".‎

‎1 brochure in-4, Bordeaux, le 23 Novembre 1805 (2 Frimaire An XIV), 1 f.‎


‎Bon exemplaire. Document du plus grand intérêt : "Monsieur le Vice-Préfet de la Gironde a désiré que je vous engageasse, Messieurs, à initer fortement les conscrits de vos paroisses à se rendre sans délais où ils sont appelés. Outre les motifs d'honneur auxquels les coeurs Français sont naturellement si sensibles, ils ont à considérer tant la condamnation personnelle et sévère dont se voient menacés les contrevenants, que les autres peines qui ne manqueroient pas de retomber sur leurs familles. J'ai déjà observé, Messieurs, vous entretenant une autre fois sur ce sujet, combien il convenoit à notre ministère de porter ceux que le Gouvernement convoque pour être enrôlés dans sa milice, et en même temps aussi les parens, à relever leurs sentimens, leurs démarches et leurs sacrifices, par les vues non moins consolantes que sublimes de la Religion".‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR115.00 (€115.00 )

‎FERRIER, Paul‎

Reference : 64000

(1887)

‎[ Deux lettres autographes signées, adressées à Théodore Massiac, collaborateur au Gil Blas : ] 1 L.A.S. de 2 pages, non datée : [ Sorti tard des répétitions, il s'excuse de ne pouvoir s'être rendu au Gil Blas, et lui transmets quelques notes : ] "Pas grand chose d'ailleurs à vous donner, comme indiscrétions. Le plus intéressant là-dedans c'est le début de Mily Meyer aux variétés ! C'est une [...] et une féticheuse. Elle avait eu dans "Benjamine" un succès personnel très grand. Réfugiée aux Variétés, à la suite de ce succès, elle a tenu à y débuter sous le patronage des auteurs de "Joséphine vendue par ses soeurs". Aussi, dans le concours de pièces proposées pour elle, penchait-elle obstinément pour une pièce de Ferrier et Carré. Et voilà comment je suis entré aux Variétés... pour la première fois. Il y a vingt ans que je connais Bertrand [... ] jamais je n'avais été joué. Carré lui avait eu "La nuit de noce P.L.M." moi rien. J'ai passé par tous les Théâtres de Paris, depuis l'Opéra & le Français jusqu'aux Menus Plaisirs & même Beaumarchais ! La glace est rompue... j'espère. Mily joue une petite bouquetière des rues - et Baron une sorte de gouapeux vif, querelleur, bruyant... mais pas filou ! [ Là on retrouvera des souvenirs d'avocats : Carré l'est encore - moi je l'ai été. J'aurais même continué cette carrière... à Montpellier, mon barreau natal, sans une circonstance assez particulière : j'avais vingt ans et une jeune moustache. Vint un Président du Tribunal qui ressuscitant de vieux règlements exigea la suppression de nos moustaches. Je jetai ma robe aux orties et je vins faire du Théâtre à Paris. Il y a vingt ans de cela... hélas ! Carré lui continue à défendre la veuve, l'orphelin [... ] ; [On joint : ] 1 L.A.S. d'une page‎

‎2 L.A.S. à savoir 1 L.A.S. de 2 pages, non datée [ circa 1887 ? ]: [ Sorti tard des répétitions, il s'excuse de ne pouvoir s'être rendu au Gil Blas, et lui transmets quelques notes : ] "Pas grand chose d'ailleurs à vous donner, comme indiscrétions. Le plus intéressant là-dedans c'est le début de Mily Meyer aux variétés ! C'est une [...] et une féticheuse. Elle avait eu dans "Benjamine" un succès personnel très grand. Réfugiée aux Variétés, à la suite de ce succès, elle a tenu à y débuter sous le patronage des auteurs de "Joséphine vendue par ses soeurs". Aussi, dans le concours de pièces proposées pour elle, penchait-elle obstinément pour une pièce de Ferrier et Carré. Et voilà comment je suis entré aux Variétés... pour la première fois. Il y a vingt ans que je connais Bertrand [... ] jamais je n'avais été joué. Carré lui avait eu "La nuit de noce P.L.M." moi rien. J'ai passé par tous les Théâtres de Paris, depuis l'Opéra & le Français jusqu'aux Menus Plaisirs & même Beaumarchais ! La glace est rompue... j'espère. Mily joue une petite bouquetière des rues - et Baron une sorte de gouapeux vif, querelleur, bruyant... mais pas filou ! [ Là on retrouvera des souvenirs d'avocats : Carré l'est encore - moi je l'ai été. J'aurais même continué cette carrière... à Montpellier, mon barreau natal, sans une circonstance assez particulière : j'avais vingt ans et une jeune moustache. Vint un Président du Tribunal qui ressuscitant de vieux règlements exigea la suppression de nos moustaches. Je jetai ma robe aux orties et je vins faire du Théâtre à Paris. Il y a vingt ans de cela... hélas ! Carré lui continue à défendre la veuve, l'orphelin [... ] ; [On joint : ] 1 L.A.S. d'une page‎


‎Très intéressante lettre autographe signée dans laquelle l'écrivain et librettiste Paul Ferrier (1843-1920) évoque sa collaboration avec Fabrice Carré, sa jeunesse d'avocat (et sa robe jetée aux orties pour une moustache !), et évoque la soprano Emilie Mily-Meyer qui tient le premier rôle dans leur dernière oeuvre.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR195.00 (€195.00 )

‎Regards. Gérant : S. Zeyons‎

Reference : 65102

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR40.00 (€40.00 )

‎[s.n.] - ‎ ‎POTIER DE COURCY, Alfred‎

Reference : 56079

(1877)

‎3 lettres autographes signées d'Alfred Potier de Courcy. 1 LAS datée de Paris, le 31 octobre 1887 sur papier à en-tête de la Compagnie d'Assurances Générales Maritimes : [ Il remercie son correspondant pour ses informations et continue : ] "Sur les informations du Commissaire du Port de mer de Dax, je lui envoie aujourd'hui un secours de f. 200 pour la protégée de Monseigneur. Voici que je recours encore à votre obligeance, cette fois pour un sujet bien futile. J'ai un vieil original de frère qui se livre dans sa province à des travaux de bénédictin et s'attache en ce moment à l'historique généalogique de la famille ou des familles de Loménie, et de quelques autres [ ... ] Il m'en demande aujourd'hui qui ne peuvent se trouver qu'aux Archives de la Marine si les registres de St Dominique y sont conservés comme ceux de l'Ile de France [ ... ] Il publie à la librairie Firmin-Didot un ouvrage effrayant, une édition continuée de l'Histoire des grands officiers de la Couronne du Père Anselme, et ces recherches sont destinées à combler des lacunes. Chacun prend son plaisir où il le trouve. Je ne connais guère de labeurs plus rebutants que des travaux généalogiques, mais mon cher frère ne s'intéressera pas davantage à mes gros volumes de Droit Maritime et se garde bien de les lire [ ... ] ; 1 LAS datée du 12 décembre 1887 sur papier à en-tête de la Société de Secours aux familles des marins Français Naufragés : "Mon cher Monsieur, depuis qu'on a donné un peu de publicité à ma société, cela m'amène quelques concours sans doute, mais m'amène aussi une recrudescence [ il évoque une postulante veuve en premières noces du lieutenant de vaisseau Mage, qui a péri avec la Gorgone en 1869 ] "J'aurai tous les droits du monde de dire néant à la requête, l'événement étant antérieur de dix ans à la naissance de ma société. On me représente cette femme comme dans la plus profonde détresse, nourrie par une domestique dévouée qui l'entretiendrait au lieu d'être payée, et qui si l'histoire est vraie mériterait un prix Montyon [ ... ] "J'aurai cru que la veuve d'un lieutenant de vaisseau qui a péri à la mer aurait eu une pension, un bureau de tabac, des secours annuels et on prétend que c'est parce qu'elle s'était remariée qu'elle n'obtiendrait rien, le second mari qu'elle a eu la faiblesse d'épouser aurait été un détestable qui ne lui aurait laissé que des dettes [ ... ] ; 1 LAS datée du 38 rue de Monceau, 10 janvier 1888 : "Il y a donc mon cher Monsieur d'honnêtes gens qui habitent la légendaire Cour des Miracles, où j'aurai cru sur la foi des romanciers qu'il n'y avait que des truands ? Et nous voilà un nouveau ministre ! Si l'autre est regrettable ou non, je l'ignore. Chose rare de nos jours, il a eu du caractère. [... ] Alexandre Dumas avait dit-on inventé la Méditerranée, vous n'avez pas inventé les oisifs des bains de mer, et j'ai bien des fois essayé d'exploiter leurs sympathies. Il y a toujours l'obstacle des choses locales, qui obtiennent la préférence [ illisible ] à Dieppe, Société locale de secours aux marins de Dieppe, oeuvre locale des orphelins de la mer, dite Notre-Dame des Flots. Oeuvre très intéressante en elle-même et qui attache beaucoup de gens. Il y a une soeur supérieure qui est une maîtresse femme, qui fait des démarches actives et qui distancera toujours une société de Paris. Au fond, j'ai des doutes sur l'utilité de son oeuvre au point de vue maritime. Ces petits mousses, très gentils, bien habillés, bien nourris, bien élevés, ne voudront pas être de véritables mousses, ce que je leur pardonne car c'est un affreux métier. Ils voudront être des employés et augmenteront le nombre de déclassés. A quoi aboutit la diffusion de l'enseignement. Tout est problème et toute médaille a son revers. En secourant à domicile les familles de ces pauvres gens, ma société n'a pas le même inconvénient. Mais les élégantes baigneuses de Dieppe quêteront ou chanteront plus volontiers pour les gentils petits mousses, choyés par les soeurs, et j'ai entendu la diva Patti elle-même chanter pour eux [... ] ‎

‎3 LAS datée de 1877 et 1888, 2 au format in-4, une page et demie chacune, anciennement montées sur onglet, la dernière de 1888 de 2 pp. et demie : 2 lettres autographes signées d'Alfred Pottier de Courcy. 1 LAS datée de Paris, le 31 octobre 1887 sur papier à en-tête de la Compagnie d'Assurances Générales Maritimes : [ Il remercie son correspondant pour ses informations et continue : ] "Sur les informations du Commissaire du Port de mer de Dax, je lui envoie aujourd'hui un secours de f. 200 pour la protégée de Monseigneur. Voici que je recours encore à votre obligeance, cette fois pour un sujet bien futile. J'ai un vieil original de frère qui se livre dans sa province à des travaux de bénédictin et s'attache en ce moment à l'historique généalogique de la famille ou des familles de Loménie, et de quelques autres [ ... ] Il m'en demande aujourd'hui qui ne peuvent se trouver qu'aux Archives de la Marine si les registres de St Dominique y sont conservés comme ceux de l'Ile de France [ ... ] Il publie à la librairie Firmin-Didot un ouvrage effrayant, une édition continuée de l'Histoire des grands officiers de la Couronne du Père Anselme, et ces recherches sont destinées à combler des lacunes. Chacun prend son plaisir où il le trouve. Je ne connais guère de labeurs plus rebutants que des travaux généalogiques, mais mon cher frère ne s'intéressera pas davantage à mes gros volumes de Droit Maritime et se garde bien de les lire [ ... ] ; 1 LAS datée du 12 décembre 1887 sur papier à en-tête de la Société de Secours aux familles des marins Français Naufragés : "Mon cher Monsieur, depuis qu'on a donné un peu de publicité à ma société, cela m'amène quelques concours sans doute, mais m'amène aussi une recrudescence [ il évoque une postulante veuve en premières noces du lieutenant de vaisseau Mage, qui a péri avec la Gorgone en 1869 ] "J'aurai tous les droits du monde de dire néant à la requête, l'événement étant antérieur de dix ans à la naissance de ma société. On me représente cette femme comme dans la plus profonde détresse, nourrie par une domestique dévouée qui l'entretiendrait au lieu d'être payée, et qui si l'histoire est vraie mériterait un prix Montyon [ ... ] "J'aurai cru que la veuve d'un lieutenant de vaisseau qui a péri à la mer aurait eu une pension, un bureau de tabac, des secours annuels et on prétend que c'est parce qu'elle s'était remariée qu'elle n'obtiendrait rien, le second mari qu'elle a eu la faiblesse d'épouser aurait été un détestable qui ne lui aurait laissé que des dettes [ ... ]‎


‎Assureur maritime, Alfred de Courcy (1816-1888) arma notamment un navire hôpital et fonda une caisse pour les familles de marins. Il évoque ici son frère Pol Potier, baron de Courcy, auteur du "Nobiliaire et Armorial de Bretagne". Il évoque également la veuve d'un naufragé de la Gorgone ; corvette à roues, la Gorgone sombra en 1869 sur le phare des Pierres Noires au large de la pointe Saint-Mathieu, noyant les 93 membres de l'équipage. La dernière lettre est très remarquable pour l'histoire des assurances maritimes.‎

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