in 12 broché à l’italienne,32 pages sur papier couché,12 illustrations photographiques hors-texte,imprimerie Geisler,Chatelles–Vosges)sans date.Début XXème,très bon état
Reference : 1971
Charbonnel
M. Sylvain Charbonnel
2, rue du Champ de Mars
55000 Bar le Duc
France
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EVEQUE DE SOISSONS, J. JOSEPH ; [ LANGUET DE GERGY, Jean-Joseph ]
Reference : 53971
(1719)
1 vol. in-8 reliure de l'époque pleine basane marbrée, dos à 5 nerfs orné : Troisième Avertissement de Monseigneur l'Evêque de Soissons, A ceux qui dans son Diocèse se sont déclarez Apellans de la Constitution Unigenitus, s.n., 1719, 251 pp. [ Avec : ] Instruction de Monseigneur l'Eveque de Soissons adressée à Madame ***, s.n., 23 pp. [ Avec : ] Seconde Instruction de Monseigneur l'Evêque de Soissons, dressée en faveur de Madame la Marquise de *** où il montre quel est aujourd'hui le parti le plus sûr, s.n., 39 pp. [ Avec : ] Theologie Erronea sive Propositiones A Summis Pontificibus & ab Ecclesia damnatae ab anno 1566 usque ad praesens tempus,1731, 4 ff., 34 pp. et 2 ff..
Evêque de Soissons puis archevêque de Sens, Jean-Joseph Languet de Gergy (1677-1753) fut un adversaire acharné des jansénistes. Naturellement défenseur de la bulle Unigenitus, il rédigera une vie de Marguerite-Marie Alacoque qui sera attaquée par des jansénistes opposés au culte du Sacré-Coeur. Il sera également un farouche opposant du rationalisme des Lumières, et combattra les candidatures de Montesquieu et Voltaire à l'Académie. Bon état (mouill. intérieure en tête, pièce de tomaison indiquant tome II, le tome I devant proposer les premiers avertissements, mais chaque ouvrage ici présent étant bien complet en soi)
P., Office d'édition du livre d'histoire, 1996, fort in-8°, (2)-510-665-76-(1) pp, broché, couv. illustrée, bon état. Tirage limité
Réimpression en un fort volume des 2 tomes de l'édition de Soissons, Arnould, Paris, Sylvestre, 1837. Les auteurs retracent l'histoire de Soissons en s'appuyant sur des ouvrages mais aussi sur la tradition orale et l'archéologie. Le premier volume traitant de la période comprise entre le IVe siècle avant Jésus-Christ et l'an 1141 a été composé par Henri Martin. Paul L. Jacob a rédigé le second volume, qui retrace l'histoire de la ville entre 1141 et 1789. L'appendice situé à la fin du deuxième volume est de Henri Martin. — "On ne peut dissocier l'histoire de la France de celle de Soissons. Dans l'antiquité, le palais fortifié était situé à l'ouest de la ville : des fouilles ont révélé des statues, des tronçons de colonnes antiques, des marbres et des monnaies datant des premiers Romains. Dès le IIIe siècle, l'histoire s'accélère : le martyre des chrétiens Crépin et Crépiniens engendre la construction de nombreux monuments religieux. On connaît l'épopée de Clovis, son baptême avec 3 000 guerriers le 25 décembre 496. Jusqu'en 507, date à laquelle Clovis transféra la capitale à Paris, place plus centrale pour son royaume, Soissons demeura la ville royale des Francs. Les auteurs nous guident autour des remparts (au IXe siècle Bérald construit une porte et fonde la troisième enceinte pour remplacer les fortifications romaines), des châteaux, des églises et de l'abbaye. On assiste à la fondation de la commune entre 1116 et 1126, puis à sa reconstitution en 1341, après l'époque de la prévôté, au théâtre des guerres et de leurs atrocités, aux ravages de la peste noire (1348-1350), aux Jacqueries (1359), aux dévastations des Aventuriers (1521)... Mais l'histoire de Soissons se teinte aussi de miracles, de légendes (« entre Vaux et Berny, sont les trésors du roi Henri », disait un proverbe local), ou des souvenirs des enfants qu'étaient alors les jeunes rois de France partant pour le sacre à Reims (en octobre 1722, le jeune Louis XV marqua son passage par le déclenchement ludique de l'alarme du feu dans toute la ville). Les auteurs ont parfaitement réussi à remonter le temps, et l'histoire de Soissons et du Soissonnais apparaît avec précision, dans ce précieux ouvrage de référence, à nouveau à la disposition de tous les amoureux du passé." (Virginia Beaufils)
Soissons, évêché, 1841, 1 1 cahier. 1 feuillet manuscrit et imprimé aux armes de l'évêque de Soissons, tampon de l'évêché, à signé pour l'évêque, le chanoine et secrétaire général de l'évêché: "Louis François Claude Lardon" ;
Moussy-Verneuil et Craonne, communes du département de l'Aisne.Jules-François de Simony, évêque de Soissons et Laon, né à Toulon en 1770.
Phone number : 06 80 15 77 01
S.l. [Soissons], 6 prairial an XI (26 mai 1804); in-4, en feuille.
Etat rédigé sur le recto seul du feuillet, signé de l'avoué du tribunal Dubois.
Soissons, Arnould, Paris, Silvestre, Techner, 1837-[1838]; 2 vol. in-8, [2] ff. n. ch., III-516 pp. ; [2] ff. n. ch., 665 pp., un f. n. ch., 76-40 pp., avec une planche de monnaies hors texte, demi-veau marine, dos lisses ornés de filets, chaînettes et guirlandes dorés, ainsi que de fleurons à froid, tranches marbrées (reliure de l'époque).
Edition originale de cette monographie composée à quatre mains : Henri Martin (1810-1883) pour l'intégralité du volume I, et l'Appendice de 76 pp. (Soissons depuis 1789) ; Paul Lacroix pour l'intégralité du volume II, qui court jusqu'en 1788.Quant à la dernière partie, sous le titre de Dernier chapitre de l'Histoire de Soissons, elle revient sur le procès qui suivit la parution de l'ouvrage, et fournit de très intéressants détails sur son origine : il répondait en effet à une claise testamentaire d'une certaine Madame Maréchal, laquelle prévoyait de léguer la très jolie somme de 12 000 francs aux auteurs de la meilleure histoire de la ville de Soissons à paraître. La composition de Martin et Lacroix était entrée en concurrence avec celle d'un obscur Jean Leroux, encore sous forme manuscrite au moment du procès et qui ne parut d'ailleurs qu'en 1839.Bel exemplaire. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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