nouveau recueil des meilleures chansons contemporaines,critiques bachiques et grivoises.In 16 cartonné violine,109 pages,vignettes dans et hors-texte B-Renaud éditeur 1843
Reference : 1580
Charbonnel
M. Sylvain Charbonnel
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Paris, J. Claye 1855 358pp., 24cm., rousseurs (texte toujours bien lisible), reliure cart. (dos en cuir avec titre et fleurons dorés, quelques traces d'usage normales), feuilles de garde marbrées, relié avec: "Annalas della Sociedad Rhaeto-Romanscha. Prima annada" (Cuera, F.Gengel, 1886, vi + 375pp.), cachet, bon état, K79133
Paris, B. Renaud, Éditeur, 1843 ; in-12, 257 pp., relié demi-veau d'époque, dos lisse, pièce de titre en maroquin vert, tranches jaspées. Anthologie de chansons à boire, à manger et légères. Bon état.
Précieux et superbe exemplaire relié en maroquin citron de l’époque aux armes et pièces d’armes de Jeanne-Baptiste d’Albert de Luynes, comtesse de Verrue (1670-1736). Paris, Pierre Emery, 1684. Avec Privilege du Roy.In-12 de (1) f.bl., (14) ff., 390 pp., (1) f. d‘errata, (1) f.bl. Plein maroquin citron de l’époque, triple filet doré encadrant les plats, armoiries et mention « Meudon » au centre des plats, dos à nerfs orné de pièces d’armes, pièce de titre en maroquin rouge, coupes décorées, roulette intérieure dorée, tranches dorées sur marbrure. Reliure de l’époque.158 x 90 mm.
Première édition des Poésies d’Anacréon traduite en français par Longepierre, le célèbre bibliophile du règne de Louis XIV qui avait adopté l’insigne de la toison d’or comme emblème héraldique.Brunet, I, 254 ; Barbier, III, 924.Anacréon, poète grec du VIe siècle avant Jésus Christ, s’est immortalisé par ses poésies. Avec une simplicité extrême et une grâce enjouée, Anacréon y chante non la passion, à la manière de ses devanciers, les poètes de Lesbos, mais les jeux de l’amour, les caprices du désir, les plaisirs qui passent. Cette douceur exquise, cet abandon aux plaisirs tels qu’ils se présentent font d’Anacréon le plus ionien des poètes grecs. Son génie aisé lui valut un très grand nombre d’imitateurs.« Anacréon connut une longue gloire posthume ; à Rome, Horace et Catulle connaissaient par cœur ses œuvres et les imitaient. Tous ces poèmes furent repris par Henri Estienne lorsque celui-ci publia, en 1554, les poèmes anacréontiques qui soulevèrent l’enthousiasme de la Pléiade. Rémi Belleau en fit paraître, en 1556, une jolie traduction en vers français, la première qui ait été faite. »Jacques Brosse.« Longepierre, né à Dijon en 1659, eut de bonne heure pour l’étude une passion très-vive, que son père se plut à seconder ; ce fut lui, dit-on, qui l’engagea à traduire en vers français quelques-uns de ces poètes grecs qu’il s’était rendus familiers. Très-jeune encore, il publia des traductions d’Anacréon, de Sapho, de Théocrite, de Bion et de Moschus : les notes dont ces traductions sont accompagnées prouvent que Longepierre comprenait et sentait assez bien ces auteurs ». Michaud.Précieux et superbe exemplaire relié en maroquin citron de l’époque aux armes et pièces d’armes de Jeanne-Baptiste d’Albert de Luynes, comtesse de Verrue (1670-1736), provenant de la bibliothèque de sa maison de campagne à Meudon.« La comtesse de Verrue aimait passionnément les lettres et les arts : tableaux, sculptures, estampes, dessins, meubles, porcelaines, elle collectionnait tout ce qui était beau ; sa bibliothèque, qui contenait en majorité des romans et des pièces de théâtre, comptait 18 000 volumes de choix, reliés pour la plupart par les meilleurs artistes de l’époque. Au-dessus de ses armes, elle faisait souvent frapper une mention : « Paris », « Meudon » (où elle possédait une maison de campagne) ou « St Port » (actuellement Seine-Port, près de Melun). Presque tous ses volumes portaient aussi sur le dos et aux angles des plats les pièces de ses armes alternées. »Olivier, pl. 799.Provenance : des bibliothèques de la Comtesse de Verrue (armoiries) et Edouard Moura (ex-libris gravé).
A Paris de l'Imprimerie de Didot l'Aîné, AN VIII, 4 volumes in-18 de 132x85 mm environ, tome I : 1f.blanc, 1 frontispice, faux-titre, titre, 107 pages, 1f.blanc, avec 3 planches hors texte et un frontispice, - tome II : 1f.blanc, faux-titre, titre, 119 pages avec une planche hors texte, 1f.blanc - tome III : 1f.blanc, faux-titre, titre, 130 pages, 1f.blanc - tome IV : 1 f.blanc, faux-titre, titre, 90 pages, suivies de 27 pages de musique, 1f.blanc, plein veau marbré fauve, titres et tomaisons dorés sur dos lisses, ornés de fers et petites frises dorés, coupes dorées, encadrement des plats d'une frise et une filet doré, gardes marbrées, tranches dorées. Petites rousseurs et pages brunies, une coiffe arasée, un coin dénudé, des frottements d'usage sur les angles, le cahier 8 est relié dans le désordre (p. 85 à 94, tome I) sans manque, sinon bon état. Texte en latin/grec/français.
Jean-Baptiste Gail, né le 4 juillet 1755 à Paris où il est mort le 5 février 1829, est un helléniste français. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.