Couverture beige rempliée. Avec un portrait par Hoffmeister. Mouillures éparses.
Reference : 85902
Paris Éditions des cahiers libres 1929 88 pp. In-12 carré. Broché. Bel état. 1 volume. ÉDITION ORIGINALE. Un des 700 exemplaires numérotés sur vélin lafuma.
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1929 Aux Editions des Cahiers Libres - 1929 - Edition limitée à 725 exmplaires, l'un des 700 sur vélin Lafuma, n° 617 - Petit in-8, broché, couverture rempliée - 88 p. - Un portrait d'Hoffmeister en début d'ouvrage
Bon état
CAHIERS LIBRES 1929 un volume in-8°, 88 pp. Reliure en demi-chagrin bleu, dos lisse orné, dos et couverture conservé.e.s (reliure moderne). (dos décoloré, feuillets faiblement marqués en coin). Edition originale illustrée d'un portrait-frontispice par Hoffmeister. Exemplaire numéroté sur vélin Lafuma (n° 437 / 700).
Edition originale
Paris éditions des cahiers libres 1929 1 In huit reliure originale en plein veau composée d'objets de Paris (accordéon, tour Eiffel ,appareil photo,voiture etc.. 88pp, Avec un portrait par Hoffmeister en frontispice, 1/700 exemplaires sur vélin Lafuma,relié sans la couverture et le dos
très bon état
Editions des Cahiers Libres | Paris 1929 | 14.50 x 19.50 cm | broché
Edition originale, un des 700 ex numérotés sur vélin, seul tirage avec 30 Japon. En frontispice, un portrait de l'auteur par Hoffmeister. Dos légèrement insolé. Envoi autographe signé de Pierre Mac Orlan à Alin Laubreaux. Néo-calédonien de naissance,Alin Laubreaux fut un écrivain et un journaliste principalement connu pour ses chroniques théatrâles publiées dans le journal ultra-collaborationniste, antisémite et fascisteJe suis partout. Haï par une bonne partie du milieu artistique parisien, il fut giflé publiquement en juin 1941 par Jean Maraisqu'il avait appelé «l'homme au Cocteau entre les dents» après avoir éreinté la dernière pièce du dramaturge La machine à écrire. La scène sera librement reprise par Louis Malle dans son Dernier Métro.Onaccusa également Alin Laubreaux d'avoir joué un rôle non négligeable dans l'arrestation, par la Gestapo, puis dans la déportation du poète Robert Desnos qu'il exécrait et qui l'avait lui aussi giflé quelques années auparavant. A la Libération, il s'enfuya en Espagne et fut condamné à mort par contumace en 1947. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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