Couverture souple imprimée. Feuilles et dos légèrement brunis.
Reference : 53553
Paris Gallimard 1953. 237 pp. In-12. Broché. État correct. 1 volume. Collection "NRF".ÉDITION ORIGINALE sur papier d' édition.
Librairie Koegui
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, , 1751-1753. Manuscrit in-4 à 28 lignes par page de (498) pp., table, veau granité, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure de l'époque).
Rare recueil manuscrit de dix parodies d'opéra parmi les plus représentées au Théâtre de la Comédie Italienne entre 1751 et 1753, à l'époque où le couple Favart entama son règne sur le genre - jusqu’à ce que Charles-Simon devienne directeur de l’Opéra-Comique en 1758 - avec la troupe d'acteurs dont les noms sont indiqués dans chaque distribution : Madame (Justine) Favart, Dehesse, Astrandi, Rochard, Carlin, Chauville etc. « Les réécritures comiques d’opéra, représentées sur les théâtres de la foire et des boulevards comme à la Comédie-Italienne de Paris et sur les théâtres privés, connaissent une vogue étonnante au siècle des Lumières. Parodier l’opéra, ce n’est pas écrire contre l’opéra, mais plutôt participer à sa promotion en jouant le double jeu de la critique et du divertissement. Les parodistes comme Fuzelier, Favart, Romagnesi ou Despréaux, manient autant l’art des vaudevilles que celui du pastiche, et possèdent une riche culture littéraire et musicale. Des opéras de Lully à ceux de Gluck, rares sont les œuvres à succès qui n’ont pas été parodiées ». Contient : 1. Favart (Charles-Simon). Raton en Rosette, ou la vengeance inutile. Parodie de Titon et l'aurore représentée pour la première fois sur le Théâtre de la Comédie Italienne le 28 mars 1753 (66 pp.).2. Gondot (Pierre Thomas). Les Fêtes des environs de Paris. Parodie des fêtes grecques et romaines représentée pour la première fois sur le Théâtre de la Comédie Italienne le 4 juillet 1753 (54 pp.).3. Renout (Jean-Julien-Constantin). Les Couronnes, ou le Berger timide. Pastorale, parodie de la feste de l'hymen ; deuxième entrée des Amours de Tempé (47 pp.).4. Favart (Charles-Simon). Tircis et Doristhée. Pastorale, parodie d'Acis et Galatée représentée pour la première fois sur le Théâtre Italien le 4 septembre 1752 (53 pp.).5. Favart (Charles-Simon). Les Amours de Bastien et Bastienne, parodie du Devin de village représentée pour la première fois sur le Théâtre de la Comédie Italienne le 4 aoust 1753 (32 pp.).6. Favart (Charles-Simon). Les Indes dansantes, parodie des Indes galantes jouées pour la première fois sur le Théâtre de la Comédie Italienne le 26 juillet 1751 (61 pp.).7. Favart (Charles-Simon). Les Amours champêtres, Parodie de l'acte des Sauvages, joués pour la première fois sur le Théâtre de la Comédie Italienne le 1751 (37 pp.).8. Favart (Charles-Simon). Fanfale, parodie d'Homphale représenté pour la première fois sur le Théâtre de la Comédie Italienne le huit mars 1752 (46 pp.).9. Gondot (Pierre Thomas). Les Bergers de qualité. Parodie de Daphnis et Chloé représenté pour la première fois sur le Théâtre de la Comédie Italienne le 1753 (40 pp.).10. Favart (Charles-Simon). Les Amants inquiets Parodie de Thetis et Pelée joués pour la première fois sur le Théâtre de la Comédie Italienne le 1751 (52 pp.)« Le couple Favart marque durablement le genre de la parodie dramatique d’opéra jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, puisque des parodies comme Les Amours de Bastien et Bastienne ou encore Raton et Rosette sont représentées bien après la Révolution. Dès les années 1750, Favart est perçu comme le maître de la parodie dramatique. Le duo Favart est une machine bien rodée : que Charles-Simon compose la totalité de la pièce ou ne soit qu’un correcteur au-dessus de l’épaule de son épouse, il a toujours une part au spectacle. Il compose seul ou en collaboration onze parodies entre 1751 et 1762 ; mais il supervise aussi la création des parodies d’opéra de son épouse, écrites à plusieurs mains. Son épouse est l’attraction de la Comédie-Italienne. Elle se produit dans toutes les parodies créées sur ce théâtre en l’espace de dix ans (trente de 1751 à 1762) ; les parodistes composent, à cette époque, pour ses talents. « Le rôle de Tircis est rendu dans la plus grande perfection par Mlle Favart, qui est la plus aimable chanteuse de vaudevilles que nous ayons eue : elle est aussi charmante dans son travestissement que dans son état naturel : qu’elle soit nymphe, bergère ou savoyarde, qu’elle danse, qu’elle chante, sous quelque forme qu’elle se présente, elle est sûre de plaire ». Les Amours de Bastien et Bastienne, parodie du Devin du village de Rousseau par Mme Favart et Harny de Guerville synthétise bien l’omniprésence des Favart et surtout les innovations qu’ils proposent sur la scène italienne à partir des parodies dramatiques d’opéra. Favart s’impose comme le père de la parodie ; Harny de Guerville écrit ainsi dans l’avertissement qui précède l’édition de son opéra-comique Le Petit-Maître en province : « On me pardonnera aisément de citer par préférence M. Favart. Il est permis à un écolier d’avoir quelque prédilection pour son maître. C’est lui qui m’a donné les premières leçons de l’art dramatique. Bastien a été fait sous ses yeux. » Mme Favart impose sa réforme du costume : « Ce fut elle qui, la première, observa le costume ; elle osa sacrifier les agréments de la figure à la vérité des caractères […] Dans Bastienne, elle mit un habit de laine, tel que les villageoises le portent ; une chevelure plate, une simple croix, les bras nus et des sabots. » L’hégémonie des parodies des Favart s’observe, en outre, par leur reprise outre-Rhin et en province » (Pauline Beaucé).Manuscrit du XVIIIe siècle, d'une belle écriture, très lisible. Ex-libris manuscrit ancien à l'encre brune "Mr Teilhard de Rochecharles" (Pierre Teillard de Rochecharles ? lieutenant général du bailliage d'Andelat, auteur de La Haute-Auvergne sous l'Ancien régime).Pauline Beaucé, Parodies d’opéra au siècle des Lumières : Évolution d’un genre comique. Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2013.
DUBECH Lucien; MONTBRIAL J. de; ENGEL Claire-Eliane; HORN-MONVAL Mme de:
Reference : 9265
Paris, Librairie de France, 1931 à 1934. 5 volumes in-4 de [3]-V-[4]-236-[4] / 300-[10] / [8]-269-[6] / [10]-438-[2] et [10]-296-[8] pages. Belles reliure plein veau, mosaïqués en couleurs et argent, titres et tomaison dorés au dos, belle gardes ornées, couvertures et dos conservés, étuis rouge simili-bois bordé de cuir assorti. Dos des tomes I et IV un peu frottés, dos un peu passé et étui fendu en tête pour le V.
Richement illustré in et hors-texte, en noir et en couleurs. Tome I. Le théâtre grec, le théâtre latin. Tome II. Le théâtre profane au Moyen-Age. Le théâtre espagnol. Le théâtre italien. Tome III. Le théâtre anglais. Le théâtre français. Tome IV. Le théâtre français. Le théâtre européen au XVIIIe siècle. Tome V. Le théâtre français. Le théâtre européen.
, Brepols, 2022 Paperback, 232 pages, Size:216 x 280 mm, Illustrations:25 b/w, 12 col., 10 tables b/w., 10 maps b/w, Language: English. ISBN 9782503584959.
Summary Mapping Artistic Networks provides a new critical overview of the circulation of the Italian theatre and opera across Europe in the eighteenth century. Performed as an extension of imperial celebrations, coronations, weddings, and masquerades, Italian theatre and opera provided scripts for the representation of political power and became an expressive metonym for the Bourbon monarchs, Austrian Habsburgs, Saxon electors in Poland, Prussian rulers and Russian emperors. They employed theatre as a political tool that magnified their victories and fashioned their courts as theatre and made theatre part of their courts. From Munich to Vienna, from Madrid to St Petersburg, from Dresden to Stockholm, there was seldom a court that did not employ Italian-born artists, musicians, singers, and theatre engineers. The volume furnishes valuable information and substantive new analysis on both Italian plays and operas performed throughout various European courts and the mobility of theatre professionals. The essays critically assess how the italianit , the notion we use in the sense of the image of otherness that Europeans wished to assimilate and musical style, were defined but also challenged through the productions of Italian theatre and opera abroad and their encounters with national traditions. The collection aims to contribute to a broader discussion of cultural transfer and transmission of artistic practices in music and theatre, and migrations of artists and texts across the continent, while also exploring for the first time the East of Europe. TABLE OF CONTENTS List of Illustrations List of Tables List of Musical Examples Introduction: Italian Theatre Reverberated Tatiana Korneeva A Note on Transcription, Transliteration, and Translation Part I. Itinerant Italians Italian Singers on the Move: Networks, Social Support, and Contact with the Native Land during Senesino's London Years Melania Bucciarelli The Italian Opera in Prague in the Eighteenth Century: Networks, Strategies, Repertoires Marc Niubo Pursuing Enlightenment Delights: Processes and Paths of Italian Operatic Migrations to Warsaw, 1765-93 Anna Parkitna Operatic Patchworks and Their Crossings: The Masi Family of Singers and Pasticcio Practices in Europe, 1750-70 Gesa zur Nieden Part II. Russian Italians Italian Operisti in Early Eighteenth-Century St Petersburg: Repertoire, Audience, and Translation Tatiana Korneeva The Scenographic Fantasies of Giacomo Quarenghi: Stylistic Migrations from the European to the Russian Stage Nadezhda Chamina Italian Stage Designers and the Staging of the First Russian Epic Drama with Music by Catherine the Great, The Early Reign of Oleg Anna Korndorf Andromeda Rescued on the Banks of the Neva: Opera for the Grand Master of the Order of Malta Bella Brover-Lubovsky Part III. Translational Encounters The Textual Evolution of Metastasio's Semiramide: Aesthetic Transformation and Proportional Identity Javier Guti rrez Carou Carlo Goldoni's Repertoire in Dresden: The Earth Seen from the Moon Piermario Vescovo A Mirror of Deceit: Giacomo Casanova's Theater Massimo Ciavolella Index of Names Notes on Contributors
Ces gravures absolument exquises, en premier tirage, gravées par I. Silvestre sur les dessins de François Francart, d’après Torelli, excellent à représenter le raffinement et le luxe des ballets de cour sous le règne de Louis XIV. Paris, 1654. (1) f. de titre et 10 pl. gravées par I. Silvestre. Chauveau, François (1613-1676). 6 planches de décor de théâtre. S.l.n.d. [Paris, vers 1650]. Torelli. Feste Theatrali per la Finta pazza... S.l.n.d. [Paris, vers 1645]. Titre allégorique par Stéfano della Bella (1610-1664) et 5 planches gravées par Nicolas Cochin (1610-1686) d’après Torelli. Berlin, 4118. Parigi, Alfonso (1606-1656). 5 planches de décors de théâtre incluant 4 scènes de La Flora de Andrea Salvadori. S.l. [Paris], 1628. Berlin, 4114. Bella, Stefano della. 7 planches de décors de théâtre pour « Le nozze de Gli dei », de Giancarlo Coppola, d’après les dessins de Alfonso Parigi (sans le titre). [Florence, 1637]. Hofer, 70. Chauveau, François. Alaric ou Rome vaincue. Suite complète du titre et des 10 planches gravées illustrant l’édition originale du poème épique « Alaric ou la Rome vaincue » de Georges de Scudery. [Paris, 1654]. Perelle, Gabriel (1603-1677). 16 gravures circulaires de paysages. [Paris], Jean le Blond (vers 1670). Berlin, 4465. Le Pautre, Jean (1618-1682). - Autels, tombeaux, cheminées. 8 planches. - Paysages, architecture avec riches bordures ornementales incluant des scènes bibliques. 12 planches. - Fontaines. 17 planches. - Fonds baptismaux et églises baroques. 2 planches. - Décorations baroques peintes et sculptées de murs et plafonds. 12 planches. - Scènes du Nouveau Testament au sein d’encadrements baroques très ornementaux. 6 planches. - Grands vases baroques devant des paysages ou au sein d’encadrements ornementaux. 6 planches. - Cariatides portant des vases baroques. 6 planches. Vouet, Simon (1590-1649) et Dorigny, Michel (1616-1665). Livre de diverses grotesques, peintes dans le cabinet et bains de la Reyne Régente, au Palais Royal. Paris, Galeries du Louvre, 1647. Titre et 14 planches. Berlin, 4004. Soit 16 suites d’estampes, grand in-4 oblong, reliées en vélin orné, tranches dorées. Reliure d’époque. 280 x 389 mm.
Superbe recueil baroque de 146 estampes en premier tirage de décors de théâtre, perspectives, architectures, décorations d’intérieurs baroques, parcs et fontaines par les plus grands artistes italiens et français du règne de Louis XIV : Torelli, François Chauveau, Simon Vouet, Stefano della Bella, Israël Silvestre, Jean le Pautre, Gabriel Perelle... Le recueil s’ouvre sur la suite magistrale en premier tirage des grandes perspectives du décor de théâtre baroque de Giacomo Torelli, le plus important « metteur en scène » du milieu du XVIIe siècle. Il produisit ses dessins pour la première fois pour le public du théâtre de Venise puis à partir de 1645 comme « metteur en scène » de la troupe de la comédie italienne. Il s’intéressa particulièrement au « ballet de cour » plutôt qu’à l’opéra, flattant ainsi la passion du Roi Louis XIV pour la danse. Sa carrière en France se termina brusquement en 1661 avec la disgrâce de Fouquet pour lequel il avait réalisé les décors des « Facheux » de Molière joués devant Louis XIV durant la Fête qui provoqua l’emprisonnement de son protecteur. “Torelli brought the one-point perspective, set to its apogee with designs that revelled in a use of perspective that drew the eye to the horizon and beyond, theatre stages seemed to extend to infinity. Despite this apparent obsession with the infinite, however, Torelli also brought « closed » space to the stage. Interior scenes became more common and were often quite shallow. His innovations in stage machinery allowed not only stage flats to be changed, but also the borders of the sky. This allowed an interchange between interior and exterior sets, and Torelli would often alternate between open and enclosed sets to create a new sense of rhythm in the visual aspect of opera. His experimentation with different types of stage space were not limited to the contrast between interior and exterior either. Torelli would often delimit the foreground of an exterior set with a structure such as a hill or a fountain, allowing the audience only glimpses of the background perspective. Torelli’s technical innovations included machinery that allowed sets to be changed in an instant, rather than slowly with a crew of at least sixteen stage hands. This, amongst other things, led to a notable increase in the number of sets per opera. Torelli not only designed the sets but was also closely involved with innovations in stage machinery. He created new techniques for changing the scenes and also machinery for flying characters around the stage, mimicking weather effects, and so on, and was nicknamed the ‘grand stregone’ or the great magician”. Ces gravures absolument exquises, en premier tirage, gravées par I. Silvestre sur les dessins de François Francart, d’après Torelli, excellent à représenter le raffinement et le luxe des ballets de cour sous le règne de Louis XIV. Dans ces ballets les plus célèbres du temps le Roi lui-même prenait plaisir à danser sur scène ainsi dans ces « Noces de Thétis » où il joua avec succès le rôle d’Apollon. Le recueil est dédié à Mazarin, protecteur des acteurs italiens à la Cour de la régente Anne d’Autriche jusqu’en 1661. L’ensemble des 15 autres suites, ici en premier tirage, témoignent du faste de la décoration baroque française sous la régence de la reine Anne d’Autriche et au tout début du règne de Louis XIV, telle cette suite de Simon Vouet figurant « les grotesques peintes au Palais royal dans le cabinet et bains de la Reyne Régente ». Une suite rarissime et bien complète du titre et des 10 planches illustre l’édition originale du poème épique de Georges de Scudery : « Alaric ou la Rome vaincue ». Paris, 1654. Tchemerzine qui ne cite pour l’édition originale que l’exemplaire de la bibliothèque nationale, mentionnait « figures de Chauveau » avec une collation erronée, corrigée par Lucien Scheler qui ajoute « les figures de Chauveau sont comprises dans la pagination ». Tchemerzine, V, 776. Dans la suite d’un tirage extrêmement pur contenue ici dans le recueil, aucune numérotation n’est apposée sur les gravures. Il s’agit donc d’un tirage à part, absolument rarissime, imprimé avant la numérotation. Exceptionnel recueil de suites baroques de théâtre, architecture et décoration, gravées en premier tirage sous la régence d’Anne d’Autriche et conservé dans son vélin orné de l’époque. Il provient de la bibliothèque du 6e Duc de Devonshire (1790-1858) avec ex-libris gravé.
Reference : 17050
- 9 (Bulletin de théâtre). Moscou, Léningrad, - - , 1932. In-8, 17 pp., broché, couverture originale imprimée (plats détachés, couverture défraîchie, manque angulaire du corps de texte, taches).Neuvième numéro de cette revue relative au théâtre à Moscou et Saint-Pétersbourg durant la période soviétique. Elle s'intéresse aussi bien à la pratique professionnelle qu'amateur et contient un répertoire des pièces en fin. Rare. - . . , (théâtre d'art de Moscou). Berlin, - , 1922. In-12, 16 pp., broché, couverture originale imprimée (petites déchirures et manques, annotations). Plaquette relative à l'histoire du théâtre d'art de Moscou dont le texte a été orné d'un bandeau, d'une lettrine et d'un cul-de-lampe gravés. On joint deux tapuscrits et un manuscrit sur le même sujet. - (les théâtres de Moscou). Moscou, , 1934. In-12, 102 pp., broché, couverture originale imprimée (petites déchirures et manques). Rapport d'un econférence sur le théâtre moscovite s'étant tenu du 10 au 17 décembre 1933. - (Maîtrise du théâtre). Moscou, s.n., 1922. In-8, 111 pp., broché, couverture originale imprimée (1er plat détaché, petites déchirures et manques).Premier numéro, sorti en décembre 1922 de cette revue relative au Théâtre de chambre de Moscou et le théâtre expérimental en Russie. Seuls deux numéros ont paru. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.