Coll. "Que sais-je ?" n° 2486, Paris, éd. Presses universaitaires de France, 1989, in-12, cartonnage souple éd., 128 pp., bibliographie, table ddes matières L'histoire de l'absolutisme en France du 12e à la Révolution française de 1789. Très bon état
Reference : 71639
Le Festin de Babette
M. Robert De Jonghe
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Société des études Robespierristes. Oct-Dec 1979. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. Paginé de 519 à 685.. . . . Classification Dewey : 900-GEOGRAPHIE, HISTOIRE, SCIENCES AUXILIAIRES DE L'HISTOIRE
Sommaire : Sur l'absolutisme éclairé, Sur la fonction historique de l'absolutisme éclairé par A. Soboul, Le roi philosophe d'après Voltaire et Rousseau par J. Pappas, Oppositions et polarités d'un champ notionnel : les philosophes et l'absolutisme éclairé par U. Ricken, Catherine II et la Russie par A. Ado, Joseph II et la Hongrie par E. Balazs, L'Italie des princes éclairés par F. Diaz Classification Dewey : 900-GEOGRAPHIE, HISTOIRE, SCIENCES AUXILIAIRES DE L'HISTOIRE
Seyssel, Champ Vallon, "Epoques", 2003, 15,5 x 24, 856 pages cousues sous couverture souple illustrée. Préface de Denis Crouzet. Iconographie noir & blanc (in texte). "Ce livre retrace le destin méconnu de la plus importante des " bonnes villes " du royaume. De la Ligue à l'échec de la Fronde, entre 1594 et 1654, l'histoire politique de la " nation France " est celle de la construction de l'absolutisme royal, pleinement incarné par Louis XIV. Cette histoire est aussi celle d'une mutation des rapports noués entre la royauté et ses élites provinciales soumises désormais à une autorité nouvelle, assujetties à des exigences redoublées. La figure de la " ville classique " du siècle des Lumières esquisse alors ses principaux traits tandis que s'estompent ceux de la cité du Moyen Age et de la Renaissance, fière de son indépendance, de ses privilèges et de ses " libertés ". Du sacre de Henri IV à celui de son petit-fils, Lyon illustre l'ampleur des mutations politiques et culturelles à l'œuvre au temps de la raison d'État. Pièce essentielle dans le jeu politique de la Ligue au point d'abriter deux de ses plus importants protagonistes, la cité doit reconnaître cependant l'autorité d'Henri IV et retisser avec lui les liens rompus de fidélité et d'amour qui justifiaient ses prérogatives et ses privilèges. L'histoire de la ville et de son consulat ne semble plus alors qu'interpréter une variation locale du triomphe de l'assujettissement des libertés urbaines sous le règne des deux premiers rois Bourbons et de leurs puissants ministres, Richelieu et Mazarin, comme en témoigne l'absence de révolte frondeuse à Lyon. Toutefois cette lecture quelque peu univoque d'une " réduction à l'obéissance " où tout serait imposé par le sommet doit être corrigée, car dans les plis mêmes de l'absolutisme royal le consulat lyonnais a su construire un espace de liberté et conserver, paradoxalement, une forme d'indépendance nourrie par la culture d'ordre qui prétendait le soumettre. En imaginant autrement la politique, en aménageant leur relation avec le roi et ses représentants locaux, notamment le gouverneur, les prévôts des marchands et les échevins lyonnais affirmèrent leur indéfectible fidélité à la Couronne comme l'irréductible autonomie de leur pouvoir ; en ce " siècle des saints ", ils inventèrent un imaginaire capable de transformer leur ville en cité providentielle, au nom d'une transcendance supérieure à celle du souverain lui-même. Centré sur l'imaginaire politique des élites lyonnaises, leur action et leurs songes, ce livre offre une compréhension renouvelée des mécanismes de l'État royal. Il met en évidence la construction d'un " absolutisme municipal " inattendu et singulier."
Très bon état.
Edité par les Editions du Seuil en 2003 dans la collection "L'Univers historique". Ouvrage en bon état, couverture souple, corps du livre comme neuf, 352 pages, format digest (14X21).
Jean-Frédéric Schaub, né à Paris en 1963, ancien élève de l'École normale supérieure, ancien membre de l'École des hautes études hispaniques-Casa de Velázquez, est actuellement maître de conférences à l'École des hautes études en sciences sociales; Quand Lavisse affirme "Louis XIV fut un roi plus espagnol que français...", il reprend un thème élaboré dans le Refuge protestant et illustré au XIXe siècle par les historiens de tendance républicaine. S'agit-il simplement de l'enregistrement d'un argument pamphlétaire? On peut penser, au contraire, que la dette de la monarchie française à l'égard de l'espagnole fut bien réelle. Les textes français du Grand Siècle témoignent de la réception d'un héritage espagnol que Versailles et l'affirmation nationale postérieure ont fini par gommer. Retrouver les traces de cette reconnaissance, c'est critiquer les fondements de l'"exception française" tout autant que de la "différence espagnole". (Source : Seuil )
, Paris, L.G.D.J. 1997 [1951], in-8, br., bon état, int. frais, 548p.
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Hachette. 2000. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 502+441 pages.. . . . Classification Dewey : 944.03-Histoire de France de 1589 à 1789
Classification Dewey : 944.03-Histoire de France de 1589 à 1789