Coll. "Encyclopédie de la Méditerranées" n° 25, Aix-en-Provence, éd. Edisud, 2004, in-12, cartonnage souple, couv. ill. coul. éd., 96 pp., nb. cartes et reproductions de documents anciens en noir, sommaire, bibliographie, L'histoire des étrusques qui sont à l'origine du développement des civilisations de la Méditerranée. Pas courant Très bon état
Reference : 71349
Le Festin de Babette
M. Robert De Jonghe
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DOSSIERS DE L'ARCHEOLOGIE. 1992. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 82 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 930.1-Archéologie
Sommaire : Les étrusques et l'Europe - la recherche sur les étrusques et l'apport de la France - le commerce des étrusques et l'apport de la France - le commerce des étrusques dans le midi de la gaule - les échanges transalpins du grand nord est - un site princier à Bourges importations étrusques et grecques - l'occident européens et les étrusques - musarna des étrusques à l'Italie romaine - les urnes cinéraires étrusques - des hommes et des démons - pourquoi un corpus des miroirs étrusques - les bronzes étrusques du cabinet des médailles - l'université française et l'étruscologie - bibliographie lexique - les grandes dates de l'histoire étrusque. Classification Dewey : 930.1-Archéologie
Berlin, G. Reimer, 1840 (1843)-1845 2 vol. in-4 carrés, 8-[4]-97-4 et 8 pp. de texte, avec 241 planches mal chiffrées CCXL (il ya deux planches différentes chiffrées XXIII) gravées au trait et montées sur onglets, demi-chagrin maroquiné vert, dos à nerfs ornés de lions dorés, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Rousseurs souvent abondantes, mais bon exemplaire.
Edition originale des deux premiers volumes de ce recueil iconographique de premier ordre, qui devait finir par composer une collection de cinq volumes (le dernier publié en 1897 de manière posthume par les soins de Adolf Klügmann et Gustav Körte) et totaliser plus de 600 planches. Le premier volume comporte les deux dates de 1840 et 1843 ; à partir de la seconde section du volume I, le texte se présente en français.C'est là l'une des publications les plus intéressantes de Eduard Gerhard (1795-1867), qui mit à profit ses trois voyages italiens et ses découvertes en étruscologie pour composer, dans le cadre de ses fonctions au Musée royal de Berlin, ce tout premier corpus un peu raisonné des miroirs étrusques. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Ces deux premières éditions magnifièrent les antiquités grecques et romaines, et exercèrent la plus grande influence dans le développement du mouvement néo-classique en France et en Angleterre. Paris chez l’auteur, (de l’imprimerie de Cailleau), 1785 [- 1788]. 5 volumes in-8 : [2]-103-[1], 134, 142, 180-[4], 110-[2] pp. ; 365 h.-t. protégées pour la plupart par des serpentes. Complet. Plein veau marbré, triple filet doré cernant les armoiries sur les plats, dos à nerfs fleuronnés dorés et étiquettes de cuirs rouge et vert, filet et roulette dorés sur les coupes et remplis, tranches dorées (T. V non armorié. Reliure armoriée de l’époque. 200 x 125 mm.
Première édition in-8 et seconde édition (après l’originale de Naples, 1766) illustrée de 366 hors-texte : 5 titres-frontispices et 361 sujets numérotés sur 360 planches presque toutes rehaussées à l'aquarelle sépia figurant des vases, sculptures, peintures, statues.., reproduits d'après les collections de William Hamilton, ambassadeur d'Angleterre en Italie. Les sujets 28-29 du tome I sont tirés sur une même feuille, la pl. 1 du t. III en rehaussée de 4 couleurs, les tables signalent un total de 357 sujets auxquels il faut en rajouter 4 non signalés). Les armoiries du dédicataire, le comte de Néale, ont également été rehaussés de couleurs. Ces deux premières éditions magnifièrent les antiquités grecques et romaines, et exercèrent la plus grande influence dans le développement du mouvement néo-classique en France et en Angleterre. Cohen de Ricci 474, Blackmer 345, Berlin Katalog 890. Ambassadeur d'Angleterre à Naples à partir de 1764, Sir William Hamilton prit une part active aux recherches exécutées dans les ruines d'Herculanum et de Pompéi. Il eut à cœur de réunir des richesses artistiques de l'Antiquité et acquit notamment une extraordinaire collection des vases antiques, de la maison Porcinari, qu’il céda ensuite au British Museum. La plus grande partie de ses œuvres d'art furent perdues en 1800 dans un naufrage à son retour en Angleterre. Durant son séjour à Naples, Sir Hamilton chargea Pierre-François-Hugues dit d’Hancarville, dont il appréciait l’érudition et le talent artistique de réaliser une magnifique publication pour permettre au public lettré et amateur d’art d’admirer la beauté des collections réunies. Provenance prestigieuse : Tsar Paul 1er de Russie (né en 1754, tsar en 1796, assassiné en 1801), fils de la Grande Catherine (supra libros, sauf le tome V qui n'est pas armorié : armoiries centrales des Romanow, a senestre les armoiries de sa seconde femme Sophie Feodorowna von Wurtemberg, 1759‑1828, a dextre les armoiries de son père le comte Karl Friedrich von Holstein-Gottorp, 1700‑1739).
DOSSIERS DE L'ARCHEOLOGIE. 1977. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 130 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 930.1-Archéologie
Sommaire : Les étrusques ce peuple fascinant de l'Italie préromaine - mille ans d'histoire étrusque - les sites étrusques en Italie - l'origine d'un peuple débat autour d'une énigme non résolue - la langue étrusque des mots qu'on sait lire et qui gardent leur secret - une religion révélée les dieux et le destin des hommes - dix siècles de bronzes l'âme étrusque et les séductions de l'Orient - la peinture étrusque peinture funéraire aux couleurs de la vie - les étrusques et la mer une piraterie au long cours - naissance de la marine étrusque le rostre et la trompette inventions diaboliques - la nécropole des quattro fontanili à véies les rites funéraires étrusques - le paysage urbain de l'étrurie urbanisme et architecture - les étrusques en Corse - l'empreinte étrusque en gaule méridionale - les miroires étrusques les deux faces des miroirs vaintés perdues et images gravées - les urnes funéraires et la culture hellénistique - le travail de l'argile les terres cuites - les étrusques au Louvre d'une collection extravagante à une présentation vivante - les étrusques vus par un étruscologue - l'étruscologie a travers ses organismes d'étude en Italie. Classification Dewey : 930.1-Archéologie
<p><meta charset="utf-8"><span>En ce livre, Bernard Sergent rappelle d’abord une évidence Bernard Sergent souvent oubliée : les Étrusques avaient des cousins autour de la mer Égée, et c’est d’une partie d’entre eux qu’ils descendaient. Les Grecs les appelaient Tyrsènes, puis Tyrrhènes. L’auteur étudie ensuite leurs parentés culturelles avec les Minoens, les Mycéniens, l’Anatolie, et, plus loin encore, avec la Mésopotamie, car la civilisation étrusque a de nombreux points communs avec celle des fleuves Tigre et Euphrate.</span><br><span>Au cours de ce voyage, Bernard Sergent tente de résoudre plusieurs énigmes autour des Étrusques. Il combat la thèse la plus répandue et la moins convaincante : les Étrusques étaient déjà italiens depuis un temps préhistorique indéfini… Il se sépare aussi d’une thèse minoritaire, mais fort répandue, d’une origine initialement indo-européenne de la langue étrusque, et il montre que celle-ci est apparentée en fait aux langues (formant une famille à elles seules) de l’est du Caucase.</span><br><span>Le voyage permet de rencontrer le plus célèbre des Tyrsènes, Pythagore, de rendre l’histoire d’Énée aux Étrusques – venu de Troie, il aurait abordé les côtes d’Italie centrale, où l’archéologie montre que les tout premiers Étrusques seraient arrivés, à hauteur de l’île d’Elbe, à la fin du IX</span><sup>e</sup><span>siècle avant notre ère. Et, chemin faisant, l’énorme influence des Étrusques sur la première Rome est soulignée : par elle, nous sommes partiellement les fils des Étrusques.</span></p> Paris, 2025 Les Belles Lettres 502 p., broché 15 x 21,5
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