éd. L’Élan 1947 in-8 br., couv. rempliée, coll. «_Témoignages contemporains_», journal du 6 juin 44 au 31 décembre 45 où l’auteur narre ses déboires, lui qui a publié ses Carnets de route, vibrant plaidoyer pacifiste, en 1942 et qu’on lui reproche à la Libération, édition originale, ex. numéroté sur vélin Lafuma L.L.L.L. (seul grand papier), envoi d’un républicain désabusé à un Prince
Reference : 19626
Le Dilettante
Le Dilettante
7, place de l'Odéon
75006 Paris
France
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Paris S.N.P. Sélection du Nouveau Parthénon 1949 in 12 (18,5x12) 1 volume broché, couverture imprimée, 253 pages [1]. Collection Lotus d'Or, N°2. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Broché Ed. numérotée
Paris, Les éditions de l'Elan, coll. Témoignages contemporains, 1948. In-8 broché de 294-[2] pages, couverture imprimée en deux tons.
Edition originale. "C'est l'épuration, non pas seulement vue, mais vécue par un "épuré" entre autres: professeur, révoqué, écrivain, interdit, père de famille, arrêté, inculpé, emprisonné. Pour quel crime? Au Dépôt et à Fresnes j'ai eu tout le loisir de me le demander". Début de fente à un mors, infimes manques au dos.
Editions de l'Elan. " Témoignages contemporains ". 1947. In-8° broché. 297 pages. E.O.
Quelques passages soulignés par un lecteur enthousiaste. Menus défauts au dos, mais bon exemplaire.
témoignages contemporains in 8 broché, faux-titre, titre, 297 pages, Les éditions L’ELAN Mars 1948. Petites rousseurs sur la couverture
P., SNP (Sélection du Nouveau Parthénon), 1949, in-12, 253 pp, broché, jaquette, bon état (Coll. Lotus d'or). Edition originale sur papier courant, envoi a.s.
Claude Jamet avait été l'élève d'Alain, le condisciple de Soustelle et de René Château à Henri IV et à Normale ; ultrapacifiste et partisan d'un Etat fort, adhérent du RNP de Déat, il dirige à partir d'avril 1944 "Germinal", organe de la "collaboration de gauche". L’auteur des Carnets de déroute avait été nommé professeur de Lettres supérieures à Henri IV par Abel Bonnard, à la place de Jean Guéhenno. Il fut arrêté à l’automne 1944 et libéré dès février 1945, après des séjours au Vel’ d’Hiv’, à Drancy et à Fresnes.