ed. Vineta 1951 in-12 br., l’ami en question est Jean GRENIER qui presente cette correspondance qui court de 1922-1937, edition originale, ex. numerote sur verge chiffon filigrane (2e papier), non coupe
Reference : 17155
Le Dilettante
Le Dilettante
7, place de l'Odéon
75006 Paris
France
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Envoi de la marchandise dès réception du payement.
Paris, Jules Gervais, 1884 in-12, XXIV-460 pp., broché. Rousseurs.
Très attachante figure que celle de l'abbé Perreyve (1831-1865), membre de l'Oratoire du Père Gratry, un des représentants les plus éclairés du catholicisme libéral, ami de Frédéric Ozanam, Lacordaire, Montalembert, Augustin Cochin, etc. Sa courte vie, minée par une tuberculose, fut très riche en rencontres, travaux, publications. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Mardaga.2001.In-8,couv.souple jaune et rouge avec photo.246 p.Etat neuf.
Le Temps qu'il Fait. 1982. In-12. Br. Couverture à rabats. 99 p. BE. Ecritures en page de garde.
Ntel, éd. de la Baconnière 1949. Bel exemplaire broché, couv. Avec rabats d'éd., in-8, 253 pages avec préface.
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1859 ; in-12, broché, couverture jaune imprimée. 2 ff., 383 pp. [Imprimé à Alençon]EDITION ORIGINALE, tirée à 1050 exemplaires, plus 25 exemplaires sur papier vergé fort et 12 exemplaires sur Chine.UN DES 25 EXEMPLAIRES SUR VERGE FORT. Il porte un ENVOI AUTOGRAPHE de l’auteur “à Mouttet, son ami...”.Nous connaissons plusieurs Mouttet : Etienne qui dans les années 1840 a publié divers ouvrages philosophico-politiques; Félix, un poète et chansonnier, et un troisième Mouttet, notaire celui-là, introduit dans les milieux littéraires. Lequel fut l’ami de Du Camp? Ce dernier ne prononce pas ce nom dans ses mémoires.Maxime Du Camp a parcouru la Hollande du 13 au 28 février 1857: Rotterdam, La Haye, Leyde, Amsterdam, Groningue, Utrech... en voiture et en chemin de fer. Il est un guide parfait, aussi bien dans les Musées que dans les rues, les marchés, les cabarets, théâtres, les bas quartiers de Rotterdam, chez les prostituées et les matelots, sur les dunes de Scheveningue, dans le quartier de Rapembourg où les Elzeviers eurent leur imprimerie, chez le petit peuple de Haarlem, chez les diamantaires, sur les canaux... Les catalogues des Musées occupent les pages 255 à 379.DU CAMP (Maxime)Poulet-Malassis n’a publié qu’un seul livre du très contesté Maxime Du Camp. « On l’a chargé de tous les péchés ; sans doute en avait-il commis beaucoup » dit Cl. Pichois in Lettres à Baudelaire p. 140. Fils d’un médecin aisé, Du Camp naquit à Paris en 1822 et mourut à Bade en 1894. Il eut très tôt le goût des voyages. A 22 ans, il alla visiter la Turquie, la Grèce et l’Algérie d’où il rapporta Souvenirs et paysages d’Orient (1848). Un second voyage effectué avec Flaubert mit en valeur ses talents de photographe (Egypte, Nubie, Palestine et Syrie, 1852). A la suite d’une randonnée en Bretagne, toujours avec Flaubert, il écrivit les chapitres de Par les champs et les grèves. Du Camp connut le succès avec des ouvrages à vocation industrielle et sociale. Il est aussi l’auteur de Forces perdues (1867) un roman paru en deux ans avant l’Education sentimentale et qui dépeint la désillusion d’une génération. Avec les Chants modernes (1855) dont la préface est un manifeste, il avait demandé aux poètes de refuser « l’art pour l’art » au profit d’un art didactique (inspiré par le saint simonisme) qui célèbrerait le Progrès, la machine à vapeur ou la locomotive.Du Camp est surtout connu aujourd’hui pour ses Souvenirs littéraires qui constituent un document sur Flaubert et le monde littéraire de son temps. Il fut aussi un des cinq fondateurs de la Revue de Paris à laquelle collabora Baudelaire qu’il avait connu chez Madame Sabatier. En 1885 Du Camp fut désigné, au nom de l’Académie, pour prononcer un discours officiel aux funérailles de V. Hugo. Il dut y renoncer car les journaux intransigeants excitèrent la population parisienne à siffler l’auteur des Convulsions de Paris. L’écrivain valait sans doute mieux que l’homme qui fut accusé d’ « arrivisme », d’hypocrisie, de déloyauté.