Les miséreux. Poèmes et eau-forte. Préface de Mistral. Édition originale très rare. Broché Très bon Marseille Association typographique 1899 1 volume in-8°
Reference : 9247
Librairie Seigneur
Martine Seigneur
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1897 La Pauriho. Frontispice : La Misère. 1897. Eau-forte, vernis mou et gravure au soufre. 120 x 195. Très belle épreuve sur japon in folio 44x34 cm, signée deux fois è l'encre,premier tirage de l'état definitif. Dédicacé en haut à J. M. Chambon ; signé sous l'image. Long envoi autographe de 17 lignes, à l'encre signé et daté 31 dec. 1897 - Toutes marges - repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. DEDICACE : La Misère. 1897. Eau-forte originale inédite, Très belle épreuve sur japon mince, signée en toutes lettres au crayon sous l'image . Long envoi autographe de 9 lignes à l'encre,signé à nouveau à J.M.Chambon - Toutes marges = 44 x 27,7 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. l'aieul : La Misère. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon mince, signée en toutes lettres au crayon sous l'image . Long envoi autographe au crayon de 10 lignes ,signé à nouveau à J.M.Chambon. PS de 2 lignes à gauche - Toutes marges = 44 x 34 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. l'aieul : La Misère. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon mince, signée en toutes lettres au crayon sous l'image; d'une vigeur de morsure incomparable . - Toutes marges = 27,7 x 22 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.La mort à la barque. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon fort, signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Toutes marges = 22 x 34 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €