Broché Très bon Paris Gallimard 2021 1 volume in-8°
Reference : 15478
Librairie Seigneur
Martine Seigneur
Conforme aux usages de la profession.
Paris Paul OLLENDORFF 1896 un volume in-18°, XXXVI 278 pp. Reliure en demi-toile rouge, dos lisse orné de l'auteur et du titre dorés, filets estampés. (dos légèrement frotté, feuillets brunis).
Très séduisant exemplaire à grandes marges conservé dans sa reliure de vélin de l’époque. Leide, Jan de Meurs, 1665. 2 parties en 1 volume in-folio de (9) ff. préliminaires y compris le titre et le frontispice, le portrait gravé et la dédicace, 290 pages, 1 carte dépl., 31 planches sur double-page, marges plus courtes à 1 planche ; 1 f. de titre, 134 pp., 1 f. d’avertissement, 3 planches sur double-page. 114 gravures en tout. Pte. restauration en marge du frontispice, pte. brulure dans la pl. p. 118. Vélin ivoire rigide, tranches jaspées, dos lisse. Reliure de l’époque. 390 x 232 mm.
Première édition française du voyage de Pierre de Goyer et Jacob de Keyser envoyés par le conseil des Indes orientales en Chine. Elle parut la même année et chez le même éditeur que l’édition en hollandais. Chadenat, I, 140 ; Tiele, p. 179, Cordier, Bibliotheca Sinica, 2341. En 1655 le gouvernement général nomma Nieuhoff intendant de l’ambassade envoyée en Chine avec Goyer et de Keyser à sa tête. Les ambassadeurs débarquèrent à Canton le 29 juillet 1655 et y restèrent jusqu’au 17 mars 1656. Ils passèrent par Nankin et durent triompher de l’hostilité des jésuites pour parvenir à être admis le 1er octobre 1656 devant l’empereur de Chine. Revenu à Canton, Nieuhoff s’embarqua pour l’Europe le 31 mars 1657. Dédié à Colbert et orné d’un grand portrait du ministre, l’ouvrage est réputé et recherché pour son iconographie très riche de la Chine connue à l époque. Outre un frontispice gravé et une grande carte dépliante de la Chine, 114 jolies gravures dont 34 sur double-page représentent ainsi les paysages, vues de ports et villes, costumes, faune et flore des contrées visitées par l’auteur. Le tirage, très encré, est superbe. Très séduisant exemplaire à grandes marges conservé dans sa reliure de vélin de l’époque. Il porte un ex-libris armorié du XVIIIe siècle et provient de la bibliothèque Johan August Gylling, 1869 avec ex-libris manuscrit et de la librairie H. P. Kraus, avec étiquette.
[Librairie Vve Jules Renouard] - BIBLIOPHILE JACOB ; [ LACROIX, Paul ] ; Collectif
Reference : 34516
(1868)
1 vol. in-folio cartonnage éditeur pleine percaline doré, dos et plats (belle plaque au plat sup.), richement ornés, toutes tranches dorées, Librairie Vve Jules Renouard, Editeur, Paris, s.d. (circa 1850), 87 pp. avec 24 belles gravures hors-texte sous serpente. [ Contient : ] Conte de Fées (Jacob) - Mon Village (Eugène Muller) - La Fleur du Sang, Chant de la Sorcière (Jacob) - Madame Andersen (Henry Berthoud) - Les Légendes du Château d'Olipherne (Baron Taylor) - Les Petits Antiquaires (Jacob) - Comme il vous plaira (Hippolyte Lucas) - La Forêt de Milis (Emmanuel Domenech) - Damoclès, cantate (Jacob) - Le Barbier de Goettingue, conte fantastique (Gérard) - Henri IV chez Zamet (Jacob) - Journal de la Comtesse (Marquise de Blocqueville) - Le Pilori (Philarète Chasles) - Le Follet et l'Echo (Jacob) - Vivre aux champs (Jules Janin) - Le Muletier de Sanguessa (Cénac Moncaut) - Un tableau de Rembrandt (Bürger) - Jeux et Festins (Emile Deschamps) - L'Anniversaire (Lacroix) - Le Château d'Usson (Jacob) - Pompéia (Maurice du Seigneur) ; La Providence des pauvres gens (Tullie Blum) - La Folle par amour (Jules Janin) - Une Naissance malheureuse (Comte Apraxine)
Bon exemplaire (coiffe sup. très lég. frottée)
Imp. J.Merlas Bordeaux. 1951. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Agrafes rouillées, Intérieur acceptable. Environ 36 pages agrafées - rousseurs sur les plats - deux illustrations en noir et blanc hors texte (un dessin de max jacob - photo de la foire d'octobre de Bordeaux Maurice Sachs,Jean-Loup Simian, Louis Emié, Max Jacob).. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Caricature ou presque par Max Jacob - i, amour du titien - conseils & confidences - quatre méditations chrétiennes - max jacob grand poète - max jacob druidique par Yanette Deltang-Tardif - quand j'écrivains une opérette avec Max Jacob par Henri Sauguet - les pierres de lune par Louis Emié - Max Jacob lampe du soir par Jean Rousselot - propos souvenirs & anecdotes de Max Jacob - prière de Max Jacob par Louis Emié. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
1947 4 ff. anopistographes (27 x 20 cm, environ 36 lignes par page) densément raturés et corrigés, au verso d'un papier à en-tête du journal "Excelsior" + photocopie de la dernière page du texte (27 lignes). Circa 1947.
Première étape de l'article de Hertz sur Max Jacob, qui fut publié dans les Lettres françaises (n° 179, 1947), puis dans Europe (48:489, janv. 1970, pp. 137-41). La bibliothèque de l'Alliance Israëlite Universelle, où furent déposées une grande partie des archives Henri Hertz, dispose d'une étape plus avancée du manuscrit (également 4 ff. sur le même papier à en-tête, AP 5 / 15). Henri Hertz raconte dans cet article sa rencontre avec Max Jacob, chez Apollinaire, avec lequel il entretint des relations amicales, de même qu'avec Picasso. Sa contribution à la Phalange, ainsi que le mysticisme de ce juif converti au catholicisme sont également évoqués. Henri Hertz (1875, Nogent-sur-Seine, 1966, Paris) n'est pas pour rien dans le lancement de la carrière littéraire de Max Jacob, dont il fut très proche. En 1895, il s'installe à Paris et collabore à la Revue Générale Internationale de Louis Gastine. En 1901, il publie les Contes de la Soif dans la Revue des Indépendants puis entre à la Revue Blanche, dirigée par les frères Natanson. Quelques années plus tard, il se lie d'amitié avec Max Jacob et Apollinaire. En 1909, il publie la pièce Des Mécréants, Grasset, et en 1912, les Apartés, Éditions de la Phalange, recueil de vers bien salué par la critique.Max Jacob a dit de lui que "c'est l'un des écrivains les plus singuliers du moment", et "qu'il y a du dadaïsme, gidisme et tout le naturalisme au complet" dans son oeuvre. Apollinaire le cite dans sa conférence sur la Phalange Nouvelle en 1908. Il est un des collaborateurs de sa revue Le Festin d'Esope. Ami de Jean Royère, directeur de la Phalange, il donnera des textes à sa revue. Il collabore activement, avec Apollinaire, Jacob, Royère, Klingsor, Soupault, Reverdy, Fagus, Valéry, Aragon, Canoudo, Viélé-Griffin, Breton... à la Revue les Trois Roses, fondée à Grenoble, en juin 1918, par Justin-Frantz Simon. Henri Hertz reçoit le Prix Mallarmé pour l'ensemble de son oeuvre en 1928. Bel état.