‎BENOIT XIV‎
‎Constitutio‎

‎PRINCIPES constitutio-monarchiques de la France. Erreurs dévoilées sur ce point important. Une foi, une loi, un roi. Seule & vraie constitution de la France, qui n'eut jamais besoin d'être écrite pour être sentie des peuples, moins encore d'être interprêtée pour le bonheur des citoyens & la prospérité de l'Empire. Dédiés à Dieu, au Roi, à la Patrie. Par un auteur connu, resté toujours fidèle à son roi, et constamment attaché à sa patrie.‎

‎Au Cap de Bonne Espérance, et se trouve à Paris, Chez les principaux Libraires, 1789. 2 parts in 1. (4), 84 pp.; 91 pp. 8vo. Modern half morocco, marbled boards, gilt lettering. Martin & Walter, Anonymes, 14393 (different edition without the first part); Monglond i, p. 126. Discusses the political situation from a catholic point of view. The second part is entitled: Suite des Principes Constitutio-Monarchiques de la France, Et des erreurs dévoilées sur ce point important. Dissertation sur les propriétés de l'Eglise de France, & sur les droits utiles & honoriques attachés aux fiefs de la Noblesse, dont l'orgine des unes & des austres est absolument la même. (Drop-head title). ‎

‎La véritable conspiration dévoilée, ou réflexions sur un ouvrage de M. de Chateaubriand, pair de France, chevalier de Saint-Louis. - Grandes dénonciations de M. le vicomte de Chateaubriand. - Lettre d'un plébéien à monsieur le vicomte de Chateaubriand sur la proposition relative aux dernières élections, et ce qui suit dans la brochure publiée par le noble pair. - Quelques mots sur un pamphlet de M. le vicomte de Chateaubriand ayant pour titre : "Du système politique suivi par le ministère". - Première lettre de M. ... à M. le vicomte de Chateaubriand. - Lettre à M. le vicomte de Chateaubriand concernant un pamphlet intitulé "De la monarchie selon la charte". - Réfutation des erreurs de M. le vicomte de Chateaubriand de la Charte constitutio‎

‎L'Huillier Delaunay Plancher Lelong Pelissier | Paris 1816 & 1818 | 12.50 x 20 cm | 9 opuscules reliés en 1 volume‎

‎Editions originales pour chacun des 9 volumes, tous ont été publiés anonymement sauf les quatrième et sixième. Reliure à la bradel en plein cartonnage vieux rose, dos lisse passé, pièce de titre de chagrin marine, épidermures sur les plats, coins émoussés, tranches jaunes, reliure de l'époque. Taches d'encre sur la première garde et les deux pages suivantes allant en s'amenuisant pour disparaître, une autre affectant le troisième opuscule sur la plupart des pages, une autre tache d'encre affectant plus légèrement en pied et sans atteinte au texte les pages du deuxième opuscule, rousseurs éparses. Rare réunion de textes prenant la défense ou éreintant l'action politique de Chateaubriand lors des années courant de 1816 à 1818. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎Nova constitutio artis revellendi per venarum Sectionem. - (Angebunden): Ders.: Epistolae medicinales locis multis auctae; in quibus de oxymelitis facultatibus, & curatione pleuritidis, morborumque articularium tractatur; eiusdem De hemitritaeo, sive de febre semitertiana libellus; item Miscellaneorum de re medica liber omnino utilis, alias non editus.‎

‎2 Titel in 1 Band. (Zürich, Christoph Froschauer, ca. 1575); und Zürich, Christoph Froschauer für Johannes Wolf. 1592. 16x9 cm. 12 n.n. Bl., 128 Bl.; 176 Bl. und 2 mehrfach gefaltete (1 Holzschnitt-) Tafeln. Flexibler Pergament-Band der Zeit, die ursprünglichen Schliessbänder ausgerissen.‎

‎VD 16 D 2980 und 2973. - Vischer C 1056 und N 9. - Durling 1322 und 1324. - Hirsch II, 238. - 1: Zweite Ausgabe nach 1557. - 2: Erste Ausgabe. - Taddeo Duno (1523 Locarno - 1613 Zürich) stammt aus einer alte Locarneser Adelsfamilie. In jungen Jahren wurde er vom Mailänder Theologen Giovanni Beccaria beeinflusst, der ab 1536 Lehrer an der Lateinschule in Locarno war und unter seinen Schülern und deren Familien die ersten reformatorischen Ideen verbreitete. Duno studierte danach Medizin und Freie Künste in Basel und in Pavia, wo er den Doktortitel erwarb. 1549 nahm er zusammen mit Beccaria an der Disputation von Locarno teil, worüber er in seinem "De persequutione adversus Locarnenses" (1602) einen Bericht verfasste. Seine religiösen Ansichten trugen ihm 1551 eine Anzeige bei der Inquisition ein, während er seinen Arztberuf in Asso (Como) ausübte.1553 kehrte er mit seiner Familie nach Locarno zurück. Kurz danach wurde der Fall der Reformierten von Locarno an zwei Tagsatzungen in Baden verhandelt. Der endgültige Schiedsspruch stellte die Reformierten vor die Alternative, abzuschwören oder zu emigrieren. 1555 verliessen er und etwa hundert andere Locarneser die Stadt und wandten sich durch das Misox und über den San Bernardino nach Zürich, wo er weiterhin den Arztberuf ausübte. Als Kenner der medizinischen Theorien von Hypokrates und Galen richtete er von jetzt an seine Aufmerksamkeit auf die Naturbeobachtung und Epidemiologie. Die Ergebnisse seiner Überlegungen wurden später in "De respiratione contra Galenum" (1588) gesammelt. Das Werk "Epistolae medicinales" (1592) stellt eine erste Untersuchung über den Zusammenhang zwischen dem Wetter und dem Auftreten von Krankheiten dar. Neben einer intensiven wissenschaftlichen Tätigkeit auf dem Gebiet der Medizin übersetzte er Werke der Geschichte, Theologie und Mathematik ins Lateinische. (HLS). - Behandelt verschiedene medizinische Themen. 1: Mit einer schönen Holzschnitt-Tafel zu den Venen, hier am Ende des 2. Bandes eingebunden. - 2: Wie häufig fehlt die gefaltete Tabelle. - Stellenweise stärker gebräunt. Blatt 80 des zweiten Titels mit kleinem Papierverlust im Bug (ca. 1 x 3 cm) mit wenig Textverlust. - Selten.‎

‎Réflexions sur les affaires politiques du tems présent de la France.. Première partie. Développement du sistème actuel politique de l'Assemblée nationale, quant à une nouvelle et uniforme constitution, qu'elle se propose de donner incessamment pour tout le Roiaume. - Seconde partie. Erreurs et principes dévoilés du plan projetté de régénération actuelle de la France. - Troisième partie. Détails intéressans sur les diverses causes des insurrections populaires qui se sont malheureusement trop fait sentir dans la majeure partie des provinces du Roiaume, et particulièrement dans celles du Limousin, du Périgord, l'Auvergne, le Rouergue, le Querci, l'Agenois, la Gascogne, le Languedoc, etc. (...). Ouvrage dédié aux citoyens victimes de la Révolution. Par l'auteur des Principes constitutio-monarchiques de la France‎

‎Paris, chez les principaux libraires, 1790 2 vol. in-8, viij pp., [207] pp. mal chiffrées 205 (il y a deux ff. différents chiffrés 159-60), 43 pp. [Discours de l'archevêque d'Aix sur la constitution civile] ; titre, 26 pp., pp. 9-115, 12 pp., 45 pp., 81 pp., demi-basane bouteille, dos lisses ornés de filets dorés (rel. du XIXe siècle). Coiffes frottées, gardes renouvelées, mouillures au début du vol. I., derniers ff. rognés en angle supérieur, sans perte de lettres.‎

‎Unique édition, peu commune, de cette dénonciation anonyme d'à peu près tout ce qui constituait les nouvelles mesures adoptées par l'Assemblée constituante. Le titre du volume II est spécial, regroupant les sous-titres des trois pièces chiffrées 26, 115 et 45.La composition est chaotique à souhait : les deux premières parties, très inégales, occupent le volume I, tandis que la troisième partie termine le volume II, avec son tour d'horizon des troubles de province , mais ce dernier volume, centré sur les problèmes religieux consécutifs à la promulgation de la Constitution civile du clergé, se compose essentiellement de la reprise de pièces publiées par ailleurs sur les querelles de l'acceptation.Le style est déclamatoire et volubile à la fois ; on est loin de la force d'un Burke ou de l'élégance de Maistre.Martin & Walter, Anonymes, 15 467. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎MEDICAMENTORUM CONSTITUTIO seu formulae Caroli Barbeirac‎

‎Lugduni sumptibus Fratrum de Tournes typis Petri Bruyset 1751 ( E. O. ) 1 vol. in-12 ( 17,5 x 10 cm ) ( poids : 400 g ) T. , ( 5 ) ff. n; ch. , 526 , ( 2 ) pp. . En latin . Contient : Bibliopola candidis philiatris ; Pondera et mensurae ; Index capitum ; Approbatio ; Privilège général ; Liber primus De remediis internis ; Liber secundus De remediis externis ; Liber tertius De remediis mediis ; Errata . Bandeaux , lettrines . Pleine basane de l' époque . Dos à cinq nerfs , caissons dorés , p. de titre ( Traité de médicam ). Toutes tranches marbrées . Bon état . Petit manque au mors sup. et à la coiffe sup. . Une garde blanche froissée . Papier légèrement et uniformément jauni . ( Collat. complet ) ‎

‎E. O. de cet ouvrage de pharmacopée peu courante , oeuvre posthume de Charles BARBEYRAC ( 1649 - 1699 ) d' après les notes transmises par son neveu Antoine Sidobre (1672 - 1747) , médecin de l' Université de Montpellier , médecin du roi par quartier , puis médecin consultant de Louis XV et par des étudiants en médecine de Montpellier . Charles Barbeyrac , issu d' une famille noble de Provence , étudia la médecine à Aix-en-Provence , puis à Montpellier , fut bachelier en médecine en 1648 , puis licencié et docteur en 1649 . " En 1658 , il y eut des disputes publiques à l' occasion de deux chaires de professeur vacantes (...) . Charles Barbeyrac se mit sur les rangs , quoique la religion protestante , dont il faisoit profession, ne lui permit pas d' y prétendre . Il n' avoit en cela d' autre vue que de faire connoître de plus en plus son mérite . Ces disputes lui firent beaucoup d' honneur , & sa réputation augmenta si fort , qu' il fut en peu de tems le médecin de Montpellier le plus employé . Elle se répandit bientôt dans le royaume & dans les païs étrangers . On le consultoit de toutes parts pour les cas les plus difficiles , & on l' appelloit souvent en plusieurs villes des plus considérables du Royaume . Mademoiselle d' Orléans voulut l' avoir auprès d'elle : il refusa cet emploi (...) . Le cardinal de Bouillon le fit son médecin ordinaire par brevet , avec une pension de mille livres , quoiqu'il ne fut pas obligé d' être auprès de sa personne ( .... ) . La plupart des étudiants , dont il y a toujours un grand nombre à Montpellier , tâchoient autant qu' il leur étoit possible , de profiter de sa conversation . Il y en avoit dix ou douze qui l' accompagnoient tous les jours chez les malades . Il les entretenoit , chemin faisant , de la maladie qu' ils venoient de voir & des remèdes qu' il avoit ordonez , & il répondoit avec un jugement exquis & une présence d' esprit merveilleuse à une infinité de questions qu' ils lui faisoient sans cesse sur les plus importantes matières de la médecine : de sorte qu' on peut dire que les plus habiles médecins de l' Europe , qui avoient fait leurs études à Montpellier de son vivant , avaoient été ses disciples . " ( Moréri , " Le grand dictionnaire historique ... " , Vol. 2 , p. 63 , P. Brunel , 1711 ) . S' inspirant très largement de Moréri , F. Granel , dans " Pages médico-historiques montpelliairaines " ( Section 6 ," Une belle figure de médecin montpelliérain au XVIIe siècle Charles Barbeyrac (1629 -1699 ) rénovateur de l' hippocratisme " , Causse & Castelnau , 1964 ), confirme : " Charles Barbeyrac est un des grands noms de la médecine au XVIIe siècle . Sa notoriété , il la doit à sa valeur de praticien ; il n' a pas appartenu à l' Université , il n' a jamais eu de fonction officielle ; cependant son nom est arrivé jusqu' à nous . Ceci parce que , pendant 50 ans , il fut à Montpellier le médecin recherché et écouté dont les succès thérapeutiques ne se comptaient plus . Sa réputation était grande et débordait le cadre de la ville . Consulté de toutes parts pour les cas difficiles , il était appelé dans les villes les plus considérables du Royaume , par les personnages du plus haut rang . Ce n' est pas trop de dire , a écrit à son sujet son illustre contemporain Locke , que de tous les points de la France on avait recours à ses lumières . Il était même connu dans l' Europe entière , et Moreri a dit de lui qu' il fut à son époque un des plus savants et des plus illustres médecins de l' Europe (...) Ce qui a fait essentiellement la valeur médicale de Barbeyrac , c' est sa conception hippocratique de la médecine , son attachement à l' analyse clinique et en ce sens on peut dire qu' il a rénové la tradition montpelliéraine ." ‎