Belle lettre signée par le maire de Saint Ambroix, Castillon, ainsi que par Rédarès, Joseph Silhol, Marcantoine Deleuze et Domergue. Adressée à la municipalité d'Anduze le 25 brumaire an 2 (15 novembre 1794). Il est joint le procès-verbal à propos de la conduite du citoyen VILLERS capitaine commandant la compagnie de dragons de Montélimar. Jean-Alexis REDARÈS était notaire royal de Saint-Ambroix avant la Révolution, puis notaire à Pont-Cèze (nom révolutionnaire de Saint-Abroix), enfin officier municipal de la municipalité de Saint-Ambroix (ou Pont-Cèze). On trouve sa signature sur de nombreux documents de la période révolutionnaire. Il semble avoir joué un rôle important lors de l’affaire très sérieuse du Camp de Jalès. Broché Très bon Saint Ambroix 15 novembre 1794 en feuille
						Reference : 12882
					
Édition originale
Librairie Seigneur
 Martine Seigneur
					
 
							Conforme aux usages de la profession.
 Saint-John Perse pour Fontaine. Projet d'un numéro spécial qui ne verra jamais le jour Washington - 2800 Woodley Road, 2 mai 1948. 4 pages 1/2 en 5 f. (180 x 265 mm) sur papier vergé fin, à l'encre noire. Long courrier de Saint-John Perse au directeur de la revue Fontaine, Max-Pol Fouchet, alors que ce dernier envisage un numéro spécial consacré au poète. 
Quinze jours plus tôt, Fouchet lui avait confirmé que tous les voyants étaient au vert : « Au travail, plus que jamais. Je n’ai pas cessé, d’ailleurs de préparer les futurs numéros, avec la certitude que Fontaine ne pouvait disparaître. L’hommage à Saint-John Perse n’a rien perdu de mes soins. Je le prévois pour le n° 66 (15 juillet). Tous les collaborateurs (André Gide, Denis de Rougemont, Gaëtan Picon, Albert Béguin, Marcel Raymond) ont été ‘relancés’. Dans une semaine, je vous dirai et le plan du sommaire et ceux qui y participent. Je viens d’écrire à Georges Schéhadé et à Gabriel Bounoure, que ce projet enthousiasmait. Dès que ces études me seront parvenues, nous bâtirons. […] » (lettre de M.-P. Fouchet à Saint-John Perse du 15 avril 1948). De si bonnes nouvelles, se réjouit le poète, alors que Fontaine connaît des difficultés : « Non, cher Ami, Fontaine ne pouvait pas périr !… Mais que votre lettre est émouvante dans sa simplicité. Je n’ai pas de peine à mesurer ce qu’a pu être votre épreuve, au plus intime et solitaire de vous-même. J’aime qu’à travers tout, j’aime qu’envers et contre tout, vous ayez su garder en vous le courage de ne pas désespérer. L’action est dure, pour l’entreprise intellectuelle, sur le plan des nécessités matérielles. Puissiez-vous, humainement, avoir trouvé du moins quelque solidarité de cœur, à Paris, parmi tous ceux qui doivent tant à la poursuite de votre effort. L’épreuve fait mieux comprendre ce qui a été en péril. C’est le destin même de votre Revue qui semble réaffirmé, et sa mission, mieux éclairée. Sa maladie de croissance est faite, à l’heure la plus malsaine, et sa survivance est assez symbolique pour animer autour d’elle le meilleur, et le plus sain, et le plus précieux. Mes félicitations pour votre victoire, et, pour votre nouveau combat, mes vœux, encore plus confiants et plus ‘exigeants’. Je m’emploierai de mon mieux, de ce côté de l’eau, à vous assurer le plus de sympathie possible, et, s’il se peut, de solidarité. Il y a là de la chose française en jeu, comme je souhaiterais qu’on l’entendît. Je suis touché de penser qu’au milieu de tant de soucis vous ayez gardé celui de ce numéro d’hommage dont vous voulez bien me reparler. » Le dernier numéro de Fontaine mis en vente date alors de… novembre 1947 (n° 63). Les sommaires, depuis, sont envisagés, les textes regroupés. Mais faire renaître Fontaine paraît vite impossible, malgré les envies. Une annonce aux autorités est même donnée le 28 avril 1948, avec un plan de parution détaillé. C’est probablement ce qui rend Fouchet si optimiste concernant son projet avec Perse, qui aurait représenté un retour à la littérature des plus importants. Las, la publication du numéro 64 sera sans cesse repoussée, prolongeant la lente agonie du titre, ce qui provoquera des inquiétudes, légitimes, chez le Saint-John Perse en juin. Ce numéro d’hommage sera néanmoins publié deux ans plus tard, « dans les Cahiers de la Pléiade, augmenté d’autres textes à l’automne 1950, c’est-à-dire quelques mois après la liquidation de la Société des Éditions de la Revue Fontaine, prononcée le 15 juillet 1950. Les noms de Max-Pol Fouchet et Fontaine n’y sont pas mentionnés une seule fois " (in François Vignale, La Revue Fontaine, Rennes, PUR, p. 247). Perse, de fait, avait tout prévu pour ce numéro spécial dont il attendait tant : « Voici, sans plus de phrases, mes réponses à votre lettre : 1° - Je vous envoie sous même pli le texte que vous attendez de moi – titre : ‘Et vous mers...’ (début de poème)’ - [ Faites imprimer en italiques une italique assez pleine, si possible) ; Et surtout assurez-moi, je vous en prie, la garantie d’un envoi d’épreuves à corriger moi-même. (J’y tiens essentiellement, ayant toujours eu tous déboires à cet égard : les ‘coquilles’ ont un goût particulier pour mes textes comme certains colimaçons pour les plantes des grèves.) ] Inutile de me renvoyer le manuscrit avec les épreuves. 2° - Les pages sur Briand dont vous a parlé Rougemont n’ont pas leur place dans votre numéro d’hommage littéraire. Simple discours de circonstance que j’ai eu à prononcer, à titre purement humain, dans une commémoration publique à l’étranger. J’ai pu le retrouver et vous l’envoie amicalement, puisque vous m’en parlez, mais à titre personnel et pas pour publication. Rien de moi, ni sur moi, hors du plan littéraire. Gardez-moi bien, autant qu’il dépendra de vous, contre tout rattachement de St.J.P. à Alexis Léger. Je vous ai déjà dit ce que je pensais des méfaits d’une telle liaison, entre mon plan absolu de poète et le plan latéral d’une vie professionnelle. Ma personnalité privée non plus n’appartient pas au public, et j’aime que vous ayez eu le tact de ne me demander aucun portrait. Si vous croyez devoir conserver telle quelle l’étude de Marcel Raymond, qui avait fait preuve envers moi de la plus grande délicatesse personnelle et à qui je n’ai marqué en fait aucune réserve, soit, mais pas d’autre exception dans ce sens. 3° - J’ai demandé à Breton et à Paulhan de vous donner quelque chose. Leur témoignage me ferait plaisir, amicalement autant qu’intellectuellement. Mais je ne sais s’ils sont informés de la résurrection de ‘Fontaine’ et de la reprise de votre projet. Voulez-vous vous en assurer directement auprès d’eux ? Dans les générations suivantes, que je connais mal, Michaux et Char sont les seuls dont la sympathie littéraire aurait un sens pour moi. Mais je ne connais pas personnellement le premier, et avec le second, que je tiens pour un vrai poète, je n’ai jamais eu qu’un bref échange de lettres. Je suis heureux de vous entendre mentionner Béguin. Je compte sur Rougemont pour me venger un peu d’absurdes interprétations littérales, lui qui a si intelligemment traité de l’ordre ‘fabuleux’ dans son dernier et très beau livre. Avec mon affectueuse pensée, transmettez-lui de ma part ce reproche : de ne m’avoir pas encore fait connaître son adresse en Europe. J’essaie de retrouver pour vous, dans les dépôts épars d’une vie sans foyer, la dernière et très longue lettre que j’ai reçue de Valéry, peu avant sa mort – intéressante, moins pour l’éloge excessif de les premiers poèmes (nous étions trop vieux amis pour qu’il ne fût point partial), que par d’étranges confidences, des plus inattendues, sur les limites de sa conception poëtique (nous n’avions jamais été d’accord à ce sujet). Je m’excuse, cher Ami, de n’avoir pu vous répondre plus tôt. À l’instant seulement votre lettre au retour d’un voyage dans le Sud. Encore tous les vœux que je mets pour vous dans une amicale et très cordiale pensée. Alexis Léger. » 
 Rares pamphlets de Senancour. Paris, Chez les marchands de nouveautés, 1814. 2 plaquettes (125 x 205 mm) de 35 et 38 p. Cartonnage papier marbré moderne. Éditions originales, imprimées à compte d'auteur sur papier vergé. Au verso du faux-titre figure une justification d'une ironie toute senancourienne : « Quand l'auteur d'un écrit qui peut donner lieu à quelques responsabilités ne veut pas y mettre son nom, il me paraît assez convenable que du moins celui qui se charge de le publier le signe. Senancour éditeur. » 
Alors que l'Empire chancelle, Senancour, affilié aux milieux libéraux, publie ces deux pamphlets dans lesquels il prend parti avec une indépendance d'esprit singulière. La Lettre d'un habitant des Vosges constitue une réponse virulente au fameux libelle de Chateaubriand, De Buonaparte et des Bourbons ; malgré la sympathie qu'il témoigna toujours à Napoléon, Senancour ne fut jamais un bonapartiste - pas plus qu'il ne rallia le camp républicain. Comme le résume Escoffier, il s'agit de « la lettre d'un solitaire à l'abri des engouements de la foule ». Dans la Seconde lettre, il souligne l'impossibilité d'une république adaptée aux moeurs françaises, tout en raillant les « républicains des grandes villes » : « Vous n'aimez pas précisément la servitude ; mais ce que vous ne sauriez souffrir, c'est la liberté. » D'une extrême rareté : inconnues de Vicaire et de Carteret, ces deux plaquettes ne figurent pas non plus dans Germond (Les Pamphlets de la fin de l'Empire) ni Davois (Bibliographie napoléonienne). La première sera décrite comme « rarissime » dans le Catalogue du Mouvement romantique (1934) ; la seconde n'y est même pas mentionnée. Clouzot (p. 252) les qualifie de « très rares ». 
 Lettre (112 x 144 mm) datée du 23 juillet 1923. 
Souday remercie Vinson, chef adjoint du cabinet du Ministère de l'Instruction publique de son "aimable lettre" et des bonnes nouvelles dont celle-ci était porteuse. Il exprime sa reconnaissance au Ministre au sujet d'une décision qu'il prît concernant Paul Valéry. « Dites à monsieur le ministre (Léon Bérard) que je lui suis personnellement reconnaissant d'avoir pris cette décision : Paul Valéry est un admirable poète dont la réputation ne fera que grandir...». 
Reference : 35667aaf
e.a. Fribourg, 1900-1920, gr. in-8°, ca. 16-24 p., Verkauf Pro Band/ Vendu Par volume.
50) Lettre du 16.1.1912. Au clergé et fidèles du diocèse Lausanne.... ‘Evêché Lausanne & GE’, n°1.51) Consécration episcopale André Bovet à église coll. St. Michel (FR) le 13.2.1912. 31 p.52) Exhoration de NN.SS. évêques Suisse... à l'occasion Fête Fédérale d'actions de graces 1912.53) Lettre du 12.7.1912. Au clergé et fidèles du diocèse Lausanne.... ‘Evêché Lausanne & GE’, n°4.54) Instruction pastorale André Bovet évêque... pour Consécration épiscopale et du Carême 1912.55) Ordonnance promulguées à suite du synobe 1912. ‘Evêché Lausanne & GE’, n°3.56) Lettre du 17.12.1913. Au clergé et fidèles du diocèse Lausanne.... ‘In Cruce Salus’, n°10.57) Lettre du 19.7.1913. Au clergé et fidèles du diocèse Lausanne.... ‘Evêché Lausanne & GE’, n°9.58) Lettre pastor. de André Bovet & mandemant carême de 1913.59) Lettre du 17.2.1913. Aux fidèles du canton de Fribourg. ‘Evêché Lausanne & GE’, n°7.60) Instruction pastorale André Bovet évêque... sur le sacerdoce et recrutement & du Carême 1913.61) Exhort. de NN.SS. évêques Suisse... à l'occasion Fête Fédérale d'actions de graces 1913. Sion.62) Lettre pastorale d'André Bovet à occasion de la mort St. père le pape Pie X. 1914.63) Lettre pastorale d'André Bovet à occasion de l'élection St. père le pape Benoît XV. 1914.64) Exhoration de NN.SS. évêques Suisse... à l'occasion Fête Fédérale d'actions de graces 1914.65) Instruction pastorale André Bovet évêque... sur la vie familiale & du mandement Carême 1914.66) Exhoration de NN.SS. évêques Suisse... à l'occasion du Jeune fédéral 1915. ‘Dieu et les Peuples’.67) Instruction pastorale André Bovet évêque... sur renoncement chrét. & du mand. Carême 1915.68) Lettre du 14.5.1915. Au clergé et fidèles du diocèse Lausanne.... ‘Evêché Lausanne & GE’, n°16.69) Lettre du 3.8.1915 adressée à M. le Curé pour mort de l'Evêché Lausanne & GE.70) Reverendo Clero universo diocesis Lausannensis et Genevensis. 1915. N°1.71) Allocution de NN.SS. évêques Suisse... à l'occasion Fête Fédérale d'actions de graces l'an 1916.73) Lettre du 28.4.1916 de Placide Colliard. ‘Evêché Lausanne & GE’, n°3.74) Lettre du 18.1.1916. Au clergé et fidèles du diocèse Lausanne.... ‘Evêché Lausanne & GE’, n°1.75) Allocution de NN.SS. évêques Suisse... à l'occasion Fête Fédérale d'actions de graces 1917.76) Instruction pastorale Placide Colliard évêque... sur l'autorité & du mandement de Carême 1917.77) Instruction pastorale Placide Colliard évêque... sur l'abus de boisson & du mand. Carême 1918.78) Allocution de NN.SS. évêques Suisse... à l'occasion Fête Fédérale d'actions de graces 1918.79) Instruction pastorale Placide Colliard évêque... sur fondement paix & du mandem. Carême 1919.80) A. Savoy: Tâches de démocratie chrétienne en Suisse. 1919. 36 p. In-8°.81) Allocution de NN.SS. évêques Suisse... à l'occasion Fête Fédérale d'actions de graces 1919.82) J. Fragnière: Dévotion au Sacré Coeur de Jésus dire qqe chose aux hommes notre temps? 1920.83) Péril Social. Alloc. de NN.SS. évêques Suisse... Allocut. Fête Fédérale d'actions de graces 1920.84) Lettre du 21.6.1920. Au clergé et fidèles du diocèse Lausanne.... ‘Evêché Lausanne & GE’, n°1.85) Tiberghien: L'encyclique Rerum Novarum... Nlle éd. ‘Bibl. cercles d'étude’. 80 p. Tourcoin, 1920. 86) Lettre du 10.2.1920 à M. Curé pourannoncer mort de Placide Colliard, l'Evêché Lausanne & GE. 
 
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Paris, Imprimerie de Chalon [puis :] Imprimerie de la Société littéraire, 1790 400 livraisons en 8 vol. in-8, vélin rigide, dos à nerfs, tranches mouchetées de rouge [vol. I-IV et VI-VIII], broché sous couverture d'attente de papier bleu, dos fendillé [vol. V] (reliure de l'époque). Mouillures au vol. V.
Exceptionnelle collection complète de ces Lettres bougrement patriotiques rédigées par le journaliste jacobin Antoine-François Lemaire (1758-?). Ce périodique, inspiré évidemment de celui d'Hébert, mais librement (après tout, la figure populaire du Père Duchêne, antérieure à la Révolution, était un bien commun de la littérature de revendication), parut de façon irrégulière de 1790 à 1792 (en tout 400 livraisons). A partir de la déclaration de guerre, le titre se transforma en La Trompette du Père Duchêne.Nous avons les livraisons suivantes, de 8 pp. chacune, la plupart comportant un sous-titre spécifique :I. [Volume I] 1. A tous les soldats de l'armée. - 2. Au peuple. - 3. Sur les assignats. - 4. Aux mécontens. - 5. Cinquième lettre. - 6. Sixième lettre. - 7. Septième lettre. - 8. Huitième lettre. - 9. Neuvième lettre. - 10. A tous les matelots de l'armée navale. - 11. Onzième lettre. - 12. Douzième lettre. - 13. Missionnaires à envoyer pour prêcher la Constitution. - 14. Moyen très-simple pour avoir la paix sans effusion de sang. - 15. Comparaison. - 16. Seizième lettre. - 17. Motion du Père Duchêne pour que tous les Français indistinctement se tutoyent. - 18. Un petit mot relatif au clergé. - 19. Sur le duel. - 20. Projet de bienfaisance du sieur Lafarge. - 21. Vingt-unième lettre. - 22. Au Fauxbourg S. Antoine. - 23. Vingt-troisième lettre. - 24. Comparaison. - 25. Terrible vengeance et générosité du peuple de Perpignan. - 26. Aux amis de la paix. - 27. Les ânes tous trouvés pour faire monter les écrivains aristocrates. - 28. Bienfaits de l'Assemblée Nationale et du Roi. - 29. Histoire d'un pauvre chien, brûlé vif en Espagne par l'Inquisition, pour avoir passé, de Barèges, des papiers patriotes. - 30. Sur le refus du serment par les évêques et curés. - 31. De la nécessité de former des sociétés fraternelles. - 32. Trente-deuxième lettre. - 33. Trente-troisième. - 34. Trois aristocrates de la première force arrivés à Paris. - 35. Trente-cinquième lettre. - 36. Un mot sur les troubles d'Avignon. - 37. Aux citoyens. - 38. Un coup de patte à l'aristocratie. - 39. Moyen facile de ramener la paix dans l'Église de France. - 40. Le plus utile, le plus satisfaisant des décrets. - 41. Réflexions sur une pétition des citoyens catholiques de Strasbourg, soi-disant au nombre de 30,000, adressée au Roi. - 42. Quarante-deuxième lettre. - 43. Petits moyens employés pour parvenir à de grandes choses dans la paroisse de Saint-Sulpice. - 44. Réflexions sur les menées des aristocrates en Alsace. - 45. Un mot sur l'impôt. - 46. Article premier, sur l'impôt. - 47. Au peuple, dont je veux être toute la vie le bon ami. - 48. Quarante-huitième lettre. - 49. Article second, sur l'impôt. - 50. Aux amis de la Constitution. -Entre les livraisons 9 et 10 : L'Ami des soldats. Par l'auteur des Lettres bougrement patriotiques. Paris, Imprimerie de Chalon, 1790, 16 pp. Première et partie et sa suite, qui a donné lieu à deux éditions différentes : l'une, avec une adresse identique à celle de la première livraison, se terminant sur les "Vers sur l'Ami du Roi, par M. Lafite" (c'est le cas ici) ; l'autre faisant suivre cette épigramme des mentions : "Signé, le véritable Père Duchêne" et "à demain ma dixième lettre". Cf. Tourneux, II, 11501. - Martin et Walter, Journaux, 56-a.II. [Volume II]. 51. Les lâches fanfarons. - 52. Troisième article, sur l'impôt. - 53. Suite des réflexions sur l'impôt. - 54. Au Roi, sur sa maladie. - 55. Nouveaux évêques nommés à Paris, à Strasbourg, à Auch. - 56. Sur le décret touchant les successions. - 57. Cinquante-septième lettre. - 58. Deux citoyens massacrés par le peuple à Douai en Flandres. - 59. Espièglerie de l'abbé Maury. - 60. Motion du Père Duchêne, sur les invalides. - 61. Vrai bref du pape. - 62. Encore des coups de pieds au cul. - 63. Un chapeau rouge renvoyé au pape. - 64. La mort d'un Homme [Mirabeau]. - 65. Convoi de Mirabeau. - 66. Dénonciation d'un ministre, par M. de Menou. - 67. Culs fouettés. - 68. Insurrection arrivée, dit-on, à Madrid, capitale de l'Espagne. - 69. Soixante-neuvième lettre. - 70. Soixante-dixième lettre. - 71. Démarche du Roi à l'Assemblée Nationale. - 72. Idées sur l'arrêté que le directoire du département de Paris a publié à l'occasion de la vente des églises où le service ne se fera plus. - 73. L'aristocratie confondue par la lettre envoyée par le Roi constitutionnel des Français, à toutes les cours étrangères. - 74. Charles Villette au véritable Père Duchêne. - 75. Fête civique. - 76. Encore un mot à Monsieur le Pape. - 77. Brûlure d'un pape de papier. - 78. Sur le décret qui nous fout des assignats de 5 livres pour 100 millions (...). - 79. Comment et quand tout cela finira t-il ? - 80.-85. Différentes espèces d'aristocrates et de patriotes. - 86.-87. Prenez-y garde, ou bien au foutard la liberté. - 88. Révolution de la Pologne. - 89. De la peine de mort. - 90. La contre-révolution telle qu'on doit nous l'apporter : on dit comme ça que c'est pour la fin de juillet. - 91. Aux émigrans. - 92. Quatre-vingt-douzième lettre. - 93. Ô les bons apôtres que les jeanfoutres d'aristocrates. - 94.-95. Les souhaits du Père Duchêne entremêlés de raison et de folies. - 96. Tempête patriotique arrivée à Turin. - 97. La liberté ou la mort. - 98.-99. Retour du Roi. - 100. Arrivée du Roi dans Paris. III. [Volume III]. 100. Arrivée du Roi dans Paris. - 101. Sur la déclaration de Louis XVI. - 102. Élection d'un gouverneur pour le Dauphin. - 103. Avis au coëffeur du Roi et de la Reine. - 104. Sur le changement de couleur des drapeaux des régimens. - 105. Vain et sot projet. - 106. Réponse de M. Alexandre Beauharnois, président de l'Assemblée Nationale, aux invalides. - 107. Le Père Duchêne aux ouvriers des ateliers de charité. - 108. L'opinion du Père Duchêne sur notre situation. - 109. Ça finira mal. - 110. Réunion de cagots et d'imbécilles pour empêcher qu'on rende à Voltaire les honneurs qu'on lui prépare. - 111. Encore un mot sur Voltaire. - 112. Au Roi des Espagnols. - 113. Copie d'une adhésion adressée au président de l'Assemblée Nationale (...). - 114. Aux amis de la liberté. - 115. Cent-quinzième lettre. - 116. Le bonheur et la paix, c'est tout ce qu'il nous faut. - 117. La division parmi nous fera triompher nos ennemis. - 118. encore un crime. - 119. Cent dix-neuvième lettre. - 120. Belle action d'un enfant de la liberté. - 121. Sur les faux Duchênes. - 122. Ça n'ira pas sans union. - 123. S'il y a des coupables au quartier de réserve, la liberté est au foutre. - 124. Sur M. Duveyrier. - 125. Adresse à tous les soldats étrangers. - 126. Adresse aux paysans armés par le conseil des prêtres, au nombre de cinq mille, dans le département de la Seine-Inférieure. - 127. Adresse aux Suisses. - 128. Cent-vingt-huitième lettre. - 129. Liste civile. - 130. Heureux présage pour l'assemblée nationale. - 131. Cent-trente-unième lettre. - 132. Mariage d'un prêtre. - 133. Tant mieux, la guerre, foutre. - 134. Encore un mot au Coq. - 135. Les aristocrates auroient-ils le dessus ? - 136. Cent-trente-sixième lettre. - 137. Grands motifs de consolation. - 138. Cent-trente-huitième lettre. - 139. Au Pape. - 140. Duchêne citoyen français, à Gustave Roi de Suède. - 141. Sur le titre de représentant du peuple donné au Roi. - 142. Cent-quarante-deuxième lettre. - 143. Cent-quarante-troisième lettre. - 144. Sur le marc d'argent. - 145. Sur la noblesse. - 146. Adresse aux citoyens de Paris armés pour aller sur les frontières, et maintenant campés à Senlis. - 147. Au Roi des Français. - 148. Récompense accordée par l'Assemblée Nationale aux habitans de Varennes (...). - 149. Bariolace de réflexions. - 150. Sur les contributions publiques.IV. [Volume IV]. 151. A la Garde nationale. - 152.-154. Suite de l'article sur les impositions. - 155. Nouvelle manufacture de princes. - 156. Cent-cinquante-sixième lettre. - 157. Aux soldats. - 158. Aux officiers. - 159.-160. De l'autorité royale. - 161. Des contributions nouvelles. - 162. La Constitution finie et présentée au Roi. - 163-169. Suite sur les contributions. - 170. Scapulaire d'un nouveau genre. - 171. Cent-soixante-onzième lettre. - 172. La Constitution acceptée par le Roi. - 173. Le Roi sans décoration. - 174. Cent-soixante-quatorzième lettre. - 175. Sur le décret en faveur des gens de couleur. - 176. Cent-soixante-seizième lettre. - 177. Le Père Duchêne à l'opéra. 178. Seconde dénonciation aux Gardes nationales (...). - 179. Cent-soixante-dix-neuvième lettre. - 180. Où en sommes-nous ? - 181. Réconciliation du Père Duchêne à moitié faite avec le Coq. - 182. Adieux à l'Assemblée nationale. - 183. Histoire diabolique. - 184. Adresse à la nouvelle législature. - 185. Adresse aux écrivains patriotes. - 186. Honneur aux braves soldats de la garnison de Lille. - 187. Grande peur faite aux petits enfans. - 188. [Sans titre]. - 189. Duchêne au salon de peinture. - 190. Ah ! pour Dieu, laissez-nous donc tranquilles avec votre foutue contre-révolution. - 191. Le premier coup de canon. - 192. Je vous l'avois bien dit que le soir vous diriez noir après avoir le matin dit blanc. - 193. Les intérêts des Parisiens. - 194. [Sans titre]. - 195. Guerre de la bonne compagnie contre la mauvaise. - 196. Rira bien qui rira le dernier. - 197. Sur la police. - 198. [Sans titre]. - 199. En dépit de l'enfer, la Constitution fera le tour du monde. - 200. [Sans titre].V. [Volume V, broché]. 200 (répétée). - 201. Réveillez-vous, Français. - 202. Grande désolation chez les aristocrates. - 203. Grand triomphe des patriotes. - 204. Nouvelle espièglerie aristocratique. - 205. Sur les jeux. - 206. Noble manière de recevoir les conjurés chez les princes. - 207. Sur les prêtres fanatiques. - 208. Discours prononcé le 23 octobre 1791 par M. Le Maire. - 209. [Sans titre]. - 210. Adresse au peuple sur les prêtres qui n'ont pas prêté le serment. - 211. [Sans titre]. - 212. Des décorations. - 213. Réclamation de braves officiers amis de la patrie. - 214. La liberté vengée. - 215. Ce qu'il faut faire. - 216. Les processions nocturnes. - 217. Sur le discours de M. Isnard. - 218. O la bonne besogne que j'en attends de cette assemblée nationale. - 219. Avis très-sérieux aux émigrés. - 220. [Sans titre]. - 221. Adresse à la jeunesse française. - 222. Belle action du sixième régiment de chasseurs (...). - 223. Haro sur les conspirations hypocrites. - 224. La coalition des aristocrates. - 225. L'excès du mal amènera le bien. - 226. Ce que le roi devroit dire aux prêtres aristocrates. - 227. Des lois sages ont fait des fous. - 228. [Sans titre]. - 229. Sur la proclamation du Roi. - 230. L'embarras des prêtres. - 231. Mauvais accueil à M. de La Queuille chez l'Empereur. - 232. Quelques vérités bonnes à dire. - 233. Réponse à des pauvretés, qui n'en mériteroient pas. - 234. Sur la Garde nationale parisienne. - 235. Sur les finances. - 236. Les dangers du nouveau maire de Paris. - 237. Conversation entre Brisefer, dragon patriote, et M. Cagotin, son oncle, curé aristocrate. - 238. En vérité nous sommes fous. - 239. Grande conversation entre le diable et le père Duchêne. - 240. Adresse aux habitans des campagnes. - 241. Honneur à un ci-devant noble, excellent citoyen. - 242. [Sans titre]. - 243. Garre la bombe ! - 244. Instruction publique. - 245. Nouvelles fausses répandues à dessein. - 246. Impossibilité d'une contre-révolution. - 247. Pensées du Père Duchêne. - 248. Une foule de bons Français amis de leur patrie et la liberté, reviennent en France. - 249. Aux émigrants. - 250. Réponse du président de l'Assemblée nationale, à la société des Whigs, constitutionnels anglais.VI. [Volume VI]. 251. Les grands intérêts de la patrie. - 252. Sur la pétition faite par quelques membres du département de Paris (...). - 253. Vous avez demandé à vous instruire sur les dispositions des esprits relativement aux affaires ecclésiastiques. - 254. Attaquerons-nous, n'attaquerons-nous pas ? - 255. Ne perdons pas courage. - 256. Conversation entre Bayonette, grenadier, et la Liberté, dragon. - 257. Sur le discours du Roi, prononcé à l'Assemblée nationale, le 14 décembre 1791. - 258. Encore un mot sur la guerre. - 259. Un petit mot à l'oreille de l'Assemblée nationale. - 260. Courts détails de la cérémonie qui a eu lieu dans la séance des amis de la Constitution, le 18 décembre 1791 (...). - 261. Très-grand, très-étonnant complot des Jacobins (...). - 262. Note sur l'opinion que j'ai manifestée relativement à la question de la guerre (...). - 263. Contraste frappant entre des soldats patriotes et des soldats vauriens (..). - 264. Utilité publique. - 265. La croisade de la liberté. - 266. Sur la notification de l'Empereur au Roi. - 267. État des frontières. - 268. Idées sur la guerre. - 269.-270. Sur une adresse que l'Assemblée nationale doit faire au peuple français. - 271. Marche des patriotes revenant de la chasse aux aristocrates. - 272. Aux peuples chez qui se retirent les émigrés. - 273. Réponse à l'Empereur sur sa notification au Roi. - 274. Un petit mot à l'oreille des soldats français. - 275. Séance des amis de la Constitution. - 276. Beau trait de patriotisme. - 277. Adresse aux femmes patriotes. - 278. Très-révérendissimes capucins évincés à Pau. - 279. Petit échantillon des gentillesses qu'on exerceroit sur les patriotes (...). - 280. Prédictions du père Duchêne. - 281. [Sans titre]. - 282. [Sans titre]. - 283. Réplique simple à tous les bougres qui font entendre que nous devons craindre la banqueroute. - 284. Aux troupes rassemblées sur les frontières. - 285. Extraits demandés par des abonnés. - 286. Prends garde à toi, maître Léopold (...). - 287. Principes des malheurs du peuple. - 288.-289. Nous n'avions qu'un fantôme de monarchie. - 290. Aux ci-devant nobles. - 291. Étrangers, apprenez ce que c'est que le citoyen français. - 292. Qu'est-ce que le Français libre ? - 293. Le tonnerre est patriote. - 294. Souscription pour la liberté de tous les peuples. - 295. Le fin mot (...). - 296. Bel exemple à suivre. - 297. Le plus parfait modèle des soldats français. - 298. [Sans titre]. - 299. Conversation véritable entre un bon villageois et le Père Duchêne. - 300. Moyens pour faire triompher la liberté.VII. [Volume VII]. 301. L'Assemblée nationale au peuple. - 302. Preuve sans réplique qu'on ne veut que des patriotes dans la garde du Roi. - 303. Extrait d'un discours prononcé à Annonai (...). - 304. Sur les bruits du départ projetté du Roi. - 305. Rêve après une ribotte. - 306. [Sans titre]. - 307. Réflexions sur la lettre de Pierre Manuel au Roi. - 308. [Sans titre]. - 309. Guerre de corruption contre la liberté prouvée par un fait. - 310. Honneur au brave patriote Luckner. - 311. Encore une réponse aux jeanfoutres qui voudroient et qui annoncent la banqueroute. - 312. Si vous voulez la paix, préparez la guerre. - 313. Entretien entre M. Bigotin, mon voisin, et moi Père Duchêne. - 314. [Sans titre]. - 315. Abbé foutu en prison par des chasseurs du 6e régiment (..). - 316. À ceux qui ont changé. - 317. Guerre de certains directoires contre les municipalités. - 318. Manoeuvres des écrivassiers aristocruches. - 319. Les barbouilleurs aristobrigands (...). - 320. À tous les Français de tous les partis. - 321. Rapport du père Duchêne qui a rêvé qu'il étoit ministre de l'intérieur. - 322. Apostrophe aux ennemis des sociétés patriotiques. - 323. Patriotes, craignez la division. - 324. Spectacles. - 325. Séance perdue. - 326. Encore du boucan au spectacle. - 327. Discours destiné à être prononcé à la société des amis de la Constitution. - 328. On veut nous lasser, c'est le plan. - 329. Délivrance des soldats de Châteauvieux. - 330. Conte pour rire. - 331. Le carême prenant. - 332-333. Réflexions chaudes d'un Français sur les idées froides d'un Allemand. - 334. Excommunication annoncée par la trompette infernale (..). - 335. Au peuple, sur les troubles du Royaume. - 336. Réflexions d'un ami de la constitution (...). - 337. Des lois, mais non du sang. - 338. Honneur aux femmes patriotes. - 339. Réflexions sur le zèle de la jeunesse française. - 340. Petite querelle du Père Duchêne avec un aristocrate. - 341. Grand remue-ménage dans le ministère. - 342. Mort de l'Empereur. - 343. De quel côté sont les brigands ? - 344. Lettre d'un ci-devant noble au père Duchêne. - 345. Profitons du moment, sans quoi le diable brouillera tout. - 346. Bonnets rouges. - 347. Cloches à fondre. - 348. Conseils au peuple. - 349. Lettre au Père Duchêne sur les bonnets rouges. - 350. Opéra d'Adrien.VIII. [Volume VIII]. 351. Fête civique des élèves de l'Académie de peinture. - 352. Peine de mort. - 353. Aux prêtres qui rétractent leur serment. - 354. Ils sont les braves à faire crever de rire. - 355. Décret sur les colonies. - 356. Le pape en colère. - 357. Nous ne sommes pas au bout. - 358. Trait sublime de patriotisme. - 359. Lettre écrite au Père Duchêne. - 360. Châteaux brûlés. - 361. Insolence bohémienne. - 362.-363. Moyens d'avoir la paix. - 364. Effets perdus ou trouvés. - 365. Les ténèbres. - 366. Motion civique de M. L... - 367. Assassinat du roi de Suède. - 368. Abolition de l'habit de prêtre. - 369. Quoi ! toujours des brigandages. - 370. Conversation du Père Duchêne avec un vieux Allemand. - 371. Nouveau passe-tems du Pape. - 372. [Sans titre]. - 373. Le coup de grâce aux prêtres turbulans. - 374. Fête de la liberté. - 375. Revenons aux prêtres. - 376. [Sans titre]. - 377.-378. Les souhaits du Père Duchêne. - 379. Patriotes, on veut vous désunir. - 380. Qui menace a peur. - 381. Voilà pourtant la guerre, foutre ! - 382. Opinion sur la guerre. - 383. Premier pas des patriotes vers la victoire. - 384. [Sans titre]. - 385. Adresse au peuple sur la guerre. - 386. Adresse à tous les soldats de la patrie. - 387. Plus de tolérance pour le crime ! - 388. [Sans titre]. - 389. Dons patriotiques, offerts avec enthousiasme. - 390.-391. Citation sur les prêtres en général. - 392. Sur la malheureuse affaire de Tournai. - 393. Sur la guerre et la défiance. - 394. Prévoyance, force, activité, surveillance, union, courage et fermeté. - 395. L'expérience naît du malheur. - 396.-398. Réponse à la proclamation des gouverneurs des Pays-Bas. - 399. Avis à mes lecteurs. - 400. Grands moyens de défense pour la France.Martin & Walter, Journaux, 1031. La collation de notre exemplaire correspond exactement à celle, détaillée, de cette bibliographie, que l'on trouvera aux pp. 479-484. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
 
								 
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