‎OSTROROG Comtesse Léon‎
‎Manuscrit autographe signé‎

‎Manuscrit (12 pages) signé, intitulé Aziyadé. Ce manuscrit a été publié dans le numéro spécial de la revue Mercure de Flandre consacré à Pierre Loti ( janvier-février 1931). Émouvant manuscrit dans lequel la Princesse évoque sa visite au cimetière d'Istambul en compagnie de Loti. On joint une lettre autographe signée, présentant son manuscrit et informant son correspondant que "par ordre supérieur de La Porte, le mot Constantinople est rayé du vocabulaire". En feuilles Très bon Stamboul 1929 ‎

Reference : 11289


‎‎

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‎THARAUD (Jérôme et Jean)‎

Reference : 20119

‎Quelques amis alsaciens et lorrains de Barrès : manuscrit autographe signé par Jérôme‎

‎ S.l.n.d. [début de l'année 1931] In-folio, [13] ff. en feuilles (quelques petites taches). ‎


‎Manuscrit autographe signé Jérôme et Jean Tharaud par Jérôme Tharaud, destiné à l'impression. L'article a paru dans un numéro du Figaro le 13 janvier 1931 en une du journal. Il est consacré à l'auteur Maurice Barrès dont les frères furent secrétaires entre 1905 et 1914. Il évoque des ouvrages de Maurice Barrès comme Les Grands Problèmes du Rhin, Au service de l'Allemagne ou encore Colette Baudoche. Il explique la méthode favorite de Barrès pour obtenir les informations nécessaires à son écriture : la discussion avec des personnes connaissant le sujet. À propos de l'Allemagne, il a souvent questionné ses amis le docteur Pierre Bucher (inspiration pour le personnage dénommé Hermann dans Au service de l'Allemagne) et Henri Albert, traducteur de Nietzche. Un intéressant document permettant une plongée dans le système d'écriture de Maurice Barrès. On joint un manuscrit autographe partiel d'une conférence sur le thème de Paul Déroulède. In-folio, 53 pp. dont 12 manuscrites, les autres imprimées, extraites de l'ouvrage des frères Tharaud : La Vie et la Mort de Paul Déroulède et qui contiennent des corrections autographes. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve. ‎

Phone number : 09 78 81 38 22

EUR800.00 (€800.00 )

‎FRIEDMAN Milton (SMITH Adam & WALRAS Léon & MARSHALL Alfred & ALLAIS Maurice & SAMUELSON Paul)‎

Reference : 82270

(1983)

‎Manuscrit autographe signé, préface pour la version française de Price theory‎

‎s.d. (septembre 1983), 21,5x28cm, une page sur un feuillet.‎


‎ There is a long-standing myth that if two economists discuss any topic, they will have at least three opinions about it. (Une légende tenace veut que, si une discussion sur un sujet quelconque s'engage entre deux économistes, il en sortira au moins trois opinions différentes.) Manuscrit autographe signé d'une page rédigée à l'encre noire sur un feuillet de papier ligné jaune et portant en exergue de la main de l'auteur : "Draft 8 - Preface for French edition 8 - Price Theory" ; nombreuses ratures et corrections. En haut à gauche du feuillet, au stylo bille, envoi autographe signé : "For Bernadette Platte, Milton Friedman". Rarissime manuscrit autographe signé du prix Nobel 1976, un des économistes les plus influents du XXe siècle, dont l'ensemble des archives est aujourd'hui conservé à la Hoover Institution Library & Archives, Stanford University. Les quelques manuscrits de Friedman encore en mains privées sont particulièrement désirables et recherchés. Important texte théorique des deux premiers paragraphes de la préface dePrix et théorie économique,première traduction française, parue en 1983 aux éditionsEconomica, de Price Theory.Achevée le 7 septembre 1983 à l'université de Stanford, cette version originale en anglais est totalement inédite. Price Theory,uvre majeure de Friedman (Chicago, Aldine Press, 1962) dont la version définitive fut publiée en 1976, année où Friedman obtint le Nobel, est un essai fondamental directement inspiré par ses cours à la Chicago University. Pour sa première publication en France, sept ans plus tard, Friedman entreprend donc de composer une toute nouvelle préface à l'intention de ce public moins naturellement acquis aux idées monétaristes que les Américains. Notre manuscrit, ultime version d'un texte qui nécessita huit réécritures comme en témoigne l'exergue, porte encore de multiples repentirs soulignant l'attention portée par Friedman à la réception de son travail par le lectorat français. Fer de lance de la politique économique de Ronald Reagan, la théorie des prix de Friedman est issue d'une longue tradition de penseurs français et anglo-saxons que l'économiste prend soin de citer dans ce manuscrit: «From the French physiocrats and Adam Smith to Léon Walras and Alfred Marshall to Maurice Allais and Paul Samuelson, a body of theory has been elaborated and refined that essentially all economists accept and use in their analysis of the problems for which it is relevant». En fin connaisseur de l'esprit français, Friedman insiste ainsi sur la filiation entre le libéralisme économique de sa célèbre «école de Chicago», et la philosophie des Lumières, chère à l'intelligentsia du vieux continent. C'est d'ailleurs en hommage à cet esprit critique français qu'il ouvre sa préface par une anecdote ironique sur la relativité des théories économiques «: There is a long-standing myth that if two economists discuss any topic, they will have at least three opinions about it». On note cependant qu'il remplace le véritable auteur de ce trait, qui n'est autre que Churchill, par un anonyme «long-standing myth». Les reprises et biffures sur notre manuscrit montrent la tentation de Friedman d'analyser l'origine de ce mythe : «This myth rests like most myths» est biffé et remplacé par un irrévocable «Whatever small element of validity this myth may have with respect to some topics, it has none whatsoever with respect to the core of economics... price theory. ». Le second paragraphe de notre manuscrit est une apologie des théories monétaristes défendues par Friedman qui, en ce début des années 1980,viennent alors de porter leurs fruits : leur mise en application par la réserve fédérale américaine entraîne un net recul de l'inflation et une hausse historique du dollar. Au sommet de son influence, Friedman voit alors ses ouvrages, dont Price Theory, réédités, enseignés dans le monde entier et traduits en plusieurs langues. Il souligne ici l'importance capitale de sa théorie pour la compréhension du marché mondial :«For price theory seeks to understand how the actions of hundreds of millions of people spread around the surface of the globe interact through a market to determine the price of one good or service relate to another, the wages of one hour of labor relate to another, the cost of one unit of capital relate to another.» La suite de la préface française, de composition plus classique, est absente de notre manuscrit, qui comprend pourtant un verso vierge. Cette entrée en matière très élaborée pourrait ainsi s'avérer être un ajout tardif au texte initialement prévu, marquant l'effort de Friedman pour conquérir la citadelle française, qui vient, en 1981, d'élire son premier gouvernement socialiste depuis 1936. Très important et rarissime manuscrit économique, inédit dans sa langue originale, du théoricien qui a bouleversé la politique financière des Etats-Unis et façonné l'économie du monde moderne. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR10,000.00 (€10,000.00 )

‎Barres, Maurice‎

Reference : 15628

(1910)

‎Manuscrit autographe signé : La Colline Inspirée‎

‎ 1910 Sans date [1910]. 71 pp. Reliure de l’époque signée Marius Michel. Plein maroquin bleu nuit, dos à nerfs, titre doré, contre-plats bordés et ornés de frises. Dos légèrement passé. MANUSCRIT EN GRANDE PARTIE AUTOGRAPHE D'UNE VERSION PRIMITIVE INÉDITE DU CHAPITRE la Colline fête son roi. Provient de prestigieuse collection de Louis Barthou qui fit luxueusement relier le manuscrit par Marius Michel. ENVOI AUTOGRAPHE SIGNÉ : "à Louis Barthou en souvenir de notre dîner d'hier et de ses paroles amicales de fragment de La Colline fête son roi, Ch. V. de La Colline vendredi matin, 30 mai 1919 Maurice Barres" Le manuscrit est rédigé en partie de la main de Barrès (25 feuillets) et en partie de la main de Beauvillard, l'instituteur qui tenait là permanence de député de l'écrivain, avec les corrections autographes de Barrès (49 feuillets). Il s'agit d'une version tardive, relativement proche (dans le temps et le contenu) du texte définitif. Claire-Bompaire Evesque, s'appuyant sur les documents de travail --correspondances, notes, brouillons-- de Barrès conservés à la BnF, documente en effet les nombreuses étapes de la genèse de La Colline, dont le projet est amorcé dès 1907 : après une période de recherche documentaire, Barrès procède à une "mise en idées" (enrichissement à travers des sources secondaires). Suit une étape de "mise en forme", au cours de laquelle les passages rédigés se mêlent à de simples indications de contenus narratif et style. Ce manuscrit, s'il diffère sensiblement de la version finale, est exempt de ces "morceaux à faire". Comparant le manuscrit aux texte de l'édition originale de 1913, on remarque une réorganisation globale du chapitre, avec des éléments de description et paragraphes déplacés, qui témoigne des doutes de Barrès. Claire Bompaire-Evesque note "Les hésitations au sujet de lagencement des séquences du texte sont sensibles sur les esquisses de chapitres particuliers." (p. 137) En outre, le manuscrit s'interrompt abruptement lorsque la communauté des frères Baillard se rend à la chapelle pour rendre grâce à la Vierge. Dans la version finale, l'événement est éludé, et le chapitre se conclut sur 2 pages de réflexion (pp. 119-121) dont seul le dernier paragraphe apparaît dans le manuscrit. Les transformations relèvent principalement de la forme : élimination des répétitions, agglomération de phrases, élucidations, simplifications. Ainsi un passage (pp. 55 & 58) est entièrement coupé : "Pour détourner et pour relever les esprits, [Léopold] tire de sa poche soigneusement enveloppés de papier de soie sept petits paquets. Ce sont autant de beaux chapelets de Saint Hubert qu'il remet à chacun des assistants. Et puis il se tourne vers sa voisine de droite." Il apparait ensuite à la p.57 du manuscrit, la version simplifiée, proche du texte de l'édition originale, "Cependant Léopold n'était pas homme à supporter longtemps le caractère profane que prenait la petite réunion. Pour détourner et pour relever les esprits :" De nombreux repentirs témoignent d'un important travail sur le style. On note ainsi la présence de quelques versions alternatives d'une même description : Tout d'abord, au dos de la p. 50, barré au crayon : "François réalisait l'idée d'un chevalier rustaud, ou plutôt d'un écuyer loyal et emporté, tout en mouvement, bon pour se dévouer, mais de petit jugement". Puis aux pp. 44 et 45 du manuscrit, une nouvelle version, sensiblement différente et proche du texte de l'édition originale : "C'était charmant d'écouter François et de voir apparaître le fond limpide de cette nature qui ne pense qu'à admirer et à servir. Il présentait le type idéal du clerc et de l'écuyer." puis "C'était charmant de voir comment au fond limpide de ces sortes de nature qui ne pensent qu'à admirer et à servir s'était formée une inébranlable conviction. Il présentait le type idéal du clerc et de l'écuyer. On l'aurait vu indifféremment sur la paille de la rue du Fouarre, écoutant les leçons d'Abélard, ou couché en travers de la tente du chevalier son suzerain. [barré] à l'écouter, le spectateur le plus défiant eut recueilli la conviction que ce grand enfant crédule était de la [...]" La plus importante transformation concerne un dialogue entre deux villageois qui s'entretiennent des finances de la communauté de Léopold (manuscrit pp. 17-19, EO p. 103-105). Ce passage, qui porte déjà dans la manuscrit la trace de nombreux repentirs, est dans l'édition originale entièrement retravaillé pour "colorer" la voix des personnages et donner corps à la colline de Sion. Qu'est-ce qu'il a encore avec lui. Une religieuse et deux frères. Ils ont bien soigné le jardin et les quelques parcelles de terre qui leur reste encore çà et là, on ne pas dire le contraire. Mais qu'est-ce que ce petitjournalà côté de toute cette population de frères et de soeurs qu'ils dirigeaient autrefois et ces pauvres champs épars seuls reliques de leur immense domaine ? Et encore, dit M. Haye, les pommes de terre qu'ils y mangent n'ont pas poussé dans leur champ. Par crainte des créanciers, ils ont tout mis au nom des soeurs. Et celles-ci n'ont pu acheter qu'avec de l'argent emprunté." (manuscrit, pp. 17-19) Devient ainsi : Peuh ! Répondit M. Haye, les cinq religieuses leur sont dévouées ; ils ont les deux frères, bien vigoureux. A eux sept, voyez, ils ont pas mal travaillé le jardin. Sans doute, voilà des pommes de terre pour leur hiver, mais entre nous, ce n'est pas dans leur champ qu'elles ont poussé.... Que voulez-vous dire, Morizot ? interrompit M. Haye en arrêtant ses yeux francs sur le visage un peu chafouin du maître d'école. Ce que vous savez comme moi. Pour échapper aux créanciers, Léopold a tout mis au nom des soeurs, et de plus rien n'est payé. Tout ici appartient à la prêteuse, une prêteuse pas commode, mademoiselle L'Huiller, vous savez bien. La Noire Marie, de Gugney. (É. O, pp. 103-104) Autre point de détail qui contribue à ancrer le récit dans son "terroir", le chien "Tambour" devient, dans l'édition originale, "la chienne aimée de Léopold, la Mouya, comme elle se nomme, ce qui veut dire, en patois, la meilleure" (p. 97-98). Mais au-delà de ces transformations d'ordre formel, on assiste également à un effacement du narrateur, avec la coupe d'une intervention à la première personne ("ils eussent donné, j'imagine, à de pâles citadins une impression un peu animale" p. 39 du manuscrit, devient "ils eussent fourni à des citadins une impression un peu animale") et de plusieurs appels au "nous" : "la médiocrité de ces strophes ne doit pas nous désenchanter, non plus que l'accent lorrain de la chanteuse" apparaît ainsi dans l'édition originale comme "la médiocrité de ces strophes composées pour les pèlerins, qui les égrènent encore en parcourant les sentiers de a colline, ne pouvait pas, non plus que l'accent lorrain de la chanteuse, désenchanter ce petit monde." Ce nouveau narrateur brosse un portrait moins cynique de Léopold. Comparons : "Un sourire d'extrême bienveillance ne quitte pas ses lèvres, le sourire des images de piété, la face bonhomie prêtée à Pierre Fourier dans les petits livres d'hagiographie. Evidemment il s'applique à rappeler les saints personnages de jadis. Et c'est aussi avec une solennité convenue qu'il prononce ce petit discours" (manuscrit pp. 35-36) Au texte de l'édition originale : "Un sourire d'extrême bienveillance ne quitte pas ses lèvres, le sourire des images de piété, celui que les livres d'hagiographie prêtent aux saints personnages de jadis. Tout à coup, il frappe avec son couteau sur son verre. Chacun se tait et lui, d'une voix solennelle: " (p. 109) Des allusions à la désapprobation de l'évêché sont également éliminées, resserrant le point-de-vue autour des "convertis" de Sion. Voir ce passage inédit : "Cet exode fut très mal vu de l'évêché ; il n'étonna pas les villages. On y était habitué au sans gêne des Messieurs Baillard, à leurs longues absences, depuis des années que tous les trois et soeur Thérèse battaient les routes de l'univers pour leurs quêtes. Et si l'autorité ecclésiastique laissa paraître son mécontentement, les paysans n'en eurent souci. Que leur faisait à eux ce lointain évêque [...]" (pp. 12-13 du manuscrit) 15 feuillets du manuscrit sont rédigés au dos de feuillets réemployés sur lesquels figurent des passages d'une version antérieure du chapitre, ainsi que des passages manuscrits issus d'autres chapitres du roman. "La Colline inspirée a été saluée par la critique comme le chef-d'oeuvre de la maturité. Narrant une histoire réelle qui met en jeu les aspirations religieuses les plus profondes, l'écrivain semble avoir trouvé le point d'équilibre entre l'art dé donner vie à des personnages, qui est selon la tradition le propre du roman, et la rêverie autour des grandes questions, qui est l'idéologie au sens barrésien ou peut-être tout simplement la poésie." (Claire BOMPAIRE-EVESQUE - Les choix de Barrés dans La Colline inspirée) Mais cet équilibre a été atteint au prix d'un long et dure travail, commencé dès 1907, Barres ne donna la version définitive qu'en 1913 : "Voici un gros manuscrit que jache?ve de mettre au net (...) Il repre?sente bien des anne?es de ma vie et jy pourrais en engloutir plus dune. Il y a ainsi de ces sujets qui sont des gouffres " (Mes Cahiers, tome XVII). La quasi totalité des archives relatives à l'écriture de la Colline Inspirée - documentations, manuscrits, épreuve - ont été légué à la BnF par MmeBazin, héritière de la famille Barrès. Offert en 1919 par Maurice Barres au magistrat, homme politique et fin bibliophile Louis Barthou, le chapitre que nous présentons fait parti des rares manuscrits importants qui ont échappé à ce don. Couverture rigide‎


‎ Signé par l'auteur ‎

Phone number : 09 88 40 55 75

EUR6,000.00 (€6,000.00 )

‎PIERRUGUES; [LOUIS XVIII - NAPOLÉON IER]‎

Reference : 16605

‎Manuscrit autographe signé‎

‎ S.l., janvier, mars et août 1815. 4 pp. in-folio (taches). ‎


‎Manuscrit autographe signé de Pierrugues, sommelier du roi Louis XVIII et de Napoléon Ier. Il détaille la consommation de vin et de spiritueux à la table du roi. Le dernier feuillet est consacré à la cave personnelle du roi. On y constate une grande consommation de Chambertin (un vin de Bourgogne) comme de Château-Laffite (Bordeaux) et Sauternes (Sauternais)qui se réduit lors du retour au pouvoir de Napoléon Ier à partir de mars 1815. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve. ‎

Phone number : 09 78 81 38 22

EUR200.00 (€200.00 )

‎Augusta Holmès (1847-1903), compositrice, ‎

Reference : 013465

‎Hymne à Séléné - manuscrit autographe signé et partition imprimée dédicacée.‎

‎Augusta Holmès (1847-1903), compositrice, Hymne à Séléné - manuscrit autographe signé et partition imprimée dédicacée. Manuscrit autographe signée daté 26 février 1899, in-4, 4p. Impression : Paris, G Ricordi, 1900. In-4, couverture-3p. Belle réunion du manuscrit autographe signé remis au propre, avec deux petites notes au crayon, et de la partition dédicacée à son amie Marie Huet (1859-1939), peintre et couturière, amie proche qui fit son portrait : « au Peintre qui peindra les étoiles, à M. Huet, cet Hymne à leur reine. Augusta Holmès. Mars 1900 ». Cartonnage moderne, plein papier marbré. Rare manuscrit autographe, la plupart ayant été légués par Holmès au conservatoire national de musique par testament. ‎


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