Reference : 3198
bel alb. à l'italienne, 30x22,5 - 1/2 rel. bas. prune, plats marbrés
bel ex.parfait ét.
101. broche, tres abime, illustrations noir/blanc, 31 pages, 24 cm X 15,5 cm, photos possible
Pas de frais port
Paris Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris 1973 In-4 Broché, couverture illustrée Edition originale
Catalogue de la rétrospective organisée du 25 mai au 2 septembre. Portrait de l'artiste en frontispice. Préface de Jacques Lassaigne et texte de Tapies "Communication sur le mur". 46 reproductions. Liste des 82 oeuvres exposées; bio-bibliographie in fine. Hors texte 3 LITHOGRAPHIES ORIGINALES en couleurs de TAPIES, dont l'une sur double page et une en couverture. Bel exemplaire Très bon 0
Paris Galerie Ariel 1972 In-4 En feuilles, couv. illustrée
Catalogue de l'exposition organisée en janvier 1972. Texte et 7 illustrations de l'artiste . En couverture et double page centrale, 2 LITHOGRAPHIES ORIGINALES en couleurs de Rooskens. Tirage à 600 exemplaires numérotés.> Bel exemplaire. Très bon 0
Paris Galerie Ariel 1968 In-4 En feuilles, couv. illustrée
Catalogue de l'exposition organisée en mars 1968. Texte "Le Chant de Hamdir" tiré de l'ancien chant héroïque de l'Edda, et 9 illustrations de l'artiste. En couverture et en double page centrale, 2 LITHOGRAPHIES ORIGINALES en couleurs de Lindström . Tirage à 500 exemplaires numérotés. >Petite fente au dos, mais bel exemplaire contenant en plus une carte de voeux de Lindstrom, LITHOGRAPHIE en couleurs signée dans la pierre et justifiée 229/400. Très bon 0
Paris Galerie Ariel 1971 In-4 En feuilles, couv. illustrée
Catalogue de l'exposition organisée en avril 1971. Texte de Jean Pollac. Portraits photographiques d'Alechinsky, Appel, Bitran, Dominguez, Georges, Gillet, Jorn, Reinhoud, Stenne, Tabuchi, Valdivieso, Vandercan, Bram Van Velde, . En couverture et en double page centrale, 2 LITHOGRAPHIES ORIGINALES en couleurs de Pierre COURTIN et Serge VANDERCAN. Tirage à 750 exemplaires numérotés.> Bel exemplaire. Très bon 0
New York Findlay Galleries 1958 In-8 à l'italienne En feuilles, couv. illustrée Ed. originale
Edition originale. Catalogue de la première exposition de Cathelin aux Etats Unis à la galerie Findlay en 1958. Illustré de 2 lithographies originales en couleurs, une en couverture et l'autre hors texte à double page . Un des 250 exemplaires sur vélin avec une lithographie originale supplémentaire de Cathelin, signée par l'artiste. Exemplaire dédicacé par l'artiste. Trés bon état 0
Hatje 1998 Fort in-4 broché, couverture illutrée
Catalogue de l'oeuvre lithographié de Marc Chagall établi par Ulrick Gauss à partir de la collection Sorlier. Textes en anglais de Christofer Conrad, Henri Deschamps, Hans Kinkel, Charles Marq. 1050 estampes décrites et reproduites en noir et en couleurs. Bio-bibliographie in fine. 416 pp. Très bon 0
[Coarraze] [Jacques Lepage] Festival des arts plastiques de la Côte d'Azur 1968 En feuilles sous emboitage
EDITION ORIGINALE de cette boîte éditée par Jacques Lepage, poète, critique, secrétaire général du Festival des arts plastiques de la Côte d'Azur et théoricien de l'École de Nice et du mouvement Support-Surface. Feuillet de présentation ronéotypé au recto et 48 oeuvres originales de formats divers réalisées sur différents supports par différents procédés, LITHOGRAPHIES, SERIGRAPHIES, COLLAGES, PHOTOCOPIES, POCHOIRS., de Marcel Alocco*, Germana Arcelli et Gian Roberto Comini, André Pierre Arnal*, Henri Baviera*, Ben*, Biga*, Julien Blaine, Louis Cane, Carrier Dody et Unal*, Max Charvolen, Albert Chubac*, Marc de Rosny, Daniel Dezeuze*, Noêl Dolla*, Denis Garnier et Guy Rottier, Jochen Gerz, Gruppo P 66, Kanter*, Joël Kermarrec, Levavasseur*, Pascal Mahou*, Messager*, Jean Claude Moineau, Raphaël Monticelli*, Olivier Mosset, Magdalo Mussio, Giancarlo Nanni, Maurizio Osti, Bernard Pagès*, Enrico Pedrotti, Poli*, Pollet-Leclerc, Henri Prosi*, Joan Rabascall, Jean Claude Raynal*, Guy Rottier, E. Salvado*, Sarenco, Christian Sauzède et Bernard Favier, Patrick Saytour, Scarabelli*, Dorothée Selz, Severo*, Surian, Tirouflet, Christian Tobas, Torres*, Viallat*. >>>>Les oeuvres marquées d'une* sont signées, parfois datées ou justifiées. Tirage limité à 200 exemplaires non numérotés. En feuilles de formats divers, sous boîte de carton gris avec sérigraphié en bleu par Henri Baviera le titre sur le couvercle et la liste des artistes en dessous. Très bon 0
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1890), 29,5 x 40,5 cm, une feuille.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, moyen format, imprimée sur papier fort. Coins manquants, importantes déchirures en marges de droite et inférieure avec manque mais sans atteinte à l'estampe, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Infimes manques marginaux sans aucune atteinte à la gravure, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères et marginales rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Une petite déchirure restaurée en marge gauche, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 39 x 49 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Une petite déchirure restaurée en marge (2 cm) sans aucune atteinte à la gravure, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 39 x 49 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Trois petites déchirures restaurées en marge (1 cm) sans aucune atteinte à la gravure, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Infimes déchirures en marge inférieure, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères rousseurs marginales sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Daviot 1987 Un volume in-4 en feuilles sous couverture couleur beige imprimée et rempliée, sous étui pleine toile rouge, non paginé, 84 lithographies originales. Très bon état, l'un des 150, signé par les trois artistes.
La librairie sera fermée du lundi 8 avril au lundi 22 avril inclus, les commandes seront traitées dès notre retour le mardi 23 avril.
Sarlat Ancien évéché In-8 Agrafé Edition originale
Rare catalogue illustré de 3 LITHOGRAPHIES originales hors texte en couleurs de Henri Cueco, l'une sur double page. Biographie de l'artiste et liste des oeuvres exposées. Bon exemplaire 0
Paris Galerie Ariel 1973 In-4 En feuilles, couv. illustrée
Catalogue de l'exposition organisée en octobre 1973. Texte en facsimile et illustrations de l'artiste. En couverture et en double page centrale, 2 LITHOGRAPHIES ORIGINALES en couleurs de Debré, l'une en couverture et l'autre à double page. Tirage à 500 exemplaires. > Bel exemplaire. Très bon 0
Paris Maeght 1959 In-2 En feuilles Edition originale
Numéro publié pour l'exposition 29 peintures récentes de TAL-COAT à la Galerie Maeght en avril 1959. Texte de Henri Maldiney. 20 pp. 2 lithographies originales en couleurs en double page, l'une en couverture, et trois lithographies en couleurs en double page Très bon exemplaire 0
Paris Maeght 1963 Grand In-4 En feuilles
PREMIER TIRAGE. 8 lithographies originales en couleurs de CALDER, dont une en couverture et deux sur double page. Texte de James Jones et Michel Ragon. En feuilles. Très bon exemplaire 0