Fayard 1983 663 pages in8. 1983. Broché. 663 pages. un tampon La guerre dit Alain naît des passions. Assurément celle de 14-18 ne peut se réduire à un jeu de causalités politiques ou économiques. Aujourd'hui encore elle n'a pas fini de susciter des réactions passionnelles que l'on parle des mutineries françaises ou des crimes de guerres allemands. On ne met pas impunément en ligne des millions d'hommes sans que dans toute l'Europe les traces n'en soient profondément inscrites dans plusieurs générations.La grande guerre était déjà totale et doit être envisagée aujourd'hui comme telle. Elle a eu dans l'horreur un rôle pionnier. Les innovations scientifiques de la civilisation industrielle ont permis d'envoyer sans crier gare de nombreuses victimes au fond de l'Océan dans les hôpitaux des gazés par milliers dans les camps de concentration les premiers déportés et les populations déplacées sans oublier le génocide des Arméniens. De ce point de vue la Grande Guerre n'est pas du XIXème siècle elle est bien du nôtre de l'atroce XXème siècle.On l'appelle aussi Première Guerre mondiale . Elle le mérite à plus d'un titre. D'abord parce qu'elle a justifié en partie la prédiction de Lénine : elle a bien engendré la révolution - dans un seul pays il est vrai. Ensuite parce qu'elle a fait franchir l'océan à près de deux millions d'Américains ce qui pour les adeptes de la doctrine de Monroë constituait une première.Le propre de cette guerre est d'avoir confronté plus que rapproché dans la mort des peuples jusque-là dominés par des empires ou des alliances plus ou moins inégales. Ce que l'on appelle d'un mot peu clair l'impérialisme tenait en 1914 les peuples d'Europe et du Moyen-Orient dans un carcan serré de contraintes. Le carcan avec la guerre a volé en éclats.La Grande Guerre a éveillé contre les rapports inégaux de peuples inégaux un formidable désir de liberté. De ce point de vue aussi elle est résolument moderne. Ajoutons que pour nous elle reste par excellence une guerre française. Notre peuple a participé jusqu'à l'épuisement avec un étonnant esprit de sacrifice mais aussi avec une efficacité cardinale à un grand mouvement de l'Histoire
french édition - Quelques marques plis de lecture et/ou de stockage mais du reste en bon état. Envoi rapide et soigné dans enveloppe à bulles depuis France
1964 1964. Paris Match N°800- 8 AOUT 1964: AOUT 1914-LA GRANDE GUERRE E-D
Bon état
Julliard 1960 1960. Richard Thoumin: La Grande Guerre 1914-1918 en 3 volumes/ Julliard 1960
Très bon état
1959 1959. 5 Jean Galtier-Boissière - La grande guerre / 1959
Très bon état
1967 1967. Bernard Michal - Les grandes énigmes de la grande guerre - Dossier Nº 1 / 1967
Très bon état
1922 1922. J. Toutain - Histoire de la Grande Guerre ( 1914 - 1918) / Eugène Belin 1922
1967 1967. Bernard Michal - Les grandes énigmes de la grande guerre : Dossier N° 2 / 1967
Très bon état
Pocket 2005 2005. Anne McCaffrey - Le Vol du dragon : La grande guerre des fils 1 / Pocket 2005
Bon état
1966 1966. Bernard Michal - Les grandes énigmes de le grande guerre : Dossier Nº 2 /1966
Bon état
1966 1966. Bernard Michal - Les grandes énigmes de la grande guerre Nº 1 / Saint-Clair 1966
Très bon état
Sans date. Pierre Miquel LES HOMMES DE LA GRANDE GUERRE 14-18
Bon état
COURRIER LIVRE 2014 15x2 8x23cm. 2014. Broché.
Très Bon Etat
, , 1914-1917. Plus de 1000 lettres et cartes manuscrites.
Rare et volumineuse correspondance privée du lieutenant Léon Meltzheim adressée de juillet 1914 à décembre 1918 à son épouse Andrée Meltzheim, surnommée affectueusement «Dé» accompagnées des lettres de celle-ci envoyées au front de janvier 1917 à novembre 1918 : plus de 750 lettres de Léon (84 pour l’année 1914, 168 pour 1915, 172 pour 1916 et 117 pour 1917, 150 pour 1918) croisées avec les 350 lettres d’Andrée son épouse, pour la seule année 1917. On joint plus de 120 lettres et cartes manuscrites adressées à Léon en 1916 par sa famille et ses proches.En juillet 1914 le lieutenant Léon Meltzheim (31 ans) 30e d’Artillerie est affecté au 10e SMA (section des munitions) sous les ordres du Capitaine Desgrais. « Nous avons roulé plusieurs jours et plusieurs nuits de suite pour distribuer nos marchandises (…) il est arrivé plusieurs fois de faire des marches de quarante-huit heures, sans autre repos qu’un arrêt de trois ou quatre heures sur le bord de la route ou dans les champs. À ce régime, les chevaux résistent encore moins que les hommes ». Mais Léon Meltzheim va rapidement cesser d’apporter des renseignements sur ses activités d’artilleur, nécessité de la censure mais surtout souci de rassurer Dé. Il n’est bientôt plus question que de lainages envoyés par Dé et sa mère pour les hommes de la batterie et des travaux de photographies (son épouse lui a envoyé un kodak vest pocket et de quoi développer). Ainsi le 10 juillet 1915, Léon annonce qu’à Lavoye le colonel est venu lui remettre la Croix de Guerre ; il est embarrassé dans sa correspondance pour l’annoncer à Dé après avoir minimisé voire même souvent caché les activités de sa batterie. Pour se justifier il prétend que l’on fait une grande distribution de décorations. Quelques détails néanmoins rappellent la cruauté des champs de bataille : « Pour les gaz, j’ai un très bon tampon, mais tu pourras m’envoyer une paire de lunettes dans le genre de celles des automobilistes, de celles qui font les yeux de langouste ». L’année 1916 est capitale pour le jeune lieutenant tandis que débute la bataille de Verdun et qu’un heureux événement est attendu chez lui, à Paris. Le 30e d’artillerie est appelé à contrecarrer les Allemands qui essayent d’arrêter le ravitaillement français en coupant le chemin de fer de Sainte-Menehould à Verdun ; dans ses lettres à Dé, Léon n’en parle pas et préfère s’assurer que son épouse enceinte se repose : le 13 juillet 1916, naissance de de son fils Georges qui fait dire à son père engagé sur le front « Quelle joie que ce poupard ». En fin d’année 1916, il rassure encore la jeune maman « je n’ai pas beaucoup souffert à Verdun à aucun point de vue. Nous avons eu beaucoup de chance ».En 1917, les lettres de Léon n’offrent pratiquement plus de détails sur la guerre tandis que la correspondance quasi quotidienne d’Andrée son épouse et jeune mère (plus de 300 lettres sériées de janvier à décembre) adressée au soldat, montre le rare point de vue de l’arrière : la vie de famille et les premiers mois de leur enfant, l’activité de la Corroierie familiale Meltzheim sise Rue Philippe de Girard à Paris, l'ordinaire et les difficultés liées aux années de guerre etc. « Toute correspondance privée de la Grande Guerre entre le front et l'arrière ou le front et le front, est une source « humaine » parce qu'elle a été rédigée par un acteur et témoin de l'expérience guerrière. Chacune est riche de détails et d'enseignements quant au rapport que l'épistolier a entretenu avec l'événement, en des temps difficiles et dans des conditions insupportables. Seul moyen de communication, unique lien entre les tranchées et l'arrière, l'échange épistolaire est intense, et la lettre devient rapidement un objet vital pour le Poilu. Les missives portent ainsi, dans leur rédaction, les sensations éprouvées par un épistolier qui désire partager avec son destinataire son vécu sans en révéler toutefois explicitement la dureté. La correspondance privée prend également une valeur particulière pour les parents et les proches lointains. Pour l’arrière, la question ne se pose pas. La lettre est indispensable. Elle est le lien principal avec le combattant, et le signe de vie que l'on attend chaque jour. Son absence signifie généralement combat, danger, maladie, blessure, voire pis, mort. Mais, dans tous les cas, l’absence d’écriture est un signe inquiétant. Cette angoisse est ressentie aussi bien par l’arrière que par le front » (Sylvie Housiel, La Correspondance privée pendant la Grande Guerre).On joint sous enveloppe bleue 1 photographie de Léon et Andrée Meltzheim le jour de leur mariage, plusieurs coupons de mandat-lettre, 1 négatif de photographie. Avec Vie de Léon Meltzheim (1883-1972) in-8 broché de 136 pp. monographie tirée à compte d'auteur rédigée par son fils Georges Meltzheim.Exceptionnel ensemble d'une abondante correspondance conjugale durant la Grande Guerre, entre Paris et le front.[Voir : Clémentine Vidal-Naquet, Couples dans la Grande Guerre (Les Belles Lettres) et Correspondances conjugales 1914-1918 (Robert Laffont)].
Larousse 2002 Présenté par Stéphane Audoin-Rouzeau. In-4 cartonné 28,6 cm sur 23,8. Jaquette comme neuve. 190 pages. Occasion comme neuf. Poids sans emballage : 1438 grammes. Retrouvées par miracle dans quelques boîtes en fer, au fond d'un grenier, ces photographies prises sur le front des Vosges entre 1915 et 1918 révèlent un observateur de la vie des poilus au regard exceptionnel, le soldat Marcel FeIser. Ayant pris part aux deux guerres, résistant mort en déportation, ce photographe de grand talent, ingénieur dans le civil, dont la dernière lettre de Buchenwald s'achevait par ces mots, «Foi, Courage, Espérance, Confiance », nous plonge au coeur de l'existence quotidienne des soldats de la Grande Guerre. Ce fonds unique et inédit nous fait voir, avec les yeux d'un témoin, et plus encore d'un acteur, comment, confrontés à l'horreur, les poilus ont su préserver leur dignité d'hommes. Spécialiste de la Première Guerre mondiale, Stéphane Audoin-Rouzeau, codirecteur du centre de recherches de l'Historial de la Grande Guerre Péronne-Somme, professeur à l'université de Picardie, a renouvelé l'approche de ce conflit en s'intéressant notamment à la violence des combats et au travail de deuil des familles 14-18, Retrouver la guerre, Gallimard, en collaboration avec Annette Becker.
Retrouvées par miracle dans quelques boîtes en fer, au fond d'un grenier, ces photographies prises sur le front des Vosges entre 1915 et 1918 révèlent un observateur de la vie des poilus au regard exceptionnel, le soldat Marcel FeIser. Ayant pris part aux deux guerres, résistant mort en déportation, ce photographe de grand talent, ingénieur dans le civil, dont la dernière lettre de Buchenwald s'achevait par ces mots, «Foi, Courage, Espérance, Confiance », nous plonge au coeur de l'existence quotidienne des soldats de la Grande Guerre. Ce fonds unique et inédit nous fait voir, avec les yeux d'un témoin, et plus encore d'un acteur, comment, confrontés à l'horreur, les poilus ont su préserver leur dignité d'hommes. Spécialiste de la Première Guerre mondiale, Stéphane Audoin-Rouzeau, codirecteur du centre de recherches de l'Historial de la Grande Guerre (Péronne-Somme), professeur à l'université de Picardie, a renouvelé l'approche de ce conflit en s'intéressant notamment à la violence des combats et au travail de deuil des familles (14-18, Retrouver la guerre, Gallimard, en collaboration avec Annette Becker). Très bon état d’occasion
5 Continents, Historial de la Grande guerre 2003 In-4 broché 28 cm sur 24,2. ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. 104 pages. Occasion comme neuf. Poids sans emballage : 685 grammes. Album tiré de l’exposition “Les enfants dans la Grande guerre” Péronne, Historial de la Grande guerre. 2003.
Album tiré de l’exposition “Les enfants dans la Grande guerre” (Péronne, Historial de la Grande guerre. 2003). Très bon état d’occasion
Le Pautremat Pascal Guelton Frédéric
Reference : 100072543
(2014)
ISBN : 9782916385310
Soteca 2014 320 pages 15x23x3cm. 2014. Broché. 320 pages.
French édition - Livre issu de déstockage JAMAIS LU présentant des marques de manipulation sur la couverture et/ou les pourtours mais demeurant en très bon état d'ensemble.Expédition sous blister dans une enveloppe matelassée depuis la France
Le Pautremat Pascal Guelton Frédéric
Reference : 100077970
(2014)
ISBN : 9782916385310
Soteca 2014 320 pages 15x23x3cm. 2014. Broché. 320 pages.
French édition - Livre issu de déstockage JAMAIS LU pouvant présenter des petits plis cornes marques de manipulation sur la couverture et/ou les pourtours mais demeurant en très bon état d'ensemble.Expédition sous blister dans une enveloppe matelassée
Historial de la Grande Guerre. 1990. in-12. Cartonné. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Péronne, Historial, 1990, in 12, cartonnage éditeur, 34 pp. de reproduction d'uniformes. Adaptation graphique simplifiée des Soldats de la Grande Guerre par Laurent Mirouze.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918
1G-059 - Lieu d'édition : Péronne Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918
Fayard, 1983, fort in-8°, 663 pp, 2 cartes, biblio, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
"La guerre, dit Alain, naît des passions. Assurément, celle de "14-18" ne peut se réduire à un jeu de causalités politiques ou économiques. Aujourd'hui encore, elle n'a pas fini de susciter des réactions passionnelles, que l'on parle des mutineries françaises ou des crimes de guerre allemands. On ne met pas impunément en ligne des millions d'hommes sans que, dans toute l'Europe, les traces n'en soient profondément inscrites dans plusieurs générations. La "grande" guerre était déjà "totale" et doit être envisagée aujourd'hui comme telle. Elle a eu, dans l'horreur, un rôle pionnier. Les innovations "scientifiques" de la civilisation industrielle ont permis d'envoyer sans crier gare de nombreuses victimes au fond de l'Océan, dans les hôpitaux des gazés par milliers, dans les camps de concentration les premiers déportés et les populations "déplacées", sans oublier le "génocide" des Arméniens. De ce point de vue, la Grande Guerre n'est pas du XIXe siècle, elle est bien du nôtre, de l'atroce XXe siècle. On l'appelle aussi "Première Guerre mondiale". Elle le mérite à plus d'un titre. D'abord parce qu'elle a justifié en partie la prédiction de Lénine: elle a bien engendré la révolution – dans un seul pays, il est vrai. Ensuite, parce qu'elle a fait franchir l'océan à près de deux millions d'Américains, ce qui, pour les adeptes de la doctrine de Monroe, constituait une première. Le propre de cette guerre est d'avoir confronté, plus que rapproché dans la mort, des peuples jusque-là dominés par des "empires" ou des "alliances" plus ou moins inégales. Ce que l'on appelle, d'un mot peu clair, l' "impérialisme", tenait, en 1914, les peuples d'Europe et du Moyen-Orient dans un carcan serré de contraintes. Le carcan, avec la guerre, a volé en éclats. La Grande Guerre a éveillé, contre les rapports inégaux de peuples inégaux, un formidable désir de liberté. De ce point de vue aussi, elle est résolument moderne. Ajoutons que, pour nous, elle reste par excellence une guerre française. Notre peuple a participé jusqu'à l'épuisement, avec un étonnant esprit de sacrifice, mais aussi avec une efficacité cardinale, à un grand mouvement de l'histoire." (Pierre Miquel)
1978 1978. Cliquez 1 fois sur les images puis 1 seconde fois pour zoomer. Hebergeur d'images - www.photos-encheres.com. éditée par la ville de Paris en 1978 pour le 60ème anniversaire de la Guerre 14 18 pochette rempliée de 16 planches volantes de 30 x 21 cms dont 10 planches d'illustrations noir et blanc photos documents. en BON ETAT intérieur propre et sans déchirures ni annotations planches très bon état; quelques traces de pliures sur la pochette
Bon état
1918 1918. Édité par Association des Saint-Benoît de France 2006 39pp 1 volume broché couverture souple. Livre d'occasion en bon état avec défauts d'usages
Bon état
1978 1978. éditée par la ville de Paris en 1978 pour le 60ème anniversaire de la Guerre 14 18 pochette rempliée de 16 planches volantes de 30 x 21 cms dont 10 planches d'illustrations noir et blanc photos documents. en BON ETAT intérieur propre et sans déchirures ni annotations planches très bon état; quelques traces de pliures sur la pochette
Bon état
Payot, 1914-1919, 2 vol. in-8°, 444 et 459 pp, traduit de l'anglais, 51 planches de photos et 32 plans hors texte, biblio, brochés, bon état (Coll. de Mémoires, études et documents pour servir à l'histoire de la Guerre mondiale)
"Ce [premier] volume embrasse la période qui s'étend de la guerre de Sécession à la guerre mondiale (1861-1914). Les premiers navires cuirassés avaient fait leur apparition peu de temps avant la guerre de Sécession. Cependant, lorsque la guerre civile éclata, en avril 1861, les Etats-Unis n'avaient qu'une petite marine de guerre, de médiocre valeur militaire, sans aucun navire cuirassé. Les belligérants se hâtèrent d'en mettre en chantier; mais, dans la lutte qui s'engagea et qui devait durer quatre ans. les Etats du Sud avaient par rapport à ceux du Nord une infériorité marquée, due à leur manque de ressources industrielles, de navires marchands et de chantiers de construction. (...) Après la guerre de Sécession, l'auteur passe en revue toutes les opérations, petites et grandes, qui se sont déroulées sur mer jusqu'en 1914. Les plus importantes appartiennent à la guerre austro-italienne de 1866, à la guerre hispano-américaine (1898), à la guerre russo-japonaise (1904-1905). (...) La lecture de l'ouvrage de M. Wilson est à recommander non seulement aux officiers de marine qui y trouveront des renseignements précis sur les batailles navales de la période envisagée, mais aussi au grand public qui ne manquera pas d'être séduit par la clarté de l'exposition et par la sûreté des vues d'ensemble." (Général Hellot, Le Figaro, 1928) — "Ce [deuxième] ouvrage est, à proprement parler, l'histoire navale de la grande guerre. A sa lecture, on se convaincra de l'union étroite qui s'est faite à partir de 1915 entre les armées et les flottes, entre l'action militaire et l'action maritime. Jamais peut-être l'influence décisive de la puissance maritime dans le conflit mondial n'avait été mise en lumière avec autant d'évidence. « La guerre navale de 1914-1918 présente, par rapport à toutes celles qui l'ont précédée, une différence capitale. Elle a eu lieu dans un espace à trois dimensions : dans l'air, à la surface de la mer et au-dessous de cette surface ». C'est dire la complexité des opérations navales. L'auteur les a envisagées sous ces trois aspects. II a tenu à tirer des enseignements généraux de ces opérations, enseignements qu'il est bon de révéler à ceux qui ne sont pas des marins ou des spécialistes des questions maritimes. « Tous les enseignements tactiques de la guerre soulignent l'importance immense – on peut même dire écrasante– du canon. Un feu rapide et précis est l'élément essentiel de la victoire. » Même constatation en ce qui concerne les opérations sur terre : la guerre a nettement mis en évidence la puissance du feu. Ce rapprochement est intéressant. Les mines ont paru jouer au début un rôle important, mais on a trouvé des méthodes de dragage « et il n'est pas exagéré de dire qu'à la fin de la guerre, les champs de mines ne représentaientplus qu'une faible menace pour les escadres alliées ». On consultera utilement les tableaux qui sont à la fin du volume et qui donnent, par exemple, les pertes subies par l'Angleterre, l'Allemagne et les autres puissances pendant la guerre." (Revue militaire française)
YSEC In-8°, broché, couverture souple glacée ill à pleine page ( troupe aux abris), 237 pages, très bel exemplaire.
Nouvelle édition Tout sur les sites Mémoire des Hommes et Mémoire des Unités. Très Bon Etat N'hésitez jamais à nous joindre directement. Réponse immédiate pour d'autres titres non répertoriés sur LRB . Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 30 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques ( fractionnement possible) et virement acceptés. Nous accompagnons toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse pour vos propositions de ventes ( chiffrages et partages) .