Reference : 3728DB
Paris bzw. Leipzig, Gustav Lyon u. Hoffmann & Ohnstein, Folio. (15) Bl., Mit 2 farb. Tafeln. Orig.-Umschlag.
Übersetzte deutsche Ausgabe von Hoffmann & Ohnstein in Leipzig. - Mit starken Gebrauchspuren. Seitenränder mit Einrissen.
Paris, Ed. Duchartre & Van Buggenhoudt, 1929. 8°. XXX, 34, (4) S. Mit 1 farb. Frontispiz und 2 Tafeln (davon 1 farb.). Neuer Halblederband.
O'Reilly / Reitman 304. – Mit Exlibris.
Paris, Les Editions du Pacifique, 1978. 8°. 155 S. Neuerer Halblederband.
Tagebücher von 1902–1905.
Bruxelles, Culture et civilisation, 1969. 8°. XIV, 615 S. Mit 2 gef. Karten. Orig.-Kunstlederband.
Nachdruck der Londoner Ausgabe von 1839.
1. (von 2) Band. Frankfurt und Leipzig, 1787. 8°. 16, (2), S. 17–309. Mit 2 gef. Kupfertafeln und 1 gef. Tabelle. Pappband der Zeit.
Bibliotheksexemplar mit den entsprechenden Stempeln. Papier durchgehend stockfleckig. Einband stärker berieben und bestossen.
Modena, 1862-1869. 8°. 36 S. (+ ca. 120 leere Seiten). Leinenband der Zeit (berieben).
Beigegeben einige amtliche und kirchliche Urkunden. Ca. 5 Seiten gestempelt "Chiesa evangelica Modena". Mit Eheschliessungen, Taufen, Konfirmationen und Abdankungen ("Atti di Battesimo", "Atto di matrimonio", "Atto di confirmazione", "Funerale").
Genève, Skira, 1988. 4°. 271 S. Mit zahlr. zum Teil farb. Abb. im Text. Orig.-Leinenband mit Schutzumschlag in Schuber.
Paris, H. Floury, 1922. 4°. 178 S., 1 Blatt. Mit einem Portrait und einer Original-Radierung von Redon (78/138). Original Broschur, unbeschnitten.
Vorzugsausgabe, Nr. 78 von 125 Exemplaren auf "papier pur fil". - Thieme/B. XXVIII, S. 77. Tagebuch und Texte über Künstler wie Berlioz, Fromentin, Millet, Ingres etc., des Symbolisten Odilon Redon (1840-1916). - Umschlag etwas lädiert, Papier an einigen Stellen stark gebräunt, meist im Rand.
(Bruxelles, Crédit Communal de Belgique, 1985). 355 S. Mit zahlr. zum Teil farb. Abb. Orig.-Leinenband mit Schutzumschlag (mit kl. Einrissen).
2 Bände. London u. Edinburg, William Blackwood and Sons, 1870. 8°. XII, 369 S., (1) Bl.; VIII, 347 S. Orig.-Leinenbände.
Einbände schief gelesen, berieben und bestossen.
1964. Bleistiftzeichnung auf Papier. Blattgrösse: 43 x 31,5 cm.
Oben rechts signiert.
ORTF. Non daté. In-4. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Couv. convenable, Coiffe en pied abîmée, Papier jauni. Environ 300 pages. Nombreuses illustrations en couleur et en noir et blanc, dans et hors texte. Nombreux coloriages au feutre et annotations à l'encre dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Toutou Journal n°81 - Toutou Journal n°80 - Toutou Journal n°82 - Toutou Journal n°83 - Toutou Journal n°84 - Toutou Journal n°85 - Toutou Journal n°86 - Toutou Journal n°87 - Toutou Journal n°90. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Paris, , 1776-1798. 1. Le Nouveau Spectateur, 1 vol. in-8 de (4)-532-388-(2) pp. (1) f., veau fauve marbré, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure de l'époque). 2. Journal des Théâtres, 4 vol. in-8 de (2)-7-(1)-384-(2) pp. ; (2)-402 pp. ; (2)-407-(3) pp. ; (2)-304 pp., demi-basane blonde, pièces de titre et de tomaison en maroquin blond, dos lisse orné (relié vers 1810).3. Le Censeur dramatique, 4 vol. in-8, de 8-584 pp. ; 576 pp. ; 576 pp. ; 256 pp., cachets anciens, basane havane, dos à nerfs orné de fers à l'oiseau, pièces de titre en maroquin havane et de tomaison en maroquin vert, tranches rouges (reliure de l'époque).
Exceptionnelle collection publiée sous trois titres successifs entre 1776 et 1798 du « premier journal de théâtre proprement dit » (Hatin) dédié exclusivement à la critique dramatique - enrichie de deux lettres autographes de son dernier directeur Grimod de la Reynière, dont une adressée à l'acteur le plus prestigieux de son temps, Talma.En 1776, Jean-Pierre Le Fuel de Méricourt (1748-1778) acheta Le Nouveau Spectateur à son fondateur Le Prévost d'Exmes qui avait lancé un répertoire sous ce titre en 1770. La première livraison entièrement rédigée par ses soins parut chez Esprit le 1er avril ; le titre modifié pour la cinquième livraison devint Journal des Théatres ou le Nouveau Spectateur.« Ce qu’on y trouve de mieux, c’est une grande hardiesse à s’expliquer sur le compte des histrions, sacrilège littéraire dont ceux-ci se plaignent hautement, et qui pourra bien mériter au critique la suppression de son journal. » (Bachaumont, Mémoires secrets). Ce qui arriva ! Sur la plainte de comédiens, Le Fuel fut dépossédé de son journal après le n°14. C'est Jean Le Vacher de Charnois (1749-1792) qui prit sa succession et lança une nouvelle série du Journal des Théâtres (le n° 1 parut le 1er avril 1777) puis renonça cinq mois plus tard, en septembre 1777 ; le journal fut alors continué par Alexandre Grimod de La Reynière (1758-1838) alors âgé de 19 ans et un groupe d'amis. « Un Avertissement des nouveaux auteurs, le 15 septembre 1777, déclare : "par une Société de Gens de Lettres" puis « Nous sommes quatre, l'un donne ses soins à l'Opéra, l'autre aux Français, l'autre aux Italiens, le dernier se charge de veiller à l'impression. On n'en saura jamais davantage ». Les réponses des rédacteurs aux lecteurs sont signées A., D., B., O. Collaborateurs occasionnels : La Harpe, Leroy de Ligny, de La Tour, etc. En butte aux tracasseries de son nouveau censeur, Le Fuel fait appel à ses lecteurs dans la « Lettre aux souscripteurs du Journal des théâtres » du 10 novembre 1776, mais doit finalement céder la place. Le Vacher de Charnois, gendre du comédien Préville, bénéficie de l'appui financier de son beau-père et traite directement du rachat avec Le Prévost d'Exmes qui avait gardé un droit sur chaque souscription perçue. Le Fuel exprime son ressentiment dans un Mémoire à consulter pour les souscripteurs du Journal des théâtres. Il y expose les réponses faites aux souscripteurs étonnés et le résultat d'une comparution de toutes les parties le 30 janvier. Il semble néanmoins que Le Vacher de Charnois ait obtenu de garder tous les souscripteurs qui n'avaient pas souscrit d'engagement nominal avec Le Fuel. Mais le Journal des théâtres loue trop souvent Préville et sa fille, au détriment d'autres acteurs, particulièrement Molé, contre lequel Le Vacher revient sans cesse. A son tour, il est dépossédé. Dans une note d'une lettre de Cailhava à Le Vacher, celui-ci déclare renoncer au Journal des théâtres ; dans ce même numéro, on trouve un Avis à son successeur et les Adieux du rédacteur. Le journal est alors continué "avec une impitoyable rigueur à la définition du goût et de la vérité" par Grimod de La Reynière âgé de 19 ans et son groupe » (Pierre Peyronnet).« C'est ce journal que nous voulons ressusciter aujourd'hui », annonce Grimod vingt ans plus tard en 1797 s'inspirant du feu Journal des théâtres pour créer Le Censeur dramatique ou Journal des principaux Théâtres de Paris et des Départemens. Les années révolutionnaires avaient amené de profondes modifications dans la vie des théâtres. Un nouveau public faisait la loi. L’argent et le pouvoir n’allant pas nécessairement de pair avec le bon goût et la culture, Grimod de La Reynière, scandalisé par la décadence du théâtre, entreprit de « ramener la saine portion du Public au goût du bon, au discernement du beau, à la juste mesure des convenances théâtrales et par de sévères mais courtoises critiques d’éclairer les comédiens sur les finesses de leur art et les acteurs sur les principes éternels de la création dramatique.Le Censeur dramatique parut du 10 Fructidor an 5 (27 août 1797) au 10 Messidor an 6 (28 juin 1798). Ses trente et un numéros constituent une mine d’informations sur l’organisation des théâtres, les comédiens, les auteurs, le décor, le costume, l’interprétation du répertoire classique, à une époque où la Société des Comédiens français, dissoute par les autorités révolutionnaires, n’était pas encore renée de ses cendres ».Les tomes II et IV du Censeur dramatique sont truffés de deux lettres autographes signées de Grimod de La Reynière, la première à Monsieur Santerre Notaire à Magny (II, pp. 112-113) : Vous m'avez manifesté l'autre jour, Monsieur, le désir obligeant d'être au nombre des abonnés au Censeur dramatique, en conséquence j'ai l'honneur de vous adresser ci-joint la quittance dont vous pouvez remettre le montant au Postier ; et vous pouvez être sûr de l'exactitude avec laquelle on vous le fera passer à Magny, lieu de votre résidence ordinaire. Si même vous pouviez nous y procurer quelques abonnés, je ne doute pas que le bureau ne consentit à vous faire jouir des mêmes avantages que les libraires sur les abonnements. En conséquence il vous ferait alors une remise de 2£ par souscription. Il m'aurait été bien plus agréable monsieur de vous envoyer gratuitement cette feuille mais vous connaissez assez ma malheureuse position pour savoir que les motifs qui me l'ont fait entreprendre, m'ôtent la faculté d'en faire don à personne (.…) ; la seconde adressée à l'acteur François-Joseph TALMA (1763-1826) datée de Paris, le 16 messidor an 6 (4 juillet 1798), relative à leur querelle dont les éléments sont imprimés dans le Censeur dramatique, dans les livraisons nos 30-31 (IV, pp. 129-133 et 243-254) : « J'apprends à l'instant Monsieur avec un sensible regret que vous avez été profondément affecté de quelques passages de ma réponse imprimée dans le n°31 du Censeur dramatique. Ce nouveau était fait et imprimé … Je donnerai tout au monde en ce moment pour que cette lettre n'ait pas paru. (…) Grimod ».Reliées à la suite du tome IV, 8 pièces de Grimod de La Reynière en édition originale (sauf mention contraire), suivies de 4 feuillets manuscrits (pièces et table) :1. Réflexions philosophiques sur le plaisir par Un célibataire. Troisième édition. Lausanne et Paris , Chez l'auteur, Vve Duchesne etc., 1784. In-8 de 136 pp. Note manuscrite à l'encre du temps sur le titre.2. Peu de chose. Neuchatel, Paris, Belin, Desenne, Petit, 1788. In-8 de 64 pp. Envoi autographe signé Grimod de la Reynière sur le faux-titre.3. Moins que rien, suite de Peu de chose. Ouvrage d'un genre assez neuf, & plus moral qu'on ne pense. Lausanne et se trouve à Paris, Belin, Bailly, Desenne, 1793. In-8 de 72 pp.4. Lettre d'un voyageur à son ami, ou Réflexions philosophiques sur la ville de Marseille. Seconde édition, revue et corrigée Genève, Paris, Belin, 1792. In-8 de 16 pp.5. Copie d'une lettre de M. Grimod de La Reynière, négociant à Lyon &c. à Mme Desroys. Sans lieu, 1791. In-8 de 8 pp.6. LANTIER (Étienne François de). Le Fakir, conte. Constantinople, Imprimerie du Muphti, 1780. In-8 de 24 pp. Publié par Grimod.7. Extrait du Journal de Paris, 1783. In-8 de 2 pp.8. Epître à Madame d'Ocquerre. Sans lieu, 1788. In-8 de 2 pp.Hatin, 590 ; Soleinne V, 481 ; Sgard, Journaux, 716 ; Sgard, Journalistes, 363, 492, 513 ; Desnoiresterres, Grimod La Reynière et son groupe, p. 187 et suivantes.
Paris Le Journal des Dames et des Modes 1820 Une belle collection de 131 gravures de mode joliment coloriées à la main tirées du "?Le Journal des Dames et des Modes de l'Empire...". Sans texte explicatif. Chaque assiette est intitulée "Costumes Parisiens". La première planche est datée d'un 12 (1803) la dernière est de 1830. La reliure quart de cuir contemporaine a un dos rouge foncé avec des motifs et des titres dorés. planches en tissu rouge. Un peu frottant aux deux. L'intérieur des planches est en bon état, propre, avec quelques piqûres ici et là. Une très belle collection. Chaque assiette est colorée à la main. Ils mesurent 110 sur 118 mm. Le « Journal des dames et des modes » s'inspire de la « Revue de La Mésangère ». (Colas 1565 ; Lipperheide, zb 15 ; Hiler, 486). "Commencé en juin 1797, ce journal fut continué sans interruption jusqu'à la fin de 1829. Tous les cinq jours paraissait un numéro avec une belle figure colorée représentant un costume, et le numéro du 15 de chaque mois contenait même deux planches, ce qui faisait 72 émissions de 84 planches pour toute l'année, dont le prix était de 35 fr." (Brunet, III, 795). Cette publication, au format in-8, était accompagnée de gravures de mode intitulées 'Costumes parisiens'. Fondée par le libraire Séllèque et Mme Clément, avec La Mésangère comme collaboratrice pour les gravures. Ce périodique parut sous plusieurs noms : Journal des dames, Costumes parisiens, Journal des modes ou Journal des dames, Journal de la Mésangère et enfin Gazette des salons pour ses derniers numéros.
A lovely collection of 131 beautifully hand coloured fashion engravings from "?Le Journal des Dames et des Modes de l'Empire..." Without any explanatory text. Each plate is entitled "Costumes Parisiens." The first plate is dated 12 (1803) the last is from 1830. The contemporary quarter leather binding has a deep red spine with gilt design and titles. red cloth boards. A little rubbing to both. Inside the plates are in good, clean condition, with a few foxing spots here and there. A very nice collection. Each plate is hand coloured. They measure 110 by 118mm (4Œ by 4Ÿ inches) The "Journal des dames et des modes" was inspired by the "Revue de La Mésangère". (Colas 1565; Lipperheide, zb 15; Hiler, 486). "Begun in June 1797, this journal was continued without interruption until the end of 1829. Every five days an issue appeared with a beautiful colored figure representing a costume, and the issue for the 15th of each month even contained two plates, which made 72 issues with 84 plates for the whole year, the price of which was 35 fr." (Brunet, III, 795). This publication, octavo format, was accompanied by fashion engravings entitled 'Costumes parisiens'. Founded by the bookseller Séllèque and Mrs Clément, with La Mésangère as collaborator for the engravings. This periodical appeared under several names: Journal des dames, Costumes parisiens, Journal des modes or Journal des dames, Journal de la Mésangère and finally Gazette des salons for its last issues. .
1969, 16,8x21,6cm, carnet en spirales.
Journal intime autographe de Maurice Béjart écrit sur un agenda de l'année 1969 célébrant le centenaire de la naissance de Mahatma Gandhi. 52 feuillets autographes, rédigés aux stylos rouge et bleu dans un cahier à spirales. Ce journal figure parmi les très rares manuscrits de Béjart en mains privées, les archives du chorégraphe étant partagées entre sa maison bruxelloise, la fondation Béjart de Lausanne et le Théâtre Royal de la Monnaie. Journal du chorégraphe Maurice Béjart, écrit durant l'année 1969. Rarissime collection de pensées, d'interrogations, d'introspections sous le prisme de l'hindouisme et de la sagesse bouddhique, que Béjart adopte à la suite d'un premier voyage en Inde en 1967. Le journal constitue un témoignage emblématique de l'époque indo-hippie des années 1960, renaissance spirituelle et artistique qui inspira au chorégraphe de nombreux ballets (Messe pour le temps présent, Bhakti, Les Vainqueurs). Une sélection de ce journal fut publiée par Maurice Béjart dans le second tome de ses mémoires (La Vie de Qui?? Flammarion, 1996). Durant l'année 1969, Béjart prend quotidiennement des notes dans un agenda publié à la mémoire de Mahatma Gandhi. Fasciné par le mysticisme hindou depuis un voyage en Inde en 1967, il remplit ce journal spirituel de nombreux mantras et prières («?Krishna guide mon char, la lumière est au bout du chemin. OM?»; «?Le Bouddha est partout présent?»; «?Laisser Dieu entrer, mais comment ouvrir la porte???») et invoque tant les divinités hindoues que les Bodhisattvas Mañju?r? et T?r? - figures apaisantes du panthéon bouddhique. La «?période indienne?» de Béjart fut particulièrement riche en chefs-d'uvre chorégraphiques, dont on suit la progression dans son journal (Baudelaire en début d'année, la création des Vainqueurs à Bruxelles et des Quatre fils Aymon à Avignon, ainsi que le tournage et la projection de son ballet indien Bhakti). à la croisée du New Age et du mouvement hippie, la «?conversion?» de Béjart est symptomatique d'une époque en refus du progrès et en soif de spiritualité?: «?Calcutta n'est pas l'Inde mais notre visage occidental. Ce n'est pas la religion ni la pensée traditionnelle qui est coupable mais le capitalisme. L'Inde pays riche avant la colonisation?». La visite des Beatles dans l'?shram du guru Maharishi et le concert de Ravi Shankar à Woodstock en 1969 marquèrent le début d'une véritable passion occidentale pour la musique et la culture indiennes, qui fut déterminante dans les ballets de Béjart à cette époque. L'Inde s'offre également aux yeux de Béjart comme un lieu où l'art et les traditions ancestrales n'ont pas subi les perversions du positivisme. Il cherchera dans ses créations à exprimer l'esprit d'une culture qui unit intimement le corps et l'esprit, et dans laquelle la danse joue un rôle cosmique et spirituel majeur. Les systèmes de danse indienne et les chants védiques découverts grâce à l'orientaliste Alain Daniélou furent insérés dans ses ballets - en 1968, il ouvre la Messe du temps présent par un long solo de vînâ qui dura quinze minutes?: «?Béjart est dans son quart d'heure hindou. Et là-bas, les quarts d'heure hindous, ça peut durer des heures...?» commenta Jean Vilar, directeur du festival d'Avignon. Un vent de mode indienne passera également dans les costumes de la troupe du Ballet du XXème siècle?: larges pantalons de soie, tuniques, bijoux et yeux orientaux. Dans le journal, Béjart affirme qu'il n'y a «?pas de vérité sans yoga?», un art découvert auprès d'un maître indien que l'on trouve dans nombre de ses ballets sous la forme d'exercices de danse à la barre. Il décide également de faire de Bhakti «?un acte de Foi?» en filmant lui-même la chorégraphie du ballet, et prépare pendant l'été les Vainqueurs, une rencontre insolite entre Wagner et les ragas traditionnels indiens. Au-delà de l'artiste prolifique, on découvre aussi dans le journal la personnalité troublée du chorégraphe, en proie au doute et à la mélancolie?: «?état vague d'apesanteur physique et de vide moral. Léthargie ou paresse. Faiblesse. Vertige. Torpeur. Inconscience?». Malgré les succès, Béjart tentera d'apaiser son état fragile par la méditation et l'enseignement de prophètes et brahmanes indiens, qu'on rencontre au fil des pages du journal (Ramana Maharshi, Swami Ramdas, le Dalaï-Lama, Apollonios de Tyane). Ses amours parfois contrariées avec son danseur fétiche Jorge Donn l'accaparent et le plongent dans l'angoisse - à la veille de la première des Vainqueurs, il écrit «?Avant-générale. Chaos. [Jorge] Donn parti. Tara absente. Moi perdu.?». Déchiré entre la jouissance et la maîtrise de soi, il voyage à rythme effréné avec sa troupe du Ballet du XXème siècle, d'abord aux Pays-Bas puis en Italie à Milan, Turin et Venise?: «?Je quitte Venise complètement asservi à la paresse au sexe et à la facilité et pourtant étrange bien-être de la brute qui a bu et baisé?». Pourtant, ces moments heureux ne parviennent pas à satisfaire Béjart, pour qui la «?Joie a un arrière-goût de mort?» malgré la «?vie de travail et de discipline?» qu'il s'impose durant cette année riche en créations. à la fin de sa vie, Béjart reviendra avec humour sur ses frasques indiennes et le ton résolument sombre de son journal?: «?Je ne peux pas m'empêcher de rire de cet idiot qui pleure et qui geint, alors qu'il créait des ballets en grand nombre [...] Quand je pense qu'à la fin de ce journal de 1969 je songeais résolument à la retraite?!?». Rarissime document retraçant la rencontre entre l'Orient et l'Occident dans la vie intime et l'uvre chorégraphique de Maurice Béjart. Ce journal incarne une époque de contre-culture et de syncrétisme culturel qui marqua durablement le ballet d'avant-garde européen. Provenance?: archives personnelles de Maurice Béjart. - Photos sur www.Edition-originale.com -
7 vol. in-8 reliure demi-maroquin chocolat, dos à 5 nerfs, Jouaust, Librairie des Bibliophiles, Paris, 1875-1879. Rappel du titre complet : Mémoires-Journaux de Pierre de l'Estoile. Edition pour la première fois complète et entièrement conforme aux manuscrits originaux (Tomes 1 à 7 ) Tome 1: Journal de Henri III 1574-1580 ; Tome 2 : Journal de Henri III 1581-1586 ; Tome 3 : Journal de Henri III 1587-1589 ; Tome 4 : Les Belles Figures et Drolleries ; Tome 5 : Journal de Henri IV 1589-1593 ; Tome 6 : Journal de Henri IV 1593-1594 ; Tome 7 : Journal de Henri IV 1505-1601
Très bel exemplaire réunissant les 7 premiers tomes, et malheureusement incomplet de 5 derniers (infimes frott. en coiffes, parfait état par ailleurs). Prix en l'état pour ces mémoires absolument passionnants, qui nous plongent en plein dans l'atmosphère du temps.
Pékin-Peiping, Henri Vetch, 1936-1937-1938 -1939-1940 - 1941 - 1942 - 1943 - 1944 - 1945 - 1946 - 1947 - 1948. 12 forts volumes in-8, enrichis de planches ou illustrations, reliure moderne plein cuir brun, couvertures conservées, très bon état. Ensemble de toutes les publications de Monumenta Serica du 1er numéro au numéro 13 (1949), sauf le No 12 de 1948. La publication sera ensuite éditée au Japon à partir de 1950. A full set of 12 volumes of Monumenta Serica, from Number I to Number XIII (except No XII), published in Peking by the french publisher Henri Vetch. A very scarce collection of books, nicely and identically rebound in fill brown leather,
Cet ouvrage collectif est une publication annuelle de l'Université Catholique de Pékin. Les 12 volumes (sur 13) parus à Pékin, entre 1935 et 1949 rassemblent les études et articles des meilleurs spécialistes de la Chine de cette époque. Ecrits dans de multiples langues, français, anglais, allemand, etc. Pour de plus amples informations sur la table des matières de chacun des volumes et sur les frais de port importants, merci de contacter le libraire. For further information about the summary of each books or about the expensive postage, please contact directly the bookseller. REMISE POSSIBLE POUR ACHAT DIRECT - DISCOUNT OFFERED FOR DIRECT SALE - PLEASE CONTACT THE BOOKSELLER FOR MORE INFORMATION
Au bureau du Petit Journal.. 13 septembre 1903. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 8 pages illustrées de 2 gravures en couleur en première et quatrième de couverture. . . . Classification Dewey : 70.4411-Le petit journal / Le journal illustré
Photographie en noir et blanc des Ecursionnistes du Petit Journal qui arrivent à Compiègne. De Paris à Saint-Germain oar la Seine - Le diner des excursionnistesdu Petit Journal. Classification Dewey : 70.4411-Le petit journal / Le journal illustré
BUREAUX DE L'ADMINISTRATION. 1-8 JANVIER 1865. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1 à 8. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4411-Le petit journal / Le journal illustré
Sommaire : Bonne année ! par Henry de Montaut, Tours par Jacques Bonus, Causerie judiciaire par Jules Moinaux, Théatres par Francisque Sarcey, La Noel britannique par Emile de la Bédollière, V'la l'journal illustré ! V'la le p'tit journal ! Chansonnette, paroles et musique d'Edmond L'Huillier chantée par M. Berthelier Classification Dewey : 70.4411-Le petit journal / Le journal illustré
BUREAUX DE L'ADMINISTRATION. 12-19 FEVRIER 1865. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 49 à 56. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4411-Le petit journal / Le journal illustré
Sommaire : Arrivée du journal illustré et du petit journal dans un village par H. de Hem, Ambroisep ar Jacques Bonus, Les aventures de Pitanchu écrites par tout le monde par H. de Hem, L'homme aux cent sous par Charles Monselet, Le passage de l'opéra - une nuit de bal a quatre heures du matin par F. de Marney, Les boules de neige par Boucher de Perthes, Une partie de Whist dans les Indes, Le bal de l'hotel de ville le 2 février par Henry de Montaut Classification Dewey : 70.4411-Le petit journal / Le journal illustré
BUREAUX DE L'ADMINISTRATION. 13 SEPTEMBRE 1891. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 289 à 296. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4411-Le petit journal / Le journal illustré
Sommaire : La grande course vélocipédique du Petit Journal : Paris-Brest et retour, Le départ de l'hotel du Petit Journal, Le parcours, L'arrivée a Brest par Henri Meyer et Karl Fichot, Le maitre d'école (suite) par Tancrède Martel, Un peu de patisserie Classification Dewey : 70.4411-Le petit journal / Le journal illustré
Reliés ensemble :- Livre journal. Défense. - Livre journal. Tchad, guerre de libération nationale. - Livre journal. Les commissions ouvrières.- Livre journal. 700 millions de Mao Tsetoung. Documents sur la Révolution dans l'Enseignement en Chine. - Livre journal. Histoire de la séquestration n'est pas une vertu républicaine dans le mouvement ouvrier.- Livre journal. Les Fondations culturelles. - Livre journal. L'Europe sauvage. - Livre journal. Le mouvement ouvrier. Éléments pour une étude synthétique sur le mouvement ouvrier. - Livre journal. Contre la psychiatrie. - L'Idiot Liberté. Le torchon brûle. - L'Idiot Liberté n°2. Janvier 1971. Reliure plein skyvertex noir, dos lisse, titre doré. Exemplaire en parfait état.
Journal de la Marine. LE YACHT. Marine de Guerre, Marine de Commerce, Navigation de Plaisance. Journal Hebdomadaire paraissant le Samedi.
Reference : 20908
(1896)
1896 Paris,1896 +1er semestre 1897,un volume IN4 reliure demi basane noire,dos usé,coins frottés,une charniere fendue sur 4 cm,neanmoins solide : 624+ 312p.,un cahier detaché,collationné complet,bon etat
illustrations photographiques et figures ou dessins dans le texte,devenu rare.
Reference : 4538
Paris, Imprimerie de Le Normant, 1815. 37 x 23,5 cm. Deux volumes reliés demi-chagrin noir, reliures usées mais encore solides, coiffe du tome I arrachée. Intérieur en bon état. Certains numéros sont imprimés sur papier bleu. Tome I, du 1 janvier 1815 au 18 juin 1815 (manquent les numéros du 20 mars et du 16 mai). Tome II, du 12 juillet 1815 au 31 décembre 1815 (manquent les numéros des 11 et 26 août). Au moment de la Première Restauration, le journal prend le titre de Journal des débats politiques et littéraires (1er avril 1814). Redevenu Journal de l'Empire pendant les Cent-Jours du 21 mars au 7 juillet 1815, il est de nouveau appelé Journal des débats politiques et littéraires de 1815 à 1944.
Journal fondé en août 1789 par Gaultier de Biauzat, Huguet et Grenier, qui constitue une source documentaire de premier plan, « quelquefois plus complète et plus exacte que le Moniteur lui-même » (Hatin, Presse périodique). Il donne le compte rendu des discussions législatives et des actes de l'autorité.Le journal a réussi à vivre sous tous les régimes grâce à l'habileté des frères Bertin qui le rachetèrent en 1799. Sous Napoléon Ier il devint le Journal de l'Empire avec Fiévée pour rédacteur et censeur, puis en 1811 l'Empereur le confisqua complètement. Lors de la première Restauration, Bertin rentra en possession de son journal et se rallia à l'Empereur durant les Cent Jours, puis à Louis XVIII après Waterloo.
Reference : 4540
Paris, Imprimerie de Le Normant, 1816. 37 x 23,5 cm. Relié demi-chagrin noir, reliure usée mais encore solide, coiffe inf. arrachée. Intérieur en bon état. Certains numéros sont imprimés sur papier bleu. Complet du 1 janvier 1816 au 30 juin 1816. Au moment de la Première Restauration, le journal prend le titre de Journal des débats politiques et littéraires (1er avril 1814). Redevenu Journal de l'Empire pendant les Cent-Jours du 21 mars au 7 juillet 1815, il est de nouveau appelé Journal des débats politiques et littéraires de 1815 à 1944.
Journal fondé en août 1789 par Gaultier de Biauzat, Huguet et Grenier, qui constitue une source documentaire de premier plan, « quelquefois plus complète et plus exacte que le Moniteur lui-même » (Hatin, Presse périodique). Il donne le compte rendu des discussions législatives et des actes de l'autorité.Le journal a réussi à vivre sous tous les régimes grâce à l'habileté des frères Bertin qui le rachetèrent en 1799. Sous Napoléon Ier il devint le Journal de l'Empire avec Fiévée pour rédacteur et censeur, puis en 1811 l'Empereur le confisqua complètement. Lors de la première Restauration, Bertin rentra en possession de son journal et se rallia à l'Empereur durant les Cent Jours, puis à Louis XVIII après Waterloo.