PORTRAITS ET HISTOIRE DES HOMMES UTILES 1833 à 1836) Hommes et femmes de tous pays et de toutes conditions qui ont acquis des droits à la reconnaissance publique par des traits de dévouements, de charité, par des fondations philanthropiques, par des travaux, des tentatives, des perfectionnements, des découvertes utiles à l'Humanité publiés et propagés par la Société Montyon et Franklin 6 tomes en 3 volumes, fort in8, 230x140, reliés demi cuir, bel état intérieur, texte sur deux colonnes. Environ 150 gravures de portrait Paris, Au bureau Central de la Société, vers 1840 ref/118
MÉMOIRES DE MADAME DE REMUSAT 1802-1808 publiés par son Petit Fils Paul de Rémusat complet en 3 vol. in-8 220x150, reliés demi cuir, frottements, bel état intérieur, 410, 413 & 414pp, petite différence de teinte sur le 3e vol. Paris Calmann Levy 1880 ref/c24
Tome I, qui comprend les règnes depuis 486 jusqu'à 628. Clovis, Childebert, Clotaire, Théodebert, Gontran, Thieri Fort vol in-4, 25x20, relié pleine basane époque, solidement relié, 412pp, très bon état intérieur, gravures de médailles en tête de chapitre. Ex libris, Monsieur Darmand, Major de Lille. a Paris, chez les Libraires Associés, 1755
Clovis Ier , en latin Chlodovechus, né vers 466 et mort à Paris le 27 novembre 511 , est roi des Francs saliens, puis roi de tous les Francs de 481 à 511. À la mort de Clovis en 511, ses fils Thierry, Clodomir, Childebert et Clotaire se partagent, conformément à la tradition franque, le royaume qu'il avait mis une vie à réunir. Clotaire devint roi de Soissons, Childebert roi de Paris, Clodomir roi d'Orléans, et Thierry roi de Metz. Chacun d'eux avait aussi des provinces dans le midi de la Gaule. Par la suite, les fils de Clovis attaquèrent et tuèrent le roi des Burgondes, Sigismond, fils de Gondebaud. Clodomir d'Orléans fut tué par la suite à Vézeronce et son royaume fut intégré aux trois autres.
Lettres à sa famille et à ses amis suivies de lettres à sa mère, d'un appendice et précédées d'une étude biographique et critique par Henri VILLARD Relié, pleine toile grise, deux pièces de titre au dos. 14 x 22 cm. 658 pages. Bon ex., frais. Couvertures d'origines conservées. Paris: VICTOR PALME, 1876 c/84
Préface : de l’Origine des Divinitez Payennes & de l’Idolatrie. Livre premier : Des principales divinitez Payennes, avec XIV chapitres. Livre second : L’Histoire des demy-Dieux anciens, avec Préface et XXII chapitres. Livre troisième : Des honneurs que les Payens rendoient à leurs Dieux, avec Préface et VII chapitres. Nouvelle édition en Français et en latin, complet vol in12, relié pleine basane époque, 17x10, accrocs, solide, frais, 227pp + table. Peu courant. A Bruxelles, chez François Foppens, 1731 ref/32
Le Père jésuite Pierre Gautruche (1602–1681), professeur, pédagogue, philosophe, mathématicien et théologien, publia une Histoire poétique en 1645 qui fut rééditée à maintes reprises.
de la traduction de Monsieur de Vaugelas, avec les suppléments de Jean Freinshemius sur Quinte Curce, traduit par Pierre Du-Ryer complet de sa carte " Alexandri Magni Excvrsvs et expeditio in Asiam " volume relié in 4, 220x180, relié pleine basane époque, accrocs, mérite une restauration, traces de mouillures anciennes, solidement relié, bon état intérieur, 773pp + tables. Joint page manuscrite de l'époque. A Paris, chez Augustin Covbe, MDCLIII ( 1663 )
France - Moyen Age - Temps modernes Histoire de l'Europe , de 1610 à 1789 vol. relié demi cuir, 180x110, dos à nerfs, frottements, 388pp, bel exemplaire Paris Thorin & Durand 1875 ref/108
Bel envoi autographe de l'auteur à Gaston Alberti " à mon excellent ami ". Comment on dansait, comment on danse. Fort volume in-4, 30x19, relié demi cuir, frottements, très bel état intérieur, couvertures d'origines conservées, 418 pp, illustrations en noir dans le texte et en couleurs hors-texte par Valvéranne. Technique par Berthe Bernay. Notation musicale par Casadesus & Maugué. Paris, Garnier, sans date, vers 1890
CÉSAR BORGIA 1475-1507 Raphael Sabatini broché, 230x140, 364 pages,très bel exemplaire Payot 1937
HISTOIRE D'ANGLETERRE par Rapin de Thoyras Nouvelle édition, augmentée des notes de M.Tindal & de quelques remarques mises au bas des pages Tome XIV. Mémoires pour servir à l'Histoire des vingt premières années du règne de Georges II volume in4, 255x200, relié plein veau époque, dos à nerfs, tranches jaspées, frottements et accrocs ( photo) mérite une petite restauration, très bel état intérieur, bien frais, 648pp A la Haye1744
Rassemblées et présentées par PASTEUR VALLERY-RADOT (avec des documents inédits)
Reference : CZC-4788
Reliure en pleine toile. Dos lisse orné d'une pièce de titre rouge. Couvertures et dos d'origine conservés. in8, (15x21cm) . 381 pages. Complet . Exemplaire bien conservé. Intérieur frais et sans rousseurs. Paris, Hachette, 1968. EDITION ORIGINALE. ref/78/5
Le livre décrit dans un premier temps les trois mythes sur lesquels repose l'idéologie de la gauche (le mythe de la Gauche, le mythe de la Révolution, le mythe du Prolétariat); une deuxième partie analyse et critique la vision marxiste de l'histoire; enfin, dans un troisième temps, Raymond Aron souligne avec étonnement la fascination que l'idéologie marxiste exerce sur les intellectuels et cherche à en dégager les raisons. Le titre fait référence à la célèbre formule marxiste selon laquelle la religion est l'opium du peuple, exprimant ainsi (non sans une certaine malice) d'une part le parallélisme entre communisme et religion et d'autre part l'attrait irrationnel que le communisme exerce sur les intellectuels. « Cherchant à expliquer l'attitude des intellectuels, impitoyables aux défaillances des démocraties, indulgents aux plus grands crimes, pourvu qu'ils soient commis au nom des bonnes doctrines, je rencontrai d'abord les mots sacrés : gauche, Révolution, prolétariat ». Volume relié demi toile, 22x15, couvertures conservées, très bel état intérieur, 334pp. Calmann Lévy, 1956 ref/65
11 illustrations hors texte volume relié demi cuir, grand in8, 215x145, demi reliure cuir, frottements, cuirs rappés sur les mors, très bel état intérieur, 367 pages, très bel état intérieur. Paris, Librairie Plon 1931 ref/130
24 illustrations hors texte volume relié demi cuir, grand in8, 215x145, demi reliure cuir, frottements, cuirs rappés sur les mors, très bel état intérieur, 543 pages. Paris, Librairie Plon 1928 ref/130
TI. Charles Quint est élu Empereur le 28 juin 1519 - Guerres civiles d'Espagne en 1520& 1521 - Guerre de Navarre en 1521 - Guerres de Charles Quint & de François 1er depuis 1521 jusqu'à 1544. Charles Quint était un personnage important dans l'histoire européenne. Il était également connu sous le nom de Charles V, et fut l'un des monarques les plus puissants de son époque et joua un rôle crucial dans les événements qui ont façonné l'Europe du XVIe siècle. Voici quelques anecdotes liées à sa vie et à son règne : L'Empire sur lequel le soleil ne se couche : Charles Quint est célèbre pour avoir régné sur un vaste empire qui s'étendait des Amériques à l'Europe et à l'Afrique, sur lequel il était dit que "le soleil ne se couchait jamais". Cela faisait référence à l'énorme étendue géographique de ses possessions. Rivalité avec François Ier : Charles Quint était en rivalité avec le roi de France François Ier. Leur rivalité s'est manifestée par des guerres et des conflits pour le contrôle de territoires et d'influence en Europe. La bataille de Pavie en 1525 fut l'un des affrontements les plus importants entre les deux monarques, où François Ier fut capturé par les troupes de Charles Quint. Le Sac de Rome (1527) : Durant son règne, Charles Quint a également été impliqué dans le Sac de Rome en 1527, lorsque les troupes impériales ont envahi et pillé la ville de Rome. Cet événement a eu un impact majeur sur la papauté et sur la politique européenne de l'époque. Abdication volontaire : En 1556, Charles Quint prit la décision surprenante d'abdiquer de ses nombreux titres et de se retirer de la vie politique. Il se retira dans un monastère, le monastère de Yuste en Espagne, où il passa le reste de ses jours en méditation et en prière. L'héritage religieux : Charles Quint fut également confronté à la Réforme protestante et à la propagation des idées de Martin Luther. Son empire était en proie à des divisions religieuses profondes. Sa tentative de réprimer le protestantisme et de restaurer l'unité religieuse a eu des répercussions durables sur l'histoire européenne et a contribué à façonner les contours religieux de l'Europe moderne. Influence sur la création des Habsbourg d'Espagne : L'empire de Charles Quint fut le point de départ de la puissante dynastie des Habsbourg d'Espagne, qui jouerait un rôle majeur dans les affaires européennes pendant des siècles. Ces anecdotes offrent un aperçu de l'importance de Charles Quint dans l'histoire européenne, notamment en termes de politique, de guerres et de questions religieuses. vol in-12, 170x100, relié pleine basane époque, accrocs, dos à nerfs, bien frais intérieur, 310pp. A Amsterdam, chez Arkslée & Merkus, 1753 ref/28
"L'Histoire du Stadhouderat depuis son origine jusqu'à présent" (History of the Stadtholderate from its origins to the present) est un sujet qui traite de l'institution politique du Stadhouderat dans les Pays-Bas et leur histoire. Le Stadhouderat était une fonction politique importante aux Pays-Bas au cours de différentes périodes, en particulier pendant la République néerlandaise (1581-1795). Le Stadhouder (ou stathouder en néerlandais) était un représentant du pouvoir exécutif dans certaines provinces des Pays-Bas. Il était souvent choisi dans la famille d'Orange-Nassau et exerçait des fonctions similaires à celles d'un chef d'État dans les provinces qui le reconnaissaient en tant que tel. La fonction de Stadhouder n'était pas héréditaire, mais elle est souvent restée dans la même lignée familiale en raison du prestige de la Maison d'Orange-Nassau. L'histoire du Stadhouderat est étroitement liée à l'histoire politique des Pays-Bas pendant la période de la République néerlandaise. Il y a eu plusieurs Stadhouders célèbres au cours de cette période, tels que Guillaume d'Orange (Guillaume le Taciturne), Maurice de Nassau, Frédéric-Henri d'Orange, Guillaume III d'Orange, et d'autres membres de la Maison d'Orange-Nassau. Cette institution a joué un rôle crucial dans l'histoire politique des Pays-Bas, notamment pendant la guerre d'indépendance néerlandaise contre l'Espagne, les conflits internes entre partisans des Orangistes et des Républicains, et les évolutions politiques du XVIIe et XVIIIe siècle. L'histoire du Stadhouderat est riche en événements politiques, conflits, et changements de pouvoir, ce qui en fait un sujet intéressant pour quiconque s'intéresse à l'histoire politique des Pays-Bas. Manifeste contre les Princes d'Orange par l'Abbé Raynal Volume in-12, 165x110, reliure plein veau époque, avec manques et accrocs, usagés, mais mérite une restauration. bon état intérieur, complet, 246 pages, table des matières. Raynal Abbé Guillaume. Histoire du Stadhouderat depuis son origine jusqu'à présent. "L'Histoire du Stadhouderat depuis son origine jusqu'à présent" (History of the Stadtholderate from its origins to the present) est un sujet qui traite de l'institution politique du Stadhouderat dans les Pays-Bas et leur histoire. Le Stadhouderat était une fonction politique importante aux Pays-Bas au cours de différentes périodes, en particulier pendant la République néerlandaise (1581-1795). Le Stadhouder (ou stathouder en néerlandais) était un représentant du pouvoir exécutif dans certaines provinces des Pays-Bas. Il était souvent choisi dans la famille d'Orange-Nassau et exerçait des fonctions similaires à celles d'un chef d'État dans les provinces qui le reconnaissaient en tant que tel. La fonction de Stadhouder n'était pas héréditaire, mais elle est souvent restée dans la même lignée familiale en raison du prestige de la Maison d'Orange-Nassau. L'histoire du Stadhouderat est étroitement liée à l'histoire politique des Pays-Bas pendant la période de la République néerlandaise. Il y a eu plusieurs Stadhouders célèbres au cours de cette période, tels que Guillaume d'Orange (Guillaume le Taciturne), Maurice de Nassau, Frédéric-Henri d'Orange, Guillaume III d'Orange, et d'autres membres de la Maison d'Orange-Nassau. Cette institution a joué un rôle crucial dans l'histoire politique des Pays-Bas, notamment pendant la guerre d'indépendance néerlandaise contre l'Espagne, les conflits internes entre partisans des Orangistes et des Républicains, et les évolutions politiques du XVIIe et XVIIIe siècle. L'histoire du Stadhouderat est riche en événements politiques, conflits, et changements de pouvoir, ce qui en fait un sujet intéressant pour quiconque s'intéresse à l'histoire politique des Pays-Bas. Manifeste contre les Princes d'Orange par l'Abbé Raynal Volume in-12, 165x110, reliure plein veau époque, avec manques et accrocs, usagés, mais mérite une restauration. bon état intérieur, complet, 246 pages, table des matières. A la Haye MDCCXLVI ref/23/5
Orné de 100 gravures par nos Premiers Artistes Complet première et deuxième parties, fort vol in-4, 29x21cm,demi-reliure cuir, bel état intérieur, 794p + table Paris, Bureau de la Publication, 1879
Bel envoi autographe en page de garde " à Monsieur Henry Ribadieu, hommage de l'auteur " Henry Ribadieu, né en 1825 à Coimères (Gironde), journaliste politique et inlassable historien de l'Aquitaine ancienne. vol in8, 200x130, reliure pleine toile verte, 132pp, couvertures d'origines conservées, parfait état intérieur. Paris, Auguste Aubry, Libraire, MDCCCLVIII ref/292
Pierre de Brach était un poète bordelais du XVIe siècle, également connu sous le nom de Pierre de Brachart. Il était actif pendant la Renaissance française et a contribué à la poésie de cette époque. Pierre de Brach est surtout connu pour ses poèmes lyriques et ses chansons. Il était un poète courtois, s'inspirant des thèmes de l'amour, de la nature et de la beauté féminine. Ses œuvres expriment souvent les idéaux de la poésie courtoise, caractérisée par son raffinement, son élégance et son ton élogieux envers les dames. Bien que son œuvre soit relativement peu connue et limitée en termes de volume, Pierre de Brach a été reconnu comme un poète talentueux de son époque. Ses poèmes ont été publiés dans des recueils collectifs et ont été appréciés par les cercles littéraires et artistiques de Bordeaux. Il est important de noter que les informations spécifiques sur la vie et l'œuvre de Pierre de Brach sont plutôt rares, et il se peut que sa renommée et ses œuvres aient été quelque peu oubliées au fil du temps. Néanmoins, il reste une figure intéressante de la poésie du XVIe siècle et un représentant de la tradition littéraire bordelaise de l'époque.
vol broché 180x130, très bel état int., 211pp Paris, A.G Nizet ref/c92
Étude biographique et littéraire, suivie de lettres et de mémoires inédits, par René Kerviler et Baron de Barthélemy Né à Paris en 1603. Calviniste. Conseiller-secrétaire de Louis XIII, maison et couronne de France. Fréquenta l’hôtel de Rambouillet et les salons de Mme de Sablé et de Mlle de Scudéry. Dans le roman de Cyrus il était appelé Théodamas. « Il a été, pour ainsi dire, le père de l’Académie française, c’est dans sa maison qu’elle est née ; elle ne fut d’abord composée que de ses plus chers amis ; sa probité, la douceur de ses mœurs, l’agrément de son esprit les avait rassemblés ; et quoiqu’il ne sût ni grec ni latin, tous ces hommes célèbres l’avaient choisi pour le confident de leurs études, pour le centre de leur commerce, pour l’arbitre de leur goût. Ils lui confièrent même la charge de secrétaire, la seule qui soit perpétuelle dans l’Académie ; en sorte qu’il était proprement l’âme de cette compagnie naissante, mais une âme qui en gouvernait les mouvements avec tant de dignité, qu’en peu de temps elle l’eut mis au rang des compagnies les plus illustres de l’État » (d’Olivet). Premier secrétaire perpétuel de l’Académie, de 1634 à 1675, son rôle à l’Académie fut très important ; il tint les registres à partir du 13 mars 1634, prit part à la rédaction des statuts et rédigea les Lettres Patentes, fut délégué auprès du cardinal pour lui demander d’approuver les statuts, de Séguier pour lui offrir le protectorat, et des magistrats après l’arrêt de vérification. Il patronna la candidature de Bossuet et participa aux frais du prix de poésie fondé par Pellisson. De nombreux écrivains lui dédièrent leurs ouvrages : Perrot d’Ablancourt, Costar, L. Giry, Cassagne, etc. Il entretint une correspondance suivie avec Jean-Louis Guez de Balzac. Raillé par Boileau, « Conrart, dit Segrais, avait un goût et une délicatesse merveilleuse pour la perfection de notre langue. » Il a laissé deux ou trois pièces de vers, une relation des troubles de la Fronde et une certaine quantité de manuscrits qui forment un grand nombre de volumes in-folio à la Bibliothèque de l’Arsenal. » « Poète facile, agréable et sans prétention, chroniqueur exact et impartial, épistolier fécond, à la prose pure et correcte, aussi éloignée de l’emphase pédante de Balzac que de l’affectation puérile de Voiture, grammairien sûr et judicieux, ami fidèle, d’une probité et d’un désintéressement à toute épreuve, Valentin Conrart, par l’assistance éclairée, les sages conseils et le dévouement constant qu’il prodigua aux gens de lettres, ses contemporains, mérite à coup sûr une place honorable parmi les figures les plus intéressantes du XVIIe siècle » (Kerviler). Kerviler a fait paraître Conrart et ses amis. Les Mémoires de Conrart ont été publiées par Monmerqué en 1825. Il est mort en 1675. Vol grand in, demi cuir, 23x16, bon état intérieur, 672pp. Paris, Didier Libraires, 1881 ref/128
ou Traits de courage, de grandeur d'âme, de bienfaisance ; Réponses sublimes, réparties ingénieuses des Souverains qui ont régné sur les États héréditaires, depuis Rodolphe de Hapsbourg jusqu'à ce jour ; accompagnés des notices et anecdotes sur les plus grands capitaines qui ont été placés à la tête des armées impériales ; à l'usage de la jeunesse", René Perin vols reliés plein veau époque, 170x105, accrocs, un mors fendu, bon état intérieur, 355 & 387pp.Complet. illustré de 16 gravures en taille douce. Paris, Delaunay, Libraire au Palais Royal 1811
ou Traits de courage, de grandeur d'âme, de bienfaisance ; Réponses sublimes, réparties ingénieuses des Souverains qui ont régné sur les États héréditaires, depuis Rodolphe de Hapsbourg jusqu'à ce jour ; accompagnés des notices et anecdotes sur les plus grands capitaines qui ont été placés à la tête des armées impériales ; à l'usage de la jeunesse", vols reliés plein veau époque, 170x105, accrocs, un mors fendu, bon état intérieur, 355 & 387pp.Complet. illustré de 16 gravures en taille douce. Paris, Delaunay, Libraire au Palais Royal 1811 ref/109b
avec 40 lettres et de nombreux documents inédits, 25 gravures hors texte. volume in- relié, 230x180, demi-cuir, très bel état intérieur, 300p. Couvertures conservées. Paris, Plon, 1939 ref/224
Né à Douai en 1778, H.-R. Duthilloeul était officier d'administration et servit notamment Joseph Bonaparte lors des guerres d'Espagne. Devenu ultérieurement juge de paix à Douai, il fut ensuite en charge de la bibliothèque de la ville à partir de 1834 afin de dresser le catalogue des manuscrits ; cet ouvrage parut en 1844 sous le titre : Catalogue descriptif et raisonné des manuscrits de la Bibliothèque de Douai... Son intérêt pour les "Hommes remarquables" de Douai n'était pas nouveau puisqu'il avait publié dès 1820 un Éloge de Jean de Bologne, artiste qui naquit dans cette ville en 1524. Sa Galerie douaisienne ou biographie... fut publiée pour la première fois par Adam d'Aubers, à Douai, en 1844. "Par la description des livres sortis des presses douaisiennes, nous avions, il y a quelques années, tracé une partie de l'histoire littéraire de la ville de Douai ; nous avons voulu depuis ouvrir une galerie dans laquelle figureront ses plus remarquables enfants, et essayer par là de rassembler des matériaux qui, plus tard, pourront venir en aide à ceux qui entreprendraient d'écrire l'histoire de cette ville. C'est cet humble travail que nous venons offrir aujourd'hui, comme un hommage respectueux, à la cité qui nous a vu naître." vol relié, jolie reliure, 22x16, livre à l'état neuf, 408pp. Quelques illustrations de portraits. Lafitte reprints, Marseille 1981, de l'édition originale de 1844 ref/275
Nombreuses illustrations tirées d’œuvres d'art avec leurs explications. 36 planches précédées d'un texte explicatif et d'un avant propos de L. Benloew, non paginé, 60 pages et 212 dessins. Richard Engelmann (1844-1909) couverture cartonnée, avec usure d'usage, 26 cm x 34 cm, bel état intérieur. Paris, C. Reinwald & Cie 1891