8, rue Bréa
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France
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Phone number : 01 43 54 43 61 PUF, 1964, in-8°, 195 pp, qqs rares marques au crayon en marge, broché, bon état
P., Jean-Jacques Pauvert, 1967, in-12 étroit, 192 pp, traduction par Robert Rovin, présentation de Dionys Mascolo, broché, bon état (Coll. Libertés)
Eugène Belin, 1890, in-12, x-379 pp, broché, bon état. Edition originale
Léon Ollé-Laprune (1839-1898), est un philosophe catholique français. Opposé au rationalisme cartésien et au déterminisme positiviste, il s'intéresse à la part des sentiments et de la volonté dans la croyance. En 1881, dans son "Essai sur la morale d'Aristote", Ollé-Laprune défend l'eudémonisme du philosophe grec contre les théories kantiennes. Dans "La philosophie et le temps présent" (1890), il s'attaque au spiritualisme déiste et argumente en faveur du droit du penseur chrétien à aller au-delà des données de la religion naturelle, pour éclairer la philosophie grâce aux données de la religion révélée.
Eugène Belin, 1890, in-12, x-379 pp, reliure demi-chagrin brun époque, dos à nerfs orné de fleurons dorés, coiffes lég. abîmées
Eugène Belin, 1908, in-12, xxviii-396 pp,
L'Herne, 1968, in-8°, 346 pp, documents, biblio, broché, couv. illustrée à rabats, bon état. Edition originale
L’erreur tragique que commit Heidegger en 1933, en croyant sincèrement que le chef du parti national-socialiste ouvrier allemand, Adolf Hitler, pouvait sauver l’Allemagne de sa misère et de sa détresse, a fait l’objet de nombreux commentaires. Par un examen rigoureux des documents et des archives nazies, cet ouvrage s’efforce de dissiper les malentendus habituels et d’établir le sens réel de ce “rectorat de 1933”, et la place qu’il occupe dans l’ensemble du “chemin de pensée” de Heidegger. Suivant pas à pas la formation de cette pensée, il est montré que seule une interrogation sur le stade ultime de la métaphysique occidentale et son achèvement dans la technique mondiale, rend compréhensible le sens que ce philosophe crut reconnaître au mouvement national-socialiste allemand. L’erreur politique de Heidegger, dont il n’est pas question de nier la gravité, ne nous apparaît en pleine lumière qu’avec l’élucidation des figures qui traversent l’horizon de cet achêvement, celle de Nietzsche, de Rainer Maria Rilke, de Trakl qui, tous tentèrent un même passage hors des déserts et de la nuit métaphysique de l’Occident.
UGE, 1968, in-12, 188 pp, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. 10/18)
"Herbert Marcuse arrivait en France au moment où commençait le mouvement étudiant de Mai, qui se réclame de lui. Sur le bureau de Rudi Dutschke, leader du S.D.S., à Berlin, "L'homme unidimensionnel" voisine avec les oeuvres de Marx. Pourtant, il y a quelques années, la traduction d' "Eros et Civilisation" n'avait pas été un événement. Qui est donc Marcuse, l'un des plus brillants philosophes de cette école freudo-marxiste allemande des années 30, condamnée et baillonnée par le national-socialisme, et depuis, si méconnue. Un jeune philosophe, Jean-Michel Palmier, nous fait découvrir l'un des rares penseurs révolutionnaires qui, à soixante ans, ait une audience internationale et une influence déterminante."
Félix Alcan, 1926, in-8°, xx-272 pp, mention de 51e mille, broché, dos lég. abîmé, bon état (Coll. Bibliothèque de philosophie contemporaine)
"Le livre de M. Payot est un traité de l'éducation de la volonté, à la fois théorique et pratique, surtout pratique. Il est impossible de rendre compte d'un pareil ouvrage sans lui enlever ce qui en fait en grande partie le prix : le détail des observations, la variété des exemples, la richesse des analyses, les constantes applications aux cas particuliers qui viennent à chaque page illustrer la théorie. L'objet du livre c'est de montrer qu'en dehors de toute conception métaphysique nous pouvons trouver dans le mécanisme psychologique de la volonté la condition nécessaire et suffisante de la direction de la conduite. Notre tâche d'homme n'est pas dans la recherche d'une fin supra-sensible, elle est dans la nature et comme sous notre main, c'est l'oeuvre de la possession de soi, de la maîtrise personnelle. La cause de tous nos malheurs et de tous nos vices, c'est la faiblesse de notre volonté, l'aboulie. Voilà le mal..." (Xavier Léon, Revue de métaphysique et de morale, 1894)
Editions de l'Artilleur, 2016, in-8°, 238 pp, préface de Jean-Claude Michéa, broché, couv. illustrée, bon état, ex. du SP
"Nous jouissons en principe dans notre pays d'une entière liberté d'opinion et d'expression ; nous vivons en pratique sous un régime de liberté surveillée. Une discipline de parole très contraignante réduit le champ et le nombre des sujets ouverts à une véritable discussion. Les notions, les termes et même les faits les plus nécessaires à l'intelligence du présent sont l'objet d'une censure vétilleuse. Comment échapper à la tyrannie paralysante du politiquement correct sans tomber dans la licence improductive du politiquement incorrect ? Le livre d'André Perrin nous libère magistralement de cette alternative démoralisante. Qu'il s'interroge sur les relations entre religion et violence, qu'il se demande si "expliquer, c'est déjà excuser", ou qu'il suive dans leurs usages légitimes et illégitimes les notions de race, d'identité ou de civilisation, il éclaire les questions qui nous pressent et nous divisent avec précision, rigueur, humour, et toujours une admirable clarté. Il montre qu'en rassemblant les faits pertinents, en prenant appui sur les suggestions contenues dans le langage usuel, en appréciant selon la raison commune les diverses opinions, qui sont autant de "vues" sur les choses, nous pouvons surmonter nos partialités et éclairer effectivement la complexité du monde politique, social et moral. Dans le désarroi et l'anxiété qui nous assaillent, il est cette chose rare, un livre encourageant." (Pierre Manent)
Plon, 1908, in-8°, (8)-319 pp, broché, bon état. Peu courant
"Dans ce livre sont reproduites les conferences que M. l'abbé Clodius Piat a faites jadis à l'Institut catholique de Paris et à l'Ecole normale libre. Son but est nettement indiqué dans la préface. « Ce qui est en cause à l'heure actuelle, dit-il, ce sont les droits de la raison. On le confisque au nom des données de l'intuition, et l'édifice des croyances religieuses s'en trouve ébranlé par sa base. Il est bon, je crois, d'élever une protestation énergique contre de pareilles tentatives. Elles ne sont pas faites pour durer, sans nul doute; mais elles ont ce charme de la nouveauté qui est si puissant chez nous, et prennent assez d'empire pour jeter le désarroi dans les consciences. » L'auteur rapproche d'abord de l'intuitionisme le Phénoménisme de Stuart Mill, le Relativisme de Herbert Spencer, le Pragmatisme de James et de Schiller, le Positivisme de Comte enfin et le Criticisme de Kant. Il fait de ces doctrines une étude comparative en quelque sorte, montre l'insuffisance de chacune et quelle part elles ont eue à l'éclosion de la philosophie de l'Intuition. Celle-ci, principalement, est considérée par M. Piat comme tout à fait insuffisante à nous faire comprendre le monde extérieur..." (M. Solovine, Revue Philosophique de la France et de l'Etranger, 1909)
Jérôme Millon, 1993, gr. in-8°, 288 pp, broché, couv. à rabats, bon état (Coll. Krisis)
Comment la pensée peut-elle échapper au langage de la représentation ? Pour Kant, en s'élevant au système schématisé au départ d'une Idée, c'est-à-dire à l'architectonique. Donc en concevant un schématisme des Idées, dont les éléments fondamentaux relèvent des déterminations transcendantales de la sensibilité, et qui se manifestent notamment à travers le thème de la chiralité. En passant de l'autre côté du discours kantien pour en relever la topique architectonique, l'auteur renouvelle en grande partie l'interprétation courante des formidables difficultés de la déduction et propose une représentation schématique et topologique de la table des catégories qui permet d'en déchiffrer enfin la genèse.
Les Belles Lettres, 1981, pt in-8°, 304 pp, reliure éditeur, bon état (Coll. Budé). Texte grec et traduction française en regard
En souhaitant tout au long de sa vie transmettre l’enseignement platonicien, Plotin s’est distingué tout autant si ce n’est plus par la fécondité de sa réinterprétation volontiers personnelle des textes de Platon que par ses qualités d’exégète, au point de mériter pour l’histoire de la philosophie le titre de fondateur du néoplatonisme. Reconnu par la postérité, Plotin l’était encore plus par ses contemporains. Figure mythique et mythifiée par son disciple et biographe, Porphyre, il a fasciné et rassemblé parmi ses adeptes non seulement des philosophes de profession, mais aussi des mondains, des sénateurs et jusqu’à l’empereur Galien lui-même et sa femme Salonina. Les Ennéades sont ce qu’il reste des pensées de ce directeur de conscience. Au nombre de six, elles rassemblent chacune neuf traités qui sont issus des réflexions du maître lorsqu’il mettait la pensée de Platon et la sienne à l’épreuve des objections de ses disciples. Au gré du style inimitable, souvent poétique, parfois mystique, de Plotin, on s’interroge sur les modalités de la purification de l’âme nécessaire à l’ascension vers l’Un, chemin exigeant mais non pas doloriste puisqu’il offre les précieux plaisirs de la contemplation. L’édition proposée offre à la lecture les traités dans l’ordre tel qu’ils nous ont été légués par Porphyre, qui n’est pas l’ordre chronologique de leur rédaction. Des notices précises avant chaque traité s’attachent à lever ces dernières, explicitant notamment les références, platoniciennes mais aussi stoïciennes ou aristotéliciennes, auxquelles fait appel Plotin. — Né à Lycopolis, en Égypte, le philosophe Plotin (205-270) fit sans doute ses études à Alexandrie, sous la direction notamment d’Ammonius Saccas dont il suivit les leçons durant onze années. Après avoir suivi l’empereur Gordien lors d’une expédition funeste contre les Perses, Plotin rejoignit Rome où il allait fonder, en 244, une école qui connut un grand succès, fréquentée par des notables, des politiques, mais aussi et surtout des élèves étrangers attirés par son maître prestigieux. En 268, après le départ de ses deux meilleurs disciples, Plotin renonça à poursuivre son enseignement. Plotin est le véritable fondateur de cette tradition d’exégèse de Platon qu’on nomme néoplatonisme et qui domina la vie philosophique de langue grecque jusqu’au début du VIe siècle. Plotin développe sa doctrine dans un ensemble de 54 traités, que son disciple Porphyre éditera en six Ennéades.
Cerf, 2004, in-8°, 257 pp, Très bon état
Editions de Minuit, 1955, in-8°, 365 pp, broché, couv. blanche illustrée d'un bois gravé et imprimée en noir et bleu, bon état (Coll. Essais), envoi a.s. au professeur de philosophie et sociologue Armand Cuvillier (1887-1973)
L'auteur n'a pas une idée qui ne soit en contradiction avec celles de son groupe social. Qui délire? Est-ce l'individu, ainsi excommunié par ses propres soins? Est-ce l'État incompréhensiblement géré? Qui est fou? L'auteur ou la France? De là, une double dissertation philosophique où s'entremêlent les recherches de l'auteur sur sa propre folie et la poursuite de ses doutes sur notre génie collectif actuel. Le lecteur sera d'abord surpris par le pessimisme outrancier affiché à chaque page de cet essai, puis il découvrira peu à peu sous les décombres et les condamnations deux valeurs intactes. L'auteur refuse de s'en prendre aux hommes, refuse de prendre parti et ne s'attaque qu'à nos institutions. Il tente de nous démontrer que le sort des diverses collectivités humaines ne dépend que de leurs constitutions et cherche à nous préciser les tares des nôtres. Ce livre veut aussi représenter la renaissance d'une Foi. A l'heure où la race blanche est menacée de disparaître, parce que son âme semble morte, à l'heure où chacun d'entre nous appelle de tous ses voeux un meneur de jeu, un dieu, une volonté, une mystique quelconque qui réanime nos États, l'auteur souligne la permanence de l'humanisme traditionnel gréco-chrétien. Ce livre n'est peut-être enfin qu'une révolte forcenée contre la philosophie allemande qui réduit depuis trop longtemps toute pensée en esclavage. Et le lecteur s'apercevra très vite que cette révolte est d'abord une question de terminologie, un refus de toute rhétorique, un appel au miracle grec. — "Longue dissertation philosophique sur la place de l'homme dans la société. L'auteur, probablement autodidacte, n'écarte pas l'hypothèse d'être fou ! Le bois gravé de la couverture s'apparente à un logo de collection qui n'a jamais été repris. De toute évidence, il s'agit d'un volume publié à compte d'auteur. Rare." (Vignes, 227)
Plon, 1957, in-12, xii-236 pp, broché, bon état
Travaux philosophiques et théologiques, composés de 1914 à 1932 : Questions et réponses concernant la philosophie et la foi ; La vie de Dieu en nous ; Le surnaturel d'après la Bible ; Le sacrifice dans l'Eglise du Christ ; La rédemption du monde moral par le Christ. Selon Jacques Chevalier (préface, page xi) : "Le P. Pouget doit être lu comme on lit les Pères. C'est peu de dire qu'il renoue la tradition scripturaire et patristique : il se l'est incorporée, il la repense, il en vit, en homme ouvert à toutes les préoccupations et à toutes les acquisitions de notre âge, mais qui ne se laisse jamais distraire par elles de l'unique nécessaire, et qui, avec une hardiesse qu'autorise la sûreté de sa vision, remonte et plonge jusqu'aux sources vives de la pensée chrétienne."
Seuil, 1984, in-8°, 481 pp, 35 photos sur 16 pl. hors texte, broché, bon état
Dans une chambre où il s'est réfugié à Fiesole, un évadé parle. Il est recherché par toutes les polices du monde. Il s'appelle Fernand Pouillon. Sa réussite a été sensationnelle ; il a couvert de ses chantiers la France, l'Algérie, l'Iran. Et finalement, le CNL – sombre « affaire » – l'a plaqué au sol. Livré par la presse en pâture à l'opinion publique, il veut à son tour, sans contrainte, dire sa vérité, dire tout : ses débuts à Marseille, les étapes d'une carrière fulgurante, les hommes qu'il a affrontés, les succès qui lui ont révélé sa solitude intérieure, les avanies qui l'ont forcé jusqu'en son recreux. Le récit continue en prison : c'est le journal d'un « grand procès » où l'on découvre l'envers du décor... Depuis lors, le bâtisseur a repris son œuvre ; il a fait sortir de terre des dizaines de chantiers. Mais ceci est une autre histoire. Fernand Pouillon est décédé le 24 juillet 1986.
Publications de la Faculté des lettres de Strasbourg, Les Belles Lettres, 1932, gr. in-8°, 177 pp, broché, bon état
"La philosophie de la sensation de M. Pradines est une des plus neuves et des plus solides qui soient. Alors même qu'on la discute, on en admire les fortes assises psychologiques et le caractère synthétique dans l'interprétation des faits. Dans ce volume, l'auteur étudie les sens du besoin auxquels se rattache, selon lui, le plaisir." (Revue Etudes) — "Dans sa Philosophie de la sensation (1928-1934) Maurice Pradines inaugurait vraiment sa pensée personnelle, et à partir de la sensibilité élémentaire il analysait successivement les sens du besoin et ceux de la défense." (Le Monde)
Gallimard, 1982, in-8°, 321 pp, index des notions, thèmes, matières, index des personnages historiques ou légendaires, êtres divins, entités, index des auteurs et ouvrages cités et commentés, broché, bon état (Coll. Bibliothèque des Sciences humaines)
Par Henri-Charles Puech (1902-1986), professeur au Collège de France. L’Évangile dont le texte copte a été retrouvé en haute Égypte, et dont une traduction est donnée en tête du volume, a fait sensation aussitôt son existence révélée, en particulier par diverses notes et communications de l’auteur ici reproduites. Il s’agit de plus d’une centaine de « paroles » que Jésus aurait adressées à son disciple Thomas, gardées secrètes et répandues dans les milieux gnostiques et manichéens. Les unes s’apparentent aux paroles du Nouveau Testament; les autres sont inconnues et mettent en oeuvre de nombreux thèmes gnostiques que H.-Ch. Puech met à nu, esquissant ainsi, de tout ce courant de pensée, une interprétation systématique dont un grand spécialiste du mysticisme iranien, traitant de motifs voisins, a pu souligner « la richesse et la densité exceptionnelle » (Henry Corbin, En Islam iranien, II).
P., Librairie internationale, A. Lacroix, Verboeckhoven et Cie, 1870, 2 vol. in-8°, vi-374 et 428 pp, reliures demi-basane carmin, dos lisses avec titres, tomaisons et larges filets dorés (rel. de l'époque), dos lég. frottés, qqs rousseurs sur les tous premiers et tous derniers feuillets des 2 volumes, discrète trace de mouillure claire sur les derniers feuillets du tome 1, bon état
Edition originale de cet ouvrage qui traite de darwinisme social et qui vise à établir les rapports de la conception nouvelle de la nature avec l'histoire, les arts, les langues, les lettres, l'économie sociale et la philosophie. — "J'avoue que je me propose ici un grand but. J'entreprends de faire entrer la révolution contemporaine de l'histoire naturelle dans le domaine général de l'esprit humain ; c'est-à-dire, d'établir les rapports de la conception nouvelle de la nature avec l'histoire, les arts, les langues, les lettres, l'économie sociale et la philosophie." (Préface) — "La Création, tout en étant une des oeuvres majeures d'Edgar Quinet, n'a jamais durablement retenu l'attention ni du public ni de la critique. Ouvrage tardif, composé pendant les années difficiles de l'exil, paru en janvier 1870, il mérite néanmoins d'être tiré de l'ombre. Dire que c'est un livre d'histoire naturelle, de vulgarisation scientifique réduit sa portée d'une façon qui nous semble injuste." (Crossley Ceri, La Création d'Edgar Quinet et le darwinisme social, 1981) — "Dans La Création, Quinet s'interroge sur la place de l'homme dans l'univers, sur ses rapports avec l'environnement physique et plus généralement sur la signification du vivant" (Crossley Ceri, Edgar Quinet et le monde animal, 2010) — Table : 1. L'esprit nouveau dans les sciences de la nature ; Origine des êtres organisés ; La nouvelle genèse ; La Bible de la nature ; Le singe et l'homme. – 2. L'homme ; Les propylées de l'Histoire ; Paléontologie des langues – Les lois de la vie et de la parole ; Principes d'une science nouvelle – Parallélisme des règnes de la nature et de l'humanité ; L'esprit de création dans l'homme – Conciliation de l'ordre moral et de l'ordre physique.
Aubier-Montaigne, 1926, in-8°, xi-256-46 pp, 3e édition augmentée d'un appendice de 46 pp (manque les pp. 17-32 de l'appendice), broché, qqs soulignures crayon, sinon bon état (Coll. Bibliothèque de philosophie contemporaine)
L'ouvrage principal du philosophe socialiste, proche ami de Jean Jaurès, et "son apport le plus original". (Dictionnaire PUF des philosophes, p. 2193 sq.)
Vrin, 2004, in-8°, 199 pp, traduction de l'allemand, introduction et notes par Ronan de Calan, glossaire, broché, bon état (Coll. Bibliothèque des textes philosophiques)
Cette traduction inédite de l’oeuvre principale d’Adolf Reinach (1883-1917) apporte des contributions fondamentales à divers champs de la connaissance. Disciple de Husserl, Reinach propose une interprétation du monde social qui engage la phénoménologie sur le terrain des “actes sociaux” et des expériences individuelles qui les accompagnent, afin d’isoler les structures a priori qui sont au principe même du droit positif. Le travail de Reinach s’inscrit également dans un champ d’analyse philosophique et linguistique centré sur les énoncés dits “performatifs”, baptisés tels par Austin quelques décennies plus tard.
Seuil, 1995, in-8°, 167 pp, envoi a.s. Très bon état
Genève et Bâle, Georg et cie, 1913, in-8°, xxii-223 pp, qqs rares rousseurs, broché, envoi a.s.