8, rue Bréa
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France
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Phone number : 01 43 54 43 61 P. et Lyon, AREM et Arnouville-Lès-Gonesse?, Municipalité, 1978, pt in-4°, 278 pp, riche iconographie composée de près de 150 photographies, cartes postales anciennes, gravures et documents anciens, biblio, cart. illustré de l'éditeur, bon état
Ouvrage publié par la Municipalité d'après l'oeuvre "Géographie-Histoire de la commune d'Arnouville-Lès-Gonesse" de A. C. Maillat (1915) et les travaux réalisés par Rémy Guadagnin ainsi que les recherches effectuées par l'association de la Jeunesse préhistorique et géologique de France. Directeur de l'ouvrage ; Georges Lancharès. Avec en fin d'ouvrage des tableaux avec les noms des maires depuis 1789, les différents recensements, les noms des curés depuis 1910, et ceux les familles habitant la commune en 1920 avec la date où, pour la première fois, on trouve le nom dans le pays.
Dreux, Chez l'auteur, 1958, in-8°, 268 pp, 17 planches de gravures et photos hors texte (dont une à double page), biblio, broché, bon état
Dreux, Chez l'auteur, 1964, in-8°, 100 pp, 8 planches de gravures et photos hors texte, 4 documents dans le texte, biblio, broché, bon état. Edition originale
Picard, 1971, in-4° (25 x 32), 310 pp, 123 figures dans le texte, 14 pl. depliantes des plans et elevations des cryptes hors texte, biblio, broché, bon état
Nantes, Imprimerie Dugas, 1907, gr. in-8°, 58 pp, 8 photos dans le texte, 4 plans dont 2 dépliants hors texte en couleurs, broché, bon état
Rennes-P., Imp. Oberthur, 1917, gr. in-8°, 26 pp, broché, bon état (Extrait des Annales de Bretagne)
Calmann-Lévy, 1938, in-12, 222 pp, une gravure sur double page hors texte et 2 plans, broché, bon état (Nouvelle Collection historique - Château,x décors de l'histoire). Edition originale sur papier vélin du Marais, exemplaire nominatif imprimé spécialement pour Madame Paul Brenot
"Quand, visitant Chantilly, on admire le château, les étangs, la forêt, on oublie souvent combien de siècles ont passé depuis la construction de la maison forte, bâtie par le gallo-romain Cantilius sur un rocher au milieu des marécages. M. Henri Malo retrace, dans un ouvrage d'une érudition remarquable, toute l'histoire du château de Chantilly ; bien plus, l'histoire guerrière et artistique, glorieuse et somptueuse d'une longue époque. Que de transformations subies par la forteresse primitive construite contre les envahisseurs barbares ! Cette région fut le berceau de la monarchie capétienne. C'est à Senlis que le duc de France, Hugues Capet, fut proclamé roi par son frère le duc de Bourgogne et par les principaux seigneurs et évêques de France, Le chevalier Rothold de Senlis, « qui participa à ce grand événement fut le premier seigneur de Chantilly que nous connaissions ». Des siècles passèrent. Le château fut reconstruit, agrandi. Mais ce ne fut qu'au XVIe siècle que les châteaux, au lieu de répondre à un but de défense comme c'était le cas depuis le début de l'âge féodal, durent satisfaire à un désir d'agrément. Anne de Montmorency, le grand connétable, fit transformer entièrement le château et le domaine. Henri de Montmorency y passa de courts moments de bonheur auprès de sa femme. Louis XIII confisqua les biens du malheureux prince, exécuté à Toulouse, et se réserva Chantilly. Après sa mort, Anne d'Autriche restitua le domaine à la sœur de Henri de Montmorency, la princesse de Condé, dont le fils venait de remporter la bataille de Rocroi. Le grand Condé en devint donc le maître. Louis XIV aurait désiré se réserver Chantilly ; Condé réussit à le conserver. Mais après tant d'années mouvementées, après ses victoires, ses triomphes, sa rébellion, Condé vieillissant retrouva « un parc dévasté par la guerre un château longtemps inhabité ». Il reconstitua le domaine avec somptuosité... M. Malo retrace avec une prodigieuse quantité de détails les transformations successives de Chantilly, la vie du domaine, les embellissements apportés par ses maîtres successifs ; puis les pillages et les destructions de la Révolution. C'est Louis XVIII qui fit rendre son domaine à Louis-Joseph de Condé. Ce prince en reprit possession en 1818 ; avec ténacité il récupéra ses biens, ses archives, recueillies par les Archives nationales, des meubles, des objets d'art. A sa mort en 1818, son fils, le duc de Bourbon s'établit à Chantilly et continua l'œuvre de reconstitution de son père. Encore enfant, en 1830, le duc d'Aumale, Henri d'Orléans, cinquième fils de Louis-Philippe, devint le possesseur de Chantilly, le duc de Bourbon l'ayant désigné comme son légataire universel. Ce n'est qu'en 1845, après la campagne d'Algérie et la prise de la Smala que le duc d'Aumale s'établit à Chantilly. Ce fut l'œuvre de sa vie « d'en faire un reliquaire d'histoire, un temple de l'art, un foyer d'intelligence, l'un des joyaux les plus resplendissants de la culture française ». En léguant Chantilly à l'Institut, c'est «un musée historique et un document » que le duc d'Aumale a voulu lui laisser. M. Malo, conservateur du Musée Condé, connaît en érudit et met en valeur les trésors d'art qui lui sont confiés." (H. Dehérain, Journal des Savants, 1939)
Marseille, Laffitte Reprints, 1976, in-8°, viii-375 pp, index des noms, reliure simili-cuir havane de l'éditeur, dos lisse, titres dorés au 1er plat et au dos, bon état. Réimpression de l'édition de Bordeaux, 1875. Tirage limité à 300 exemplaires
Evénements qui ont précédé l'arrivée en Guienne des Juifs d'Espagne et de Portugal ; Histoire des Juifs à Bordeaux depuis 1500 ; Table des noms. — "Un effort est actuellement fait, par diverses maisons d'édition, pour mettre à la disposition des lecteurs des ouvrages anciens que les spécialistes connaissaient bien et qu'ils citaient en référence. Il s'agit de faire connaître les travaux qui, en leur temps, ont fait date. C'est le cas de cette « Histoire des Juifs à Bordeaux » dont on nous propose ici une réédition anastatique : Malvezin avait eu accès aux fonds d'archives départementales ainsi qu'à des fonds privés. En cela, il avait fait oeuvre d'historien. Si, sur certaines questions, son livre est aujourd'hui dépassé, il reste, sur d'autres, un passage obligé pour toute recherche sur les Juifs de Bordeaux." (Yves Chevalier, Archives des sciences sociales des religions, 1980)
Éditions Sociales, 1969, pt in-8°, 231 pp, une carte, sources, broché, bon état
L'ouvrage présente près de trois siècles de luttes ouvrières ardennaises, corporatives et locales au départ, ensuite intégrées dans les cadres successifs du compagnonnage, puis des syndicats, du Parti démocrate-socialiste de 1848, puis des partis ouvriers à partir de 1880. L'ouvrage développe tout particulièrement l'histoire plus récente du mouvement ouvrier jusqu'en 1945. On y analyse l'action unitaire des militants communistes (avec le Sedanais Lucien Sampaix jusqu'en 1931), les luttes du Front populaire, les courants et les méthodes de la Résistance. L'auteur est un professeur des Ardennes, historien social, dont les recherches dans les archives syndicales, politiques et familiales s'enrichissent et se colorent grâce à maints contacts avec de très vieux et de jeunes militants. Il fournit une contribution importante à la connaissance du mouvement ouvrier français, dont l'unité se compose à partir des diversités régionales. — "H. Manceau, à partir d'une documentation historique considérable (notamment de dépouillement d'archives) dresse un tableau de l'évolution industrielle du département des Ardennes, de la formation du prolétariat et du développement du mouvement ouvrier, tant sur le plan syndical que politique, au XIXe et au XXe siècle. Mettant l'accent sur les conditions économiques, il montre comment des industries traditionnelles à domicile (textile, clouterie) vont péricliter au XIXe siècle, comment les crises touchant ces industries vont favoriser, avec les crises agricoles, la formation d'un nouveau prolétariat, comment la métallurgie va prendre le relais des industries traditionnelles. Il décrit les changements de structure, la concentration sous ses deux formes, la première vécue directement par les ouvriers (concentration dans un même atelier d'un grand nombre de travailleurs), la seconde invisible (concentration des capitaux et de la propriété) mais tout aussi importante pour comprendre l'évolution syndicale et politique. Ce changement se produit à partir de 1850 (et nous rejoignons là la période charnière mise en évidence par les études syndicales). Le livre de Manceau met d'autre part l'accent sur les ruptures dans l'organisation professionnelle et politique du milieu ouvrier, le passage des luttes des compagnons tondeurs avant la révolution (« cloques » qui signifiaient mise à l'index ou grèves) aux émeutes de la première moitié du XIXe siècle, puis aux mouvements organisés de la seconde partie du siècle. Ces ruptures se traduisent par un déplacement spatial des luttes ouvrières lié au passage d'une industrie à l'autre, et laissent penser que le mouvement ouvrier de la seconde partie du siècle n'est pas la continuation de l'esprit de 1848. Un autre mérite du travail de H. Manceau, et non des moindres, est de faire revivre les militants syndicaux et politiques de la fin du XIXe siècle et de la première partie du XXe siècle et de présenter sans schématisme les liaisons entre syndicalisme et politique. De ce point de vue, il donne une très belle description de J.-B. Clément et des premiers militants de la C.G.T.U. et du Parti communiste..." (Roger Cornu, L'Année sociologique (1969)
Clermont-Ferrand, Editions Volcans, 1965, gr. in-8° carré, 333 pp, nombreuses illustrations, une grande planche dépliante, une carte, la bibliographie et les sources sont dans les notes à la fin de chaque chapitre, reliure pleine toile verte de l'éditeur, jaquette illustrée en couleurs, bon état. Edition originale, un des 2000 ex. numérotés sur couché classique 112 grammes
Chamalières, Les Amis du Vieux Chamalières, 1979, gr. in-8°, 388-(2) pp, préface de Valéry Giscard d'Estaing et mot du Maire Claude Wolff, 13 planches en noir et en en couleurs hors texte et 19 dessins et graphiques dans le texte et hors texte en noir (dessins et graphiques de Pierre Chazal), sources, index des noms de lieux chamalièrois, broché, couv. illustrée à rabats, bon état. Edition originale, un des 2000 exemplaires sur bouffant des papeteries Condat
Mantes-la-Jolie, Mantes Animation, 1978, in-4°, 280 pp, 330 ill. en noir dans et hors texte, reliure simili-cuir éditeur, armes de Mantes-la-Jolie sur le 1er plat, bon état
Gap, 1946, gr. in-8°, 822 pp, broché (1er plat lég. recollé), bon état. Extrait du Bulletin de la Société d'Etudes des Hautes Alpes. Ouvrage tiré à 100 exemplaires seulement (Saffroy II, 21447a)
Impressionnant travail d'une grande importance pour l'histoire du Moyen-Age et la région de Gap qui reproduit 510 documents.
Laffont, 1982, gr. in-8°, 409 pp, une carte hors texte, broché, couv. illustrée, bon état
Eté 1870, la France est envahie. L'Empire s'effondre. Sous le coup de ces événements, dans un hameau du Périgord, des paysans en fête s'en prennent à un homme, l'accusent à tort d'être un traître, le torturent, le brûlent, le mangent, dansent autour de son bûcher. La tragédie de Hautefaye, ses scènes de barbarie collective, sèment l'effroi dans toute la région et jusqu'à Paris...
Prauthoy (Haute-Marne), Chez l'Auteur, 1926, 2 vol. gr. in-8°, xxxvi-531 et 519 pp, 7 pl. de gravures et un tableau généalogique dépliant hors texte, 18 gravures dans le texte, autographe du cardinal, biblio, index, brochés, bon état, ex. signé par l'auteur. Rare
Important ouvrage sur la Réforme et la Renaissance en Champagne et en Bourgogne. — "C'est surtout grâce à la prédication, comme il advint le plus souvent en France, que les idées luthériennes firent leur apparition au XVIe siècle dans le diocèse et la ville de Langres. Mais alors que la partie bourguignonne de cet évêché, c'est-à-dire Dijon et ses environs, offrirent de bonne heure un terrain favorable à la réforme protestante, la ville de Langres elle-même et la région langroise semblent n'avoir été touchées par les doctrines nouvelles qu'après 1540. Les premiers protestants langrois trouvèrent en face d'eux une force décidée à les combattre, incarnée en la personne de Claude de Longwy, cardinal de Givry, évêque de Langres, dont M. l'abbé Marcel a entrepris de nous retracer la vie et la carrière dans deux volumes solidement composés et documentés et agréablement écrits. (...) En résumé, cet ouvrage apporte une très utile contribution d'une part à l'histoire de la Réforme dans l'Est de la France, d'autre part à celle du mouvement de la Renaissance dans la même région." (Michel Le Grand, Revue d'histoire de l'Église de France, 1930)
Marseille, Laffitte reprints, 1980, in-8°, (12)-453-(1) pp, reliure simili-cuir havane de l'éditeur, titres dorés au dos et au 1er plat, bon état. Réimpression de l'édition de 1683, tirée à 400 exemplaires seulement
Tome I contenant les coutumes sacrées. Ce volume contenant les coutumes sacrées est complet. Un second tome, sur les coutumes profanes, n'a jamais été publié et est resté à l'état de manuscrit. C'est dans l'ouvrage de François Marchetti que l'on trouve la plus ancienne référence aux Treize desserts de Noël.
Plon, 1962, in-8°, xxx-592 pp, 5 graphiques et 4 cartes dans le texte, broché, couv. lég. salie, bon état (Coll. Histoire des mentalités). Edition originale, exemplaire du SP
Lille, La Voix du Nord, 1994, gr. in-8°, 265 pp, préface de Maurice Schumann, 137 photos, 4 cartes, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
Septembre 1944. Sur les talons de l'armée allemande aux abois, les Alliés traversent le Nord Pas-de-Calais en bourrasque. Ce livre fait appel à de nombreux témoignages et documents d'archives.
Rouen, Editions du P'tit Normand, 1983, in-8°, 231 pp, préface de Jean Imbert, 26 illustrations dans le texte, sources et biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Ouvrage issu de thèse. — "A travers l'histoire de l'institution rouennaise, de la fin de l'Ancien Régime à nos jours, c'est aussi toute la vie économique et sociale d'une cité importante et de ses habitants, notamment, des plus démunis, qui est décrite dans ce livre. Car l'histoire du « clou » rouennais, c'est avant tout celle des milieux populaires d'une grande ville dont la richesse et l'éclat n'ont concerné, le plus souvent, qu'une minorité." — "La paupérisation et ses victimes, qui ont pourtant alimenté de vives discussions théoriques, demeurent peu étudiées aux 19e et 20e siècles. Tout à la fois mythe et réalité, « chez ma tante » (ou le « clou ») constitue à Rouen comme ailleurs (à partir de 1826) un remarquable « baromètre de la misère publique » : chaque crise conjoncturelle voit y affluer des femmes (surtout) engageant pour survivre leurs maigres hardes. Après 1914, l'organisme change de fonction et de nature : rebaptisé crédit municipal par souci de respectabilité en 1923, il devient, malgré les orages de la guerre, une source de liquidités pour les couches moyennes plus que l'ultime recours des miséreux. La création, en 1953, et le développement rapide du prêt aux fonctionnaires accentuent cette évolution. Aujourd'hui, le crédit municipal qui s'interroge sur son avenir n'a plus grand chose de commun avec le « clou » du 19e siècle. Plus probante donc pour celui- ci que pour le suivant, la monographie de Yannick Marec n'en est pas moins neuve et utile de bout en bout. Alors que tant de travaux inédits dorment à jamais faute de publicité, on ne peut que recommander ce volume accessible et bien présenté (nombreuses annexes), livrant les principaux résultats d'une thèse pour le doctorat de troisième cycle ; et lui souhaiter de nombreux émules..." (Etienne Fouilloux, Vingtième Siècle. Revue d'histoire, 1985)
Société libre d'Emulation de la Seine-Maritime, 2003, gr. in-8°, 139 pp, 24 illustrations dans le texte, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
8 études érudites. Ce bulletin rassemble les contributions d'un colloque organisé à Rouen en octobre 2002, dont le thème général portait sur "Les Hauts-Normands et l'innovation technique et sociale aux expositions universelles (1851-1937)". Nous signalons plus particulièrement deux articles : celui consacré aux moteurs Simplex d'Edouard Delamare-Deboutteville et Léon Malandin ainsi qu'un autre sur le cinéorama de Raoul Grimoin-Sanson.
MARGUERITTE (Michel) et Michel PERONNET.
Reference : 64628
(1989)
ISBN : 9782717106480
Le Coteau, Editions Horvath, 1989, gr. in-8°, 144 pp, 90 gravures, 4 fac-similés, 6 cartes, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
Bordeaux, Éditions Sud-Ouest, 2006, gr. in-8°, 326 pp, 170 illustrations en noir et en couleurs, biblio, index, reliure cartonnée illustrée de l'éditeur, bon état
Après avoir exploré la mythologie populaire puis le domaine des saints guérisseurs, Olivier de Marliave livre avec ce Dictionnaire de magie et de sorcellerie le dernier tome d'une vaste enquête consacrée aux mentalités traditionnelles dans la chaîne pyrénéenne. Portraits de devins, présentation de conjurations et de rares exorcismes, description des plantes magiques et de leur utilisation ainsi que chasses aux sorcières dans les Pyrénées rendent cet ouvrage unique et passionnant. Ce livre touche à un domaine très secret, celui des arts de l'œuvre au noir, la magie. Par son office, des générations – depuis la Catalogne jusqu'au Pays basque – se sont préservées des maléfices de la nature, des hommes et des morts.
Cavaillon, Imprimerie Mistral, 1964, pt in-8°, 112 pp, préface de Sylvain Gagnière, 15 pl. de gravures hors texte, biblio, broché, couv. en noir et bistre illustrée par Eugène Yvan, bon état
Le pont Saint-Bénézet, couramment appelé pont d'Avignon en dehors d'Avignon, est un pont construit de 1177 à 1185 sur le Rhône, partant de la ville d'Avignon sur la rive gauche. Sur la deuxième de ses quatre arches est édifiée la chapelle Saint-Bénézet, et au-dessus d'elle la chapelle Saint-Nicolas.
Châlons-en-Champagne, 2002, gr. in-8°, 351 pp, illustrations, cartes et photos en noir et en couleurs, broché, couv. illustrée, bon état
Marginalité et justice en 1500 : Jean Paulmier, petit voleur d'objets sacrés - Analyse et récit (J.-Y. Sarazin) ; Les conférences ecclésiastiques au diocèse de Châlons-en Champagne (A. Kwanten) ; Les armoiries des communautés ecclésiastiques de la généralité de Châlons-en-Champagne définies par l'Armorial de France de 1696 (M.-J. Gut, avec 16 blasons sur 2 pl. en couleurs) ; Les derniers “feux” du Carpion et sa disparition (Saint-Memmie, Marne) (M.-C. Damagnez) ; Les architectes municipaux de Châlons-en Champagne, 1800-1940 (S. Mikus) ; Vienne-le-Château : un bourg argonnais dans la tourmente des guerres napoléoniennes, 1808-1815 (J. Chémery, avec 3 pl. d'uniformes en couleurs et 2 cartes) ; L'eau et Sainte-Ménehould (Marne)(M. Poncelet) ; Histoire de la tuilerie "de la République" à Broyes (Marne)(J. Fusier) ; Le colonel Auguste Philippe (1795-1869), maire de Châlons sous le Second Empire de 1861 à 1867 (M. Burseaux) ; La presse marnaise face aux attentats anarchistes et aux lois de répression (décembre 1893-juin 1894)(F. Regnauld) ; 1945-1948 : le problèmes des monnaies et ses solutions en France et plus spécialement dans le département de la Marne (D. Bautheney, avec 4 pl. de monnaies en couleurs).
P., Editions Rivages & Marseille, Musées de Marseille, 1989, gr. in-4°, 261 pp, illustrations, chronologie, broché, état correct
Catalogue d'exposition, ce livre propose des textes inédits et un choix de 314 oeuvres, pièces et documents. Avant-propos de Michel Vovelle.