8, rue Bréa
75006 Paris
France
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Phone number : 01 43 54 43 61 Bucarest, 1965, pt in-8°, 68 pp, biblio, broché, bon état (Coll. Bibliotheca Historica Romaniae)
Berger-Levrault, 1983, in-8°, 255 pp, une carte, notes, biblio, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Stratégies)(Prix de l'Académie des sciences d'outre-mer 1984)
Sur la Chine post-maoïste. L'auteur explique comment ce pays a manqué pendant trente ans les rendez-vous du développement, analysant les comportements politiques, les choix économiques et les blocages sociaux grâce à une documentation exceptionnelle et inédite.
Stock, 2010, in-8°, 407 pp, broché, bande éditeur conservée, bon état
Affaires de mœurs, scandales financiers, Brigades rouges, enlèvement et meurtre d'Aldo Moro, mort de Pasolini, intrigues au Vatican... Dessinant le portrait infiniment romanesque de l'Italie entre 1959 et 1979, Dolce Vita donne les clés de l'Italie d'aujourd'hui, celle d'un Berlusconi tragicomique. Le dernier Guépard, en la personne du prince Malo, confesse son histoire douce-amère, celle d'une aristocratie décadente, d'une fin de règne qui n'en finit plus, car un pays qui ne fait pas les comptes avec son passé est un pays qui ne cesse de le payer. — 1959. Le film de Federico Fellini, La Dolce Vita, fait scandale en Italie, dans un pays pudibond tenu par l'Église ; il remporte la Palme d'or à Cannes en 1960. Son succès signe le début d'une ère pleine de promesses et de libertés qui rompt avec les années de pauvreté de l'après-guerre. 1969. Une bombe explose à Milan et fait seize morts. C'est un massacre, le premier d'une longue série, qui voit le pays durablement endeuillé par les actes de terrorisme. 2010. Le prince Malo se confie au prêtre Saverio. À quatre-vingts ans passés, il sait qu'il ne lui reste que peu de temps à vivre. Sa confession porte sur son existence dissolue, celle d'une aristocratie décadente, et les secrets hautement politiques qu'il a tus jusque-là. Il est l'un des derniers témoins des années les plus glamour et les plus sombres de l'Italie. Pourquoi et comment ce pays que nous avons tant aimé a-t-il basculé dans le rouge et le noir ? Dolce Vita est le roman de l'Italie entre 1959 et 1979. Affaires de moeurs, scandales financiers, Brigades rouges, enlèvement et meurtre de Moro, mort du réalisateur et poète Pasolini, Cosa Nostra, intrigues au Vatican... Dessinant le portrait fascinant d'un pays voisin infiniment romanesque, il donne les clés de l'Italie d'aujourd'hui, celle d'un Berlusconi tragicomique. Racontée par le dernier Guépard, son histoire a la saveur douce-amère et le charme vénéneux d'une fin de règne qui n'en finit plus, car un pays qui ne fait pas les comptes avec son passé est un pays qui ne cesse de le payer.
SCEMI, 1973, gr. in-8°, 354 pp, 64 pl. de photos hors texte en héliogravure, 8 pl. hors texte en couleurs, 22 cartes et croquis, reliure toile éditeur, 1er plat illustré, bon état. Edition originale, tirage hors commerce réservé aux Bibliophiles de l'Aventure (Coll. Connaissance des îles)
Par l'explorateur français Joseph Grelier (Société des explorateurs français), découvreur des sources de l'Orénoque en 1951.
Les Indes savantes, 2005, gr. in-8°, 342 pp, 2e édition, revue et complétée, préface de Pierre Trolliet, 12 pl. de photos en couleurs hors texte, 2 cartes, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
"Les régions montagneuses et rurales du Sud de la Chine ont la particularité d'être peuplées d'une trentaine de minorités ethniques, très différentes des Han, c'est-à-dire de l'immense majorité des Chinois. Cet univers coloré et multiforme est fascinant par la multiplicité des coutumes, la diversité de l'habitat, la richesse des légendes, le foisonnement des langues, la beauté des costumes ou la variété culinaire. Souvent géographiquement mêlées, leurs zones d'habitat s'imbriquent les unes dans les autres, formant une véritable « mosaïque » à bien des titres : Mosaïque de peuples qui tiennent à préserver leur identité culturelle et leur mode de vie ; Mosaïque de langues, qui s'influencent mutuellement ; Mosaïque de costumes d'aspect parfois spectaculaire ; Mosaïque de traditions parfois très archaïques, conservées oralement par ces peuples montagnards, qui pour la plupart ne possèdent pas d'écriture. L'étude des minorités ethniques, appelées couramment « fossiles vivants de la civilisation chinoise », apporte un éclairage nouveau sur la culture chinoise, mais aussi celle des pays voisins (Thaïlande, Birmanie, Tibet, Laos, Vietnam ont des ethnies apparentées). Le régime particulier « d'autonomie » des régions de minorités, le système scolaire, médical, les aspects sociaux, les problèmes de contrôle des naissances, etc. sont étudiés. Enfin, légendes et recettes de cuisine viennent agrémenter cette petite « encyclopédie » des minorités du Sud de la Chine, première du genre disponible en français."
Laffont, 1990, fort in-8°, 1344 pp, 16 pl. de gravures hors texte, préface, chronologie, notices biographiques établies par Claude de Grève, broché, bon état (Coll. Bouquins)
Situé entre l'Europe et l'Asie, l'empire des tsars a longtemps excité la curiosité et l'imagination des Français. A moins qu'il ne les terrifiât. Le plus souvent, les voyageurs espéraient lever un coin de voile afin de percer d'épais mystères. Qu'ils fussent diplomates, savants, journalistes ou touristes, ils ont peu ou prou été tiraillés entre le mirage et la réalité, le rêve et le cauchemar, la légende et l'histoire. Multiple et contrastée était cette "Russie" que la plupart de nos voyageurs-écrivains ne virent que partiellement. La présente anthologie le prouve, qui entraîne le lecteur des palais de Saint-Pétersbourg, l'Européenne, aux tentes des Tchoukchas, de Moscou, la Rome tartare, à la célèbre foire de Nijni-Novgorod et aux forêts luxuriantes de l'Oural, de Kiev, berceau de la sainte Russie, et des steppes de l'Ukraine aux côtes d'une Crimée des Mille et Une Nuits, et parfois de là jusqu'aux villes d'eaux presque irréelles d'un Caucase encore en révolte. Parmi ces voyageurs, figure une série de grands écrivains : Mme de Staël, Custine, Gautier, Diderot, Joseph de Maistre, Balzac, Dumas et d'autres peut-être moins connus dont les témoignages sont tout aussi pittoresques et révélateurs. Tous ont rapporté des observations ou critiques ou humoristiques sur les moeurs et la politique, des descriptions somptueuses ou simplement pittoresques des monuments, des paysages et des fêtes, des anecdotes piquantes à propos des fameux bains, des femmes, des auberges, des récits dramatiques ou romanesques sur les péripéties de leur voyage ou l'histoire du pays. Autant de documents et visions poétiques qui constituent eux-mêmes une invitation au voyage.
Fayard, 1975, in-8°, 221 pp, 8 pl. de photographies de l'auteur hors texte, figures dans le texte, 2 cartes, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Le premier séjour de Marcel Griaule chez les Dogon, peuple de paysans-guerriers d'Afrique occidentale, donne lieu à une longue série de travaux. Puis, afin de vérifier et si possible de confirmer les connaissances acquises, le savant entreprend une nouvelle mission en 1946. C'est alors que par la voix du vieux chasseur aveugle, Ogotemmêli, va lui être révélé un aspect jusque-là insoupçonné de la culture dogon: une cosmogonie, une vision symbolique de l'univers, une conception organisée de la personne et du verbe, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives à toute une génération d'ethnologues. A travers le récit fascinant de ces trente-trois journées d'entretiens, Dieu d'eau donne à comprendre la richesse extraordinaire d'une cosmogonie vivante. Marcel Griaule (1898-1956) compte parmi les plus grands ethnologues de ce siècle. Initié par Marcel Mauss, il entreprit une première mission en 1927 en Ethiopie, puis obtint le vote d'une loi spéciale pour la fameuse mission Dakar-Djibouti en 1931. Par la suite, il fera de nombreux séjours sur le terrain, dans différentes régions d'Afrique, surtout chez les Dogon. Titulaire de la première chaire d'ethnologie créée en France à la Sorbonne en 1942, il devint en 1947 conseiller de l'Union française.
P., Institut d'Ethnologie, 1938, fort gr. in-8°, xi-896 pp, 261 figures, certaines en couleur, 32 pl. de photos hors texte, représentant des Dogons, leur architecture et leurs habitations, des scènes de rituels funéraires, de préparation des masques et des costumes de danse, et des masques, une carte, tables et biblio, cartonnage à la bradel en toile verte de l'éditeur, dos lisse, bon état. Edition originale (Travaux et mémoires de l'Institut d'Ethnologie, XXXIII)
Edition originale de cet ouvrage qui expose les documents relatifs aux masques des Dogons, recueillis au cours de missions ethnographiques effectuées dans les Falaises de Bandiagara au Mali (entre 1931 et 1937) par l'ethnologue français Marcel Griaule (1898-1956). Cette véritable monographie dévoile un important corpus de mythes et propose un inventaire quasi exhaustif des masques dogons. Contient notamment un tableau des danses masquées (pp. 712-715), une description de celles-ci (pp. 716-739) et un lexique de la langue du Sigui (cérémonie qui a lieu tous les soixante ans et qui commémore la révélation de la parole orale aux hommes, ainsi que la mort et les funérailles du premier ancêtre). Tables et bibliographie. Bien complet du disque encarté à la fin du volume, qui reproduit les rythmes musicaux des danses Kagandige et Gona du masque Kanaga. Ouvrage important pour la connaissance des rites et du rôle des masques dans cette société africaine.
Arthaud, 1982, gr. in-8°, 245 pp, 16 pl. de gravures et photos hors texte, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
Pierre Grimal (1912-1996), latiniste, archéologue, historien de Rome, nous livre, dans ce texte merveilleux, dense et subtil, sa vision passionnée et passionnante de Rome, oeuvre d'un humaniste dont le rêve se nourrit au contact de la réalité. Arriver à Rome, Les chemins de l'histoire, Nourritures romaines, Rome crucifiée, Les ombres du Trastevere, Rome des jardins, des palais et des églises, Rome et le Sacré... — "Rome est une ville inépuisable et qui n'abandonne plus ceux qui ont succombé à son charme. Pierre Grimal est de ceux-là. Il évoque ses premiers contacts avec la Ville éternelle, décrit ses divers quartiers, ses jardins, ses palais, déployant une rare érudition à l'endroit du passé de la ville et de ses monuments. Ce n'est pas à proprement parler un guide de tourisme. Mais c'est un compagnon de voyage à consulter." (Lectures n° 14, juillet-août 1983)
Istanbul, Editions Isis, 1985, gr. in-8°, xvi-261 pp, 24 reproductions de journaux à pleine page, broché, bon état (Varia Turcica II)
"Comme pour celle de la photographie, du télégraphe ou du chemin de fer, les Turcs doivent aux Français l’introduction de la presse dans leur pays. C’est pourquoi l’on ne s’étonnera pas que les premiers journaux furent d’abord des journaux écrits en français, avant d’être bilingues et qu’enfin apparaisse une presse turque proprement dite. En deux siècles, on y compte plus de 700 journaux entièrement ou partiellement écrits en langue française. Dès le XIXe siècle, on constate l’existence d’une abondante presse francophone, illustrée par des journaux dont certains se maintiendront un siècle, tel Stamboul (1875-1964). Plusieurs questions restent en suspens concernant le rôle joué par cette presse de langue française dans l’opinion publique, tant en Turquie qu’en France. Ce livre fait aussi remarquer qu’au cours de son histoire, cette presse ne fut pas obligatoirement pro-française mais elle reflétait le rôle véhiculaire joué par la langue française dans l’Empire ottoman." (Joëlle Pierre, 2005)
P., Durel éditeur, 1948, in-8°, 191 pp, 16 pl. de photos hors texte, une carte, broché, couv. illustrée, bon état
Dans ce nouvel ouvrage sur la vie des animaux sauvages de l'Afrique, l'auteur relate ses souvenirs de la région des grands lacs. Il décrit les moeurs de la faune africaine, évoluant ici dans un cadre particulièrement magnifique, certainement le plus curieux, le plus varié et le plus beau de l’Afrique : des lacs immenses, des volcans géants, des montagnes formidables. une faune présentant des spécimens remarquables, comme le gorille de Béringé ou l’Okapi, des races humaines variées, parmi lesquelles les pygmées...
Nagel, 1966, gr. in-8°, 281 pp, 145 illustrations hors texte dont 35 en couleurs, tableau chronologique, notes, biblio, index, cartes sur les gardes, reliure skivertex gris perle de l'éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Archaeologia mundi)
"Bernard-Philippe Groslier, directeur de recherche au CNRS, correspondant de l'Académie, disparu le 29 mai 1986, était né à Pnom Penh en 1926. Son père, Georges Groslier, directeur des arts et conservateur du Musée national du Cambodge, a été en son temps l'un des meilleurs connaisseurs du monde khmer. De 1960 à 1975, Bernard-Philippe Groslier a maintes fois quitté ses travaux d'Angkor pour d'autres chantiers d'Extrême-Orient où l'appelait son incomparable expérience technique. Il est de ceux qui ont préparé le sauvetage du Borobudur. Il a fouillé au Siam, en Malaisie, jusqu'en Corée. Quand le Cambodge lui fut fermé, il se tourna vers les vestiges du passé birman. Ses travaux d'Angkor et sa familiarité avec les antiquités de l'Indochine lui ont inspiré une multitude d'articles et plusieurs ouvrages importants. Dès 1956, l'Académie couronnait son livre sur “Angkor. Hommes et dieux”. On lui doit aussi la publication des inscriptions du Bayon d'Angkor dans les Mémoires de l'École Française d'Extrême-Orient, en 1966, et la synthèse consacrée à l'Indochine dans la série “Archaeologia mundi”. Explorateur infatigable, organisateur intrépide, Bernard-Philippe Groslier a été l'un des archéologues français les plus riches d'expérience aussi bien par la diversité de ses compétences que par la variété des terrains où il les a acquises et appliquées." (André Caquot, Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1986)
Gallimard, 1953, in-12, 340 pp, préface d'Edmond Vermeil, notes bibliographiques, reliure demi-toile verte à coins à la bradel, dos lisse avec titres dorés (rel. de l'époque), bon état, envoi a.s.
"Une étude fouillée qui commence par l'historique des négociations interalliées à propos de l'Allemagne entre 1941 et 1945. Rappel indispensable, car l'attitude des Alliés allait déterminer pour longtemps l'orientation et les destins du pays vaincu. Même au plus fort de la « Grande Alliance », la vieille idée d'utiliser l'Allemagne contre la Russie et le communisme hante certains esprits en Angleterre et aux États-Unis. A la mort de Roosevelt elle gagne les milieux dirigeants. Mais c'est surtout à partir de l'échec de la Conférence de Moscou en mars 1947, qu'elle domine la politique allemande des Occidentaux, avec tout ce que cela comporte sur les plans économique, social, politique, idéologique. La scission s'accentuant entre les anciens alliés entraîne la bipartition de l'Allemagne. L'auteur donne à ce propos une part de responsabilité à la France qui, au nom d'un fédéralisme inspiré par le souci de sa sécurité, s'oppose la première à l'établissement d'une administration centrale pour l'ensemble du pays. Quant au peuple allemand, quelles vont être ses réactions au lendemain de la tragédie nationale, dont il ne semble pas entièrement responsable, au dire de M. Grosser ? Il leur manifeste, en effet, beaucoup de compassion, de sympathie même et rappelle l'existence d'une Résistance sporadique qui néanmoins compte, de 1933 à 1938, 435 000 victimes de l'Hitlérisme. (...) Plus loin, l'auteur souligne d'ailleurs qu'il est devenu à l'heure actuelle de mauvais goût, voire dangereux, de rappeler ses états de service dans la Résistance. Si la dénazification aboutissait à un échec, la décartellisation, sur le plan économique, allait connaître un sort identique. Pour aider au relèvement de l'Allemagne, les Occidentaux étaient mus par différents mobiles. La crainte de laisser sans contrepoids la puissance accrue de l'URSS n'était pas le seul. Les milieux d'affaires anglo-saxons avaient des intérêts dans ce pays. De plus son entretien revenait fort cher à l'Amérique. Aussi fallait-il le remettre au travail et abandonner la plupart des restrictions prévues, les réparations, les démontages, la limitation de la production, etc. Les anciens maîtres de forge tels Krupp, les magnats de la finance et bien d'autres qui avaient commandité le nazisme, furent remis en selle. (...) Au total, l'image très complète que nous donne de l'Allemagne de Bonn M. Grosser est fort sombre et incite, comme le souligne M. Vermeil, à la plus grande vigilance." (Pierre Angel, Annales ESC, 1955)
Fayard, 1970, in-8°, 641 pp, 9 cartes et tableaux, biblio, index, reliure éditeur, jaquette, bon état (Coll. Les Grandes études contemporaines)
"Basé sur les connaissances assez étendues de l'auteur, l'agencement du livre fait penser à un bon cours d'université. Commencant avec un chapitre sur l'histoire, Grosser continue avec une description assez détaillée de l'Allemagne à l'heure zero (1945), une critique du procès de Nuremberg et une histoire de la division de ce qui reste du Reich en R.F.A. et R.D.A. Le coeur du livre consiste en une analyse du système et des forces politiques en R.F.A. jusqu'en 1974. Y est inclue une documentation assez valable, par exemple, une table donnant la composition de tous les cabinets federaux." (E. Mahant, Revue canadienne de science politique)
Armand Colin, 1970, in-12, 350 pp, biblio, broché, qqs rares soulignures crayon, bon état (Coll. U2)
Fayard, 1942, in-12, 428 pp, 2 cartes, broché, bon état (Coll. Les Grandes études historiques)
"La Chine n'a pas fini de faire parler d'elle. Qui veut connaître, dans ses grandes lignes, son passé – un des plus riches et des plus troubles passés qui soient – n'a qu'à recourir à l'Histoire de la Chine que René Grousset, spécialiste de l'Histoire Asiatique, a publiée en 1942 aux Editions A. Fayard. Ce volume maniable de 428 pp, qui présentera les conclusions les plus autorisées des historiens sur l'évolution d'un pays plus de trois fois millénaire." (Lucien Febvre, Annales d'Histoire Sociale, 1944)
Fayard, 1962, in-12, 462 pp, 8 pl. de photos hors texte, tableau des dynasties chinoises, 2 cartes, reliure pleine toile parme de l'éditeur, titres dorés au 1er plat et au dos, bon état (Les Grandes études historiques)
"La Chine n'a pas fini de faire parler d'elle. Qui veut connaître, dans ses grandes lignes, son passé – un des plus riches et des plus troubles passés qui soient – n'a qu'à recourir à l'Histoire de la Chine que René Grousset, spécialiste de l'Histoire Asiatique, a publiée en 1942 aux Editions A. Fayard. Ce volume maniable présentera les conclusions les plus autorisées des historiens sur l'évolution d'un pays plus de trois fois millénaire." (Lucien Febvre, Annales d'Histoire Sociale, 1944) — "Bien qu'elle ne fût pas parfaite, cette histoire avait le mérite d'exister. Elle est heureusement mise à jour par l'addition d'un chapitre relatif au premier plan quinquennal (1952-1957) et d'un appendice relatif à la résistance spirituelle des catholiques chinois." (Revue française de science politique, 1957)
Club des Libraires de France, 1957, in-8°, 344 pp, 34 documents sur 36 planches de gravures hors texte (la plupart dépliantes), dont des photos de Marc Riboud et Agnès Varda, 2 cartes en deux couleurs sur un dépliant volant hors texte, reliure pleine soie parme décorée de l'éditeur, rhodoïd, exemplaire numéroté sur alfa, signet, bon état
"La Chine n'a pas fini de faire parler d'elle. Qui veut connaître, dans ses grandes lignes, son passé – un des plus riches et des plus troubles passés qui soient – n'a qu'à recourir à l'Histoire de la Chine que René Grousset, spécialiste de l'Histoire Asiatique, a publiée en 1942 aux Editions A. Fayard. Ce volume maniable présentera les conclusions les plus autorisées des historiens sur l'évolution d'un pays plus de trois fois millénaire." (Lucien Febvre, Annales d'Histoire Sociale, 1944) — "Bien qu'elle ne fût pas parfaite, cette histoire avait le mérite d'exister. Elle est heureusement mise à jour par l'addition d'un chapitre relatif au premier plan quinquennal (1952-1957) et d'un appendice relatif à la résistance spirituelle des catholiques chinois." (Revue française de science politique, 1957)
P., Crès & Cie, 1922, gr. in-8°, v-486 pp, 5 cartes dépliantes hors texte, reliure demi-basane verte, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés couv. conservées (rel. de l'époque), dos lég. passé, bon état
Les empires mongols ; La Perse, l'Inde et la Chine modernes , Histoire du Japon. — "Voici, écrit de main de bon ouvrier, un ouvrage qui nous manquait. M. Grousset a, le premier, réussi à tirer de tous les travaux de détail accumulés par les orientalistes une vue d'ensemble vraiment suggestive de l'histoire de l'Asie depuis la plus haute antiquité jusqu'aux débuts de la colonisation moderne. Son livre se divise en trois grandes parties correspondant chacune à un volume. (...) Le tome III retrace l'histoire des empires mongols, de la Perse moderne, de l'Inde au temps de la domination musulmane et des Grands Mogols, de la Chine moderne et du Japon. Ce qui constitue l'originalité principale et le très grand mérite de ce vaste ouvrage, c'est le souci constant qui s'y affirme de réserver aux particularités de chacune des histoires envisagées une place infiniment moindre qu'aux faits d'ordre général qui permettent le mieux de rendre compte de l'évolution des empires asiatiques et des similitudes qu'on relève souvent entre les civilisations les plus éloignées dans l'espace..." (Louis Halphen, Bibliothèque de l'école des chartes, 1923)
P., Geuthner, 1929, gr. in-8°, xvii-402 pp, un frontispice en couleurs, 26 planches hors texte, 4 grandes cartes dépliantes, index, broché, bon état
Tome I seul (sur 2) : L'Inde et la Chine. Le tome II traite de l'Empire Mongol, de la Chine des Ming et des Mandchous et de l'Indochine.
Payot, 1955, in-8°, 444 pp, broché, bon état (Coll. Bibliothèque historique)
Avec une préface et 2 chapitres complémentaires par George Deniker, Consul général de France, ancien secrétaire interprète à Pékin : La Chine, terre de culture et objet de convoitises ; Le Japon, le Pacifique et l'Extrême-Orient.
Payot, 1976, fort in-8°, 651 pp, 4e édition, 30 cartes et 20 figures dans le texte, broché, couv. illustrée, dos uniformément passé, bon état (Coll. Le Regard de l'Histoire)
Vingt-cinq siècles d'histoire revisités par l'un des grands orientalistes français qui révèle le secret de l'évolution de l'Asie, la loi qui a présidé à la renaissance ou à la mort des Empires immémoriaux. Cette loi, c'est la lutte du nomade et du sédentaire, de l'homme de la steppe et de l'homme des cultures. Attila, Gengis Khan, Tamerlan... Leur nom est dans toutes les mémoires. Les récits des chroniqueurs occidentaux, des annalistes chinois ou persans ont popularisé leurs figures. Ils surgissent, les grands barbares, en pleine histoire civilisée et brusquement, en quelques années, font du monde romain, du monde iranien ou du monde chinois un monceau de ruines. Leur arrivée, leurs mobiles, leur disparition semblent inexplicables, si bien que l'histoire positive n'est pas loin de faire sien le jugement des anciens auteurs qui voyaient en eux les fléaux de Dieu envoyés pour le châtiment des vieilles civilisations. Une immense leçon de géographie humaine.
Perrin, 1977, in-8°, 315 pp, 16 pl. de photos hors texte, 2 cartes sur les gardes, reliure skivertex éditeur, demi-jaquette illustrée, rhodoïd, bon état
René Grousset nous fait revivre les voyages de ces deux pélerins bouddhistes chinois au VIIe siècle, Hiuan-Tsang et Yi-Tsing, l'un par terre et l'autre par mer, vers l'Inde, berceau du bouddhisme. — "Voici encore un bon travail de M. Grousset. Couvrant une période plus courte que les précédents, il s'attache à un grand siècle du bouddhisme, le VIIe de notre ère, mais l'ample information de l'auteur s'y retrouve. Il suit les pèlerins chinois, et surtout le plus illustre, celui dont on a pu écrire : « It is impossible to overestimate the debt which the history of India owes to Hiuen Tsang » (V. Smith). L'essentiel des récits de Hiuan-tsang et des biographies de Yi-tsing ; un tableau de la Chine des T'ang, de l'Asie Centrale avant « l'ébranlement des hordes », de l'Inde à la veille de la tourmente islamique; un sommaire du bouddhisme à l'un de ses apogées, voilà ce qu'enferme le volume, dans une présentation succincte et facile. L'illustration, sobre, bien distribuée, répond aux citations et suffit à faire sentir la justesse de cette méthode..." (Paul Mus, Bulletin de l'Ecole française d'Extrême-Orient, 1929)
Plon, 1957, pt in-8°, iv-328 pp, 10 photos hors texte et une carte dépliante in fine, broché, papier lég. jauni, bon état
René Grousset nous fait revivre les voyages de ces deux pélerins bouddhistes chinois au VIIe siècle, Hiuan-Tsang et Yi-Tsing, l'un par terre et l'autre par mer, vers l'Inde, berceau du bouddhisme. — "Voici encore un bon travail de M. Grousset. Couvrant une période plus courte que les précédents, il s'attache à un grand siècle du bouddhisme, le VIIe de notre ère, mais l'ample information de l'auteur s'y retrouve. Il suit les pèlerins chinois, et surtout le plus illustre, celui dont on a pu écrire : « It is impossible to overestimate the debt which the history of India owes to Hiuen Tsang » (V. Smith). L'essentiel des récits de Hiuan-tsang et des biographies de Yi-tsing ; un tableau de la Chine des T'ang, de l'Asie Centrale avant « l'ébranlement des hordes », de l'Inde à la veille de la tourmente islamique; un sommaire du bouddhisme à l'un de ses apogées, voilà ce qu'enferme le volume, dans une présentation succincte et facile. L'illustration, sobre, bien distribuée, répond aux citations et suffit à faire sentir la justesse de cette méthode..." (Paul Mus, Bulletin de l'Ecole française d'Extrême-Orient, 1929)
Editions du Pont Royal, 1963, in-4°, 296 pp, 492 gravures et photos en noir et en couleurs, reliure toile décorée de l'éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Panoramas d'histoire)
Moscou des tsars ; Moscou des nobles ; Moscou des marchands ; Prélude à 1917 ; Moscou des bâtisseurs ; Moscou des moscovites.