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France
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Phone number : 01 43 54 43 61 P., Charpentier, 1872, in-12, 499 pp, reliure demi-toile fantaisie à la bradel, pièce de titre cuir rouge (rel. de l'époque), bon état
Par Charles Edmond Villetard de Prunières, dit Edmond Villetard (1828-1889), journaliste, conférencier à l'Opinion nationale, rédacteur en chef au Courrier du dimanche (1862) puis au Journal des débats. Rédacteur au Soir, il s'y fait l'avocat du gouvernement républicain du 4 septembre 1870 en soutenant Adolphe Thiers dans sa volonté de fonder une république conservatrice. La première partie de l'ouvrage est consacrée au développement de l'esprit révolutionnaire sous le Second Empire. Suivent le récit de l'insurrection, l'influence de la presse, les hommes de la Commune ; la déposition de Thiers fait l'objet d'un long commentaire. (Le Quillec, 4662)
P., Charpentier, 1872, in-12, 499 pp, modeste reliure demi-toile noire, dos lisse avec titre entouré de doubles filets dorés (rel. de l'époque), mors fendus (mais solides), coiffes élimées, qqs rousseurs, état correct
Par Charles Edmond Villetard de Prunières, dit Edmond Villetard (1828-1889), journaliste, conférencier à l'Opinion nationale, rédacteur en chef au Courrier du dimanche (1862) puis au Journal des débats. Rédacteur au Soir, il s'y fait l'avocat du gouvernement républicain du 4 septembre 1870 en soutenant Adolphe Thiers dans sa volonté de fonder une république conservatrice. La première partie de l'ouvrage est consacrée au développement de l'esprit révolutionnaire sous le Second Empire. Suivent le récit de l'insurrection, l'influence de la presse, les hommes de la Commune ; la déposition de Thiers fait l'objet d'un long commentaire. (Le Quillec, 4662)
Les Indes savantes, 2014, gr. in-8°, 302 pp, préface de Christophe Prochasson, 11 illustrations et 10 tableaux, sources et biblio, annexes, index, broché, couv. illustrée, bon état
Ouvrage issu de thèse. — En 1848, le Gouvernement provisoire issu des journées de Février proclame le suffrage direct et universel. Cette décision est inédite, elle est aussi impromptue. En effet, le suffrage universel est encore une énigme. Nul ne s'accorde sur un tel concept qui apparaît davantage comme un slogan d'opposition à la monarchie de Juillet. Par ailleurs, la mise en oeuvre du suffrage universel quarante-huitard se présente comme une gageure. Comment faire voter des millions de citoyens qui, pour beaucoup, n'ont jamais été électeurs ? Tout reste à faire, et à inventer : un corps électoral de masse, une géographie électorale, des pratiques. Toutefois, les quarante-huitards arrivent à relever le défi d'un suffrage de masse. Malgré de multiples difficultés, incidents et fraudes, le processus électoral arrive à son terme. Par l'adhésion qu'il suscite, le suffrage universel quarante-huitard s'impose alors comme un mode d'exercice légitime, fondateur et singulier d'une souveraineté populaire. — Vincent Villette est archiviste et docteur en histoire de l'EHESS. Le livre est issu de la thèse de l'auteur, qui a reçu le Prix de thèse de la Fondation Varenne dans la catégorie "Histoire et Institutions de la République en France, 1848-1958" (2012) et la mention spéciale du Prix de thèse du Sénat (2012).
Hachette, 1939, in-12, 254 pp, biblio, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Les Vies privées)
P., chez l'Auteur, 1906, pt in-8°, 383 pp, 2e édition, un portrait de l'auteur en frontispice, 65 figures dans le texte, broché, couv. lég. défraîchie, état correct (Coll. Les Plaies sociales)
Intéressante et pittoresque étude. “La Machine à voler” met les joueurs en garde contre les innombrables escroqueries journellement commises au baccara, dans les cercles et les casinos. Les autorités se sont émues de ses "révélations", et c'est grâce à elles que des mesures de police ont été prises à l'égard de certains tripots où les joueurs, sous les apparences les plus mondaines et les plus accueillantes, étaient odieusement dépouillés...
P., Henri et Charles Noblet, , 1856, in-8°, 374 pp, un portrait de l'auteur en frontispice, une gravure et une carte dépliante hors texte, reliure demi-chagrin vert, dos lisse à faux nerfs filetés et soulignés à froid, titres dorés (rel. de l'époque), qqs rousseurs, bon état (Lorentz IV, 615)
Étude de Constantinople, de l'Empire Ottoman, de l'Egypte, de la Syrie, des peuples habitant ces régions, de l'état actuel des gouvernement , des réformes etc.
Hachette, 1978, fort in-8°, 448 pp, sources et biblio, glossaire, broché, couv. illustrée, bon état
Entre 1800 et 1900 vont se succéder en France, à un rythme ahurissant, l'Empire, la Restauration, les Révolutions, les Républiques et surtout les premiers soubresauts du progrès technique. Mais pendant que se dérouleront ces événements et souvent même avec une grande indifférence à leur égard, le peuple des campagnes bourguignonnes va continuer à vivre les derniers jours de la civilisation traditionnelle. Henri Vincenot décrit la vie journalière de ses ancêtres, artisans-menuisiers, cultivateurs, vignerons, tisserands de village, forgerons. Ses sources sont les récits directs, à peine corrigés par l'érudition, des derniers survivants de ce qu'il appelle « la civilisation lente », dans une province dont la forte personnalité éclate à chaque page. « Tout ce que je raconte dans ce livre, précise-t-il, je l'ai entendu tomber de la bouche de ceux qui ont connu cette vie du XIXe siècle. C'est vous dire que ce récit est tout simplement une glane de soixante-cinq ans de pérégrinations ».
Robert Laffont, Michel Archimbaud, 1985, gr. in-8°, 347 pp, biblio sommaire, index, broché, couv. illustrée, bon état
Les droits fondamentaux : d'une conception religieuse et philosophique à une institution juridique (les fondements intellectuels, le cadre juridique de la reconnaissance internationale) ; Les contenus des droits de l'homme (droits civils et politiques, droits économiques et sociaux) ; Valeur de la reconnaissance constitutionnelle des droits de l'homme (les garanties internes, les garanties internationales, les garanties de la démocratie).
Rivages, 1986, in-8°, 259 pp, biblio, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Histoire)
De l'oeil humide aux flots de pleurs, du regard brouillé aux sanglots, les larmes manifestent l'émotion. Elles ont aussi une histoire, qui permet de réfléchir aux manières subtiles ou contraintes, selon l'époque et la société, de les utiliser. A partir de sources littéraires, médicales, judiciaires, de journaux intimes, de traités de savoir-vivre et de manuels d'éducation, ce livre montre un XVIIIe siècle aux larmes facilement versées en public et un XIXe siècle où chacun aime pleurer dans le secret et la pudeur, et qui, dans sa seconde moitié, va tenter de mettre de l'ordre dans les pleurs.
Liège et Bruxelles, Pierre Mardaga, 1978, in-8°, (4)-372 pp, nombreuses gravures dans le texte et à pleine page, plans, vignettes, broché, couv. illustrée, bon état
Réimpression en fac-similé de l'édition parue chez Hetzel. Eugène Emmanuel Viollet-le-Duc (1814-1879) fut un architecte français, célèbre pour ses restaurations de constructions médiévales. Ses écrits théoriques rationalistes (Entretiens sur l’architecture, 1863), posèrent aussi les bases de l’architecture moderne.
Denoël, 1984, in-8°, 335 pp, 12 pl. de gravures hors texte, broché, couv. illustrée (pelliculage de la couv. lég. décollé), bon état
P., LGDJ, 1967, gr. in-8°, xiii-354 pp, préface de Marcel Prélot, index biographique, biblio, 2 index, broché, bon état, envoi a.s.
"L'Allier appartient au bastion de l'extrême-gauche, situé au Nord et à l'Ouest du Massif central. Il s'agit d'un département dont la structure sociale présente plusieurs traits originaux, liés à la fois à l'existence d'une grande propriété foncière, souvent exploitée jadis par des métayers dépendant d'un « fermier général », à la présence de bûcherons et d'ouvriers du bois dans la région de la forêt de Tronçais, et au développement industriel précoce de la région de Montlucon-Commentry, conséquence de la présence de mines de charbon dont l'exploitation n'a perdu que récemment l'importance qu'elle avait eue dans la seconde moitié du XIXe siècle. La psychologie politique des paysans du Bourbonnais nous est connue à la fois par le précieux document que constitue “La vie d'un simple” d'Emile Guillaumin, et par les pénétrantes analyses de Daniel Halévy, dans ses “Visites aux paysans du Centre”. L'histoire de la vie politique locale a été étudiée en outre, avec beaucoup de précision, par Georges Rougeron, dont les nombreuses publications relatives au mouvement socialiste dans l'Allier, à la composition et au rôle du conseil général, ainsi qu'à la représentation parlementaire du département depuis la Révolution, constituent une somme dont on aimerait trouver l'équivalent dans d'autres régions. Mais aucune étude systématique de la vie politique et électorale dans l'Allier n'avait été entreprise avant que Jean-François Viple n'ait décidé de consacrer sa thèse de doctorat (menée à bien sous la direction de Marcel Prélot) à la sociologie politique de son département natal sous la Troisième République : le livre qu'il a écrit sur ce sujet comble donc une lacune, et figurera fort honorablement dans la liste des monographies départementales publiées depuis une quinzaine d'années. Ce n'est pas seulement d'une étude électorale qu'il agit. Avant d'analyser les scrutins et leurs résultats, J.-F. Viple a consacré, en effet, la première moitié de son ouvrage à faire le tableau – un tableau complet, nuancé et précis – du milieu géographique et historique et, selon une distinction fort heureuse faite par M. Prélot, des influences spontanées et des forces organisées qui se sont exercées dans ce milieu en matière politique et sociale. Le lecteur connaît donc déjà bien l'Allier de la Troisième République lorqu'il aborde l'histoire et la géographie des élections qui s'y sont déroulées, et il se trouve parfaitement préparé à l'interprétation d'ensemble de ces scrutins qui lui est proposée en conclusion. (...) Le livre de J.-F. Viple, on le voit, abordant à peu près tous les aspects de la vie politique du Bourbonnais entre 1871 et 1939, constitue un apport très utile à la connaissance de la vie politique française pendant cette période, non seulement sur le plan des élections, mais sur ceux de la sociologie des partis, du rôle de l'Eglise, et de la psychologie politique des diverses classes sociales." (François Goguel, Revue française de science politique, 1968)
P., Cercle du Livre précieux, 1963, in-8°, 366 pp, préface de Pascal Pia, 48 gravures curieuses et érotiques sur 48 pl. hors texte, reliure éditeur en soie moirée rouge, dos lisse avec auteur et titre dans des cabochons dorés, titre dans un cadre doré au 1er plat, bon état. Tiré à 2500 ex., tous numérotés (n° 638). Belle édition (l'originale date de 1902)
En 1902, année où paraît 'Les Flagellants et les Flagellés de Paris', l'un des derniers, sinon le dernier des livres de Charles Virmaître, les « gens à passions » sont à la mode et les traités de flagellation font florès. Le XIXe siècle finissant et les débuts de la Belle Epoque sont délicieusement décadents, amateurs d'expériences nouvelles, de sensations épicées : Marcel Prévost d'un côté, pour la polissonnerie bourgeoisement mesurée, Jean Lorrain de l'autre, qui conjugue les amours de portefaix aux fragrances les plus rares et mêle les étreintes de barrière aux morbides lascivités. Entre ces deux pôles, Charles Virmaître inscrit sont jeu subtil de chroniqueur reporter à l'affût des potins et des rumeurs, attentif au moindre détail, n'hésitant pas, dit-il, à payer de sa personne et à vérifier 'de visu', sinon 'de tactu', les exigences des belles perverses rencontrées çà et là au détour des petites annonces très spécialisées, pour nous entraîner, à sa suite, « dans l'antre ténébreux de la flagellation ».
S.l., s.n. (chez l'auteur), 2009, in-4°, 137 pp, 6 planches en couleurs, biblio, broché, couv. illustrée, dos à spirale, qqs annotations stylo, bon état
Master 2 Histoire Contemporaine réalisé sous la direction de Didier Musiedlak (Université Paris X Nanterre).
P., Bureau de la Revue des Deux Mondes, 1848, in-12, 72 pp, broché, bon état
Originellement publié dans la "Revue des Deux Mondes" du 15 septembre 1848. — Ludovic Vitet (1802-1873), petit-fils de Louis Vitet (médecin et maire de Lyon), , normalien et journaliste (il débuta dans le Globe), fut le premier inspecteur des Monuments historiques. Nommé par Guizot en 1830, il laissa son poste à Mérimée en 1834 pour se consacrer à la politique, notamment comme député de Bolbec (Seine-Inférieure), mais il continua de suivre de près avec Mérimée les monuments historiques. En 1834 il est nommé membre du comité chargé de diriger les recherches et la publication de documents inédits, et, en 1835 est nommé membre du nouveau Comité chargé de concourir à la recherche et à la publication des documents inédits littéraires par Guizot. Outre de nombreux articles dans le Journal des savants, la Revue des Deux-Mondes, la Revue contemporaine, on lui doit un Rapport au ministre de l’Intérieur sur les monuments, les bibliothèques, etc. de l’Oise, de l’Aisne (1831), une Histoire de Dieppe (1838), une Monographie de Notre-Dame de Noyon (1945) et une Histoire financière du gouvernement de Juillet (1848).
P., A. Sauton, 1870, in-12, 35 pp, broché, qqs rousseurs sur les 2 premiers et derniers feuillets, bon état
"Les lettres de l'académicien Vitet sont intéressantes à plusieurs titres. En premier lieu c'est un réquisitoire avant la lettre contre la future Assemblée dont la légitimité sera discutable du fait de la brièveté du délai pré-électoral (qu'il estimait à 25 jours !). Mais surtout, Vitet dévoile sa principale inquiétude : « les démences démagogiques, les démentielles entreprises » des Clubs et des énergumènes prêts à pactiser avec l'ennemi. Et il dénonce la coupable inertie du gouvernement qui tente de se concilier cet ennemi intérieur au lieu de réprimer énergiquement ses menées. Ce Rostopchine à prétentions littéraires, farouche républicain qui voulait voir incendier Paris plutôt que de subir la honte de l'occupation étrangère sera l'un des membres actifs du centre-droit à l'Assemblée nationale." (Robert Le Quillec, 4687)
Strasbourg, Association des publications près les Universités de Strasbourg, s.d. (1984), in-8°, 236 pp, qqs documents reproduits, tableaux, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
I. Les pauvres. II. Les institutions d'assistance. III. Les actions d'assistance. IV. Les institutions de prévoyance. V. La mentalité philanthropique. Thèse sous la direction de Georges Livet.
P., Daragon, 1907, in-12, 242 pp, un frontispice gravé et un fac-similé d'écriture hors texte, index, broché, 2e plat lég. sali, bon état (Coll. Les énigmes de l'Histoire). Edition originale, tirage limité à 755 exemplaires justifiés à la plume par l'éditeur, le notre n° 383, imprimé sur papier d'Ecosse
Où l'auteur prouve que Louis-Philippe n'était pas le fils du geôlier italien Chiappini et que Maria-Stella Chiappini, femme de lord Newborough, puis du baron d'Lïngern-Sternberg, n'était pas fille du duc et de la duchesse de Chartres. — "Ce pauvre Louis-Philippe eut encore, par-dessus le marché, maille à partir, après sa mort, avec les Naundorffistes, qui, s’ils ont octroyé à Naundorff le droit de porter le nom de Bourbon, ont refusé au fils de Philippe-Égalité le droit de porter le nom d’Orléans. Celui-ci ne serait autre que le fils d’un certain Chiappini, geôlier italien. Substitution d’enfants. Ce que c’est tout de même ! Le duc de Chartres (plus tard Philippe-Égalité) et la duchesse, voulant absolument un héritier mâle, auraient fait le troc d’une fille, au jour de la naissance, contre un autre enfant, un garçon, le fils du Chiappini en question, né vers le même temps. Cette fille, baptisée Marie-Stella Chiappini et devenue lady Newborough, aurait découvert le faux, et elle prétendit effectivement, – munie d’un jugement qui mentionnait bien le fait d’une substitution d’enfants, lequel semble avéré, mais sans nommer le moins du monde le duc de Chartres (et pour cause) comme le complice de Chiappini dans cette substitution, – elle prétendit, disons-nous, prendre, dans la maison d’Orléans, le rang que Louis-Philippe, vulgaire Chiappini (!), y usurpait. (...) M. Duquesne, parent des Naundorff, a publié, sous le pseudonyme de Paul Dumont, un ouvrage destiné à prouver le bon droit de Lady Newborough. C’est cet ouvrage que réfute M. Vitrac, en établissant, d’une part, qu’à la date de la substitution Chiappini, en Italie, le duc et la duchesse de Chartres se trouvaient en France, et, d’autre part, que le complice de Chiappini était un certain comte Battaglini." (Edmond Barthèlemy, Mercure de France, 1907)
P., Jean de Bonnot, 1989, in-4°, 512 pp, 490 dessins de l'époque d'après nature, à pleine page ou dans le texte, dont 40 planches hors texte, par Nac, Pinson, Salvel, Gudin, Montader, St. Elme, Mas, etc., index alphabétique, reliure plein cuir bordeaux de l'éditeur, dos lisse richement décoré à l'or fin façon art nouveau, décor d'encadrement à froid sur les plats, tête dorée, signet, imprimé sur papier vergé filigrané, bon état
Belle évocation du Paris de la seconde moitié du XIXe siècle. Ecrivain et publiciste républicain, Auguste Charles Vitu (1823-1891) collabora à plusieurs journaux de l'époque, fonda l'Etendard et fut rédacteur en chef du Peuple français. — "Nous nous proposons, dans cet ouvrage, de retracer à travers 490 dessins pris sur le vif, Paris il y a 100 ans. Un Paris, qui, malheureusement, est en grande partie disparu, soit sous la pioche des démolisseurs, soit pour la réalisation de nouveaux plans d'urbanisme. Notre livre commence par la célèbre exposition du Champs de Mars en 1867, exposition qui fut l'apogée du Second Empire. La plupart des souverains du monde se rendirent à Paris pour assister au superbe témoignage de la civilisation française, et regarder, avec stupeur, les monstres engendrés par la technique et l'industrie naissantes. La grosse Bertha, l'énorme canon fabriqué par les Usines Krupp fut, comble de l'ironie, le clou de l'exposition. Trois ans plus tard, il devait bombarder Paris..." (L'Editeur) — Table : L'Exposition universelle de 1867 ; Vue générale de Paris à vol d'oiseau ; La Seine ; Les rues de Paris ; La Cité ; La rive gauche ; La rive droite ; L'Exposition universelle de 1889.
P., Editions de la Fontaine au Roy, 1989, in-4°, 512 pp, 430 dessins d'après nature, à pleine page ou dans le texte, par Nac, Pinson, Salvel, Gudin, Montader, St. Elme, Mas, etc., index, reliure cuir vert, dos lisse avec titres et caissons dorés, décor doré au 1er plat (rel. de l'éditeur), jaquette illustrée, bon état
Réimpression de l'édition Quantin de 1889. Belle évocation du Paris de la seconde moitié du XIXe siècle. Ecrivain et journaliste républicain, Auguste Charles Vitu (1823-1891) collabora à plusieurs journaux de l'époque, fonda l'Etendard et fut rédacteur en chef du Peuple français. — "Nous nous proposons, dans cet ouvrage, de retracer à travers 430 dessins pris sur le vif, un Paris, qui, malheureusement, est en grande partie disparu, soit sous la pioche des démolisseurs, soit pour la réalisation de nouveaux plans d'urbanisme." (L'Editeur) — Table : Vue générale de Paris à vol d'oiseau ; La Seine ; Les rues de Paris ; La Cité ; La rive gauche ; La rive droite.
Armand Colin, 1896, in-12, 343 pp, reliure demi-chagrin carmin, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), bon état
Au panorama du Siècle ; Le comte d'Antraigues ; Larevellière-Lépeaux ; Le compte Chaptal ; Le maréchal Ney ; La duchesse de Broglie ; Le maréchal Canrobert ; Le legs de Pasteur ; Hippolyte Taine ; Emile Montégut ; etc.
Ophrys, 1978, gr. in-8°, 391 pp, 2 portraits hors texte, 25 figures in fine (dont 3 plans de Nancy dépliants), sources, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Le cadre urbain et sa population : Un siècle de croissance ; La montée des notables, 1815-1850 ; La montée des capitalistes, 1850-1870.
Maisonneuve et Larose, 2005, gr. in-8°, 476 pp, 130 ill. dans le texte (croquis, plans, photos), notices biographiques, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Les années 1850-1950 ont légué à l'Egypte, en amont et en marge de l'occupation coloniale, une riche production bâtie, qui en fait un terrain fécond pour étudier la formation et le déploiement des pratiques et savoirs architecturaux modernes dans un contexte extra-européen. Ce travail s'attache à en proposer une histoire centrée sur l'émergence et l'essor d'un corps local d'ingénieurs-architectes en liaison avec les grands projets publics d'aménagement urbain. A partir des scansions usuelles de l'histoire politique égyptienne – le temps des réformes vice-royales (jusqu'en 1882), l'occupation britannique (1882-1922), l'âge dit "libéral" (à partir de 1922) – la narration parcourt successivement trois champs de pratiques : celui de la codification et de la transmission des savoirs techniques propres au métier d'architecte étudiés à travers le développement d'un enseignement spécifique, la production de traités et de manuels spécialisés et les formations acquises en Europe ; celui de l'aménagement urbain, vu au prisme d'une sélection d'opérations significatives et de la mise en place du dispositif institutionnel et réglementaire encadrant l'édilité urbaine ; celui, enfin, de la production architecturale proprement dite, analysée à partir d'un ensemble de réalisations représentatives. C'est une maîtrise d'oeuvre de qualité, stimulée par une commande publique progressiste, et en position d'assimiler et de s'approprier la pensée et les techniques modernes, dans leurs référents européens, qui a pris ainsi peu à peu corps.
Julliard/L'Age d'Homme, 1983, in-8°, 411 pp, 16 pl. de documents hors texte, index, reliure toile éditeur, jaquette
P., Bossange, 1822, in-8°, xlix-368 pp, précédé d'une vie de Volney et de ses écrits par Adolphe Bossange, 4 planches gravées par Tardieu dont un portrait en frontispice, une planche (Invocation) et 2 planches repliées in fine (tableau du ciel astrologique des anciens et mappemonde), reliure demi-veau glacé caramel, dos à 5 faux-nerfs guillochés à froid soulignés de triples filets dorés, pièces d'auteur et de titre basane noire, roulette en tête et palette en queue (rel. de l'époque), mors frottés, bon état
Constantin-François Chasseboeuf (1757-1820), grand admirateur de Voltaire, s'était forgé un pseudonyme à partir de Voltaire et de Ferney.