8, rue Bréa
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France
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Phone number : 01 43 54 43 61 Pr. du Management, 1999, in-8°, 220 pp, préface de François Caradec, 4 pl. hors texte, broché, couv. illustrée, bon état
Alfred Jarry (1873-1907) n'était pas, tant s'en faut, un homme comme les autres. Personnage hors du commun, provocateur génial, il passa sa vie et son œuvre à tourner en dérision les usages établis et la société. L'auteur nous fait découvrir un autre Jarry, encore plus fou, encore plus iconoclaste, amoureux de Corbeil et de ses bords de Seine, où il passa huit ans. Du Phalanstère au Tripode, en passant par le Rendez-vous du barrage, la force de Philippe Régibier est de nous ballader au rythme des anecdotes de ces instants particuliers où s'exprime plus librement ce lazzi dont Jarry fit sa morale et qui marqua toute son œuvre. Pauvre petit père Ubu, irritant mais émouvant, provocateur mais ami fidèle ; nous le suivrons dans ses séjours agrestes où il fut pleinement lui-même au cours d'une bien brève existence.
Editions Jeanmaire, s.d. (1882), in-4°, 591-56 pp, édition populaire illustrée de nombreuses gravures dans le texte par Dunki, et de 30 gravures hors texte, dont 8 types militaires en couleurs, reliure demi-basane bleue, dos à nerfs orné de fleurons dorés, qqs rares rousseurs. Les 56 pages finales contiennent les documents historiques (ordonnances royales, pièces diplomatiques, discours, etc.) et la table des matières. Bel exemplaire
P., Pagnerre, 1860, 3 vol. in-8°, viii-480,viii-468 et viii-494 pp, frontispices gravés sous serpentes, qqs portraits gravés hors texte, brochés, couv. lég. défraîchies, C. de bibl., état correct
P., Ollendorff, 1887, in-12, 354 pp, un portrait de l'auteur gravé par A. Blanchard en frontispice, 6 illustrations, reliure demi-basane aubergine, dos lisse, titres et fleuron doré (rel. de l'époque), reliure abîmée, dos uniformément passé, coiffes arasées, un morceau du dos recollé, mors frottés, rousseurs éparses, état moyen
Souvenirs de Philoclès Regnier, entré à la Comédie-Française en 1831, sociétaire en 1835, retraité en 1871, doyen de 1865 à 1871. L'une des figures les plus attachantes de la troupe au XIXe siècle, acteur de talent, fin lettré, homme de théâtre dans tous les sens du terme, François-Joseph Philoclès Regnier de la Brière, dit Philoclès Regnier, est le fils de Madame Tousez, sociétaire de la Comédie-Française. Il fait de bonnes études chez les oratoriens, se destine à l'architecture, mais, après avoir échoué à un concours, il préfère monter sur les planches, qu'il a déjà connues à l'âge de quatre ans, figurant le Roi de Rome dans un à-propos donné à l'Odéon en 1811. Sans passer par le Conservatoire, muni seulement des conseils de Baptiste aîné, il fait le dur apprentissage de la vie de comédien de province, à Metz et à Nantes, avant d'être engagé au théâtre du Palais-Royal, dont le directeur se rend très vite compte qu'il fait fausse route et le pousse à entrer à la Comédie-Française où il débute en 1831... — Table : J. Boutet de Monvel. – Mademoiselle de Champmeslé. – Adrienne Le Couvreur. – Etat de la fortune de Molière. – Talma. – Sedaine.
Marseille, Raoul et Jean Brunon, 1943, in-8°, 94 pp, 104 photos, gravures, cartes et fac-similés dans le texte et sur 58 pl. hors texte, broché, bon état
Plon, 1925, in-8° carré, xviii-408 pp, préface de Pierre de La Gorce, 2 héliogravures, 113 photogravures, 14 fac-similés d'autographes, biblio, index, reliure demi-vélin, dos à 4 faux-nerfs, titres dorés, tête dorée, couv. et dos conservés (rel. de l'époque), bon état
Ouvrage important, abondamment illustré. L'enfance, Maximilien, le mariage, Miramar, l'Intervention française au Mexique, les débuts du règne, la fin de l'Empire et de l'Empereur.
Plon, 1925, in-8° carré, xviii-408 pp, préface de Pierre de La Gorce, 2 héliogravures, 113 photogravures, 14 fac-similés d'autographes, biblio, index, broché, état correct, envoi a.s.
Ouvrage important, abondamment illustré : l'enfance, Maximilien, le mariage, Miramar, l'Intervention française au Mexique, les débuts du règne, la fin de l'Empire et de l'Empereur. — "Quelle histoire tragique que celle de cette jeune princesse, mariée à un aimable archiduc, fêtée à Vienne et à Milan, passant des jours heureux dans la jolie villa de Miramar baignée par l'Adriatique, accompagnant son époux au Mexique, dont on lui offrit d'être le Souverain ! Elle s'était associée dès la première heure à ses visées ambitieuses. Napoléon III les avait fortement encouragées, sinon provoquées, sans en calculer les dangereuses conséquences. Le « grand rêveur » écrit M. de la Gorce, avait « trouvé un autre rêveur pour l'écouter ». La comtesse de Reinach n'a pas voulu écrire à nouveau l'histoire de l'expédition du Mexique, mais elle a étudié la psychologie de cette pauvre princesse dont le désastre mexicain a détruit la raison. C'est à Rome, au retour d'un voyage a Paris, où elle avait vainement demandé à Napoléon III de maintenir au Mexique le corps expéditionnaire français, que ses premiers troubles cérébraux se manifestèrent. Conduite à Miramar, puis en Belgique, Charlotte eut des périodes de lucidité qui s'espacèrent progressivement. On lui apprit, quand la chose parut possible, le drame de Queretaro. Elle en parut profondément afiligée, mais bientôt elle ne fit plus d'allusions ni à son mari ni au Mexique. Et voici près de soixante ans que la pauvre impératrice porte le deuil de ses rêves et de sa raison. Dans ce livre, fort bien édité, une iconographie très copieuse, des fac-similés d'autographes et la citation de nombreuses lettres adressées à Charlotte ou émanant d'elle ajoutent à l'intérêt et constituent une précieuse contribution à l'histoire." (Revue des Questions historiques, 1926) — "Des compléments souvent utiles à l'ouvrage du comte Corti sur “Maximilien et Charlotte du Mexique” se trouvent encore, avec une illustration abondante, dans un volume de Mme la comtesse de Reinach-Foussemagne, qui pousse jusqu'à ses derniers jours la biographie de l'impératrice Charlotte, et dont la documentation provient surtout de la famille royale de Belgique." (Raymond Guyot, Revue Historique, 1928)
Plon, 1925, in-8° carré, xviii-408 pp, préface de Pierre de La Gorce, 2 héliogravures, 113 photogravures, 14 fac-similés d'autographes, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Ouvrage important, abondamment illustré : l'enfance, Maximilien, le mariage, Miramar, l'Intervention française au Mexique, les débuts du règne, la fin de l'Empire et de l'Empereur. — "Quelle histoire tragique que celle de cette jeune princesse, mariée à un aimable archiduc, fêtée à Vienne et à Milan, passant des jours heureux dans la jolie villa de Miramar baignée par l'Adriatique, accompagnant son époux au Mexique, dont on lui offrit d'être le Souverain ! Elle s'était associée dès la première heure à ses visées ambitieuses. Napoléon III les avait fortement encouragées, sinon provoquées, sans en calculer les dangereuses conséquences. La comtesse de Reinach n'a pas voulu écrire à nouveau l'histoire de l'expédition du Mexique, mais elle a étudié la psychologie de cette pauvre princesse dont le désastre mexicain a détruit la raison. C'est à Rome, au retour d'un voyage a Paris, où elle avait vainement demandé à Napoléon III de maintenir au Mexique le corps expéditionnaire français, que ses premiers troubles cérébraux se manifestèrent. Conduite à Miramar, puis en Belgique, Charlotte eut des périodes de lucidité qui s'espacèrent progressivement. On lui apprit, quand la chose parut possible, le drame de Queretaro. Elle en parut profondément afiligée, mais bientôt elle ne fit plus d'allusions ni à son mari ni au Mexique. Et voici près de soixante ans que la pauvre impératrice porte le deuil de ses rêves et de sa raison. Dans ce livre, fort bien édité, une iconographie très copieuse, des fac-similés d'autographes et la citation de nombreuses lettres adressées à Charlotte ou émanant d'elle ajoutent à l'intérêt et constituent une précieuse contribution à l'histoire." (Revue des Questions historiques, 1926) — "Des compléments souvent utiles à l'ouvrage du comte Corti sur “Maximilien et Charlotte du Mexique” se trouvent encore, avec une illustration abondante, dans un volume de Mme la comtesse de Reinach-Foussemagne, qui pousse jusqu'à ses derniers jours la biographie de l'impératrice Charlotte, et dont la documentation provient surtout de la famille royale de Belgique." (Raymond Guyot, Revue Historique, 1928)
Fasquelle, s.d. (1903), in-8°, 718 pp, reliure demi-chagrin bordeaux, dos à 5 nerfs, titres dorés, couv. conservées, papier jauni comme toujours, bon état
Tome II seul (sur 7).
Fasquelle, 1903, in-8°, 661 pp, reliure demi-chagrin bordeaux, dos à 5 nerfs, titres dorés, couv. conservées, papier jauni comme toujours, bon état
Tome III seul (sur 7).
P., Editions de la Revue Blanche, s.d. (1901), in-8°, 640 pp, 6 planches de fac-similés hors texte, reliure demi-chagrin bordeaux, dos à 5 nerfs, titres dorés, couv. conservées, papier jauni comme toujours, bon état
Tome I seul (sur 7).
Fasquelle, s.d. (1905), in-8°, 591 pp, reliure demi-chagrin bordeaux, dos à 5 nerfs, titres dorés, couv. conservées, papier jauni comme toujours, bon état
Tome V seul (sur 7).
Plon, 1901-1902, 2 vol. in-8°, vii-479 et iv-453 pp, préface par Robinet de Cléry, 2 héliogravures en frontispices (le roi Charles-Albert et le comte de Reiset au combat en Italie en 1848, et une photo de Napoléon III et du prince impérial), brochés, couv. du tome I salie, bon état. Edition originale
Tome 1 et 2 seuls (sur 3). Tome 1 : Les débuts de l'indépendance italienne, tome 2 : La Guerre de Crimée et la cour de Napoléon III. — "M. de Reiset fut envoyé, en 1852, à Saint-Pétersbourg comme premier secrétaire de la légation de France. Il quitta la Russie au commencement de 1854. Ce sont les impressions de ce séjour et quelques descriptions et souvenirs de la cour impériale et du monde diplomatique, jusqu'au départ de l'empereur pour la guerre d'Italie, qui forment la matière principale du récit. Il est d'un ton aisé et de bonne compagnie, plein d'anecdotes qui sont presque toujours amusantes et contées avec simplicité. Le long séjour et les relations du comte de Reiset en Piémont donnent un intérêt historique particulier aux parties de ses mémoires qui se rapportent aux origines de la guerre d'Italie. Il adressa au mois de février 1859 à l'empereur un rapport (reproduit dans son livre, p. 385 et suiv.) qui est fort intéressant. Le défaut visible de sympathie de M. de Reiset pour le vulgaire Victor-Emmanuel et son antipathie marquée pour Cavour l'entraînent à certaines appréciations discutables. Il n'empêche que le deuxième volume de ses mémoires est peut-être d'un intérêt encore supérieur au premier." (André Lichtenberger, Revue Historique, 1902)
P., Michel Lévy, 1858, in-8°, xxviii-432 pp, quatrième édition revue et corrigée, reliure demi-maroquin vert, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et année en queue dorés, tête dorée, couv. conservées, ex. très bien relié vers 1920 mais dos uniformément passé (tourné couleur crème) et lég. sali, plats en partie passés, qqs rousseurs, bon état, ex-libris Gabriel Puaux
Les religions de l'antiquité. L'histoire du peuple d'Israël. Les historiens critiques de Jésus. Mahomet et les origines de l'islamisme. La Vie des Saints. L'auteur de l'Imitation de Jésus-Christ. Jean Calvin. Channing et le mouvement unitaire aux Etats-Unis. M. Feuerbach et la nouvelle école hégélienne. La Tentation du Christ, par M. Ary Scheffer. — Ce recueil témoigne de la recherche que Renan n'a cessé de poursuivre et d'approfondir dans sa critique et son analyse rationnelle des phénomènes religieux. Il s'est attaché à comprendre à la fois le socle judaïque du christianisme et les premiers développements des communautés chrétiennes. Mais le travail du critique devient nécessairement histoire des idées et des courants de pensée, si bien qu'il s'élargit dans le temps et l'espace et touche Mahomet, Jean Calvin, Feuerbach... Enfin, l'aspect proprement méthodologique n'est pas absent des préoccupations de Renan qui se révèle ici l'un des premiers sociologues des religions. — "Toutes les origines sont obscures, les origines religieuses encore plus que les autres, et il n'est point d'études qui exigent plus que celles-là une grande culture intellectuelle unie à une singulière finesse d'esprit et à une haute impartialité critique. M. Ernest Renan a déjà donné plus d'une preuve remarquable de ces rares et précieuses qualités, mais jamais peut-être elles n'ont paru si réelles que dans ses études d'histoire religieuse. Plusieurs des sujets traités par M. Renan n'appartiennent point, il est vrai, à l'époque du moyen âge, objet particulier de cette revue ; nous croyons néanmoins devoir recommander à l'attention de nos lecteurs le beau travail de M. Renan sur Mahomet et les origines de l'islamisme. C'est là un des plus grands faits, sinon le plus grand de l'histoire du moyen âge, et nulle part nous ne l'avons vu étudié avec tant de pénétration et exposé d'une façon si pleine de netteté et de lumière. (...) Disons encore, tout en nous bornant au moyen âge, que d'autres morceaux de ce volume, tels que ceux sur la vie des saints et sur l'auteur de l'Imitation de Jésus-Christ, portent l'empreinte des solides et brillantes qualités qui ont déjà valu à M. Renan un rang si distingué parmi les érudits français. Il est bien rare, en effet, de trouver chez un même homme une érudition si profonde, un esprit si ingénieux et si flexible, une intelligence et un sentiment si vif des choses du passé rehaussés encore par un véritable talent d'écrivain..." (Claude Guigue, Bibliothèque de l'École des chartes, 1858)
P., Calmann-Lévy, s.d. (1914), in-12, vii-353 pp, reliure demi-basane brune à la bradel, dos lisse avec titres dorés, couv. et dos conservés, tête dorée (rel. de l'époque), bon état
P., Calmann-Lévy, 1942, in-8°, xv-339 pp, 14e édition, broché, état correct
Regroupant des textes écrits entre 1869 et 1871, “La Réforme intellectuelle et morale” donne la mesure du choc provoqué dans l'esprit français en 1870 par la victoire de l'Allemagne, dont Ernest Renan avait été jusque-là l'admirateur fervent. De là une réflexion saisissante sur les destinées respectives de la France et de l'Allemagne aux prises avec la violence de l'histoire, dans la perspective d'un relèvement nécessairement douloureux. — "La Réforme intellectuelle et morale livre une pensée de la nation, et c'est à elle que Renan, si communément oublié aujourd'hui, doit de vivre encore dans la mémoire contemporaine." (Mona Ozouf)
Félix Alcan, 1921, in-12, ii-208 pp, 7e édition, broché, couv. lég. abîmée, bon état (Bibliothèque de philosophie contemporaine)
"Dans le “Régime socialiste”, Georges Renard se livre à un très méritoire effort pour sortir des nuages où tant de systèmes socialistes demeurent. Il travaille à faire descendre son idéal du ciel sur la terre. Il indique les voies où il conviendrait de s'engager tant dans l'ordre politique que dans l'ordre économique, non seulement pour bien défendre les intérêts communs à tous, mais pour réserver aux individus le plus possible de liberté effective. Georges Renard dessine ainsi la figure d'un «socialisme libéral », qui a attiré vers lui beaucoup de jeunes intellectuels. Pour réaliser ce socialisme, il est bien loin de compter sur des forces mécaniques. En dépit des progrès du matérialisme historique et de toutes les forces de «réalisme », Georges Renard affirme le prix supérieur des forces morales. Et c'est pourquoi il se retourne avec tant de prédilection vers les heures dorées de 1848..." (Célestin Bouglé, 1930) — Collaborateur de Durkheim, Georges Renard participa à la Commune de Paris puis devint l'une des personnalités de premier plan du parti socialiste. (Stammhammer II, 274)
Perrin, 1944, in-12, 253 pp, un portrait en frontispice, une planche hors texte et un plan dépliant in fine de la ville de Caen, broché, couv. illustrée, bon état
Les dernières années du père du dandysme britannique.
Garnier, 1991, in-8°, 176 pp, broché, un portrait de Renouvier en couv., bon état (Coll. Les Classiques de la Politique)
Par Charles Renouvier, philosophe (1815-1903). Il s'intéressa de près au développement du saint-simonisme. "Renouvier avait adhéré dans sa jeunesse à l'école sociétaire de Charles Fourier. Il ne rompit jamais avec elle et tint toujours compte de ses jugements. La Critique philosophique qu'il fonda après 1870 admit des fouriéristes parmi ses collaborateurs, notamment Charles Pellarin." (Gaston Richard, La Question sociale et le mouvement philosophique au XIXe siècle)
Hachette, 1967, in-8°, 401 pp, 5 cartes, index, broché, bon état
"Ce n'est pas une histoire détaillée des conflits diplomatiques, mais « une recherche des explications » de l'évolution générale. Pourquoi de 1870 à 1914, l'Europe est-elle maîtresse du monde ? pourquoi cette Europe divisée contre elle-même a-t-elle glissé sur la pente terrible d'une guerre qui a sonné le glas de son règne ? La division en trois livres, le premier traitant des années 1871 à 1893, le deuxième de 1893 à 1913, le troisième réservé à une remarquable et très neuve étude intitulée « L'Europe et le monde en 1914 » se justifiait dès lors que l'auteur voulait répondre aux deux questions capitales qu'il s'était proposé de résoudre. Dans chacune des deux premières parties, l'expansion européenne d'une part, l'essor et le conflit des impérialismes à travers le monde d'autre part, sont bien mis en évidence, sans que soient négligés les classiques conflits franco-allemand ou méditerranéens. (...) On souhaiterait disposer d'ouvrages de semblable valeur pour l'histoire politique interne ou pour l'histoire économique de la même période." (Robert Demoulin, Revue belge de philologie et d'histoire, 1956)
PUF, 1962, fort in-8°, 779 pp, 4e édition revue et augmentée, biblio, index, broché, bon état (Coll. Peuples et Civilisations)
"Un ouvrage dont l'éloge n'est plus à faire. Historiens et étudiants apprécieront que les facteurs militaires, diplomatiques, économiques et sociaux, qui influencèrent le cours des événements de 1904 à 1919, soient présentes ici avec la clarté qui distingue le professeur et le souci des nuances qui révèle le spécialiste parfaitement informé." (Revue française de science politique)
CDU, 1946-1947, 2 vol. in-4°, 181 et 119 pp, texte dactylographié, brochés, déchirure sans mque au 1er plat de la première partie, bon état (Coll. Les cours de Sorbonne). Rare complet des deux parties
CDU, 1951, 4 vol. in-4°, 311 pp, texte dactylographié, soulignures crayons rouge et bleu, brochés, état correct (Coll. Les cours de Sorbonne)
CDU, s.d. (1939), in-4°, 200 pp, texte dactylographié, qqs soulignures et annotations, reliure demi-basane époque, dos à 5 nerfs, bon état (Coll. Les cours de Sorbonne)