Pages d'Histoire - Librairie Clio

Clio Histoire

8, rue Bréa
75006 Paris
France

E-mail : clio.histoire@free.fr

Phone number : 01 43 54 43 61

Sort by
Previous 1 ... 79 80 81 82 ... 87 Next Exact page number ? OK

‎TRINTZIUS (René).‎

Reference : 93454

(1950)

‎John Law et la naissance du dirigisme.‎

‎ SFELT, 1950, in-8°, 301 pp, une gravure en frontispice, note bibliographique, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Présence de histoire), envoi a.s.‎


‎La vie et les idées de John Law. Une large partie de l'ouvrage (p. 183- 295) est consacrée à la reproduction de certains fragments des écrits de Law. — John Law, financier écossais (Édimbourg 1671-Venise 1729). Ce fils d’un orfèvre écossais ressemble à un banquier du grand siècle auquel un Casanova aurait prêté sa séduction. De son père et du monde des manieurs d’argent enrichis par l’escompte et l’échange, il tient la passion des questions monétaires. Son esprit agile excelle très tôt à l’analyse des mécanismes bancaires. Par sa mère, il touche à l’aristocratie : beau, il sait aussi charmer ; ami du plaisir, il garde la tête froide au milieu des fêtes les plus folles. Il est joueur et c’est pour lui une manière de duel. Il sait aussi tirer l’épée : la mort d’un de ses adversaires lui vaut à vingt-quatre ans de connaître les prisons du Royaume-Uni. Son évasion est trop aisée pour ne pas avoir été facilitée. Désormais, il court l’Europe. Il va à Amsterdam, à Paris, à Venise, à Gênes et à Naples. En Hollande, il apprend la finance, en Italie les tripots ; partout, il côtoie les princes et fuit devant leur police. Il en est de même en France, où sa trop grande expérience des cartes le rend suspect. Expulsé, il revient en 1716. C’est l’époque de la Régence ; le duc d'Orléans est attiré par le personnage ; il le laisse appliquer ses idées, la France devient militante du « système ». Le royaume se débat dans une crise financière. Law propose une solution simple et rapide. L’État est riche si le pays est prospère ; ce dernier le devient si la monnaie est suffisamment abondante. Le stock de monnaie métallique détenu par les habitants du royaume peut s’accroître d’un coup : il suffit de transformer les espèces sonnantes et trébuchantes en monnaie de papier, car « la circulation du papier-monnaie étant trois fois plus rapide que celle de l’or et de l’argent, c’est comme s’il y avait en réalité trois fois plus de moyens d'échanges ». Une banque protégée par l’État drainera le métal et refoulera dans le public la monnaie fiduciaire. Négociants et fabricants trouveront le crédit nécessaire à la multiplication de leurs entreprises. C’est encore le crédit qui permettra l’édification d’une compagnie de commerce par actions. Celle-ci pourra être associée à la banque. Elle monopolisera le commerce extérieur, accroîtra l’exploitation coloniale et suscitera de nouvelles richesses. L'État est d’emblée déchargé du souci de ses dettes puisqu’une part des actions de la banque peut être souscrite en billets d’État. À long terme, la banque peut se substituer à lui pour la rentrée d’impôts, qui seront mieux prélevés sans que l’État en soit lésé. En trois ans, l’idée prend corps. Le 2 mai 1716, Law crée une banque de dépôt et d’escompte ; elle devient banque d’émission, les billets au porteur sont à tout moment convertibles en monnaie métallique. À partir du 10 avril 1717, on peut s’en servir pour payer ses impôts. Le 4 décembre 1718, elle est banque royale, l’État détenant seul les actions. L’année suivante, la Compagnie d'Occident, créée en 1717 et chargée de l’expansion de la Louisiane, absorbe les compagnies du Sénégal, de Chine, des Indes orientales et de la mer du Sud. Elle prend le titre de Compagnie des Indes. Elle est associée à la banque. C’est l’apogée du système : Law a le monopole des monnaies et il est le fermier général des impôts. En 1720, il est contrôleur général des finances. Il cultive l’enthousiasme du public ; la spéculation est un moyen d’absorber rapidement la dette de l’État et d’augmenter le capital de la compagnie. Dès lors, le péril le guette : les gros bénéfices promis ne peuvent être donnés qu'avec le temps, et encore seront-ils proportionnés au capital réellement investi ; or, les agioteurs de la rue Quincampoix ont fait monter les actions de 500 à 18 000 livres. Qu’adviendra-t-il lorsque les porteurs toucheront des dividendes jugés trop maigres ? Qu’adviendra-t-1l lorsque, gagnés par la méfiance vite transformée en panique, les détenteurs de billets de banque demanderont, puisqu'il n’y a pas cours forcé, des espèces métalliques ? La réponse est imaginée par les ennemis de Law. Ils sont nombreux. Tous sont des parasites que le système social et politique entretient. Il y a l’aristocratie. Certains de ses membres jouent avec Law ; le plus grand nombre est effrayé par ses projets d’un impôt foncier unique reposant sur le revenu de la terre. Il y a ceux qui participent à la ferme de l’impôt et qui se voient dépouillés de leur moyen d’oisiveté ; Il y a leurs multiples frelons, les banquiers, tels les frères Pâris. Les uns et les autres se partagent la tâche ; les parlementaires, au grand jour, attaquent sur le plan du droit ; les financiers et leurs séides, de manière plus couverte : après avoir fondé une compagnie rivale pour retenir le plus possible les capitaux, ils poussent les gros actionnaires de Law à la réalisation. C’est en voitures que le prince de Conti ou le duc de Bourbon viendront en quelques heures chercher leurs millions. Dès lors, c’est l’effondrement. Law se bat avec ténacité. Il achète les actions pour maintenir les cours ; il ruine ainsi sa banque et obtient alors l’interdiction de la monnaie d’or. Les actions continuant à être bradées, il fait intervenir la police, qui ferme la rue Quincampoix. On se tue pour vendre ses papiers ; il organise des défilés publicitaires pour ses entreprises coloniales. Au milieu d’un monde où le plus rustre est souvent du plus haut lignage, il découvre la grandeur ou la naïveté de ces bretteurs qui font face. Il était millonnaire à son arrivée à Paris, il meurt à Venise en 1729, sans une livre. De nos jours encore, les historiens s’interrogent : génial précurseur ou bon élève des mercantilistes du XVII s. ? Homme de son temps, il apparaît, au travers d’écrits d’ailleurs contradictoires comme Les Considérations sur le numéraire et le commerce (1705) ou le Projet de banque d'État (1715), à l’image d’un mercantiliste. S’il croit que ce qui institue la puissance et la richesse d’une nation « c’est une population nombreuse et des magasins pleins de marchandises étrangères », il affirme aussi que le commerce et le nombre des peuples dépendent de la quantité et de la conduite des monnaies. Mais il repense la notion même de monnaie, et approche de celle de la « monnaie-marchandise » à la fluctuante valeur. Il affirme qu’elle n’est qu’un signe : elle n’est pas « la valeur pour laquelle les marchandises sont échangées mais la valeur par laquelle les marchandises sont échangées ». Son dirigisme monétaire et sa confiance en la valeur créatrice du crédit en font un moderne. Paradoxalement, pourtant, son expérience aura retardé en France l’accoutumance du crédit. En dépit de la profonde crise morale que le système révèle, la France du Régent lui est redevable. Il a allégé la dette de l’État ainsi que celle de certains groupes sociaux, telle la paysannerie. Il a suscité en Amérique le développement de la Louisiane et la création de La Nouvelle-Orléans (1718) : les ports de Nantes, de Bordeaux et surtout de Lorient en bénéficièrent pour tout le siècle. (J.-P. B., Grande Encyclopédie Larousse, 1971) ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR30.00 (€30.00 )

‎TRINTZIUS (René).‎

Reference : 100729

(1944)

‎Matérialisme et spiritualisme. Jacques Cazotte ou le XVIIIe siècle inconnu.‎

‎ P., Athéna, 1944, in-12, 227 pp, un portrait gravé en frontispice, biblio, broché, bon état (Coll. Vie des grands illuminés)‎


Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR25.00 (€25.00 )

‎TRIPHOOK (Robert)(éd.).‎

Reference : 15639

(1812)

‎Marottes à vendre ou Triboulet tabletier, dont la Gibecière, après avoir été égarée pendant plusieurs siècles, nous est enfin heureusement parvenuë, munie d'un rare assemblage de hochets, breloques, colifichets et babioles de toutes espèces ; d'un travail non commun, et possédants mille propriétés et vertus, non moins utiles et recherchées, que délectables et difficiles à trouver.‎

‎ Au Parnasse burlesque, ex officina de la Banque du Bel Esprit, à l'Enseigne de la Facéciosité (Londres, Harding and Wright, for R. Triphook), L'an premier de la nouvelle ère (1812), pt in-8°, [8]-288 pp, impression à petit nombre, sur papier vélin, reliure demi-vélin à coins, pièce de titre de maroquin rouge, tête dorée, bon état. Bel exemplaire (Gay-Lemonnyer, III, 68-69)‎


‎Recueil facétieux extrêmement rare, contenant 353 pièces en vers et en prose piochés çà et là dans divers ouvrages. — "Ce recueil renferme des extraits de différents ouvrages rares" (Brunet, III, 1466). Première édition de ce charmant recueil de textes burlesques français publiés pour le marché anglais par Robert Triphook. L'éditeur Triphook est particulièrement connu pour ses éditions de textes insolites de ce type (une « marotte » est un bonnet de fou à clochettes). Les textes proposés sont des contes facétieux mettant en scène divers rois de l’ancien régime (particulièrement Henri IV), comtes et présidents, médecins et avocats... ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR200.00 (€200.00 )

‎TRIQUETI (Henry de).‎

Reference : 21526

(1859)

‎Les premiers jours du protestantisme en France. Depuis son origine jusqu'au Premier Synode national de 1559.‎

‎ Paris, Aux Librairies protestantes, 1859, in-12, 300 pp, broché, couv. imprimée avec pt manque au dos, qqs rousseurs éparses, qqs annotations crayon, bon état. Edition originale‎


‎"Dans cette histoire des débuts du protestantisme parue en 1859, le pasteur de Triqueti explique que la Réforme est née en Allemagne avec Luther en 1517 mais qu’elle a commencé bien plus tôt en France. Il accorde une attention toute particulière aux Vaudois qui auraient gardé l’Évangile depuis les temps apostoliques. Mais le véritable père de la Réforme en France serait, d’après lui, Lefèvre d’Étaples ; il insiste également sur le rôle de Farel à Meaux et peut ainsi conclure : « La Réformation prenait possession du sol de France, et la lutte y était déjà engagée avant que Luther et Zwingle eussent animé de leur ferveur l’Allemagne et la Suisse. » L’arrière-pensée de l’auteur est claire. En élaborant cette généalogie qui fait fi de tous les travaux érudits des XVIIe et XVIIIe siècles, Triqueti présente les protestants comme de bons Français et la Réforme comme une entreprise nationale qui ne doit rien à l’étranger, en un temps où l’antiprotestantisme est virulent et où des mesures discriminatoires sont envisagées..." (Yves Krumenacker, « La généalogie imaginaire de la Réforme protestante. », Revue historique, 2006) ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR40.00 (€40.00 )

‎TROUSSON (Raymond).‎

Reference : 1531

(1988)

ISBN : 9782235017848

‎Jean-Jacques Rousseau. I. La marche à la gloire.‎

‎ Tallandier, 1988, gr. in-8°, 509 pp, notes, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎De sa naissance en 1712, à la publication de la « Lettre à d’Alembert » en 1760, Raymond Trousson retrace dans cette première partie de sa biographie de Rousseau, les étapes de La marche à la gloire : fugue, conversion, errance et bohème ; de Genève à Paris en passant par Lyon et Turin, de Madame de Warens à Madame d’Houdetot, de Diderot à d’Alembert. Jusqu’en 1749, ses échecs ont été sa chance. Si on avait bien reçu son système de notation musicale, s’il avait pu percer dans la carrière diplomatique, si l’on avait applaudi ses Muses et admiré son Narcisse, l’appel de l’Académie de Dijon mettant au concours le sujet : « Le rétablissement des sciences et des arts a-t-il contribué à épurer les mœurs ? » n’aurait rien réveillé en lui. Mais il n’a pas réussi, malgré ses efforts, pour se mettre au diapason du monde. Il peut donc affirmer la vertu et la pauvreté contre le luxe, le brillant et les faux-semblants. Tout ce qui précède son Discours sur les arts et les sciences ne comptera plus. Hugo a un mot pour cela : « Les bêtises que je faisais avant ma naissance ». Avec le Discours, Rousseau va pouvoir dire sa singularité, sa différence et crier au monde : Je suis Rousseau ! Grâce à sa réelle connaissance de l’homme comme de l’époque, ce siècle des lumières qu’il décrit en profondeur, l’auteur analyse en psychologue délicat les contradictions de l’homme et de son temps, de l’écrivain et de la vie. “Voici, disait Rousseau à propos des Confessions, le seul portrait d’homme peint exactement d’après nature et dans toute sa vérité.” Sur le « divin Jean-Jacques » complexe et complexé, contradictoire et sincère, innocent et coupable, Raymond Trousson signe ici un livre informé et vivant, véritable ouvrage de référence. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR20.00 (€20.00 )

‎TROUVÉ (Claude-Joseph, baron).‎

Reference : 114499

(1857)

‎Le dauphin duc de Bourgogne, petit-fils de Louis XIV, 1682-1712. Etude historique.‎

‎ P., Amyot, 1857, in-12, 282 pp, reliure demi-veau glacé noir, dos lisse avec titres et doubles filets dorés (rel. de l'époque signée Wagner en queue), mors frottés, coiffe sup. manquante, qqs rares et pâles rousseurs, bon état‎


Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR40.00 (€40.00 )

‎TROYAT (Henri).‎

Reference : 123252

(1977)

‎Catherine la Grande.‎

‎ Flammarion, 1977, in-8°, 544 pp, 16 pl. de gravures hors texte, chronologie, biblio, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, rhodoïd, bon état, envoi a.s.‎


‎En apprenant la mort de l'impératrice, le prince de Ligne s'écrie : "Catherine le Grand (j'espère que l'Europe confirmera ce nom que je lui ai donné), Catherine le Grand n'est plus. Ces mots sont affreux à prononcer ! L'astre le plus brillant qui éclaira notre hémisphère vient de s'éteindre !" Cette oraison funèbre n'ajoute rien au prestige de la disparue. Tout au long de son existence, elle a travaillé à sa propre gloire. Au vrai, de guerre en guerre, de conquête en conquête, c'est elle qui s'est agrandie. Ce roc de volonté est d'une structure complexe. Ses nobles idées libérales ne l'ont pas empêchée d'aggraver le servage par la distribution de terres et de paysans aux serviteurs de son trône ou de son lit. Dans ses rapports amoureux, elle s'est montrée pudibonde en paroles et effrénée en actes. Les hommes ont été à ses yeux des instruments de plaisir. Elle les a choisis jeunes, beaux, forts et, si possible, point trop sots. La vie, pour elle, s'est toujours ramenée à un rapport de forces entre les individus. Les faibles doivent périr. L'avenir est aux ambitieux, aux fougueux, aux têtus, aux mâles. Ces mâles, d'ailleurs, peuvent avoir l'aspect extérieur séduisant d'une femelle. N'en est-elle pas la preuve Que n'a-t-elle pas apprécié dans le monde ? Le rire, les livres, les hommes, les bêtes, les arbres, les enfants ! Mais rien de tout cela ne l'a jamais détournée de la politique. Une travailleuse acharnée. Et, en même temps, une enjôleuse. Petite princesse allemande, elle a voulu incarner la Russie, elle qui n'avait pas une goutte de sang russe dans les veines. Et ce tour de force demeure peut-être sa plus extraordinaire réussite. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR30.00 (€30.00 )

‎TROYAT (Henri).‎

Reference : 6399

(1979)

‎Pierre le Grand.‎

‎ Flammarion, 1979, in-8°, 394 pp, 16 pl. de gravures hors texte, index, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Colosse primitif, gorgé de sève, obéissant à des instincts élémentaires, Pierre le Grand (1672-1725), que Catherine la Grande considérait comme son précurseur et maître, s'est abattu sur son pays comme une tornade. Avec une énergie et une férocité incroyables, il a secoué ses compatriotes, bousculant toutes les traditions, coupant les barbes et les têtes, imposant des vêtements et des idées à l'européenne, apprenant lui-même tous les métiers, maniant le compas et la hache, arrachant les dents et construisant des bateaux, guerroyant sans répit contre la Turquie, contre la Suède, sacrifiant des centaines de milliers d'hommes pour bâtir Saint-Pétersbourg sur un marécage, mettant au pas l'Eglise, inventant des cérémonies blasphématoires, des farces énormes qui le faisaient rire aux éclats, jetant sa première épouse, pieuse et docile, dans un couvent et la remplaçant par une simple servante, maudissant son fils qui avait osé critiquer sa politique et le livrant au supplice sans le moindre remords. Il y a en Pierre le Grand un mélange de génie et de folie, de bouffonneries et d'orgueil, qui fait de lui un personnage fascinant, dressé de toute sa taille sur le fond grouillant, barbare et mystérieux de la vieille Russie. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR20.00 (€20.00 )

‎TRUC (Gonzague).‎

Reference : 101984

(1929)

‎La vie de Madame de Maintenon.‎

‎ Gallimard, 1929, in-12, 218 pp, un portrait en frontispice et une gravure hors texte (vue générale de l'entrée de la Maison des Dames de Saint-Cyr), note chronologique, note bibliographique, broché, reliure pleine toile crème à motifs champêtres, pièce de titre basane noire, couv. conservée, bon état (Coll. Vies des hommes illustres)‎


Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR20.00 (€20.00 )

‎TRUC (Gonzague).‎

Reference : 17384

(1936)

‎Madame de Montespan.‎

‎ Armand Colin, 1936, in-8°, 214 pp, biblio, broché, bon état (Coll. Ames et visages)‎


‎"Pendant quinze ans, Mme de Montespan fut la vraie reine de France. Dans ce livre, G. Truc étudie, avec les documents les plus précis, une vie qui fut souvent dramatique et côtoya des abîmes. La clé du drame fut cette sensualité, maîtresse des hommes et source de tragédies. Le roi Louis XIV, qui fut grand, connut de puissantes servitudes : des rivales se disputèrent l'empire de ce souverain impérieux. G. Truc montre le triomphe de l'altière marquise, ses inquiétudes devant la lassitude d'une passion qui s'éteint, ses manoeuvres qui n'hésitent pas à chercher les concours les plus compromettants. C'est l'affaire des Poisons et le scandale. C'est l'apparition de Mme de Maintenon, qui sera, demain, victorieuse. L'auteur de ce livre, familier du grand siècle, restitue avec bonheur ces heures brillantes et inquiétantes de notre histoire." (André Ferran, L'Archer [Toulouse], 1936) ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR25.00 (€25.00 )

‎TRÉVERRET (A. de).‎

Reference : 2508

(1877)

‎L'Italie au XVIe siècle, études littéraires, morales et politiques. Première série. Machiavel. Castiglione. Sannazar.‎

‎ Hachette, 1877, in-12, x-426 pp, reliure demi-chagrin noir, dos à 4 nerfs filetés et soulignés à froid, titres dorés, encadrements à froid sur les plats, fer doré de lycée au 1er plat (rel. de l'époque), dos lég. frotté, bon état‎


‎Les 278 premières pages concernent Machiavel. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR40.00 (€40.00 )

‎TSCHUPPIK (Karl).‎

Reference : 8951

(1936)

‎Marie-Thérèse.‎

‎ Grasset, 1936, pt in-8°, 364 pp, traduit de l'allemand par Constantin de Grunwald, broché, couv. illustrée, dos bruni, bon état. Edition originale française tirée sur alfa Navarre, ex. du SP, envoi a.s. du traducteur, prière d'insérer joint‎


‎"L'Impératrice Marie-Thérèse est une de ces figures historiques qui laissent une trace ineffaçable dans la mémoire des peuples. On ne saurait comprendre l'évolution de l'Autriche et de l'Allemagne, au cours des deux derniers siècles, sans connaître à fond le rôle joué par cette femme dans la politique européenne, les idées qui inspirèrent sa longue lutte contre Frédéric II de Prusse et l'induisirent à renverser l'ancien système des alliances..." (Prière d'insérer) ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR20.00 (€20.00 )

‎TSEBENKO (M. D.).‎

Reference : 47869

(1955)

‎La Lutte des matérialistes français du XVIIIe siècle contre l'idéalisme.‎

‎ Editions Sociales, 1955, in-12, 85 pp, traduit du russe par Didier Castagnou, broché, couv. défraîchie, état correct (Coll. Problèmes)‎


Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR12.00 (€12.00 )

‎TURGOT (Anne Robert Jacques).‎

Reference : 3926

(1976)

‎Edits.‎

‎ P., Imprimerie Nationale, 1976 in-8°, xxxviii-122 pp, préface de Maurice Garden, un portrait de Turgot en frontispice, reliure plein cuir fauve de l'éditeur, dos à 4 nerfs, titres dorés, décor à froid sur les plats, bon état‎


‎Belle réimpression sur beau papier des six édits de Turgot publiés en 1776, qui marquèrent les dernières années de la Royauté. "Exécutée par l'imprimerie Nationale, cette publication devait nécessairement bénéficier des ressources typographiques qui font l'originalité de l'établissement . C'est dire que la présente édition ne relève en aucune manière d'un fac-similé. Les textes ont été à nouveau composés à la main dans le caractère appelé "Romain du Roi" gravé par Philippe Grandjean à la demande de Louis XIV. Les bandeaux qui accompagnent le texte et qui avaient été gravés sur bois, ont été rigoureusement reproduits . Ainsi la présente édition des "édits de Turgot" est-elle strictement fidèle, bien que réduite dans son format, à celle que publia l'Imprimerie Royale en 1776." ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR30.00 (€30.00 )

‎TURMEAU de LA MORANDIÈRE.‎

Reference : 104531

(1973)

‎Appel des étrangers dans nos colonies.‎

‎ P., EDHIS, 1973, in-12, 142 pp, reliure skivertex marron de l'éditeur, bon état. Reprint de l’édition originale, publiée à Paris, chez Dessain junior, en 1763. Tirage limité à 250 exemplaires numérotés‎


‎Programme populationniste qui prévoit la diminution des impôts, l’aide aux famille nombreuses, une surimposition des célibataires, une immigration libérale. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR30.00 (€30.00 )

‎TURQUAN (Joseph) et Lucy ELLIS.‎

Reference : 5376

(1923)

‎La Belle Paméla (Lady Edward Fitz Gerald) – 1773-1831. D'après des correspondances et mémoires inédits, des traditions et documents de famille. Premier volume (1773-1792).‎

‎ P., Emile-Paul, 1923, pt in-8°, xv-358 pp, 11 portraits inédits hors texte, broché, bon état‎


‎La Belle Paméla était l'une des deux filles adultérines de Mme de Genlis et de Philippe d'Orléans, duc de Chartres, futur Philippe-Egalité, qui finira sur l'échafaud. — "... On connaît les singulières aventures de cette fille adoptive de Mme de Genlis. Les mauvaises langues pourtant nommaient tout haut le père et la mère : c'était le fruit, disait-on, de la liaison du duc d'Orléans et de Mme de Genlis. Quoi qu'il en soit, recueillie par Mme de Genlis qui s'en amusait comme d'un jouet, la petite étrangère fut élevée avec les enfants du duc d'Orléans qui, voulant lui donner un nom poétique et harmonieux l'avait baptisée « Paméla Seymour ». La petite fille en grandissant était devenue « une créature divine toute blanche sans beaucoup de couleurs avec des attitudes nonchalantes. » Bien que de nuance différente, ce qui ajoutait au piquant de sa physionomie, ses beaux yeux séduisirent lord Edward Fitz-Gérald qui pleurait la mort d'une maîtresse adorée et qui crut la voir revivre en elle. Il s'empressa de demander sa main, et, pour symboliser les idées de liberté dont les deux époux se montraient enthousiastes, la jeune femme se maria coiffée d'un bonnet rouge qu'elle orna de fleurs d'oranger ! A l'instigation de sa femme, lord Fitz-Gérald avait essayé de soulever l'Irlande pour y établir le régime de la liberté; son projet échoua et il mourut dans un combat au cours de sa lutte contre les Anglais. La belle Paméla ne porta pas longtemps son deuil, elle épousa au bout de quelques mois un consul d'Amérique, à Hambourg, du nom de Petcairn et après avoir divorcé rentra à Paris où elle se réfugia à l'abbaye au Bois pour y faire pénitence. Ce fut là que par une nouvelle lubie, elle se fit enlever par le duc de La Force et conduire à Montauban. Elle vécut chez lui jusqu'en 1830, époque où lui-même quitta Montauban. Paméla alors regagna Paris et vint s'y recommandera la bienveillance de Louis-Philippe. Mais l'ancien compagnon de son enfance, qui. s'il ne lui était pas uni par les liens du sang devait lui être attaché tout au moins par ceux de l'amitié, resta sourd à ses prières et se refusa même à lui accorder une audience ou à lui faire tenir le moindre secours. La belle Paméla ne survécut pas à tant de disgrâces, elle végéta quelques mois et mourut en 1831, réfugiée dans un grenier dans une situation voisine de l'indigence..." (Vicomte de Reiset) ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR25.00 (€25.00 )

‎TURQUAN (Joseph) et Lucy ELLIS.‎

Reference : 93643

(1923)

‎La Belle Paméla (Lady Edward Fitz Gerald), 1773-1831. D'après des correspondances et mémoires inédits, des traditions et documents de famille. Premier volume (1773-1792).‎

‎ P., Emile-Paul, 1923, pt in-8°, xv-358 pp, 11 portraits inédits hors texte, reliure demi-toile cerise, pièce de titre basane carmin, dos lisse, couv. conservées (rel. de l'époque), dos uniformément passé, état correct‎


‎La Belle Paméla était l'une des deux filles adultérines de Madame de Genlis et de Philippe d'Orléans, duc de Chartres, futur Philippe-Egalité, qui finira sur l'échafaud. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR30.00 (€30.00 )

‎TURREL (Denise).‎

Reference : 93586

(1986)

‎Bourg en Bresse au XVIe siècle. Les hommes et la ville.‎

‎ P., Société de Démographie historique, 1986, in-8°, 290 pp, préface de Pierre Goubert, 14 illustrations, 24 figures, 55 tableaux, sources, biblio, broché, couv. illustrée, bon état (3e cahier des Annales de Démographie historique)‎


‎"Le troisième cahier des A.DJH. reproduit l'essentiel de la thèse de Troisième cycle soutenue en 1980 par Denise Turrel. Le travail de D. Turrel est important. Il ajoute à notre connaissance du XVIe siècle, non seulement sur le plan de la démographie, mais également sur ceux de l'histoire urbaine et des rapports entre ville et campagne. Trois parties : la ville, le siècle, les hommes (ou plutôt la famille). L'ouvrage commence par une présentation de Bourg-en-Bresse, une petite ville – mille feux au plus haut de la courbe – comme le réseau urbain en comptait tant. L'originalité est ici la présence de la citadelle, construite à partir de 1569, démolie après 1612, et de sa garnison, fort nombreuse puisqu'elle atteint le millier d'hommes au moment de la guerre de Savoie. Une présence lourde, et qui n'est pas sans conséquences démographiques : un taux élevé d'illégitimité (6,5 % entre 1596 et 1601, dont une partie, il est vrai, revient à des ruraux venus en ville), mais surtout un bon nombre de mariages avec des filles de Bourg, suivis souvent d'une intégration sociale ; un tiers des soldats ayant convolé se fixent à Bourg en changeant de métier... Grâce au terrier et aux rôles fiscaux, D. Turrel procède à une bonne analyse socio-professionnelle de la population. On est frappé par l'importance numérique des milieux judiciaires : 15 à 20 % des feux, et souvent à la fois les plus aisés et les plus nombreux (un peu plus d'enfants et des domestiques). D. Turrel aborde les problèmes de mentalités à propos de la transmission des prénoms et d'une curieuse coutume, celle des vœux de baptême... Après les travaux de Guy Cabourdin, d'Alain Croix, de Jean-Marc Moriceau, l'ouvrage de Denise Turrel permet d'y voir un peu plus clair dans la démographie du XVIe siècle." (Jean Jacquart, Annales de Démographie historique, 1989) ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR30.00 (€30.00 )

‎TYTLER (William).‎

Reference : 24381

(1860)

‎Recherches historiques et critiques sur les principales preuves de l'accusation intentée contre Marie Stuart avec un examen des Histoires de Robertson et de Hume au sujet de ces preuves.‎

‎ P., Amyot, 1860, in-8°, viii-202 pp, ouvrage traduit de l'anglais en 1772 [par le Père Avril], préface par le prince Alexandre Labanoff, broché, couv. imprimée orange, qqs rousseurs éparses, bon état‎


‎Deuxième édition de “The Inquiry, Historical and Critical, into the Evidence against Mary Queen of Scots, and an Examination of the Histories of Dr. Robertson and David Hume with respect to that Evidence” (la première en 1772). L’ouvrage, la première contribution originale de l’auteur à l’histoire, connut quatre éditions anglaises, et constitua l’étude la plus fouillée du procès de la Reine jusqu’à la parution en 1869 de “Mary Queen of Scots and her accusers”, de John Hosack (1813-1887). Les deux auteurs mettent en relief les éléments favorables à Marie Stuart. William Tytler (1711-1792), homme de loi écossais, se consacra aussi à l’histoire des XVIe et XVIIe siècles britanniques, à laquelle il fit faire des progrès notables. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR50.00 (€50.00 )

‎URBAIN (Abbé Ch.).‎

Reference : 8577

(1898)

‎L'Abbé Ledieu, historien de Bossuet. Notes critiques sur le texte de ses Mémoires et de son Journal.‎

‎ Armand Colin, 1898, gr. in-8°, 80 pp, broché, état correct (Extrait de la Revue d'histoire littéraire de la France, n° des 15 octobre 1897 et 15 juillet 1898)‎


Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR25.00 (€25.00 )

‎URFÉ (Honoré d').‎

Reference : 14035

(1921)

‎Un épisode de « L'Astrée ». Les amours d'Alcidon.‎

‎ P., Editions Bossard, 1921, pt in-8°, 328 pp, introduction et notes de Gustave Charlier, un portrait gravé sur bois par Achille Ouvré en frontispice, numéroté sur papier vélin pur chiffon (Coll. des Chefs-d'œuvre méconnus)‎


Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR25.00 (€25.00 )

‎URSINS (Marie-Anne de La Trémoille, princesse des).‎

Reference : 93696

(1859)

‎Lettres inédites de la princesse des Ursins, recueillies et publiées avec une introduction et des notes par M. A. Geffroy.‎

‎ P., Didier et Cie, 1859, in-8°, lxiii-495 pp, un fac-similé dépliant hors texte, reliure demi-chagrin maroquiné havane, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), bon état‎


‎L'une des femmes les plus remarquables du règne de Louis XIV, Anne Marie de La Trémoille-Noirmoutier, princesse des Ursins. Sachant admirablement marier les intrigues politiques aux intrigues amoureuses, elle tira tout le parti qu'il était possible de son esprit et de sa beauté, au cours d'une vie qui fut longue et mouvementée. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR80.00 (€80.00 )

‎[Utopie].‎

Reference : 104506

(1976)

‎Histoire d’un peuple nouveau, ou découverte d’une isle à 43 degrés 14 minutes de latitude méridionale, par David Tompson, capitaine du vaisseau le Boston, à son retour de la Chine en 1756. Ouvrage traduit de l’anglais.‎

‎ P., EDHIS, 1976, 2 vol. in-8°, (6)-158 et (4)-138 pp, les 2 tomes reliés en un volume skivertex marron de l'éditeur, bon état. Reprint de l’édition originale publiée à Londres, aux dépens d’une société de libraires en 1757. Cette édition originale est introuvable et manque à la Bibliothèque nationale. Tirage limité à 150 exemplaires numérotés‎


‎Cette importante utopie qui n’est nullement traduite de l’anglais, décrit un pays imaginaire, une société vivant sous l’inspiration du Nouveau Testament, où les hommes sont devenus frères, où règne un esprit d’égalité contraire à tout ce qu’on voit en Europe. C’est sans doute la seule utopie de cette époque qui soit fondées sur un sentiment religieux et l’enseignement des évangiles. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR60.00 (€60.00 )

‎VAILLOT (René).‎

Reference : 11731

(1985)

ISBN : 9782226022356

‎Le Cardinal de Bernis. La vie extraordinaire d'un honnête homme.‎

‎ Albin Michel, 1985, in-8°, 354 pp, notes, biblio, broché, couv. illustrée, tranche piquée, bon état‎


‎Cadet d'une famille de très ancienne noblesse mais de petite fortune, Bernis est destiné à une carrière d'Eglise. Cependant, comme le lui écrira Voltaire, il a "tiré le gros lot à la loterie du monde." S'il attend longtemps la richesse, la chance ne le quitte guère. Sa vie, extraordinaire par ses réussites, n'est point dépourvue d'hésitations ni de contradictions. Pouvait-on prévoir qu'un jour, ce brillant élève des Jésuites au collège Louis-le-Grand, serait amené à prendre une part active à la destruction de la Compagnie ? Poète léger, il doit à son charme et à sa culture d'être "la coqueluche des salons," où il rencontre l'amitié et l'amour. S'il tarde à demander la prêtrise, il n'en devient pas moins archevêque, un archevêque humaniste exerçant sa toute-puissance pour le bien-être et l’instruction de son peuple. Promu ministre des Affaires étrangères par la protection de Mme de Pompadour, mais trop lucide et intègre, il dénonce les incuries du pouvoir, et il est exilé. La chance a corrigé le revers : il vient d'être nommé cardinal. Véritable "roi de Rome" et toujours fidèle à la mémoire de Voltaire, c'est de loin qu'il observe la Révolution française. Il applique, dans son ambassade, les principes de tolérance et de justice qui sont ceux de 1789, et ceux de non-violence et d'amour qu'il tient des Evangiles. Il protège tous les émigrés, sans distinction politique. Etrange et séduisant personnage placé par le destin à la charnière d'une société brillante mais condamnée, et d'un ordre nouveau qui naît dans la discorde et la violence, réformiste il demeure, incarnant des valeurs de progrès qui devraient être le fondement de toute civilisation. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR25.00 (€25.00 )

‎VAISSIÈRE (Pierre de).‎

Reference : 109759

(1912)

‎De quelques assassins. Récits du temps des troubles (XVIe siècle). Jean Poltrot, seigneur de Méré – Charles de Louviers, seigneur de Maurevert – Jean Yanowitz, dit Besme – Henri III et les « Quarante-cinq » – Jacques Clément.‎

‎ P., Emile-Paul, 1912, in-8°, x-405 pp, un frontispice et 21 pl. de gravures hors texte, index, reliure pleine toile verte, dos lisse avec pièce de titre chagrin vert, couv. conservées, bon état‎


‎"M. Pierre de Vaissière a réuni en un volume les brillantes études qu'il a consacrées à « quelques assassins » de ce XVIe siècle, que l'on peut appeler le siècle de l'assassinat. Au service d'un talent d'exposition très captivant, il a su mettre une érudition prodigieusement étendue et précise. (...) La thèse maîtresse de l'auteur : dans tous ces meurtres, à l'exception du dernier, on retrouverait la main de Catherine ou celle de son fils Henri." (Henri Hauser, Revue Historique, 1912) ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR70.00 (€70.00 )
Previous 1 ... 79 80 81 82 ... 87 Next Exact page number ? OK
Get it on Google Play Get it on AppStore
Ancien régime - Pages d'Histoire - Librairie Clio
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !