8, rue Bréa
75006 Paris
France
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Phone number : 01 43 54 43 61 SEPE, 1944, in-8°, 64 pp, préface de Georges Duhamel, 30 superbes photos pleine page de la libération de Paris avec légendes en regard par MM. Doisneau, Arthaud, Jahan, Roubier, Roughol, Serge, Zuber et Mme Suzanne Laroche, non paginé, reliure demi-percaline à coins éditeur (dos bleu, plats blanc, coins rouges), une photographie contrecollée au premier plat, C. de bibl., bon état
Saisissants et émouvants témoignages de quelques uns des meilleurs photographes, qui restituent le climat de la libération de Paris.
Larousse, 1930, in-8°, 167 pp, une carte dépliante hors texte, 200 reproductions photographiques choisies et commentées, plans, index, reliure demi-basane acajou, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titre et éditeur dorés (rel. de l'époque), dos lég. frotté, bon état
"C'est une idée infiniment ingénieuse qui a inspiré les auteurs de ce nouveau guide illustré de Paris. Et combien utile ! Les étrangers et les touristes y trouveront tout ce qu'ils ont besoin de voir et de savoir. D'abord, ils auront la joie de regarder ces deux cents vues, admirablement prises et reproduites, des principaux aspects de la capitale, de ses monuments et de ses trésors artistiques ou historiques les plus fameux. Mais ils pourront, en outre, dans les quelques lignes aussi concises que substantielles qui les accompagnent, et qui sont d'un érudit plein de goût et parfaitement informé, puiser les renseignements indispensables et – chose précieuse ! – ceux-là seulement. Car, il va de soi que le promeneur n'a pas de temps à perdre, même lorsqu'il n'est à Paris que pour flâner. Aussi bien, ce n'est pas seulement le touriste et l'étranger qui éprouveront un vif plaisir à compulser ce recueil. Le vieux Parisien lui-même sera enchanté de l'avoir sous la main afin d'y rafraîchir ses souvenirs et de préciser les notions, trop vagues souvent, que nous possédons sur les monuments devant lesquels nous passons chaque jour et dont nous remettons sans cesse au lendemain le soin de nous enquérir. Cinq ou six lignes, dix lignes au plus suffisent à M. Robert Bonfils pour condenser ce qu'il convient de savoir. Et, en parcourant ces notices, on est stupéfait de constater qu'elles nous enseignent une foule de détails oubliés ou ignorés. Pour faciliter les recherches, M. Bonfils a divisé Paris en six quadrilatères qui ont pour centre l'Arc de Triomphe, la Bastille, Montmartre, la Cité, les Gobelins et Montparnasse : cette disposition permet de s'orienter facilement. Au surplus, on aura, à la fin de ce remarquable volume, une liste succincte de toutes les particularités dignes d'intérêt que renferment les palais, les monuments et les institutions de la capitale." (Le Temps, 15 juillet 1930)
Larousse, 1924, pt in-4°, 167 pp, illustré de 130 photos choisies et commentées par Robert Bonfils et d'une carte de Paris sur double page hors texte, reliure percale verte décorée à froid de l'éditeur, titre doré au dos et au 1er plat, dos uniformément passé, pt accroc sans gravité sur 1 cm au bas d'un mors, bon état
P., René Baudouin, 1980, fort in-4°, [30]-xvi-776 pp, 7 grandes planches gravées reproduites sur les 30 premières pages (les planches étaient à l'origine dépliantes), index, vocabulaire anglais-français des termes principaux de la marine à voiles, reliure simili-cuir bleu de l'éditeur, titres dorés au 1er plat et au dos, jaquette illustrée, bon état
Réimpression de l'édition de 1856.
P., Houdaille, 1835, in-8°, xxi-293 pp, copieuses pièces justificatives (pp. 231-293), reliure demi-basane violine, dos lisse avec titres et quadruples filets dorés (rel. de l'époque), dos uniformément passé, bon état. Rare
"Il ne s'agit pas de mémoires, mais d'une histoire de la Révolution de Juillet 1830 à partir des événements qui ont eu lieu notamment dans le cadre de l'Hôtel de Ville. Cependant l'auteur a assisté à tout ce qu'il relate et il écrit souvent à la première personne, se mettant en scène." (Bertier, 142).
Editions Michèle Trinckvel/EDL, 2001, in-4°, 263 pp, préface d'Armand Lanoux, environ 170 photographies en noir dans le texte et à pleine page, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Archives de la France)
A travers plus de cent cinquante photographies anciennes montrant divers aspects de la capitale au XIXe siècle et au tout début du XXe (la rue, l'eau, l'usine, la misère, le luxe, la fête, la campagne) et des textes écrits vers la fin du XIXe siècle soigneusement sélectionnés (Paul Adam, Emile Bergerat, Georges Cain, Gustave Coquiot, Paul Gavault, Paul Ginisty, Hugues Le Roux, Arthur Meyer, Alexandre Privat d'Anglemont, Aurélien Scholl, Charles Virmaître, etc.), cet ouvrage vous fait pénétrer dans les arcanes d'un Paris disparu. — Table : La rue ; L'eau ; L'usine ; La misère ; Le luxe ; La fête ; La campagne.
Editions Eugène Figuière, 1930, in-12, 319 pp, broché, bon état
Paul Bouju (1868-1941) fit une belle carrière préfectorale sous la IIIe République, il fut préfet de la Seine du 25 septembre 1925 au 19 février 1929. Poète à ses heures, voici l'épitaphe qu'il se composa pour lui-même : "Passant donne à ce mort les pleurs qui lui sont dus / Il fut doux, bienveillant, quelquefois chimérique / Rimeur impénitent sans grand essor lyrique / Et Préfet de la Seine à ses moments perdus".
Paris, 1963, in-8°, 122 pp, paginé 23-144, un plan de l'île de la Cité vers 1650 en double page, une figure, sources et biblio, broché, marques au stylo en marges sur 2 pages, bon état
Extrait du tome XIII, 1962 de “Paris et Île-de-France. Mémoires”. — "Ce mémoire, entrepris sous la direction du professeur Roland Mousnier, a été présenté en 1961 pour le diplôme d'études supérieures. Très sérieusement documenté, reposant avant tout sur le dépouillement des minutes des notaires de la Cité pour les années 1648 et 1649, commodément illustré par un plan de l'île emprunté à l'ouvrage contemporain de Jacques Gomboust, il donne un tableau aussi complet que possible de ce qu'était au point de vue social le quartier de la Cité au milieu du XVIIe siècle avec sa population très dense, évaluée à une vingtaine de mille personnes, où prédominaient ecclésiastiques, gens de robe, marchands et artisans. Intéressant en lui-même, le travail de M. Bourgeon ne l'est pas moins au point de vue de la problématique des « structures sociales ». Il se termine par un chapitre très objectif sur l'attitude et les réactions des habitants de la Cité au cours des journées dramatiques d'août 1648 et pendant les troubles de la Fronde en général." (Georges Tessier, Bibliothèque de l'École des chartes, 1964)
Bagnolet, Editions Grafik Plus, 1977, gr. in-8°, v-384 pp, 6 pl. de gravures hors texte, 151 gravures dans le texte, 10 plans, reliure pleine toile grise décorée en noir et or de l'éditeur, dos lisse orné, armes de Paris en noir au 2e plat, ex-dono manuscrit, bon état. Réimpression soignée de l'édition de Paris, 1888
"... Nous avons eu un triple but, auquel correspondent les trois parties de ce livre : présenter le récit des faits où Paris a eu une part, depuis l'attaque de l'humble Lutèce par le lieutenant de César, jusqu'à l'époque trop voisine de nous pour appartenir encore à l'histoire impartiale ; – décrire, dans l'ordre chronologique de leur construction les monuments que l'art de chaque siècle a élevés pour l'embellissement de la capitale, depuis les arènes romaines retrouvées rue Monge, jusqu'au palais du Trocadéro ; – faire connaître enfin l'histoire et l'organisation actuelle de l'administration municipale, en comparant le présent au passé, ce qui revient à montrer la marche incessante de Paris dans la voie du progrès et de la civilisation..." (Introduction)
Larousse, 1989, in-4°, xvi-239 pp, 595 reproductions photographiques, 32 dessins de Léon-Charles Libonis et 28 plans dont 24 en couleurs (Paris, les 20 arrondissements, Versailles, environs de Paris, Fontainebleau), page de titre illustrée imprimée en rouge et noir, index, reliure percaline bordeaux de l'éditeur, dos lisse avec titre doré et décor végétal à froid, 1er plat avec titre doré et décor végétal à froid avec au centre les armes de Paris, 2e plat avec médaillon Larousse à froid, bon état
Réimpression à l'identique de l'édition de 1900 de cet excellent ouvrage de l'archiviste et historien de Paris, Fernand Bournon (1857-1909). — "Paris-Atlas est une publication illustrée, paraissant par livraisons à cette librairie Larousse si habile aux ouvrages de vulgarisation. Chaque livraison, consacrée à un des vingt arrondissements de Paris, est accompagnée d'un plan de l'arrondissement en huit couleurs. La description des rues, places et bâtiments est l'oeuvre d'un des historiens qui connaissent le mieux le vieux Paris et le nouveau, de M. Fernand Bournon. Elle est claire, vivante et toujours instructive. L'auteur a soigneusement évité de faire parade de son érudition ; à peine a-t-il osé risquer çà et là la cote d'un carton des Archives nationales ou une étymologie nouvelle (ex. le Louvre, qui serait que l'Ouvre, ou l'oeuvre capitale de défense élevée sur la rive droite par Philippe-Auguste) ; mais c'est seulement quand on connaît les choses à fond qu'on peut en parler avec cette substantielle concision. Quatre fascicules sont réservés aux environs de Paris." (Revue Historique, 1900)
Denoël, 1964, in-8° carré, 231 pp, 80 pl. de plans et photos hors texte, biblio, broché, couv. illustrée à rabats, état correct
"Fondé sur de nombreuses lectures, cet ouvrage se propose de faire prendre conscience à l'opinion publique de la gravité des problèmes posés par la croissance de l'agglomération parisienne, et de la nécessité d'un aménagement rationnel, inconcevable sans des transformations de très grande envergure. Une première partie retrace brièvement les grandes lignes de l'histoire de la capitale. Vient ensuite un bilan des « misères et des erreurs » du Paris de 1964 : insuffisance et vétusté de l'habitat, difficultés des transports et de la circulation, équipements collectifs inférieurs aux besoins. Une troisième partie passe en revue les remèdes : réalisations récentes, plans et projets. En conclusion, l'auteur envisage l'alternative : ou bien, continuation des errements actuels, qui conduiront rapidement à « l'agonie » de l'organisme urbain, ou bien transformations qui feront de Paris la capitale de l'Europe et une métropole mondiale. Comme dans les ouvrages de ce genre, la question du coût et des priorités est laissée de côté." (Population, 1965)
Perrin, 1911, in-8°, v-408 pp, 8 gravures hors texte, reliure demi-basane verte, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), dos uniformément passé, bon état
"Le souci de venir en aide aux infortunés était fort répandu au moyen âge, en dépit de la barbarie des moeurs, et partout s'élevaient des hôpitaux, des asiles... L'ouvrage de M. Louis Boutié nous fournit de curieux renseignements à ce sujet. Il est bon de dire que l'exemple fourni par le roi et par la reine-mère était un excellent encouragement à faire le bien, car le fils de Blanche de Castille ne négligeait aucune occasion de pratiquer les devoirs de le charité. On sait que ce monarque « avait une tendreur merveilleuse pour les mésaisés », et que partout où il se trouvait, et tous les jours, cent vingt-deux pauvres recevaient chacun deux pains de la valeur d'un denier parisis, un quart de vin, de la viande ou du poisson pour un bon repas, et un denier parisis (environ cinquante centimes d'à présent). Trois de ces pauvres, se mettaient à table dans la même salle que le roi, et tout proche de ce dernier, qui leur envoyait ce qu'on lui servait de meilleur. Après quoi, quand ils étaient enfin congédiés, ils recevaient en sortant quarante deniers parisis. Il existe une lettre datée de 1260, par laquelle saint Louis ordonne que les aumônes faites chaque année, au temps de carême, par la pieuse libéralité de ses prédécesseurs, c'est-à-dire deux mille livres parisis (à peu près un demi-million d'aujourd'hui), 63 boisseaux de blé, 68,000 poissons, etc., seront continuées par lui, et par les autres rois de France, ses successeurs..." (Jean Frollo, Le Petit Parisien, 1er nov. 1910)
Plon, 1964, in-8°, 252 pp, 23 gravures et photos sur 16 pl. hors texte, 7 illustrations dans le texte, notes, cart. éditeur, jaquette illustrée par Bernard Buffet, bon état
Les expositions internationales du XIXe siècle ; Gustave Eiffel ; Genèse de la tour ; Combats pour la tour ; Combats autour d'elle ; Description de la tour ; Le 31 mars 1889 ; Du 6 mai au 6 novembre 1889 ; Vie quotidienne de la tour en 1889 ; La tour dans la littérature et dans l'art ; La tour, la science et la guerre. — "La tour Eiffel est en quelque sorte un cadeau d'anniversaire à la Révolution française. Dans l'esprit de ses organisateurs, l'Exposition de 1889 était destinée à consoler nos compatriotes du désastre de 1870, en célébrant dignement les événements de 1789. Lockroy, ministre du commerce et de l'industrie de l'époque, avait décidé que le clou de la manifestation serait une tour de 300 mètres. Ce vœu pouvait paraître une chimère : à deux reprises, en 1833 et en 1874, les Anglais, puis les Américains, avaient songé, mais sans y donner suite, à bâtir "une tour de 1 000 pieds". Un concours fut organisé : parmi sept cents projets, un fut retenu, celui de Gustave Eiffel. Cet ingénieur n'était pas un inconnu, tant s'en faut. Né en 1832, dans la capitale de la moutarde, le jeune Gustave, recalé à l'oral de Polytechnique, entra à Centrale. Son premier ouvrage, il l'accomplit à vingt-six ans, pour la Compagnie des chemins de fer du Midi : ce fut le pont de Bordeaux. Peu avant la guerre de 1870, il s'établit à son compte en fondant à Levallois, les " Ateliers de constructions mécaniques "... Dès sa naissance, la tour Eiffel suscita des passions. "La Ville de Paris va-t-elle donc s'associer plus longtemps aux baroques et mercantiles imaginations d'un constructeur de machines pour s'enlaidir irréparablement et se déshonorer ? Car la tour Eiffel dont la commerciale Amérique elle-même ne voudrait pas, c'est le déshonneur de Paris", déclarait abruptement la pétition des artistes contre "l'inutile et monstrueuse tour Eiffel". Parmi les signataires : Meissonnier, Gounod, Charles Garnier, Victorien Sardou, Alexandre Dumas, François Coppée, Leconte de Lisle, Sully-Prudhomme, Maupassant et Clemenceau... Inutile ? A sa naissance, certes, tour de fer et tour de force, elle n'avait aucun but pratique. Par la suite elle devait être un précieux instrument pour trois découvertes inouïes : la télégraphie sans fil, l'aviation et la télévision. D'autre part, la tour Eiffel est aujourd'hui le monument le plus visité de France..." (Elvire de Brissac, Le Monde, 1964)
BRESC-BAUTIER (Geneviève) et Xavier DECTOT (dir.).
Reference : 120402
(1999)
ISBN : 9782913246027
P., Délégation à l'Action artistique de la Ville de Paris, 1999, in-4°, 237 pp, texte sur 2 colonnes, 240 gravures et photos en noir et en couleurs, biblio, index des artistes et index des personnalités, cart. pleine toile rouge de l'éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Paris et son Patrimoine)
Textes de Geneviève Bresc-Bautier, Maurice Agulhon, Georges Poisson, Fabienne Audebrand, Alexandre Gady, Jean-Marcel Humbert, etc.
Pygmalion, 1980, gr. in-8°, 93 pp, 55 illustrations dans le texte (photos, plans et fac-similés), biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Richesses de notre patrimoine)
Pour ceux qui ont rencontré pour la première fois, à l'Hôtel des Invalides ou au Palais des Beaux-Arts de Lille, ces modèles réduits des forteresses, il reste le souvenir de la précision et de la taille de ces plans-reliefs. Ce petit ouvrage nous explique leur histoire, les méthodes de fabrication et nous propose un catalogue sommaire des modèles existants.
P., Marpon et Flammarion, s.d. (1887), in-12, 379 pp, 68 gravures à pleine page, reliure percaline rouge, titres dorés au dos et fer de la ville de Paris au 1er plat, état correct
Fayard, 2013, gr. in-8°, 291 pp, 8 pl. de photos hors texte, index, broché, couv. illustrée, bon état
Dans ce récit mêlant plaisirs et destinées tragiques, François Buot bouscule l'idée d'un "gay Paris" dominé de 1900 à 1940 par une communauté discrète, repliée sur elle-même - hormis quelques vedettes sur le devant de la scène. Pendant quarante ans, profitant d'une législation particulièrement tolérante, le "gay Paris" s'affiche jour et nuit. Invertis, lesbiennes ou travestis investissent les music-halls et les dancings, racolent dans les jardins publics, animent de nombreux bals de quartier et se retrouvent dans les promenoirs de théâtres, les bains publics ou les maisons closes. Ils inventent un mode de vie, une nouvelle culture, tout en restant vigilants face à l'homophobie toujours vivace. Ce monde interlope n'a pas de réflexe "communautariste", mais paraît au contraire bien intégré dans le Paris populaire et festif. Les écrivains de Carco à Genet s'en inspirent pour leurs romans et les intellectuels d'avant-garde s'affrontent sur l'homosexualité. Exploitant de nombreux documents souvent inédits comme les rapports de la brigade mondaine, les lettres anonymes, la presse à sensation et la littérature populaire, François Buot retrace avec talent l'histoire du Paris interlope avec ses lieux et ses codes, à une époque qui contraste singulièrement avec la répression des décennies suivantes.
P., Editions François Bibal, 1989, in-4° carré, 142 pp, nombreuses photographies en couleurs, index des fontaines, reliure toile décorée de l'éditeur, jaquette illustrée, bon état
Un livre de photos présentant près de 100 fontaines parisiennes. — "Rêvez assis sur la margelle d'une fontaine. aspergé par les embruns des jets d'eau. bercé par le bruissement des gouttes. et vous oublierez vos peines. Emplissez-vous les yeux et l'esprit du charme de la fontaine Médicis, laissez-vous aller à la douceur et à la tendresse des jeunes filles de la fontaine Calmette. Admirez la splendeur de celles de la Concorde. Emerveillez-vous devant la beauté de toutes ces fontaines, secrètes, connues ou non, que François Bibal, de son appareil magique, vous révèle. Alors. tout au long des saisons, le jour et la nuit, vous chercherez inlassablement leur énigme, dans le miroitement des eaux frémissantes, dans l'explosion infinie des gouttelettes, dans l'éblouissement des jets d'eau au soleil levant, et vous trouverez le mystère de votre coeur."
P., Société anonyme des publications scientifiques et industrielles, 1901, in-8°, iv-296 pp, 133 illustrations en noir dans le texte, broché à grandes marges, couverture imprimée datée de 1902, bon état
L'évolution de la mode parisienne tout au long du XIXe siècle. Illustré de croquis. La naissance du mannequin n’est pas due à Charles Frederick Worth, comme cela est écrit dans de nombreux ouvrages. Mais à partir de 1858, date de la première collection sous son nom, le couturier anglais a fait du mannequin une figure incontournable pour la présentation du vêtement de mode. Et lors des défilés, les hommes accompagnant leurs femmes semblent plus intéressés par le mannequin que par la toilette...
P., Ernest Flammarion, s.d. (1913), pt in-8°, 345 pp, ouvrage orné de 107 illustrations et de 4 plans dans le texte et à pleine page, broché, couv. illustrée rempliée, bon état
Fin connaisseur de Paris, l’écrivain et peintre Georges Cain (1856-1919) fut conservateur du Musée Carnavalet de 1897 à 1919. Dans cet ouvrage, il évoque notamment le château d'Anet, le Temple de la Gloire à Orsay, Pont-aux-Dames, la Maison de François Ier à Moret, le Mont-Louis de Jean-Jacques Rousseau, l'abbaye de Livry, l'Isle-Adam, l'eau de Ville-d'Avray, etc.
P., Ernest Flammarion, s.d. (1908), pt in-8°, (8)-414 pp, ouvrage orné de 135 gravures anciennes et de 20 plans anciens et modernes, reliure demi-basane havane, dos lisse orné en long, titres et filets verticaux dorés (rel. de l'époque), mors frottés, bon état
Fin connaisseur de Paris, l’écrivain et peintre Georges Cain (1856-1919) fut conservateur du Musée Carnavalet de 1897 à 1919.
P., Ernest Flammarion, s.d. (v. 1910), pt in-8°, 404 pp, ouvrage orné de 107 gravures anciennes et de 18 plans anciens et modernes dans le texte et à pleine page, reliure pleine toile bleue, dos lisse, pièce de titre basane vermillon, bon état
Fin connaisseur de Paris, l’écrivain et peintre Georges Cain (1856-1919) fut conservateur du Musée Carnavalet de 1897 à 1919. — "M. Georges Cain, éminent conservateur du musée Carnavalet, nous donne une série de « Promenades dans Paris » dont il connait à fond, avec une érudition pittoresque et documentée, le passé et l'histoire. Les pierres parlent, mais si tout le monde peut les écouter, bien peu savent les entendre. Nul n'était mieux qualifié pour recueillir leurs confidences que M. Georges Cain. Nos lecteurs verront combien les aveux qu'elles lui ont faits sont passionnants et variés, et ils le suivront dans ses promenades, nous en sommes certains, avec autant d'intérêt que de curiosité. « Un des gros chagrins des Parisiennes fut toujours de ne pas connaître Paris : de là des regrets charmants, d'exquises lamentations : Oh ! monsieur, que je voudrais avoir vu la Bièvre !... Il y a, paraît-il, encore d'étonnants hôtels dans le Marais ?... Qu'est-ce donc que la rue Geoffroy-l'Asnier ?... et l'hôtel Scipion ? »" (Le Figaro, 21 mars 1905)
P., Ernest Flammarion, s.d. (1907 et 1924, 2 vol. in-12, 404 et 416 pp, 242 gravures dans le texte et hors texte, 38 plans hors texte, brochés, couv. illustrées, bon état
Georges-Jules-Auguste Cain (1856-1919), est un peintre historique et un historien de Paris, de ses théâtres et de ses monuments. Il a été conservateur du musée Carnavalet de 1897 à 1919. — "M. Georges Cain, éminent conservateur du musée Carnavalet, nous donne une série de « Promenades dans Paris » dont il connait à fond, avec une érudition pittoresque et documentée, le passé et l'histoire. Les pierres parlent, mais si tout le monde peut les écouter, bien peu savent les entendre. Nul n'était mieux qualifié pour recueillir leurs confidences que M. Georges Cain. Nos lecteurs verront combien les aveux qu'elles lui ont faits sont passionnants et variés, et ils le suivront dans ses promenades, nous en sommes certains, avec autant d'intérêt que de curiosité. « Un des gros chagrins des Parisiennes fut toujours de ne pas connaître Paris : de là des regrets charmants, d'exquises lamentations : Oh ! monsieur, que je voudrais avoir vu la Bièvre !... Il y a, paraît-il, encore d'étonnants hôtels dans le Marais ?... Qu'est-ce donc que la rue Geoffroy-l'Asnier ?... et l'hôtel Scipion ? »" (Le Figaro, 21 mars 1905)
P., Ernest Flammarion, s.d. (1907 et 1924), 2 vol. pt in-8°, 404 et 416 pp, 242 gravures dans le texte et hors texte, 38 plans hors texte, reliures pleine toile crème de l'éditeur, titres ornementés sur les 1ers plats, têtes dorées, bon état
Georges-Jules-Auguste Cain (1856-1919), est un peintre historique et un historien de Paris, de ses théâtres et de ses monuments. Il a été conservateur du musée Carnavalet de 1897 à 1919. — "M. Georges Cain, éminent conservateur du musée Carnavalet, nous donne une série de « Promenades dans Paris » dont il connait à fond, avec une érudition pittoresque et documentée, le passé et l'histoire. Les pierres parlent, mais si tout le monde peut les écouter, bien peu savent les entendre. Nul n'était mieux qualifié pour recueillir leurs confidences que M. Georges Cain. Nos lecteurs verront combien les aveux qu'elles lui ont faits sont passionnants et variés, et ils le suivront dans ses promenades, nous en sommes certains, avec autant d'intérêt que de curiosité. « Un des gros chagrins des Parisiennes fut toujours de ne pas connaître Paris : de là des regrets charmants, d'exquises lamentations : Oh ! monsieur, que je voudrais avoir vu la Bièvre !... Il y a, paraît-il, encore d'étonnants hôtels dans le Marais ?... Qu'est-ce donc que la rue Geoffroy-l'Asnier ?... et l'hôtel Scipion ? »" (Le Figaro, 21 mars 1905)
SPEI, 1964, in-4°, (6)-68 pp, + un fascicule de 22 pp de notes et références, 46 illustrations en noir et en couleurs (fac-similés du manuscrit de Jehan Henry (1482-83) et autres documents d'époque, enluminures, lettrines, vignettes, sceau de l'Hôtel-Dieu de Paris), cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état