ALBIN MICHEL. 1976. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 440 pages- nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Collection Spiritualités vivantes Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Perrin et Cie. 1923. In-16. Relié toilé. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 362 p., 1 portrait en frontispice. Titre doré sur pièce de titre bordeaux.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Méditations, fragments de journal, prières. Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Flammarion. 1940. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 154 p.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Précédé d'une lettre autographe de S.S. Pie XII à Madame Goyau. Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
SPES. 1935. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 396 p., 1 portrait en frontispice. reliure muette.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Perrin & Cie. 1925. In-12. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 312 p.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
IMP. DE FORESTIE NEVEU ET Cie, Montauban. 1845. In-12. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos abîmé, Mouillures. 22 pages. Plats pliés. Dos fendu. Couverture muette.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Thèse pour obtenir le grade de Bachelier en Théologie. Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
SAINT-PAUL. 1968. In-12. Broché. Très bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 424 pages.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
"""Eglises et Spiritualités"". Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle"
Paris Chez Desenne, Debray, Vente, Fayolle 1798 in 12 (16,5x10,5) 1 volume reliure pleine basane fauve de l'époque, dos à nerfs ornés, pièce de titre de maroquin rouge, VII et 229 pages [1]. Texte en français avec la traduction en italien en regard. Bel exemplaire, très frais ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Reliure
Miriam. 1975. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 155 pages - couverture contrepliée - annotation sur le 1er plat et sur la page de garde - photo en noir et blanc en frontispice.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
EDITIONS DES GROUPES MISSIONNAIRES - VEVEY. 1955. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 259 pages - Frontispice en noir et blanc - Couverture contrepliée - . . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Paris, Blanchard, 1982. In-8 (240x155mm) broché de 151 p. Quelques petites marques au crayon de papier (très facilement effaçables). Bon état général.
in 8 pleine toile bleue de l’éditeur, plaque dorée sur le premier plat, titre et caissons dorés. Faux-titre, titre illustré, 349 pages, tranches dorées. Illustrations dans le texte, hors-texte, portraits en médaillons d’Henri BRESSLER. Tolra éditeur Paris sans date. Bon exemplaire, petite et légère décoloration en mage inférieure du deuxième plat de couverture.
Office général du livre. 1956. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 79 .. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Le cercle d'or 1976 in8. 1976. Broché.
Bon Etat de conservation couvertures défraîchies bords frottés intérieurs frais
Fidès 1977 in8. 1977. Broché.
couverture défraîchie intérieur propre
In 8 cartonné souple,couverture illustrée en chromolithographie,10 pages, 8 illustrations en chromolithographie,et 14 en sépia-indéchirable sur toile. Paris Bernardin Fils éditeur. sans date .(vers 1890) Quelques traces de manipulations, sans gravité
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 13 décembre 1832 (Planche n°227-228)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.8cmx Largeur: 52.9cm - Image: Hauteur: 22cmx Largeur: 40cm - Titre en bas au centre : « MOYENS COERCITIFS » ; légende plus bas au centre : « Employés définitivement et sans remise contre la citadelle d’Anvers, après négociations, notifications, // ratifications, sommations et mystification sans solution. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N° 110. », en ht à dte : « Pl. 227 et 228. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, sur le dossier d’un fauteuil, à gche, signature : « JJG » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur]
iconographie:La pl. dénonce la participation de la France à la guerre de Belgique face aux troupes hollandaises. Prise du port d’Anvers du 15 au 25 novembre 1832. D’après "La Caricature", les raisons sont mauvaises. En effet, elle estime que c’est en grande partie pour affermir sur le trône de Belgique le gendre de Louis-Philippe, Léopold Ier (marié à la fille du roi des Français, Louise d’Orléans) que la France s’est engagée dans la guerre. La pl. présente quatre personnages jouant à la guerre comme des enfants avec des jouets. Bien qu’ayant des traits d’adulte, ils ont en revanche une taille d’enfant. De dte à gche : Soult, Henri de Rigny, un personnage non identifié, et Louis-Philippe, vu de trois quarts dos, mais reconnaissable aux favoris et au toupet. Soult vise avec un petit canon monté sur des livres (« DROIT CANON », « POIS CHICHES »). Les boulets de canon sont des pois chiches contenus dans un petit bol. Rigny souffle sur des petits bateaux en papier flottant sur l’eau d’une écuelle (les bateaux « Suffren », « RESOLU », « calipso », « conway ») et a le coude posé sur une feuille de papier où se lit « Escadres // Combinées ». Le 3e personnage tient un drapeau tricolore portant l’inscription « AVEC LA // PERMISSION // DE // L’ANGLETER […] [ANGLETERRE] » et tire à la sarbacane un « HARICOT BLANC ». Le son émis par cet objet est retranscrit : « Tu…tutu…turlututu…tu…tu…tu ». La hauteur de vol du haricot est calculée au-dessus de la tête d’un des soldats que Louis-Philippe positionne (de 1 à 6 en « pieds ») pour attaquer la citadelle d’Anvers dont la maquette se trouve à l’extrême gche de la composition. Des cocottes en papier sont également sollicitées pour participer au combat. Un feuille mentionne « Sommation dernier // avec Frais ». Les documents posés devant la maquette portent les inscriptions « notification // Evacuation », « protoco […] [protocole] », « sommation », « notificat […] [notification] ». Un des petits soldats de plomb juchés sur les toits de la maquette et incarnant l’armée hollandaise porte le drapeau du pays avec l’inscription « TÊTU ». La pl. dénonce cette guerre meurtrière qui tua de nombreux soldats français, mais aussi bon nombre de civils belges. Grandville critique l’irresponsabilité des membres du gouvernement qui envisagent la guerre comme un jeu, sans avoir conscience des conséquences désastreuses.Personne / Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Gauthier de Rigny, Henri, comte Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1832 Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 3, 2 février 1832, (Planche n°134);taches en marge.LithographieDimensions - Œuvre: Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 27.4cmx Largeur: 23cm - Titre en bas au centre : « Naissance du juste milieu. / Après un enfantement pénible de la Liberté. » ; légende plus bas au centre : « Le parrain de l’enfant montre au peuple cet embryon monstrueux. Casim.. P.. veut donner un coup de pouce / à l’accouchée souffrante. Guiz.. tient le forceps, Dup.. le Docteur se frotte les mains de plaisir, Lancelot tient / ses adoucissans [adoucissants] tous préts [prêts] le baron Ath.. porte les lettres de faire part Sébast.. et sa nourrice. Schon.. toujours à / genoux. le petit Th… et le grand poulet Gaulois au quel [auquel] il fait la nique. » ; indications, en ht à gche : « N°66 », en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « Pl. 154. »- Dans la lettre : « Lith de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « J.J. Grandville / E. Forest » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Sur la feuille reposant sous la main de la Liberté, les dates des trois journées révolutionnaires de Juillet : « 27.28.29. » juillet 1830 ; sur le drapeau à l’arrière-plan à gche: « 1831 » ; sur le drapeau à l’arrière.-plan à dte : « 1[…]0 [1830] » ; sur la bourse accrochée à la taille de Thiers : « 100.000 ». A l’arrière-plan à gche, un blason surmonté d’une couronne. Il porte les symboles caricaturaux du régime de Juillet : un bonnet de coton (folie), deux seringues à clystère entrecroisées, un sac d’argent et un coq (?)
Parodie de la "Naissance d’Henri IV" par Eugène Devéria (1827, Pau, musée des Beaux-Arts). Louis-Philippe de dos (mais reconnaissable aux favoris), portant un bonnet de coton, montre l’enfant. Casimir Périer tend sa main au-dessus de la Liberté (sous les traits d’une jeune femme) qui vient d’accoucher (allongée et portant le bonnet phrygien à cocarde tricolore). Elle semble lasse et épuisée. François Guizot tient le forceps. Charles Dupin au fond à dte se réjouit. Lobau tient une seringue à clystère. Athalin au deuxième plan porte des faire-part. Horace Sébastiani se trouve juste à côté, à dte. Schonen à genoux. Adolphe Thiers au premier plan, menaçant le coq gaulois par un geste de la main (il lui promet, par ce geste, de lui couper le coup. Assassinat de la république et des libertés). Soult, un cierge à la main, à côté de Lobau. Le duc d’Orléans se tient derrière la nourrice. Sa tête semble auréolée d’un arc-en-ciel. Au fond à gche, des membres de la garde nationale. La pl. dénonce le reniement des principes républicains par le gouvernement. Celui-ci s’est servi de la révolution de juillet pour mettre en place le régime de son choix, incarné dans le nouveau-né, celui-ci ne correspondant pas aux idéaux républicains. La pl. symbolise la déception des républicains d’assister à la naissance et au développement d’un type de régime qu’ils n’ont pas désiré Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1832 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 4, 4 octobre 1832 (Planche n°205) Lithographie - Œuvre : Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image Hauteur: 17.9cmx Largeur: 26.9cm - Titre en bas au centre : « Pendant qu’il plume son coq, le russe, l’autrichien et le prussien prennent des libertés avec // françe oise sa femme. » ; indications, en ht au centre : « Caricature (Journal) // N°100. », en ht à dte : « Pl. 205 »- Dans la lettre : « Lith. de Becquet, r. Childebert, N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, passage Vero-Dodat. » ; dans l’image, en bas à dte, signature : « M. d’après J. J. Grandville »
iconographie:Dans un intérieur paysan, Louis-Philippe, figuré en fermier, plume un coq au profit du roi du Royaume-Uni, Guillaume IV, devant une cheminée. Il ne voit pas que la France, représentée par une jeune femme, se fait agresser par trois étrangers (les souverains de la Sainte-Alliance : Nicolas Ier de Russie, Frédéric-Guillaume III de Prusse et François Ier d’Autriche). A dte, le joug de l’ « ETAT DE SIEGE » dominant divers petits personnages serrés dans un fagot, au-dessus duquel est posée la « GUIZOTINE ». Une paire de ciseaux portant l’inscription : « TONTE DU // PEUPLE », un van contenant les mots : « maires », « préfets », « sous préfets »… Tel du linge sale, des journaux favorables aux gouvernements sont étendus (Débats, Constitutionnel…). Au-dessus de la cheminée, une carte géographique montrant la « FR. [FRANCE] » étriquée face aux pays de la Sainte-Alliance « AUTRICHE », « prusse » et « RUSSIE » à côté de laquelle trône le buste de Napoléon. Présence d’une salière incarnant les impôts pesant sur le peuple. Une pancarte « A LOUER » est accrochée sur le mur de gche, au-dessus d’un uniforme de soldat. En-dessous, une canne à laquelle est suspendue une figure de petit garde national à l’envers (certainement une métaphore de la volonté du gouvernement de gagner l’opinion de cette catégorie). Cette pl. est la vision que se fait Charles Philipon du gouvernement, suite à son arrestation : le roi renie les principes républicains et ne s’aperçoit pas que les nations étrangères bafouent la France et profitent de sa faiblesse pour s’étendre.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1833 Planche noire n° 305 du journal La Caricature n°146 du 22 aout 1833,pli vertical central,Lithographie. 220 x 275. Vic. col. 71. bon état,plis en coins
Triage politique. Le Peuple passant le gouvernement au tamis... Beaucoup ne passent pas. Lithographie de Grandville et Desperret parue dans la Caricature . Talleyrand est de dos dans la brouette. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 16 août 1832 (Planche n°191- Lithographie - Œuvre:Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 22cmx Largeur: 28.8cm - Titre en bas au centre : « Rien n’est si dangereux qu’un ignorant ami ; // Mieux vaudrait un sage ennemi. » ; légende plus bas à dte : « (L’ours et l’amateur de jardins. Lafontaine.) » ; indications, en ht à gche : « La Caricature (Journal) // (N°93) », en ht à dte : « Pl. 191. » - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert Galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « Grandville et Julien » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Bernard-Romain Julien, lithographe ?]Inscription - Sur la pierre tenue par l’ours : « Procès », « Saisies » ; sur les ailes de la grosse mouche : « Caricature », « Journal » ; sur les liasses de papier sur lesquelles s’est endormi le roi : « Protocole 7 », « Protocole 9999 »Description iconographique:Observations : cf. explication de la pl. p. 742 et l’article « VINGT ET UNIEME SAISIE » p. 739. Parodie de la fable de La Fontaine "L’ours et l’amateur des jardins", dans laquelle un ours assomme un vieillard endormi avec une pierre alors qu’il voulait simplement tuer une mouche. La pl. dénonce les moyens répressifs considérables déployés par le gouvernement (saisies, procès) à l’encontre de certaines pl. (en l’occurrence, il s’agit de la pl. 187 du numéro 92 de La Caricature). Ici, dans un jardin, au premier plan à dte, l’ours incarne le mandat Zangiacomi qui permit la saisie de plusieurs numéros de La Caricature. A bout de bras, il tient une pierre en l’air, qu’il s’apprête à jeter sur la mouche incarnant le journal La Caricature, posée sur un homme endormi par terre, le roi Louis-Philippe. Ce dernier est reconnaissable à sa coiffure (toupet), au parapluie et au chapeau à cocarde tricolore disposés à dte de la composition. La pl. tente d’expliquer que les saisies de pl. de La Caricature jouent finalement contre le roi, puisqu’elles tendent à en faire la publicité, à populariser des motifs inventés par le journal qui serait passés presque inaperçus sans cela. L’explication rappelle le succès populaire rencontré par les poires dessinées par Philipon lors d’une séance de son procès. Ainsi, les saisies sont jugées irresponsables puisqu’elles contribuent à détruire l’image du roi des Français, bien plus que l’image caricaturale en elle-même.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français
iconographie:Observations : cf. explication de la pl. p. 742 et l’article « VINGT ET UNIEME SAISIE » p. 739. Parodie de la fable de La Fontaine "L’ours et l’amateur des jardins", dans laquelle un ours assomme un vieillard endormi avec une pierre alors qu’il voulait simplement tuer une mouche. La pl. dénonce les moyens répressifs considérables déployés par le gouvernement (saisies, procès) à l’encontre de certaines pl. (en l’occurrence, il s’agit de la pl. 187 du numéro 92 de La Caricature). Ici, dans un jardin, au premier plan à dte, l’ours incarne le mandat Zangiacomi qui permit la saisie de plusieurs numéros de La Caricature. A bout de bras, il tient une pierre en l’air, qu’il s’apprête à jeter sur la mouche incarnant le journal La Caricature, posée sur un homme endormi par terre, le roi Louis-Philippe. Ce dernier est reconnaissable à sa coiffure (toupet), au parapluie et au chapeau à cocarde tricolore disposés à dte de la composition. La pl. tente d’expliquer que les saisies de pl. de La Caricature jouent finalement contre le roi, puisqu’elles tendent à en faire la publicité, à populariser des motifs inventés par le journal qui serait passés presque inaperçus sans cela. L’explication rappelle le succès populaire rencontré par les poires dessinées par Philipon lors d’une séance de son procès. Ainsi, les saisies sont jugées irresponsables puisqu’elles contribuent à détruire l’image du roi des Français, bien plus que l’image caricaturale en elle-même.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Grandville , dessinateur-lithographe - Julien, Bernard-Romain, dessinateur-lithographe
Reference : 25648
Planche numérotée 298, publiée dans le journal la Caricature n°142 du 25 juillet 1833- Lithographie,taches en marge - Œuvre: Hauteur: 27.2cmxLargeur: 36.1cm
Ecritoire monarchique (IFF 45). Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Grandville , dessinateur- Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) , dessinateur- Forest, Eugène-Hippolyte , dessinateur-lithographe
Reference : 25632
(1834)
1834 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 16 janvier 1834 (Planche n°351-352) - Vic. col. 72.- Lithographie, Pli vertical médian - Œuvre: Hauteur: 35.5cmx Largeur: 52.5cm - Image: Hauteur: 28.3cmx Largeur: 46.3cm - Titre en bas au centre : « Grand enterrement du gros Constitutionnel décédé en son hôtel rue Montmartre N°121, enface [en face] de l’apothicaire et du Marchand de Brioches. » ; légende plus bas au centre : « Cet infortuné vieillard tombé, après la révolution de Juillet, dans l’enfance et le philippisme fut attaqué de tous les fleaux [fléaux] qui marquerent [marquèrent] ce temps de calamités publiques, la croix dite d’honneur, la poignée de main, la truffe ministérielle enfin, il mourut frappé de l’affreux // désabonnement et s’éteignit dans les bras de ses actionnaires St. Albin (le Rousselin de 93) Chevassus (jadis attaché à la personne de Mr. de Stael) Jay (ancien censeur), Etienne (ancien censeur) », « que la terre te soit légère, ô naif [naïf] Constitutionnel !.... De profundis. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°167. », en ht à dte : « Pl. 351. 352. » - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « JJ. Grandville X Benjamin // EF » [Jean-Jacques Grandville et Benjamin Roubaud, dessinateurs, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Grandville porte les « titres de gloire » (in explication) du journal : « articles Béotiens // banc d’huîtres // Lune de Mme de Sevigné. // Araignée diletante // Cosmétiques de Mme Ma // Articles Charadias de Mr XXX // horizons Politiques // Culte du vrai // napoles tricorniger // Fusées chromatiques // vaisseau de l’état // char de l’état ». Un pâtissier présente devant lui un registre comportant une colonne de nombreux « desabonnés [désabonnés] » et une colonne vide d’ « abonnés ». Sur l’affiche sur le mur de gche : « VENTE // par [suite ?] de décès // s’adresser // rue montmartre n°121 // en face le marchand de brioches ». Inscription en haut du mur à dte : « AUX LARMES D’ARGENT // denoyers fabricant de tombes épitaphes mausolées [ ?] »
Plusieurs articles de La Caricature s’étaient, précédemment, moqués du Constitutionnel et de ses désabonnements, qui allaient entraîner, à terme, sa chute. C’est donc la fin du journal Le Constitutionnel que la pl. propose de mettre en image. Sa mort provoque la joie d’un grand nombre de personnes et est un jour de fête. Au centre, le cercueil noir, décoré d’un motif de lune (lune-Sévignée), d’une araignée (dilettante), d’un bateau, d’une frise de poires, et d’une tête de mort. Des volatiles « fournisseur // de // plumes » sont devant. Un bonnet blanc, attribut caricatural traditionnel du Constitutionnel, se trouve au bout d’une tige et porte la croix d’honneur. Le cercueil est porté par les journaux d’opposition : le fou hilare de la « CARICATURE », le « CORSAIRE », Le National et La Tribune. Le Charivari, au premier, plan, joue du tambour pour célébrer cette mort. La marche funèbre est en réalité une grande fête pour l’opposition. Forest à dte porte un fauteuil d’académie, en forme de chaise percée (« ACADEMIQUE ET DIGESTIF »). Benjamin tient le portrait du Constitutionnel signé « Daumier » : représenté en buste, les bras croisés sur son gros ventre, assoupi, portant le bonnet de coton et la visière. Décoré de la croix d’honneur. Desperet tient l’encrier du journal en forme de poire à face humaine (Louis-Philippe). A gche au second plan, un épicier (figure du tamerlan) se lamente, et un carliste se réjouit. L’explication précise le nom des personnages se trouvant à l’arrière-plan, figures de l’opposition se réjouissant de la mort du Constitutionnel : Armand Marrast (rédacteur en chef de La Tribune), Charles Philipon (gérant de La Caricature), Becquet (imprimeur), Grégoire, Albert Cler (caricaturiste ?), Derville (contributeur à La Caricature), Altaroche (contributeur à La Caricature) et Jacques-Julien Dubochet (il participa à la création du journal d’opposition Le National). Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 28 février 1833 (Planche n°250) - Hauteur: 27.3cm x Largeur: 35.8cmDimensions - Image :Hauteur: 20cmx Largeur: 28cmTitre en ht au centre : « Cérémonie des cendres politiques. // (Suite) » ; légendes en bas, de gche à dte: « Pere [Père]-Scie, // ange de la morgue. », « Madrier-Longeau, // Girafe. », « Nargout », « Guizotin // doctrinain. », « Berthe en poissarde », « Bey-dok en marlou. », « Chonaine et // Stephanus // ivres…de joie. », « leur valet // en Figaro. », « M. Vienn.. », « Air du déserteur », et, sous une partition de musique : « Le roi pas-sait [passait] etc etc » ; indications : en ht à dte : « La Caricature (Journal) Pl. 250 // N°121. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » ; dans l’image, en bas à gche, signature : « JJ. Grandville // E. Forest » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Pl. n°2 de la série "Cérémonie des cendres politiques". Cf. pl. n°1 (pl. 248 du numéro 120) et pl. n°3 (pl. 251 du numéro 121). Suite du cortège dans lequel on peut reconnaître : Persil en bourreau, affublé d’un grand nez en forme de scie dont le bout est rougi par le sang, portant la coiffe de magistrat, portant un tablier de boucher où apparaît le portrait d’un homme et sur lequel peut se lire « PEINE // DE // MORT // TOUJOURS ! // 5000000000000 // AMENDES ». Il porte une hache de la main dte (décorée d’une poire), tandis que sa main gche est salie par du sang. Madier de Montjau chevauche une fausse girafe pourve de deux jambes d’hommes montées sur des échasses. La girafe est couverte par un carapaçon orné du motif de la poire à face humaine (Louis-Philippe). D’Argout en polichinelle vient ensuite, son costume ayant pris la forme de son grand nez au niveau du buste. Puis Guizot, en ecclésiastique tenant un petit ouvrage ouvert, fervent défenseur de la doctrine, « Berthe en poissarde », « Bey-dok en marlou » (identification difficile de ces deux personnages), puis Schonen, et la figure du "Constitutionnel", soutenu par l’incarnation du journal "Le Figaro" lequel, partageant depuis 1832 les idées du gouvernement, se fait maintenant le soutien de ses membres (« veut les relever de la boue dans laquelle il les a traînés si longtemps » in explication). Se trouve ensuite Viennet récitant des airs d’orgue de Barbarie décoré d’un motif de poire. La pl. se moque de son activité de poète.
Personnages représentés:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Schonen, Auguste Jean Marie de, baron; Madier de Montjau, Joseph Paulin; Viennet, Jean Pons Guillaume; Guizot, François; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €