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‎Association Guillaume Budé‎

Reference : 100078682

(1949)

‎Congrès de Grenoble 21-25 septembre 1948 - actes du congrès -‎

‎Les belles lettres 1949 in8. 1949. Broché.‎


‎Bon état sous papier de soie pages non coupées rousseurs sur tranche de tête‎

Un Autre Monde - Val Couoesnon

Phone number : 07.69.73.87.31

EUR42.00 (€42.00 )

‎Atherton Catherine‎

Reference : 100124508

(1993)

ISBN : 0521047722

‎The Stoics on Ambiguity (Cambridge Classical Studies)‎

‎Cambridge University Press 1993 584 pages 14 2x3 6x22cm. 1993. Cartonné jaquette. 584 pages.‎


‎très bon état de conservation proche du neuf avec sa jaquette quelques rousseurs sur la tranche de tête‎

Un Autre Monde - Val Couoesnon

Phone number : 07.69.73.87.31

EUR42.00 (€42.00 )

‎Attali Jacques‎

Reference : 100067918

(2005)

‎Karl Marx: ou l'esprit du monde + Urgences française --- 2 livres‎

‎Fayard 2005 550 pages 15x23x3cm. 2005. Broché. 2 volume(s). 550 pages.‎


‎Bon état bords un peu frottés intérieurs propres‎

Un Autre Monde - Val Couoesnon

Phone number : 07.69.73.87.31

EUR13.00 (€13.00 )

‎Attribué à Bouchot, Frédéric‎

Reference : 25278

‎Nous pouvons nous vanter de l’avoir joliment gagnée, nous autres ! - Lithographie originale en couleur sur Velin blanc.‎

‎ Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 12 juillet 1832 (Planche n°177) - Dimensions - Hauteur: 35.6cm x Largeur: 27cm - Image : Hauteur: 20.9cm xLargeur: 15.6cmInscription - Titre en bas au centre : « Nous pouvons nous vanter de l’avoir joliment gagnée, nous autres ! » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°88.) », en ht à dte : « Pl. 177. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. De Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « f B… »Inscription - Sur l’affiche, au fond à dte : « AV […] [AVIS ?] »description, analyse : trois gardes nationaux se tiennent debout dans un poste de garde et se montrent leurs décorations. La pl. dénonce une partie des hommes de la garde nationale qui reçut une distinction honorifique sans même s’être battue pour réprimer les républicains. La pl. propose en effet de se moquer d’une catégorie particulière de gardes nationaux, celle qui ne s’est pas battue mais a tout de même accepté d’être décorée : « Des croix ont été distribuées aux vainqueurs ; quelques hommes d’honneur les ont refusées. D’autres ont accepté. Ceux que nous stigmatisons ici appartiennent à une troisième espèce, l’espèce parasite ; c’est celle qui ne se bat pas, mais qui demande et qui reçoit toujours les récompenses. – Fi donc ! ».‎


‎Artists like Bouchot, Gavarni, and Daumier were masters of lithography, depicting Paris life, manners, and dress with a vulgar and bawdy twist. Hand-colored lithographed plates by Bouchet are rare. Frederic Bouchot (1798-?) was a leading French lithographic caricaturist and illustrator who regularly contributed to such publications as Le Charivari, La Caricature, and Journal pour rire. He also collaborated on individually published albums with such artists as Daumier and Morin. He is known primarily for his depictions of musical subjects and domestic scenes. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

EUR80.00 (€80.00 )

‎Attribué à Bouchot, Frédéric (en 1798), dessinateur‎

Reference : 26374

‎Le grand prix de vertu - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 13 mars 1834 (Planche n°368)- LithographieHauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 20cmx Largeur: 25.8cm - Titre en bas au centre : « Le grand prix de vertu. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°175. », en ht à dte : « Pl. 368. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Benard. » [imprimeur]Inscription - Sur la petite tribune, inscription à l’intérieur d’une couronne de lauriers : « Aux // vertus // Civiques »‎


‎Cette pl. met en image l’idée de remettre un prix de vertu au roi. Cette idée était née dans un article du numéro 171 (13 février 1834) de "La Caricature" (p. 1363-1365). "La Caricature" a créé pour le roi l’épithète « de plus honnête homme du royaume » et propose de lui remettre le premier prix de vertu créé par Jean-Baptiste Auget de Montyon. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

EUR40.00 (€40.00 )

‎Attribué à Debon, François-Hippolyte (Paris, 02–12–1807 - Paris, 29–02–1872), dessinateur-lithographe- Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur ‎

Reference : 25990

(1831)

‎Les Grenouilles qui demandent un roi. / De celui-ci contentons nous, / De peur d’en rencontrer un pire Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ 1831 La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique - 1831- Lithographie originale en noir sur Velin blanc,rousseurs dans les bonnes margesOeuvre:: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image:: Hauteur: 22.3cmx Largeur: 27.3cm- Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 2, 11 août 1831, (Planche n°82) - Titre en bas au centre : « Les Grenouilles qui demandent un roi. / De celui-ci contentons nous, / De peur d’en rencontrer un pire » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « N°82. » - Dans la lettre : « Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie Véro Dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, date tronquée : « 183 […] » Sur le carnet tenu par la grenouille incarnant Casimir Périer, ses initiales : « C P »‎


‎Allusion à la fable de La Fontaine "Les grenouilles qui demandent un roi". Des grenouilles adorent la tête d’un roi soliveau (Louis-Philippe) directement envoyé par Dieu qu’on aperçoit en ht de la composition. Sur cette tête est assis Casimir Périer sous l’apparence d’une grenouille, acclamée par d’autres batraciens. A dte, certaines tiennent un bonnet phrygien au bout d’une tige végétale. En ht à gche, un volatile (pélican ?) assiste à la scène.Personnages représentés:Périer, Casimir; Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

EUR150.00 (€150.00 )

‎Attribué à Debon, François-Hippolyte (Paris, 02–12–1807 - Paris, 29–02–1872), dessinateur-lithographe- Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur ‎

Reference : 25992

(1831)

‎Les Grenouilles qui demandent un roi. / De celui-ci contentons nous, / De peur d’en rencontrer un pire. Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ 1831 La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique - 1831- Lithographie originale en noir sur Velin blanc,petites rousseurs dans les marges courtes du bas.Oeuvre:: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image:: Hauteur: 22.3cmx Largeur: 27.3cm- Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 2, 11 août 1831, (Planche n°82) - Titre en bas au centre : « Les Grenouilles qui demandent un roi. / De celui-ci contentons nous, / De peur d’en rencontrer un pire » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « N°82. » - Dans la lettre : « Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie Véro Dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, date tronquée : « 183 […] » Sur le carnet tenu par la grenouille incarnant Casimir Périer, ses initiales : « C P »‎


‎Allusion à la fable de La Fontaine "Les grenouilles qui demandent un roi". Des grenouilles adorent la tête d’un roi soliveau (Louis-Philippe) directement envoyé par Dieu qu’on aperçoit en ht de la composition. Sur cette tête est assis Casimir Périer sous l’apparence d’une grenouille, acclamée par d’autres batraciens. A dte, certaines tiennent un bonnet phrygien au bout d’une tige végétale. En ht à gche, un volatile (pélican ?) assiste à la scène.Personnages représentés:Périer, Casimir; Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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EUR100.00 (€100.00 )

‎Attribué à Desperet ou Desperret, Auguste‎

Reference : 25249

‎Emporté dans l’amas de ces noirs tourbillons, / Il ne voit plus du char les écarts vagabonds - Lithographie originale en couleur sur Velin blanc.‎

‎ Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 10 mai 1832 (Planche n°160),pli central, - Œuvre : Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image : Hauteur: 20.2cmx Largeur: 27.5cm - Titre en bas au centre : « Emporté dans l’amas de ces noirs tourbillons, // Il ne voit plus du char les écarts vagabonds. » ; légende plus bas : « (Desaintonge [Saint-Ange], métamorphoses d’ovide) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) N°80. », en ht à dte : « Pl. 160. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur]Inscription - Au-dessus du soleil à dte : « 27, 28, 29 » juillet 1830Description iconographique:Louis-Philippe, debout, de profil sur son char, associé à Phaëton. Les chevaux du char tombent. Les nuages noirs menacent de cacher le soleil des Trois Glorieuses. Ils entraînent dans leur chute les ministres du gouvernement. En ht à gche, le zodiaque du cancer visible à travers les nuages. La pl. compare le roi à Phaëton qui fut incapable de maîtriser le char de son père. Par ce parallèle, la pl. met ainsi en lumière l’incompétence de Louis-Philippe et de ses ministres de bien gouverner la France. Le titre est un extrait de la traduction par Ange-François Fariau de Saint-Ange des "Métamorphoses" d’Ovide.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français‎


‎iconographie:Louis-Philippe, debout, de profil sur son char, associé à Phaëton. Les chevaux du char tombent. Les nuages noirs menacent de cacher le soleil des Trois Glorieuses. Ils entraînent dans leur chute les ministres du gouvernement. En ht à gche, le zodiaque du cancer visible à travers les nuages. La pl. compare le roi à Phaëton qui fut incapable de maîtriser le char de son père. Par ce parallèle, la pl. met ainsi en lumière l’incompétence de Louis-Philippe et de ses ministres de bien gouverner la France. Le titre est un extrait de la traduction par Ange-François Fariau de Saint-Ange des "Métamorphoses" d’Ovide.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

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EUR60.00 (€60.00 )

‎Attribué à Desperet ou Desperret, Auguste‎

Reference : 26368

‎La baraque politique - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 4 décembre 1834 (Planche n°444)Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 35.5cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 25cmx Largeur: 21.5cm - Titre en bas au centre : « La Baraque politique » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°213 », en ht à dte : « Pl. 444. »Inscription - Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith : Delaunois, r. du Bouloi, 19. » [imprimeur]‎


‎Louis-Philippe apparaît en marionnettiste, derrière une toile tendue, dans le jardin des Tuileries. "Il signor Lapoire entrepreneur, y fait jouer à juste prix le grrrand combat du ministère Mortier et Rigny avec le ministère Bassano et Charles Dupin [...] Il signor Lapoire tient en réserve dans sa poche Soult, Thiers, Guizot et Persil, et l'on voit cachés dans un coin d'Argout et Barthe, marionnettes hors de service." C'est la monarchie parlementaire qui est ici dénoncée comme spectacle infantile et dérisoire, où les ministres ne sont que des pantins inertes dans les mains du roi. Cette planche s'inscrit ainsi dans la veine des caricatures précédentes inspirées par les crises ministérielles de 1834 et en particulier l'éphémère "ministère des trois jours". On peut aussi la rapprocher de la planche de Grandville "Zin ! zin ! baoun – baoun – baoun !! – zin ! baoun ! zin ! baoun ! zin – zin – zin !.......... Entrrrrrrrrrrrez, messieurrrrs et dames ! venez, venez, venez voirrrr ici dedans les grrrands sauteurrrs politiques qui font l’admirrration de tous les souverrrains de l’eurrrope c’est l’instant, c’est la minute, ça va finirrrr !" (Dessin de l'association, août 1833). L'explication reprend d'ailleurs le jeu sur les onomatopées de l'adresse aux spectateurs : "Et dzing! et dzing! et baound, baound, baound!". Plus proche encore, "Théâtre royal des marionettes", ("La Caricature", 12 octobre 1834, planche 426)) présentait déjà Louis-Philippe en manipulateur et ses ministres en marionettes. Dans le "Charivari" du 22 avril 1850, Daumier reprend le motif des "Marionnettes politiques" et en donne à voir les coulisses en adoptant comme dans "La baraque politique" un point de vue non face à la scène mais derrière le rideau. Mais en 1850, Thiers a remplacé Louis-Philippe dans le rôle du marionettiste.Personne / Personnage représenté:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Barthe, Félix; Persil, Jean-Charles; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Guizot, François; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

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EUR60.00 (€60.00 )

‎Attribué à Desperet ou Desperret, Auguste‎

Reference : 26369

‎La police tenait le fil du complot - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 16 août 1832 (Planche n°190) :Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 19cmx Largeur: 28.3cm - Titre en bas au centre : « LA POLICE TENAIT LE FIL DU COMPLOT. » ; légende plus bas à dte : « (Moniteur // Après toutes les émeutes) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°93.) », en ht à dte : « Pl. 190. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert Galerie véro dodat » [éditeur] ; attribution : Auguste Desperet, dessinateur lithographe ?Inscription - Sur le mur (d’un cachot vraisemblablement) à dte, inscription : « Vive La République »‎


‎Observations : cf. explication de la pl. p. 742 ; description, analyse : la pl. dénonce ici les procédés d’une certaine partie de la police qui tend des pièges à la population. Mise en image parodique de la déclaration officielle parue dans Le Moniteur (cf. titre). A gauche de la composition, au second plan, se trouvent des insurgés derrière des barricades, sur lesquels fondent des policiers à cheval. Tandis qu’à dte, au premier plan, trois membres de la police surveillent le fil au bout duquel ils ont placé des pièges, en attirant les révolutionnaires avec un bonnet phrygien posé à terre. Face au gouvernement qui se sent sans cesse être la cible de complots révolutionnaires (ou autres), cette pl. tend à penser que c’est le gouvernement même qui manipule les situations en créant un climat de suspicion.Au fond se distingue la tour Saint-Jacques. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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EUR60.00 (€60.00 )

‎Attribué à Desperet ou Desperret, Auguste , dessinateur‎

Reference : 26377

‎Sans titre - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT pârue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 29 août 1833 (Planche n°307)Lithographie - Hauteur: 35.8cmx Largeur: 27.3cm - Image: Hauteur: 16cmx Largeur: 18.5cmInscription - [sans titre] ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°147. », en ht à dte : « Pl. 307. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « Lith. de Becquet, rue Furstemberg N°6. » [imprimeur]Inscription - Sur le bureau sont posés le « PLAN DU FORT PHIL […] [PHILIPPE] » et un plan de « Forts Détachés » ; sur les tiroirs du secrétaire, classement des plans par ordre alphabétique : « A.B.C. », « D.E.F. », « […] [G.H.] I. » et « J.K.L. »‎


‎De dos, le roi Louis-Philippe est assis à son bureau. Il regarde le « PLAN DE PARIS » qu’il tient dans les mains. Le dossier de sa chaise est décoré d’une poire sculptée. Une petite statue de poire (sans doute en bronze) posée sur un socle sert de presse-papiers. Sous la table, des chiens viennent renifler le pied droit du roi. Il a posé son chapeau haut de forme décoré d’une cocarde tricolore à l’envers sur le bureau. Enfin, des motifs en forme de poire décorent le tapis au sol. La pl. critique la décision du gouvernement de faire construire toujours davantage de fortifications autour de Paris. Un premier projet fut présenté par Soult à la chambre des députés au début de 1833. Mais l’opposition de gche estima que ces fortifications sont plus un moyen de maîtriser les Parisiens que de défendre la France. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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EUR40.00 (€40.00 )

‎Attribué à Desperet ou Desperret, Auguste (en 1865), dessinateur‎

Reference : 26590

‎Mes camarades, mes chers camarades !..... je suis aussi républicain que vous…. j’aime la liberté….l’égalité…..je veux votre bien…votre bien à tous….le bien de tout le monde - Lithographie‎

‎ La Caricature politique, morale, littéraire et scénique (Titre de l'ensemble) Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 21 février 1833 (Planche n°249)- 1833- Lithographie- Dimensions - Oeuvre: Hauteur: 35.8cmx Largeur: 27.3cm- Dimensions - Image: Hauteur: 16.6cmx Largeur: 18cm - Titre en bas au centre : « Mes camarades, mes chers camarades !..... je suis aussi // républicain que vous…. j’aime la liberté….l’égalité…..je // veux votre bien…votre bien à tous….le bien de tout le monde. » ; indications : en ht à gche : La Caricature (Journal (N°120), en ht à dte : « Pl. 249. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur]‎


‎Louis-Philippe, identifiable à son toupet et à ses favoris, se présente de face, assis sur un coffre fermé. Son visage est caché par un masque qu’il tient de la main gche. Il prononce les mots contenus dans le titre en tendant le bras droit vers le spectateur. La pl. dénonce les idées républicaines du roi qui ne constituent qu’une façade pour s’adresser aux républicains, comme l’évoque ce masque. Sitôt le masque tombé, le roi révèle ses véritables idées, qui sont contraires aux intérêts du peuple. Ses vêtements évoquant l’ancien régime et le coffre sur lequel il est assis (évocation de la cupidité du roi) reflètent le soin qu’il porte en réalité à préserver les privilèges d’ancien régime. Sur le mur du fond se découpe son ombre, en forme de poire. La table des matières du 5e vol. de La Caricature précise le sujet de la pl. : « Harpagon assis sur sa cassette et le visage masqué ». La pl. assimile donc clairement le roi des Français au personnage cupide de la pièce de théâtre L’Avare de Molière. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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EUR50.00 (€50.00 )

‎Attribué à Grandville ‎

Reference : 25270

(1834)

‎On dansait au Château !!... - Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ 1834 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 27 février 1834 (Planche n°365) - LithographieDimensions - Hauteur: 27cm x Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 21.7cm x Largeur: 27.9cm - Titre en bas au centre : « On dansait au Château !!... » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°173. », en ht à dte : « Pl. 365. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Benard. » [imprimeur]Description iconographique:La composition est clairement séparée en deux parties. La partie de dte montre un cortège funéraire en pleine rue de Paris, tandis que la partie de gche laisse le spectateur entrevoir à travers la fenêtre d’un bâtiment, certainement celui des Tuileries puisque s’y trouvent Louis-Philippe jouant du violon lors d’une réception donnée dans son palais. Aux second et arrière-plans, des gens dansent. L’auteur de cette pl. a voulu créer un contraste saisissant entre la scène de réception royale, légère et insouciante, et la scène du cortège funèbre. Le corbillard progresse dans la rue, séparé et protégé de la population par une rangée de gardes. Quelques personnes suivent le carrosse, la tête basse et le chapeau ôté. La personne que les hommes pleurent est François-Charles Dulong. Député de l’opposition, il fut tué le 30 janvier 1834 en duel par un député de la monarchie, le général Bugeaud, qui s’était senti offensé sur une question militaire (à propos de l’obéissance des membres de l’armée) lors de la séance de la chambre des députés du 16 janvier 1834. Bugeaud aurait été poussé par Louis-Philippe (plus précisément, il aurait été encouragé par un proche de Louis-Philippe, Marie-Théodore Gueilly, vicomte de Rumigny) à provoquer Dulong en duel. Les journaux défenseurs de la cause républicaine y ont vu une manière commode que le roi aurait eue pour se débarrasser d’un député de l’opposition encombrant. Ainsi, la pl. crée un contraste significatif entre l’humeur joviale et insouciante du roi et de ses convives, alors que la mort de Dulong affecte profondément une grande partie de la population. Sur le même sujet, et pour plus de détails, cf. pl. 361, du numéro 171 (13 février 1834)Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français‎


‎iconographiqe: La composition est clairement séparée en deux parties. La partie de dte montre un cortège funéraire en pleine rue de Paris, tandis que la partie de gche laisse le spectateur entrevoir à travers la fenêtre d’un bâtiment, certainement celui des Tuileries puisque s’y trouvent Louis-Philippe jouant du violon lors d’une réception donnée dans son palais. Aux second et arrière-plans, des gens dansent. L’auteur de cette pl. a voulu créer un contraste saisissant entre la scène de réception royale, légère et insouciante, et la scène du cortège funèbre. Le corbillard progresse dans la rue, séparé et protégé de la population par une rangée de gardes. Quelques personnes suivent le carrosse, la tête basse et le chapeau ôté. La personne que les hommes pleurent est François-Charles Dulong. Député de l’opposition, il fut tué le 30 janvier 1834 en duel par un député de la monarchie, le général Bugeaud, qui s’était senti offensé sur une question militaire (à propos de l’obéissance des membres de l’armée) lors de la séance de la chambre des députés du 16 janvier 1834. Bugeaud aurait été poussé par Louis-Philippe (plus précisément, il aurait été encouragé par un proche de Louis-Philippe, Marie-Théodore Gueilly, vicomte de Rumigny) à provoquer Dulong en duel. Les journaux défenseurs de la cause républicaine y ont vu une manière commode que le roi aurait eue pour se débarrasser d’un député de l’opposition encombrant. Ainsi, la pl. crée un contraste significatif entre l’humeur joviale et insouciante du roi et de ses convives, alors que la mort de Dulong affecte profondément une grande partie de la population. Sur le même sujet, et pour plus de détails, cf. pl. 361, du numéro 171 (13 février 1834). Personnage représenté: Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

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EUR80.00 (€80.00 )

‎Attribué à Grandville , dessinateur et Eugène Forest, lithographe‎

Reference : 25195

(1832)

‎La chair est faible.Lithographie en noir ,(Planche n°221-222)‎

‎ 1832 Planche double HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 22 novembre 1832 (Planche n°221-222) - Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm - Image :Hauteur: 23.5cm x Largeur: 33.8cmTitre en bas au centre : « LA CHAIR EST FAIBLE. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°107. », en ht à dte : « Pl. 221.222. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; attribution : Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographeDescription iconographique:Dans la partie gauche de la composition, les membres du gouvernement son rassemblés. Dans les bulles au-dessus des personnages, au second plan de gche à dte : Dupin, refusant de suivre d’Argout : « Non, non, // vous n’y voyez // pas plus long // que votre nez. Ça // finira mal. », d’Argout, s’adressant à Dupin : « Venez donc avec nous, // [mon] cher, chacun-z-a // le droit d’y aller. », Lobau : « Connu, connu, la // vieille. On les a // vues tes femmes ! », Guizot, s’adressant à Louis-Philippe : « J’ai prouvé que vous auriez // tort, j’ai prouvé que vous // auriez raison. Je prouverai // tout ce qu’il faudra. », Barthe, s’adressant à Louis-Philippe : « Allez y, je vous // y engage, foi de Carbonaro ! ». Au premier plan, de gche à dte : Soult, s’adressant à Louis-Philippe et posant une main sur l’épaule de ce dernier pour l’inciter : « Allez donc, allez // donc, ce sont de // bonnes personnes, // Je les connais de // longue main. », Thiers au tout premier plan, et enfin Louis-Philippe, vu de trois quarts dos. Il porte un grand manteau et tient à la main son chapeau décoré de la cocarde tricolore. Les membres du gouvernement se trouvent dans la rue, « Boulevard // De // Coblentz » (Coblentz est le lieu où Louis-Philippe trouva, lors de son exil, sauvegardées des éléments de la noblesse française d’ancien régime). Les ministres incitent le roi à aller rendre visite à des prostituées, incarnations de l’ancien régime. La pl. se moque ainsi des tentations monarchiques auxquelles est soumis Louis-Philippe. La mère maquerelle, vieille femme portant une fleur de lys sur sa coiffe, un médaillon avec la lettre « H » surmontant une poire au cou, est vêtue d’une robe sur laquelle peut se lire « GAZETTE //DE // FRANCE // et // Holyrood » : il s’agit du journal le plus légitimiste sous la Monarchie de Juillet. Il essaie d’attirer le roi. Holyrood est une référence à un des lieux de séjour en Ecosse des émigrés aristocrates après la Révolution française. Cette mère maquerelle dit à Louis-Philippe : « Venez donc, belhomme, // elles sont bien aimables, // elles ont un bon feu. belhomme ! // cupidon ! ». Derrière se tiennent deux courtisanes : la première, mince, porte une robe décorée d’une frise de poire en bas. Elle a le pied droit posé sur une feuille volante titrée « CHARTE », montrant de manière significative que les principes de la Charte sont bafoués. Il s’agit de la princesse Louise, fille aînée de Louis-Philippe. La seconde prostituée, plus forte, porte deux broches en forme de fleur de lys. Il s’agit de la duchesse d’Angoulême, fille de Louis XVI et Marie-Antoinette. Les deux travailleuses représentent respectivement la légitimité et l’illégalité. Au fond à dte, dans la pénombre, un homme assiste à la scène. Il cache un fusil dans son dos, porte une arme blanche à sa ceinture, et un médaillon avec l’initial « H » autour du cou, certainement l’initial de Henri V, qui aurait dû monter sur le trône à la place de Louis-Philippe.La pl. dénonce les mauvais conseils prodigués par les ministres au roi des Français, lequel est poussé à abandonner ses principes républicains et d’embrasser les idées moins libérales. La pl. utilise le parallèle d’un homme incité à s’adonner aux plaisirs de la chair. Le titre est la parole du Christ tirée de l'Evangile affirmant « Ainsi vous n'avez pas eu la force de veiller une heure avec moi. Veiller et prier pour ne pas entrer en tentation; l'esprit est ardent mais la chair est faible ». Louis-Philippe est, quant à lui, tenté par les principes monarchiques.Personne / Personnage représenté:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Mouton, Georges, comte de Lobau; Guizot, François; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Barthe, Félix‎


‎Personnages : Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Mouton, Georges, comte de Lobau; Guizot, François; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Barthe, Félix Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Grandville JJ - Attribué à Desperet ou Desperret, Auguste‎

Reference : 25630

(1834)

‎Imitation libre d’un tableau de Mr. Horace Vernet, représentant le massacre des Janissaires - Lithographie double sur blanc.‎

‎ 1834 Planche parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 10 avril 1834 (Planche n°376-377),Pli vertical médian- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.5cmx Largeur: 52.2cm - Image: Hauteur: 25.2cmx Largeur: 37.2cm - Titre en bas au centre : « Imitation libre d’un tableau de Mr. Horace Vernet, représentant le massacre des Janissaires. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°179 », en ht à dte : « Pl. 376 et 377. »Inscription - Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, galerie Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. Delaunois, rue du Bouloy, 19. » [imprimeur]Inscription - Les encens utilisés dans le brûle-parfum sont des feuilles de journaux favorables au gouvernement : le « FIGAR […] [FIGARO] », « PARFUMS // DES // DÉBATS » (Journal des débats), le « NOUVELLIST […] [NOUVELLISTE] », l’ « ENCE […] [ENCENS] // MON […] [MONITEUR] ». Sur la feuille tenu par le personnage se trouvant à côté de d’Argout : « SOMMATIONS ». L’enseigne de la boutique de l’immeuble à gche : « AU GUET-APENS // [ ?] ND MAGAZIN [MAGASIN] DE NOUVEAUTÉS »‎


‎Le 16 juin 1826, le sultan Mahmoud II fit massacrer les janissaires (l'élite de l'infanterie de l'armée ottomane) qui refusaient la modernisation de leur corps et se révoltèrent à de nombreuses reprises au début du XIXe siècle. La planche est une parodie de l’huile sur toile "Le massacre des mamelouks de la citadelle du Caire" réalisée par Horace Vernet (1819 ; Amiens, musée des Beaux-Arts), relatant le massacre des mamelouks par le gouverneur d’Egypte, Méhémet Ali, en 1811. Celui-ci ayant appris que les mamelouks souhaitaient l’assassiner, il décida d’éliminer 470 chefs mamelouks, mettant ainsi définitivement fin à leur puissance. Un parallèle est donc établi entre le massacre des mamelouks et celui des janissaires. L’explication insiste sur la répétition des événements historiques au fil du temps : « différence de forme ; cela ne change rien au fond ». Et c’est une comparaison avec le traitement réservé par le gouvernement de la monarchie de juillet au peuple que la pl. établit. Les persécutions d’innocents sous le règne du roi des Français sont comparables, d’après "La Caricature", aussi bien aux massacres des Janissaires qu’à ceux des Mamelouks. La pl. dénonce ainsi la violence faite à l’encontre des citoyens français. Louis-Philippe commanda de nombreuses œuvres à Horace Vernet, lequel participa à la propagande du futur roi. Il est ironique que la pl. fasse la parodie d’une œuvre de Vernet pour dénoncer les actions du règne de Louis-Philippe. A la place d’Ali Pacha de Janina (qui massacra la population musulmane de la ville de Gardiki) se trouve Louis-Philippe, portant une constituée d’une visière et d’un bonnet à pompon d’influence orientale. Il repose sur la « CHARTE » au lieu d’être allongé sur un tapis oriental. Le brûle-parfum a une forme de poire à face humaine et porte une couronne. Le perroquet de Valmy est à côté de lui. Derrière lui, s’abritant du soleil sous un parasol : Soult, Barthe et Persil. Une seringue à clystère dépasse du parasol (référence à Lobau) : elle est considérée comme le signe annonçant les massacres (au lieu de l’étendard de Mahomet dressé par Mahmoud II juste avant de massacrer les janissaires). Thiers, agenouillé au premier plan, tout en regardant le spectateur, est occupé à faire parvenir le tuyau partant du sac de « MILLIONS » « aux mains pompantes du Système » (in explication). D’Argout à gche, « présidant aux assomages [assommages], la cravache à la main » (in explication). A l’arrière-plan, à gche, à l’ombre du bâtiment de la Bourse se trouvent des assommeurs chargés de frapper les passants. Une femme est à terre avec son enfant. Ainsi, la pl. veut rendre la comparaison totale entre la répression française sous Louis-Philippe et le massacre des janissaires (ou des Mamelouks) : « au lieu du massacre des janissaires, vous aurez une scène d’ordre public, tel que l’entend le 9 Août qui, du reste, n’a pas que ce seul rapport avec les gouvernemens à la turque ». La comparaison avec ces régimes autoritaires n’est pas flatteuse pour la monarchie de Juillet.Personnages représentés:Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Barthe, Félix; Thiers, Adolphe; Persil, Jean-Charles; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Mouton, Georges, comte de Lobau Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur-lithographe‎

Reference : 26360

(1832)

‎Cages !... cages !.... souricières ! Lithographie- Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ 1832 La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique (Titre de l'ensemble)1832 - Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 3, 16 février 1832, (Planche n°137) Lithographie - Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm- Image: Hauteur: 20cmx Largeur: 20cm‎


‎- Titre en bas au centre : « Cages !... cages !.... souricières ! » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) / N°68. », en ht à dte : « Pl. 137. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur] ; attribution: Jean-Jacques Grandville, dessinateur, ou Pierre Numa Bassaget, dessinateur lithographe ?Inscription - Sur les cages, inscriptions, de gche à dte : « Ste PELAGIE », « BICETRE », « FORCE », « POISSY » ; sur le sol, à dte : « […] GRAMME [PROGRAMME] / […] [DE L’HOTEL DE] VILLE » (fréquemment rappelé par l’opposition, mais dont Louis-Philippe nia l’existence)Description iconographique:Louis-Philippe déguisé en marchand ambulant, transporte des cages portant le nom des principales prisons de France. La pl. dénonce l’emprisonnement, jugé injuste, de certains hommes républicains (Marrast, Lennox, Bascans, Barthélemy, Thouret, Trélat, Raspail, Cavaignac, Sarrut, Philipon). Cf ; pl. 267 (numéro 129 ; 25 avril 1833). Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur- Attribué à Desperet ou Desperret, Auguste ‎

Reference : 25650

‎Hé bien ! vous devez être content ?..... ça marche…..je n’en descends pas mal ! – Oh ! il y en a encore diablement qui m’inquiètent !.....Lithographie coloriée sur blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 3 juillet 1834 (Planche n°401)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 22cmx Largeur: 25.8cm - Titre en bas au centre : « hé bien ! vous devez être content ?..... ça marche…..je n’en descends pas mal ! // – Oh ! il y en a encore diablement qui m’inquiètent !...... » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal). N°191. », en ht à dte : « Pl. 401. » - Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. Delaunois, rue du Bouloy, 19. » [imprimeur]Inscription - Sur le dos des livres rangés dans la bibliothèque, à dte, des titres : « police », « FORTIFICATIONS » (référence à la volonté du gouvernement d’encercler Paris de forts afin de protéger la ville. Cette idée fut vivement contestée par l’opposition qui y vit un moyen pour le pouvoir d’emprisonner les Parisiens dans leur ville), « VIDOCQ » (certainement les Mémoires de Vidocq, chef de la police de Sûreté, jusqu'en 1827 par Eugène-François Vidocq), « HISTOIRE », « L’AVARE » (de Molière, en référence à la cupidité du roi Louis-Philippe), deux vol. sur « MANDRIN » et « CARTOUCHE » (deux célèbres brigands du XVIIIe siècle). Enfin, un autre livre porte sur la quatrième de couverture le nom de l’auteur du Prince « MACHI // AVEL [MACHIAVEL] ». Les autres ouvrages ne portent pas de titre. La frise décorative sup. de la bibliothèque comporte des motifs de poires encadrant une petite cassolette. L’ouvrage posé sur la chaise à dte, sous laquelle repose un coffre, est le registre « DES // BUDJETS [BUDGETS] ». Enfin, gisent à terre au premier plan à dte des papiers épars portant les titres : « RAPPORT // DE // POLICE », « JOURNAL DEP […] [DEPARTEMENTAL] »‎


‎iconographie:La mort, personnifiée par un squelette portant des vêtements et un bicorne, vient recueillir les louanges auprès du roi Louis-Philippe, que ce dernier lui doit pour le travail accompli. Ce travail, c’est l’élimination des ennemis du régime. Le roi, vu de dos (mais reconnaissable aux favoris et au toupet), vêtu d’une grande redingote et chaussé d’une petite paire de lunettes, est occupé à lire la liste des personnes évincées par le gouvernement. De ht en bas : « DEPUTE Géneral [général] Lamarqu […] [Lamarque] // IDEM……. Dulong » // IDEM Genrl [général] Laffayett […] [Lafayette] // [ ?] nger Napoléon 2 // […] ional [national] Conseil » (références à Jean-Maximilien Lamarque, à Charles Dulong, et au général La Fayette). Suit la liste des journaux de l’opposition, inquiétés par le gouvernement, de ht en bas : « Tribune // Messager // Caricature // Charivari ». Enfin, c’est la liste des personnes dont se méfie le gouvernement : « Sous Offici […] [Officiers] // Electeurs // Henri V // L’abbé La […] [Lamennais] // Précurseur // Patriotes [ ?] // REPUBLICain ». D’après la pl., le roi aimerait également voir ces personnes mortes afin de pouvoir exercer son pouvoir en toute tranquillité sans opposition ni contestation d’aucune sorte. L’explication précise que « la Mort a endossé la livrée de la monarchie citoyenne », c’est-à-dire qu’elle s’est mise au service du gouvernement de Juillet. Sur le mur du fond, à gche, est accroché le parapluie du roi. Enfin, le tableau accroché au mur, au centre, est certainement une représentation de la bataille de Valmy de 1792. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur - Attribué à Julien, Bernard-Romain (Bayonne, 16–11–1802 - Bayonne, 03–12–1871), dessinateur-lithographe‎

Reference : 25627

(1833)

‎Messieurs, l’auteur de la pièce que nous avons eu l’honneur de jouer devant vous désire garder l’anonyme - Lithographie sur blanc.‎

‎ 1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 21 mars 1833 (Planche n°258)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm - Image: Hauteur: 23.3cm- Largeur: 29.2cm - Titre en bas au centre : « Messieurs, l’auteur de la pièce que nous avons eu l’honneur de jouer devant vous désire garder l’anonyme. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°124. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur]Inscription - Sur le livret tenu par Louis-Philippe, le texte de « L’ATTENT […] [ATTENTAT] Horribl […] [horrible] », tel qu’ont surnommé les journaux de l’opposition l’attentat du 19 novembre 1832- Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français‎


‎En rapport avec l’article p. 990-991 et avec l’affiche en supplément au numéro. La phrase de titre est prononcée par Dubois, à gche, et Persil, à dte, sur la scène du « Théâtre des Folies Politiques » au moment où va tomber le rideau orné de poires, de balances, de sacs d'écus, de la croix de la Légion d'Honneur et de pistolets. Louis-Philippe, auteur de L'Attentat horrible - la pièce qu'on vient de jouer - s'est caché dans le trou du souffleur, entre deux mouchards, leur sifflet à la bouche.Une foule d’acteurs se tient à l’arrière-plan, tandis que trois gardes nationaux se trouvent à gche. Il s’agit certainement d’une interruption du troisième tableau de la pièce dans lequel jouent Persil, « un magistrat irréprochable », et Dubois « un juge impartial » (in supplément). La pl. est avant tout une parodie des enquêtes sur la recherche du coupable de l’attentat du 19 novembre 1832 sur la personne du roi. La plupart des journaux de l’opposition, dont La Caricature, ont dénoncé cet attentat comme étant une machination mise en place par le gouvernement lui-même. Adèle Boury témoigna en affirmant avoir aperçu l’assassin, puis s’évanouit, sous le coup de l’émotion. La presse d’opposition vit en elle un des rouages du stratagème monté par la monarchie pour faire croire à un attentat. La pl. dénonce les moyens malhonnêtes employés par le roi pour regagner la faveur populaire. Le journal satirique ministériel La Charge avait insinué, dans son numéro 6 (11 novembre 1832) que la presse d’opposition poussait au régicide, soit huit jours avant l’attentat. Mais la presse d’opposition refuse d’endosser cette responsabilité. Selon Erre, « la presse anti-gouvernementale accuse le pouvoir de créer artificiellement un climat d’insécurité pour justifier sa mise au pas du pays et museler l’opposition ». La pl. se propose d’être une illustration de la pièce de théâtre que l’attentat du 19 novembre a inspiré à La Caricature.Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847)‎

Reference : 25607

(1832)

‎Tau-tau-tau, battez chaud, du courage ! il faut du cœur à l’ouvrage. Lithographie coloriée- Hand-coloured lithograph,.‎

‎ 1832 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 29 novembre 1832 (Planche n°224)- Lithographie coloriée,avant les muméros- - Œuvre: Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm - Image :Hauteur: 15cmx Largeur: 21.8cm - Titre en bas au centre : « Tau-tau-tau, battez chaud, du courage ! // il faut du cœur à l’ouvrage. » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N° [108] », en ht à dte : « Pl. [224] »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert, N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur] ; attribution : Jean-Jacques Grandville, dessinateur ? Le titre est un extrait du Vaudeville du Maréchal : « Tôt, tôt, tôt, // Battez chaud // tôt, tôt, tôt, // Bon courage, // Il faut avoir cœur à l’ouvrage. » (contenu dans Les Sabbats jacobites, 1791), reprenant le vaudeville final du Maréchal Ferrant, opéra comique de Philidor (1761). L'air « Tôt, tôt, tôt, battez chaud » connut un succès particulier pendant la Révolution française. La pl. inverse le discours qui, pendant la révolution française, avait une connotation fortement républicaine, incitant à mettre à bas les institutions et symboles monarchiques. Au contraire, ici, c’est la figure de la république qui est mise à mal. Un jouet d’enfant est constitué de deux figurines peintes, chacune munie d’un marteau (le manche du marteau est planté dans les ventres): il s’agit de Soult à gche (une tenaille et un autre marteau, plus petit, dépassent de sa besace) et de Louis-Philippe à dte (des clés sont accrochées à son pantalon. Philipon, dans l’explication s’interroge d’ailleurs sur leur usage : « Sont-elles un témoignage de l’ordre et de l’économie qui règnent dans sa maison ? – Veulent-elles dire qu’il est un geôlier ? – Sont-ce les clefs d’Anvers ? – ou les clefs de nos coffres ? – ou bien celles de nos cœurs ? »). Ils exercent leur marteau à tour de rôle sur la tête féminine de la République (ou la Liberté) placée au milieu de la pièce de bois transversale. Selon qu'on tire dans un sens ou dans un autre, le jouet permet à Soult ou Louis-Philippe de taper à tour de rôle sur la Liberté. La pl. dénonce ainsi le mauvais traitement infligé par les membres du gouvernement de la monarchie de juillet à la liberté, dont les principes sont bafoués.‎


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‎Attribué à Korff, de, dessinateur lithographe‎

Reference : 25263

‎Ah ! je te connais paillasse ! - Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 30 janvier 1834 (Planche n°357) -Lithographie - Œuvre : Hauteur: 27cm x Largeur: 35.5cm- Image : Hauteur: 22.8cmx Largeur: 28.5cm - Titre en bas au centre : « Ah ! je te connais paillasse ! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal). 169. », en ht à dte : « Pl. 357. » - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur]‎


‎iconographie:Au bal de l’Opéra, Louis-Philippe, vu de dos, est déguisé en paillasse. Phiilpon se trouve face à lui, déguisé en fou (il porte notamment un bonnet surmonté de plumes et de grelots), tenant dans sa main gche, en partie caché sous sa cape, un carton à dessin mentionnant le nom de « [La] […] ricature [Caricature] », journal dont il est le directeur. Il est également muni d’un crayon lithographique. Il adresse un sourire moqueur au roi et effectue un geste de la main dte, en pointant l’index vers lui (il semble accompagner ce geste de la parole contenue dans le titre). Desnoyers, un des rédacteurs du Charivari, vu de dos, dessine une poire à face humaine dans le dos du roi. Il porte une sorte de manteau duquel pendent des grelots, par-dessus un pantalon court à grelots également. Il porte un petit tambour en bandoulière, sur laquelle figure le nom du journal d’opposition : « CHARIVARI ». A l’arrière-plan, l’intérieur de la salle ronde de l’opéra dans laquelle se trouve la foule participant au carnaval. La pl. propose une confrontation directe entre le roi des Français et les directeurs des deux principaux journaux d’opposition caricaturant abondamment le roi.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) (Roquevaire, 01–06–1811 - Alger, 14–01–1847), dessinateur‎

Reference : 26370

‎Aristocratie et Démocratie - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 27 novembre 1834 (Planche n°443)Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 19.8cmx Largeur: 29.3cm - Titre en bas au centre : « Aristocratie et Démocratie. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°212. », en ht à dte : « Pl. 443. »Inscription - Dans la lettre : "Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat." [éditeur], "Lith : Delaunois, r. du Bouloi, 19.",dans l'etat‎


‎Face à face, un chat, dont la tête anthropomorphe affiche d'épais favoris, sur un fauteuil et un bouledogue, portant le bonnet phrygien, l'aristocratie d'un côté, la démocratie de l'autre. L'explication décrypte cette scène allégorique : "Sous cette double personnification purement allégorique, se trouvent résumés les deux grands intérêts autour desquels se groupent tous les autres, et qui se disputent l'ordre social actuel. Le chat c'est la royauté, c'est la pairie, c'est le privilège électoral, c'est la liste civile, c'est le cumul, c'est le despotisme, c'est la peur, c'est l'égoïsme, c'est l'exploitation du grand nombre par le petit. ce magnifique bouledogue, au contraire, c'est la souveraineté des peuples, c'est la liberté, c'est légalité politique, c'est le devouement, c'est l'indépendence et la gloire nationale, c'est le peuple, en unh mot." Le chat-aristocratie "se tient sur ses gardes, prêt à défendre à coup de griffes la position élevée où il s'est retranché". Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Traviès de Villers, Charles Joseph (dit C. J. Traviès) (Winterthour ou Winterthur, 21–02–1804 - Paris, 13–08–1859), dessinateur - BENARD ‎

Reference : 26361

‎Belles têtes, dit-il ; mais de cervelle point (Lafontaine.) -Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 27 mars 1834 (Planche n°374)- Hauteur: 35.5cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 23.5cmx Largeur: 18.5cm - Titre en ht au centre : « Le Renard et les Masques » ; légende en bas au centre : « « Belle tête, dit-il ; mais de cervelle point. » // (Lafontaine [La Fontaine].) » ; indications : en ht à gauche : « La Caricature (Journal) N°177. », en ht à dte : « Pl. 374. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Benard. » [imprimeur]Inscription - A côté du masque de Thiers, un livre dont le titre est en partie illisible. Il s’agit sans doute de la représentation d’un vol. de l’ « histoire [de la révolution française] » que Thiers écrivit entre 1823 et 1827. Derrière le masque de Lobau semble se trouver une seringue à clystère, son attribut caricatural traditionnel.‎


‎La pl. est une référence à la fable d’Esope Le renard et le masque : « Un renard s’étant glissé dans la maison d’un acteur, fouilla successivement toutes ses hardes, et trouva, entre autres objets, une tête de masque artistement travaillée. Il la prit dans ses pattes et dit : « Oh ! quelle tête ! mais elle n’a pas de cervelle. » ». Mais c’est la fable Le renard et le buste écrite par Jean de Lafontaine (14e fable du livre IV, 1668), inspirée de celle d’Esope, que La Caricature reproduit en explication, en changeant le terme « seigneurs » du dernier vers en « saigneurs » pour dénoncer la violence que fait subir le gouvernement aux Français. Tandis que la plupart des hommes peuvent se laisser facilement tromper par la belle apparence des choses et des personnes, le renard examine les choses plus profondément. Dans la pl., le renard représente les contributeurs de "La Caricature" et, plus largement, les hommes cherchant à décrypter la politique de la monarchie de Juillet. Le renard est malin et s’aperçoit que derrière les belles apparences trompeuses des masques des membres du gouvernement, il n’y a pas de cervelle, et donc aucune réflexion. Chez le fripier de la pl., ce sont des masques de Louis-Philippe, de Soult, de Lobau, de d’Argout et de Thiers que le renard analyse. Au mur du fond sont accrochés un costume de Pierrot et un costume de bergère, entre autres… A la fenêtre pendent des masques sur des fils. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

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‎Attribué à Traviès de Villers, Charles Joseph (dit C. J. Traviès)‎

Reference : 26371

‎Caligula fit son cheval président du Sénat- Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 25 décembre 1834 (Planche n°451) :Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 21cmx Largeur: 27cm- Titre en bas au centre : « Caligula fit son cheval président du Sénat. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°216. », en ht à dte : « Pl. 451. »- Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, Galerie Vero-Dodat » [éditeur], « Litho. Delaunais, r. du Bouloi, 19. » [imprimeur]‎


‎La passion de l'empereur Caligula pour son cheval Incitatus est rapporté par Suetone (Vie de Caligula, LV) : "La veille des jeux du cirque, il ordonnait à des soldats d'imposer silence à tout le voisinage pour que rien ne troublât le repos de son cheval Incitatus. Il lui fit faire une écurie de marbre, une crèche d'ivoire, des housses de pourpre et des licous garnis de pierres précieuses. Il lui donna un palais, des esclaves et un mobilier, afin que les personnes invitées en son nom fussent reçues plus magnifiquement. On dit même qu'il voulait le faire consul." Bien que l'explication s'en défende ("Nous ne croyons pas que l'auteur de cette planche ait voulu faire allusion à quelque moderne présidence"), l'allusion à Louis-Philippe dans le rôle de Caligula et au maréchal Mortier dans celui d'Incitatus ne fait aucun doute. Dans une écurie, où l'on distingue en arrière-fond d'autres chevaux à visage humain, Louis-Philippe, vêtu à l'antique, désigne d'un geste de la main Mortier en cheval, tenant entre les dents la bride royale, portant autour du cou la croix de la légion d'honneur, une couverture marquée "PRESIDENCE" sur le dos. Le passé de Mortier sous l'Empire est rappelé par le "N" napoléonien sur sa croupe. Entre les le roi-Claigula et son ministre chevalin, on aperçoit, débordant d'une mangeoire, une croix de la légion d'honneur, un portefeuille et une bourse pleine d'argent. La planche donne à voir la "bêtise" du nouveau président du conseil. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Traviès de Villers, Charles Joseph (dit C. J. Traviès)‎

Reference : 26376

‎Décidement ! l'arbre est pourri, il n’y a pas une branche de bonne - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 19 septembre 1833 (Planche n°313)Lithographie- Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm - Image: Hauteur: 19cmx Largeur: 26.5cm - Titre en bas au centre : « Décidément ! // l’arbre est pourri, il n’y a pas une branche de bonne. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°150. », en ht à dte : « Pl. 313. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur]‎


‎Dans un bois ou un jardin, deux bûcherons républicains portant le bonnet phrygien à cocarde tricolore sont occupés à couper le tronc d’un arbre. L’homme de gche s’apprête à porter un grand coup de hache, tandis que la figure de dte appuie sa hache par terre et s’adresse au spectateur en désignant le tronc. Ce tronc, dont les racines ne sont presque plus raccrochées au sol, porte des médaillons à motifs. La pl. peut être lue selon deux sens, d’après l’explication. D’abord, ce pourrait être un conseil donné aux Portugais qui hésitent à prendre comme roi Miguel et Pedro : la pl. est sans appel, l’un ne vaut pas mieux que l’autre. Ensuite, « la seconde allégorie consiste à voir dans le tronc de l’arbre, le principe monarchique, principe décrépit et qui tombe en poussière sous la hache de l’opinion ». Deux branches sont représentées sur cet arbre : la première, brisée déjà, représente la monarchie absolue, laquelle fut balayée par la révolution. Elle porte sur elle les profils des rois, à la manière de camées. La seconde, encore attachée à l’arbre, mais que le bûcheron s’apprête à couper, est celle de la monarchie de Juillet. Elle porte des macarons à motif de poires, symbole caricatural de Louis-Philippe, et plus largement des Orléans. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Traviès de Villers, Charles Joseph (dit C. J. Traviès)‎

Reference : 25224

‎Orgue-Viennet Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 5 septembre 1833 (Planche n°310) - Dimensions - Œuvre : Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm - Image Hauteur: 22.5cm x Largeur: 33cm - Titre en bas au centre : « Orgue-Viennet. » ; légendes sous la partition de musique sur laquelle se trouvent des notes : « Hi han ! hi han ! hi han ! hi han ! hi han ! hi han ! hi han ! »; indications: en ht à gauche: « La Caricature (Journal) N°148. », en ht à dte : « Pl. 310. »Inscription - Dans la lettre: « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur]Inscription - Sur la joue de chaque âne, notes de musique, de gauche à droite : « MI », « SOL », « LA », « SI », « UT ». « UT » marque également l’arrière train du premier âne‎


‎La pl. se moque des talents artistiques de Viennet, en faisant référence à son "Epître aux mules de Don Miguel" (1829). Cf. séjour, effectué par Viennet en août 1833 à Estagel (commune des Pyrénées-Orientales où il possèdait une forge ; l’explication de la pl. précise que la principale fabrique des « orgues-Viennet » se trouve justement dans la commune d’Estagel), largement critiqué et tourné en dérision par "La Caricature" dans des articles. La pl. présente Viennet, à gauche, tapant sur les touches d’un orgue. Le son des notes jouées sortent de la gueule de plusieurs ânes. Chaque âne représente une note de musique. Tandis que les mains du musicien activent des notes qui sortent des tubes de l’orgue, ses pieds activent un éperon qui vient toucher le ventre des ânes, lesquels braient. L’air joué est Où peut-on être mieux qu’au sein de sa famille ?: hymne national non officiel du Royaume de France durant la Première Restauration et la Seconde Restauration entre 1815 et 1830, cette chanson était principalement jouée lors de la présence de la famille royale. Le titre de la chanson a été souvent considéré comme faisant référence à l'Ancien Régime. Ainsi, dans ses Etats Français sur l'insurrection de Paris de 1832, Heinrich Heine cite la ligne, la plaçant en relation avec le Roi des Français Louis-Philippe : « Le Roi des Français est entouré des canons des Français : où peut-on être mieux qu'au sein de sa famille »Personnage représenté:Viennet, Jean Pons Guillaume Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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