Chez l'auteur. Non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. partiel. décollorée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 198 p., sparadrap sur le dos.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Les raisons de la foi. Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Paris, Schleicher Frères, 1911 ; in-8, broché ; 93 pp., (2) ff. marque d’imprimeur et présentation de la Société de la Morale de la Nature.
RARE. Absent de Caillet et Dorbon.Récusation de la philosophie véhiculée par le Christ. La Société de la Morale de la Nature était oposée à toutes religions, prônant un athéisme philosophique basé sur le respect de la vie et de la nature.Couverture tachée, intérieur en bon état.
Phone number : 06 60 22 21 35
La Table Ronde. 1999. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 525 pages. Couverture rempilée.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
"Collecition : ""Les chemins de la sagesse"". Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle"
LA PALATINE. 12 sept. 1969. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 205 pages. Couverture rempliée.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
LA PALATINE. 15 octobre 1970. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 207 pages. Couverture rempliée.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
LA TABLE RONDE. Mars 1990. In-12. Broché. Bon état, Couv. fraîche, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 253 pages.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Perrin Broché Perrin et Cie 1893, In-8 broché. 420 pages. Bon état.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
, Desclée de Brouwer 1963 287pp., dans la série "Studia - recherches de philosophie et de théologie publiées par les Facultés S.J. de Montréal" vol.14, bon état, R27938
Bruges, 1963 284pp., Disseration présentée à la faculté de philosophie de l'Université pontificale grégorienne à Rome, 24cm., brochure originale, cachet au verso de la p.d.t., texte frais, bon état, R103664
CAHIERS DE LA QUINZAINE.. 23 mai 1905. In-12. Broché. Etat passable, Tâchée, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 130 pages. Manques sur le dos. Plats défraichis. Dos fendu.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Réflexions d'un profane sur l'affaire Loisy. 17ème cahier de la 6ème série. Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
P.Lethielleux. 1941. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 61 p., sparadrap sur le dos. Manque le coin supérieur du 1er plat.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Colloques pour les heures d'angoisse. Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
EDITIONS DU CENTURION. 1962. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 123 pages.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
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1833 1833. Planche 274 de La Caricature N° 132.La Caricature, 16 mai, 1833. Lithographie originale sur Velin blanc. . . Belle épreuve en noir et pli vertical,plis;lithographie en noir sur velin blanc,,tirage bien noir malgré l'image jaunie
bon etat, leger pli horizontal et vertical d'epoque..Translation:
1833 Planche 286 de La Caricature N° 138. La Caricature, 27 juin, 1833. Lithographie originale sur Velin blanc. . ., épreuve en noir, plis central ,plis en marge ;lithographie sur velin blanc,tirage noir malgré l'image jaunie
1833 Planche 286 de La Caricature N° 138. La Caricature, 27 juin, 1833. Lithographie originale sur Velin blanc. . ., épreuve en noir, plis central ,plis en marge ;lithographie sur velin blanc,tirage noir malgré l'image jaunie,petite tache jaune coin haut
1833 Planche 282 de La Caricature N° 136. La Caricature, 13 juin, 1833. Lithographie originale sur Velin blanc. . ., épreuve en noir, plis central ,plis en marge ;lithographie sur velin blanc,tirage noir malgré l'image jaunie
Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 4 avril 1833 (Planche n°262) -Dimensions Hauteur: 27cmx Largeur: 35.8cm - Image: Hauteur: 19.5cm x Largeur: 25.6cm - Titre en bas au centre : « La reconnaissance est la vertu des rois. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°126. », en ht à dte : « Pl. 262. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue de Furstemberg N°6. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; attribution : Auguste Desperet, dessinateur ?Au sommet de deux marches recouvertes d’un tapis décoré de motifs de poires entourées de rayons et contenues dans un cadre en forme de poire, un trône sur lequel est assis une figure hybride composée de jambes d’être humain, habillé, et d’une poire faisant office de buste et de tête. Il s’agit d’une représentation caricaturale du roi Louis-Philippe, décoré du cordon et de la croix d’honneur. La feuille accrochée à la tige au-dessus de la tête faisant office de toupet. Le trône est décoré de petites poires au-dessus du dossier, à gche et à dte. La jambe dte étendue, le roi donne un coup de pied dans les fesses de Jacques Laffitte, qui se voit alors forcé de s’éloigner du trône. Il regarde le spectateur. Il s’agit d’une dénonciation de l’écartement de Laffitte du gouvernement, décidé par le roi. Laffitte avait été président du conseil du 2 novembre 1830 au 13 mars 1831, et fut contraint, à cette date, de démissionner. Le titre de la pl. est ironique et souligne l’ingratitude du roi des Français envers un homme qui participa activement à son accession au trône. La pl. date d’avril 1833, soit presque deux ans après les faits. Cette éviction de Laffitte a donc durablement marqué les esprits. La représentation de Laffitte n’est pas caricaturale mais présente au contraire un portrait fidèle à la réalité. Sur le même sujet, cf. pl. 260 du numéro 125 (28 mars 1833).Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 4, 11 octobre 1832 (Planche n°206) Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image:: Hauteur: 18.4cmx Largeur: 28.4cm- Titre en bas au centre : « Le Quinctius Cincinnatus moderne. » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°101.) », en ht à dte : « Pl. 206. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » ; dans l’image, en bas à gche, signature : « A.D. invt et fect. » [Auguste Desperet, dessinateur lithographe] - Taches en marge
La table des matières du 4e vol. de "La Caricature" précise le titre : « MM. Persil et Ganneron venant offrir un portefeuille à M. Dupin ». André Dupin est représenté à dte en habit d’avocat, refaisant le lacet de sa chaussure sur un tronc d’arbre. Parodie de la statue antique de Lucius Quinctius Cincinnatus, consul romain et dictateur, traditionnellement représenté tenant les faisceaux du pouvoir et sa charrue. Ici, on aperçoit la charrue à dte. Un homme (Casimir Périer, qui voulait à tout prix avoir Dupin dans son ministère ?) vient lui apporter le portefeuille d’un « MINISTERE ». Un troisième personnage, à gche, observe la scène : il s’agit de Ganneron ( ?), le vendeur de chandelles. La pl. se moque de Dupin qui voulait qu’on le supplie d’être ministre, tel Quinctius Cincinnatus que les sénateurs vinrent supplier de prendre le pouvoir en 458 avant J.-C. Cincinnatus fut un modèle de simplicité et d’humilité, contrairement à Dupin qui lui est comparé de façon tout à fait ironique. Dupin fut nommé procureur général près la cour de cassation en août 1830, puis élu à la présidence de la chambre des députés en novembre 1832, mais ne fut en réalité pas ministre dans le gouvernement Soult. D’après Antonetti, Dupin était l’homme qui refus[ait] toujours les ministères, sous prétexte qu’il [était] plus utile ailleurs, mais qui [était] dévoré de l’envie d’être ministre et qui s’aigri[ssait] de ce qu’on ne le suppli[ât] pas d’accepter un portefeuille !
Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 6, 13 juin 1833 (Planche n°282)- Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm - Image: Hauteur: 19.5cmx Largeur: 28cm- Titre en bas au centre : « Pauvres aveugles. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°136. », en ht à dte : « Pl. 282. »Inscription - Dans la lettre : « chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg N°6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « A. D. » [Auguste Desperet, dessinateur]
L’explication de la pl. (p. 1083) indique que c’est l’injustice provoquée par la libération, sans jugement, de la duchesse de Berry, qui a inspiré cette pl. à La Caricature. Conduit par Louis-Philippe (qui porte en besace un sac contenant les « 14 […] 000000 // m […] [millions] » de la liste civile), vu de dos et portant une visière de guide, un cortège de ministres s’apprête à tomber dans le « Gouffre de // l’illégalité ». Le roi s’appuie sur le bâton de l’ « ordre public ». Tous les personnages sont aveugles et se tiennent les uns aux autres. Les fanaux censés les guider sont les journaux patriotes (la « TRIBUNE » et le « NATIONAL »), mais la lumière qu’ils émettent ne sert à rien, puisque les ministres sont aveugles. Les pierres d’achoppement sont les arrêts de cassation (« arrêt de la // cour de // cassation // affaires du // national // chariva […] [charivari] », « arrêt // de la // cour de // cassation // etat [état] de s […] [siège] », « Etat // de // Siège »). Les ministres portent chacun une besace contenant la somme de « 80,00000 // f… », car « le dieu de ces hommes, c’est l’argent » (in explication. La pl. dénonce l’attrait financier auquel cèdent les ministres du gouvernement). Celle de Soult précise que cet argent provient des « Pots de vin // etc etc… ». De gche à dte : d’Argout, s’appuyant sur un personnage non identifiable car vu de dos, puis Barthe, et Guizot, qui se laisse guider par Soult, lequel s’appuie sur le bâton de l’ « Etat de Siège ». Thiers, plus petit, s’agrippe à Guizot et se laisse guider. Enfin, Broglie enjambe une pierre et se guide à l’aide du bâton de l’ « ordre public ». Et « c’est de gaîté de cœur qu’ils vont se jeter dans le précipice où la mort les attend » (in explication). La pl. est une parodie du tableau La parabole des aveugles par Pieter Bruegel l’Ancien (1568 ; Naples, musée Capodimonte). Référence à la parabole du Christ adressée aux Pharisiens : « Laissez-les. Ce sont des aveugles qui guident des aveugles. Or, si un aveugle guide un aveugle, ils tomberont tous deux dans la fosse. ». La pl. de Desperet reprend cette prédiction et prévoit la perte des ministres de la monarchie de juillet.Personne / Personnage représenté:Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Broglie, Victor de, duc; Barthe, Félix; Thiers, Adolphe; Guizot, François; Soult, Nicolas-Jean de Dieu
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 4, 11 octobre 1832 (Planche n°207)) Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 19.6cmx Largeur: 25.5cm - Titre en bas au centre : « Quand finira donc cette partie ? » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°101) », en ht à dte : « Pl. 207. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert n°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; attribution : Auguste Desperet, dessinateur lithographe ? Taches en marge
Assis, de trois quarts dos, Louis-Philippe joue au jeu d’échecs avec une figure féminine incarnant la liberté (et/ou la république) portant le bonnet phrygien. Derrière le siège du roi se trouvent des sacs (de pièces d’or), tandis que les pavés des barricades servent d’assise à la Liberté. La pl. met en image la lutte dans laquelle s’affrontent le gouvernement de Juillet et les républicains, jugeant que ce dernier ne respectent pas les principes de la liberté.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 7 mars 1833 (Planche n°252 )- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.8cmx Largeur: 27.3cm - Image: Hauteur: 28.2cmx Largeur: 22.7cm - Titre en bas au centre : « Si elle tombait vous seriez écrasés. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°122. », en ht à dte : « Pl. 252. » - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur - Inscription - Les tables de la « LOI » derrière la figure de la république. Sur le globe : « ASIE » et « EUROPE »Au bas des marches de ce qui semble être la chambre des députés, la statue de la Liberté juchée sur un piédestal. Sept hommes ont accroché des ficelles autour de son cou et de son torse et tirent de toute leur force pour la faire tomber. De gche à dte : Barthe, qui regarde le spectateur d’un air affolé, Louis-Philippe de dos (mais reconnaissable aux favoris et au toupet), et Soult, de face. Au centre, d’Argout, ayant tiré trop fortement sur la corde, l’a cassée. Il tombe à la renverse. Trois autres ministres, dont les visages sont cachés, tirent de toutes leurs forces, à dte. L’un d’eux regarde le spectateur. Ils sont difficilement identifiables. La pl. dénonce le bafouement des valeurs de la république par les membres du gouvernement, en particulier la liberté. L’explication établit une comparaison entre l’acharnement à détruire au sens propre les statues de Napoléon après sa chute, et la volonté de faire tomber les valeurs républicaines, sous le règne de Louis-Philippe, au sens figuré.
Lithographie Pl. 395 La Caricature politique, morale, littéraire et scénique: Dimensions - Œuvre = Hauteur: 35.8cm x Largeur: 27.2cm,bon état.
Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 10 mai 1832 (Planche n°161),pli central ,tache - Œuvre : Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm - Image :Hauteur: 24cm xLargeur: 22cm- Titre en bas au centre : « Enigme. // Plusieurs têtes de fous dans un bonnet de coton blanc formant la // poire……….devinez ! // c’est le juste-milieu. »- Dans la lettre : « Lith de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur]
iconographie:Ressemblant à une poire (allusion à Louis-Philippe, et plus largement au juste-milieu), un seul et même bonnet de coton blanc couvre la tête de cinq personnages, membres du gouvernement : baron Louis, Barthe, Périer, Soult, d’Argout (protagonistes du gouvernement Périer). Le bonnet de coton est traditionnellement considéré comme un symbole de la folie. Il est aussi un bonnet de nuit d’ « épicier » (in explication), couvrant le ministère du 13 mars : ainsi, c’est la tonalité bourgeoise du gouvernement qui est dénoncée iciPersonnages représentés:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Périer, Casimir; Barthe, Félix; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron
Lithographie : planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 31 janvier 1833, (Planche n°242) - Œuvre : Hauteur: 27.3cmx Largeur: 25.8cm - Image : Hauteur: 20.3cmx Largeur: 25cm- Titre en bas au centre : « Grand conquérant ! // Ta renommée fera le tour du monde. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°117. », en ht à dte : « Pl. 242. » - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert, N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur]
iconographie:Le duc d’Orléans s’est illustré lors de la prise de la citadelle d’Anvers, en commandant l’armée française contre les troupes hollandaises dans la nuit du 29 au 30 novembre 1832. À l’attaque meurtrière de la lunette Saint-Laurent, il s’élança sur le parapet au milieu d’une grêle de projectiles de toute espèce pour diriger l’action et stimuler le courage des soldats. La pl. se moque de cet exploit en le représentant, dans la partie inf. de la composition, à cheval, franchissant arcs de triomphe après arcs de triomphe, en passant entre des admirateurs à genoux. Il est suivi d’un autre cavalier, qui semble être un enfant (peut-être s’agit-il du duc de Joinville) La partie sup. de la composition représente un la personnification de « LA CARICATURE », le journal (mots écrits sur la bandoulière du carquois), sous la forme traditionnelle du fou du roi (bonnet à grelots, chemise aux épaules bouffantes, chausses pointues), mais cette fois-ci volant dans les airs. Il est assimilé à l’allégorie de la Renommée, avec les attributs traditionnels tels que les ailes et les trompettes, afin de clamer partout la gloire du personnage concerné (ici, le duc d’Orléans). Or, cette parodie de la Renommée tient dans la main dte des trompettes portant le nom de caricaturistes contributeurs au journal La Caricature : « A. Bouquet » (Auguste Bouquet), « C. Philipon » (Charles Philipon), « E. Forest » (Eugène Forest), « A. Desperet » (Auguste Desperet). Il souffle dans une cinquième trompette mentionnant le nom de « Grandville » (Jean-Jacques Grandville). L’étendard accroché à cette trompette est décoré de la poire de Louis-Philippe. Ainsi, symboliquement, cette Renommée chante la gloire du duc d’Orléans, mais en passant par le filtre de la caricature. La pl. tourne sa gloire en dérision.Personnage représenté: Orléans, Ferdinand-Philippe d', duc
EDITIONS SPES. 1944. In-12. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos plié, Pliures. 224 pages.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle
Méditations pour aujourd'hui. Action populaire. Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle