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‎Grandmaison Henri de‎

Reference : 100050782

(1976)

‎Chronique insolente d'une ville de province + La province trahie‎

‎Le cercle d'or 1976 in8. 1976. Broché.‎


‎Bon Etat de conservation couvertures défraîchies bords frottés intérieurs frais‎

Un Autre Monde - Val Couoesnon

Phone number : 07.69.73.87.31

EUR17.00 (€17.00 )

‎Grand'Maison Jacques‎

Reference : 100122945

(1977)

‎Une société en quête d'éthique (Cahiers de recherche éthique - 5)‎

‎Fidès 1977 in8. 1977. Broché.‎


‎couverture défraîchie intérieur propre‎

Un Autre Monde - Val Couoesnon

Phone number : 07.69.73.87.31

EUR12.00 (€12.00 )

‎GRANDMAISON Marie de (Madame) ‎

Reference : 9381

‎Pour lire à Bébé.‎

‎In 8 cartonné souple,couverture illustrée en chromolithographie,10 pages, 8 illustrations en chromolithographie,et 14 en sépia-indéchirable sur toile. Paris Bernardin Fils éditeur. sans date .(vers 1890) Quelques traces de manipulations, sans gravité ‎


Charbonnel - Bar le Duc

Phone number : 03 29 79 40 63

EUR35.00 (€35.00 )

‎Grandville‎

Reference : 25640

‎MOYENS COERCITIFS Employés définitivement et sans remise contre la citadelle d’Anvers, après négociations, notifications, ratifications, sommations et mystification sans solution.Lithographie double coloriée sur blanc- Hand-coloured lithograph,.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 13 décembre 1832 (Planche n°227-228)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.8cmx Largeur: 52.9cm - Image: Hauteur: 22cmx Largeur: 40cm - Titre en bas au centre : « MOYENS COERCITIFS » ; légende plus bas au centre : « Employés définitivement et sans remise contre la citadelle d’Anvers, après négociations, notifications, // ratifications, sommations et mystification sans solution. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N° 110. », en ht à dte : « Pl. 227 et 228. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, sur le dossier d’un fauteuil, à gche, signature : « JJG » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur]‎


‎iconographie:La pl. dénonce la participation de la France à la guerre de Belgique face aux troupes hollandaises. Prise du port d’Anvers du 15 au 25 novembre 1832. D’après "La Caricature", les raisons sont mauvaises. En effet, elle estime que c’est en grande partie pour affermir sur le trône de Belgique le gendre de Louis-Philippe, Léopold Ier (marié à la fille du roi des Français, Louise d’Orléans) que la France s’est engagée dans la guerre. La pl. présente quatre personnages jouant à la guerre comme des enfants avec des jouets. Bien qu’ayant des traits d’adulte, ils ont en revanche une taille d’enfant. De dte à gche : Soult, Henri de Rigny, un personnage non identifié, et Louis-Philippe, vu de trois quarts dos, mais reconnaissable aux favoris et au toupet. Soult vise avec un petit canon monté sur des livres (« DROIT CANON », « POIS CHICHES »). Les boulets de canon sont des pois chiches contenus dans un petit bol. Rigny souffle sur des petits bateaux en papier flottant sur l’eau d’une écuelle (les bateaux « Suffren », « RESOLU », « calipso », « conway ») et a le coude posé sur une feuille de papier où se lit « Escadres // Combinées ». Le 3e personnage tient un drapeau tricolore portant l’inscription « AVEC LA // PERMISSION // DE // L’ANGLETER […] [ANGLETERRE] » et tire à la sarbacane un « HARICOT BLANC ». Le son émis par cet objet est retranscrit : « Tu…tutu…turlututu…tu…tu…tu ». La hauteur de vol du haricot est calculée au-dessus de la tête d’un des soldats que Louis-Philippe positionne (de 1 à 6 en « pieds ») pour attaquer la citadelle d’Anvers dont la maquette se trouve à l’extrême gche de la composition. Des cocottes en papier sont également sollicitées pour participer au combat. Un feuille mentionne « Sommation dernier // avec Frais ». Les documents posés devant la maquette portent les inscriptions « notification // Evacuation », « protoco […] [protocole] », « sommation », « notificat […] [notification] ». Un des petits soldats de plomb juchés sur les toits de la maquette et incarnant l’armée hollandaise porte le drapeau du pays avec l’inscription « TÊTU ». La pl. dénonce cette guerre meurtrière qui tua de nombreux soldats français, mais aussi bon nombre de civils belges. Grandville critique l’irresponsabilité des membres du gouvernement qui envisagent la guerre comme un jeu, sans avoir conscience des conséquences désastreuses.Personne / Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Gauthier de Rigny, Henri, comte Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

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‎Grandville ‎

Reference : 25610

(1832)

‎Naissance du juste milieu.Après un enfantement pénible de la Liberté.Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ 1832 Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 3, 2 février 1832, (Planche n°134);taches en marge.LithographieDimensions - Œuvre: Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 27.4cmx Largeur: 23cm - Titre en bas au centre : « Naissance du juste milieu. / Après un enfantement pénible de la Liberté. » ; légende plus bas au centre : « Le parrain de l’enfant montre au peuple cet embryon monstrueux. Casim.. P.. veut donner un coup de pouce / à l’accouchée souffrante. Guiz.. tient le forceps, Dup.. le Docteur se frotte les mains de plaisir, Lancelot tient / ses adoucissans [adoucissants] tous préts [prêts] le baron Ath.. porte les lettres de faire part Sébast.. et sa nourrice. Schon.. toujours à / genoux. le petit Th… et le grand poulet Gaulois au quel [auquel] il fait la nique. » ; indications, en ht à gche : « N°66 », en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « Pl. 154. »- Dans la lettre : « Lith de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « J.J. Grandville / E. Forest » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Sur la feuille reposant sous la main de la Liberté, les dates des trois journées révolutionnaires de Juillet : « 27.28.29. » juillet 1830 ; sur le drapeau à l’arrière-plan à gche: « 1831 » ; sur le drapeau à l’arrière.-plan à dte : « 1[…]0 [1830] » ; sur la bourse accrochée à la taille de Thiers : « 100.000 ». A l’arrière-plan à gche, un blason surmonté d’une couronne. Il porte les symboles caricaturaux du régime de Juillet : un bonnet de coton (folie), deux seringues à clystère entrecroisées, un sac d’argent et un coq (?)‎


‎Parodie de la "Naissance d’Henri IV" par Eugène Devéria (1827, Pau, musée des Beaux-Arts). Louis-Philippe de dos (mais reconnaissable aux favoris), portant un bonnet de coton, montre l’enfant. Casimir Périer tend sa main au-dessus de la Liberté (sous les traits d’une jeune femme) qui vient d’accoucher (allongée et portant le bonnet phrygien à cocarde tricolore). Elle semble lasse et épuisée. François Guizot tient le forceps. Charles Dupin au fond à dte se réjouit. Lobau tient une seringue à clystère. Athalin au deuxième plan porte des faire-part. Horace Sébastiani se trouve juste à côté, à dte. Schonen à genoux. Adolphe Thiers au premier plan, menaçant le coq gaulois par un geste de la main (il lui promet, par ce geste, de lui couper le coup. Assassinat de la république et des libertés). Soult, un cierge à la main, à côté de Lobau. Le duc d’Orléans se tient derrière la nourrice. Sa tête semble auréolée d’un arc-en-ciel. Au fond à gche, des membres de la garde nationale. La pl. dénonce le reniement des principes républicains par le gouvernement. Celui-ci s’est servi de la révolution de juillet pour mettre en place le régime de son choix, incarné dans le nouveau-né, celui-ci ne correspondant pas aux idéaux républicains. La pl. symbolise la déception des républicains d’assister à la naissance et au développement d’un type de régime qu’ils n’ont pas désiré Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville‎

Reference : 25252

(1832)

‎Pendant qu’il plume son coq, le russe, l’autrichien et le prussien prennent des libertés avec françe oise sa femme.- Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ 1832 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 4, 4 octobre 1832 (Planche n°205) Lithographie - Œuvre : Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image Hauteur: 17.9cmx Largeur: 26.9cm - Titre en bas au centre : « Pendant qu’il plume son coq, le russe, l’autrichien et le prussien prennent des libertés avec // françe oise sa femme. » ; indications, en ht au centre : « Caricature (Journal) // N°100. », en ht à dte : « Pl. 205 »- Dans la lettre : « Lith. de Becquet, r. Childebert, N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, passage Vero-Dodat. » ; dans l’image, en bas à dte, signature : « M. d’après J. J. Grandville »‎


‎iconographie:Dans un intérieur paysan, Louis-Philippe, figuré en fermier, plume un coq au profit du roi du Royaume-Uni, Guillaume IV, devant une cheminée. Il ne voit pas que la France, représentée par une jeune femme, se fait agresser par trois étrangers (les souverains de la Sainte-Alliance : Nicolas Ier de Russie, Frédéric-Guillaume III de Prusse et François Ier d’Autriche). A dte, le joug de l’ « ETAT DE SIEGE » dominant divers petits personnages serrés dans un fagot, au-dessus duquel est posée la « GUIZOTINE ». Une paire de ciseaux portant l’inscription : « TONTE DU // PEUPLE », un van contenant les mots : « maires », « préfets », « sous préfets »… Tel du linge sale, des journaux favorables aux gouvernements sont étendus (Débats, Constitutionnel…). Au-dessus de la cheminée, une carte géographique montrant la « FR. [FRANCE] » étriquée face aux pays de la Sainte-Alliance « AUTRICHE », « prusse » et « RUSSIE » à côté de laquelle trône le buste de Napoléon. Présence d’une salière incarnant les impôts pesant sur le peuple. Une pancarte « A LOUER » est accrochée sur le mur de gche, au-dessus d’un uniforme de soldat. En-dessous, une canne à laquelle est suspendue une figure de petit garde national à l’envers (certainement une métaphore de la volonté du gouvernement de gagner l’opinion de cette catégorie). Cette pl. est la vision que se fait Charles Philipon du gouvernement, suite à son arrestation : le roi renie les principes républicains et ne s’aperçoit pas que les nations étrangères bafouent la France et profitent de sa faiblesse pour s’étendre.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville - Desperet. Talleyrand ‎

Reference : 25136

(1833)

‎LE TRIAGE POPULAIRE…Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ 1833 Planche noire n° 305 du journal La Caricature n°146 du 22 aout 1833,pli vertical central,Lithographie. 220 x 275. Vic. col. 71. bon état,plis en coins ‎


‎Triage politique. Le Peuple passant le gouvernement au tamis... Beaucoup ne passent pas. Lithographie de Grandville et Desperret parue dans la Caricature . Talleyrand est de dos dans la brouette. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville , dessinateur - Attribué à Julien, Bernard-Romain‎

Reference : 25649

‎Rien n’est si dangereux qu’un ignorant ami ; Mieux vaudrait un sage ennemi - Lithographie sur blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 16 août 1832 (Planche n°191- Lithographie - Œuvre:Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 22cmx Largeur: 28.8cm - Titre en bas au centre : « Rien n’est si dangereux qu’un ignorant ami ; // Mieux vaudrait un sage ennemi. » ; légende plus bas à dte : « (L’ours et l’amateur de jardins. Lafontaine.) » ; indications, en ht à gche : « La Caricature (Journal) // (N°93) », en ht à dte : « Pl. 191. » - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert Galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « Grandville et Julien » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Bernard-Romain Julien, lithographe ?]Inscription - Sur la pierre tenue par l’ours : « Procès », « Saisies » ; sur les ailes de la grosse mouche : « Caricature », « Journal » ; sur les liasses de papier sur lesquelles s’est endormi le roi : « Protocole 7 », « Protocole 9999 »Description iconographique:Observations : cf. explication de la pl. p. 742 et l’article « VINGT ET UNIEME SAISIE » p. 739. Parodie de la fable de La Fontaine "L’ours et l’amateur des jardins", dans laquelle un ours assomme un vieillard endormi avec une pierre alors qu’il voulait simplement tuer une mouche. La pl. dénonce les moyens répressifs considérables déployés par le gouvernement (saisies, procès) à l’encontre de certaines pl. (en l’occurrence, il s’agit de la pl. 187 du numéro 92 de La Caricature). Ici, dans un jardin, au premier plan à dte, l’ours incarne le mandat Zangiacomi qui permit la saisie de plusieurs numéros de La Caricature. A bout de bras, il tient une pierre en l’air, qu’il s’apprête à jeter sur la mouche incarnant le journal La Caricature, posée sur un homme endormi par terre, le roi Louis-Philippe. Ce dernier est reconnaissable à sa coiffure (toupet), au parapluie et au chapeau à cocarde tricolore disposés à dte de la composition. La pl. tente d’expliquer que les saisies de pl. de La Caricature jouent finalement contre le roi, puisqu’elles tendent à en faire la publicité, à populariser des motifs inventés par le journal qui serait passés presque inaperçus sans cela. L’explication rappelle le succès populaire rencontré par les poires dessinées par Philipon lors d’une séance de son procès. Ainsi, les saisies sont jugées irresponsables puisqu’elles contribuent à détruire l’image du roi des Français, bien plus que l’image caricaturale en elle-même.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français‎


‎iconographie:Observations : cf. explication de la pl. p. 742 et l’article « VINGT ET UNIEME SAISIE » p. 739. Parodie de la fable de La Fontaine "L’ours et l’amateur des jardins", dans laquelle un ours assomme un vieillard endormi avec une pierre alors qu’il voulait simplement tuer une mouche. La pl. dénonce les moyens répressifs considérables déployés par le gouvernement (saisies, procès) à l’encontre de certaines pl. (en l’occurrence, il s’agit de la pl. 187 du numéro 92 de La Caricature). Ici, dans un jardin, au premier plan à dte, l’ours incarne le mandat Zangiacomi qui permit la saisie de plusieurs numéros de La Caricature. A bout de bras, il tient une pierre en l’air, qu’il s’apprête à jeter sur la mouche incarnant le journal La Caricature, posée sur un homme endormi par terre, le roi Louis-Philippe. Ce dernier est reconnaissable à sa coiffure (toupet), au parapluie et au chapeau à cocarde tricolore disposés à dte de la composition. La pl. tente d’expliquer que les saisies de pl. de La Caricature jouent finalement contre le roi, puisqu’elles tendent à en faire la publicité, à populariser des motifs inventés par le journal qui serait passés presque inaperçus sans cela. L’explication rappelle le succès populaire rencontré par les poires dessinées par Philipon lors d’une séance de son procès. Ainsi, les saisies sont jugées irresponsables puisqu’elles contribuent à détruire l’image du roi des Français, bien plus que l’image caricaturale en elle-même.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville , dessinateur-lithographe - Julien, Bernard-Romain, dessinateur-lithographe‎

Reference : 25648

‎Ecritoire monarchique . Lithographie sur blanc.‎

‎ Planche numérotée 298, publiée dans le journal la Caricature n°142 du 25 juillet 1833- Lithographie,taches en marge - Œuvre: Hauteur: 27.2cmxLargeur: 36.1cm‎


‎Ecritoire monarchique (IFF 45). Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville , dessinateur- Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) , dessinateur- Forest, Eugène-Hippolyte , dessinateur-lithographe‎

Reference : 25632

(1834)

‎Grand enterrement du gros Constitutionnel décédé en son hôtel rue Montmartre N°121, enface [en face] de l’apothicaire et du Marchand de Brioches.Lithographie double sur blanc.‎

‎ 1834 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 16 janvier 1834 (Planche n°351-352) - Vic. col. 72.- Lithographie, Pli vertical médian - Œuvre: Hauteur: 35.5cmx Largeur: 52.5cm - Image: Hauteur: 28.3cmx Largeur: 46.3cm - Titre en bas au centre : « Grand enterrement du gros Constitutionnel décédé en son hôtel rue Montmartre N°121, enface [en face] de l’apothicaire et du Marchand de Brioches. » ; légende plus bas au centre : « Cet infortuné vieillard tombé, après la révolution de Juillet, dans l’enfance et le philippisme fut attaqué de tous les fleaux [fléaux] qui marquerent [marquèrent] ce temps de calamités publiques, la croix dite d’honneur, la poignée de main, la truffe ministérielle enfin, il mourut frappé de l’affreux // désabonnement et s’éteignit dans les bras de ses actionnaires St. Albin (le Rousselin de 93) Chevassus (jadis attaché à la personne de Mr. de Stael) Jay (ancien censeur), Etienne (ancien censeur) », « que la terre te soit légère, ô naif [naïf] Constitutionnel !.... De profundis. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°167. », en ht à dte : « Pl. 351. 352. » - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « JJ. Grandville X Benjamin // EF » [Jean-Jacques Grandville et Benjamin Roubaud, dessinateurs, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Grandville porte les « titres de gloire » (in explication) du journal : « articles Béotiens // banc d’huîtres // Lune de Mme de Sevigné. // Araignée diletante // Cosmétiques de Mme Ma // Articles Charadias de Mr XXX // horizons Politiques // Culte du vrai // napoles tricorniger // Fusées chromatiques // vaisseau de l’état // char de l’état ». Un pâtissier présente devant lui un registre comportant une colonne de nombreux « desabonnés [désabonnés] » et une colonne vide d’ « abonnés ». Sur l’affiche sur le mur de gche : « VENTE // par [suite ?] de décès // s’adresser // rue montmartre n°121 // en face le marchand de brioches ». Inscription en haut du mur à dte : « AUX LARMES D’ARGENT // denoyers fabricant de tombes épitaphes mausolées [ ?] »‎


‎Plusieurs articles de La Caricature s’étaient, précédemment, moqués du Constitutionnel et de ses désabonnements, qui allaient entraîner, à terme, sa chute. C’est donc la fin du journal Le Constitutionnel que la pl. propose de mettre en image. Sa mort provoque la joie d’un grand nombre de personnes et est un jour de fête. Au centre, le cercueil noir, décoré d’un motif de lune (lune-Sévignée), d’une araignée (dilettante), d’un bateau, d’une frise de poires, et d’une tête de mort. Des volatiles « fournisseur // de // plumes » sont devant. Un bonnet blanc, attribut caricatural traditionnel du Constitutionnel, se trouve au bout d’une tige et porte la croix d’honneur. Le cercueil est porté par les journaux d’opposition : le fou hilare de la « CARICATURE », le « CORSAIRE », Le National et La Tribune. Le Charivari, au premier, plan, joue du tambour pour célébrer cette mort. La marche funèbre est en réalité une grande fête pour l’opposition. Forest à dte porte un fauteuil d’académie, en forme de chaise percée (« ACADEMIQUE ET DIGESTIF »). Benjamin tient le portrait du Constitutionnel signé « Daumier » : représenté en buste, les bras croisés sur son gros ventre, assoupi, portant le bonnet de coton et la visière. Décoré de la croix d’honneur. Desperet tient l’encrier du journal en forme de poire à face humaine (Louis-Philippe). A gche au second plan, un épicier (figure du tamerlan) se lamente, et un carliste se réjouit. L’explication précise le nom des personnages se trouvant à l’arrière-plan, figures de l’opposition se réjouissant de la mort du Constitutionnel : Armand Marrast (rédacteur en chef de La Tribune), Charles Philipon (gérant de La Caricature), Becquet (imprimeur), Grégoire, Albert Cler (caricaturiste ?), Derville (contributeur à La Caricature), Altaroche (contributeur à La Caricature) et Jacques-Julien Dubochet (il participa à la création du journal d’opposition Le National). Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville & E.Forest.-‎

Reference : 25196

(1833)

‎Cérémonie des cendres politiques. (Suite) Lithographie, Coloriée Hand-coloured lithograph,-‎

‎ 1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 28 février 1833 (Planche n°250) - Hauteur: 27.3cm x Largeur: 35.8cmDimensions - Image :Hauteur: 20cmx Largeur: 28cmTitre en ht au centre : « Cérémonie des cendres politiques. // (Suite) » ; légendes en bas, de gche à dte: « Pere [Père]-Scie, // ange de la morgue. », « Madrier-Longeau, // Girafe. », « Nargout », « Guizotin // doctrinain. », « Berthe en poissarde », « Bey-dok en marlou. », « Chonaine et // Stephanus // ivres…de joie. », « leur valet // en Figaro. », « M. Vienn.. », « Air du déserteur », et, sous une partition de musique : « Le roi pas-sait [passait] etc etc » ; indications : en ht à dte : « La Caricature (Journal) Pl. 250 // N°121. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » ; dans l’image, en bas à gche, signature : « JJ. Grandville // E. Forest » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Pl. n°2 de la série "Cérémonie des cendres politiques". Cf. pl. n°1 (pl. 248 du numéro 120) et pl. n°3 (pl. 251 du numéro 121). Suite du cortège dans lequel on peut reconnaître : Persil en bourreau, affublé d’un grand nez en forme de scie dont le bout est rougi par le sang, portant la coiffe de magistrat, portant un tablier de boucher où apparaît le portrait d’un homme et sur lequel peut se lire « PEINE // DE // MORT // TOUJOURS ! // 5000000000000 // AMENDES ». Il porte une hache de la main dte (décorée d’une poire), tandis que sa main gche est salie par du sang. Madier de Montjau chevauche une fausse girafe pourve de deux jambes d’hommes montées sur des échasses. La girafe est couverte par un carapaçon orné du motif de la poire à face humaine (Louis-Philippe). D’Argout en polichinelle vient ensuite, son costume ayant pris la forme de son grand nez au niveau du buste. Puis Guizot, en ecclésiastique tenant un petit ouvrage ouvert, fervent défenseur de la doctrine, « Berthe en poissarde », « Bey-dok en marlou » (identification difficile de ces deux personnages), puis Schonen, et la figure du "Constitutionnel", soutenu par l’incarnation du journal "Le Figaro" lequel, partageant depuis 1832 les idées du gouvernement, se fait maintenant le soutien de ses membres (« veut les relever de la boue dans laquelle il les a traînés si longtemps » in explication). Se trouve ensuite Viennet récitant des airs d’orgue de Barbarie décoré d’un motif de poire. La pl. se moque de son activité de poète.‎


‎Personnages représentés:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Schonen, Auguste Jean Marie de, baron; Madier de Montjau, Joseph Paulin; Viennet, Jean Pons Guillaume; Guizot, François; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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EUR230.00 (€230.00 )

‎Grandville & E.Forest.-‎

Reference : 24407

(1832)

‎Résurrection de la Censure Et elle ressuscita le troisième jour après sa mort » (évangile St Luc) - Lithographie en noir.‎

‎ 1832 Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 3, 5 janvier 1832, (Planche n°125)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 27.8cmx Largeur: 26.6cm- Titre en bas au centre : « Résurrection de la Censure. » ; légende plus bas au centre : « Et elle ressuscita le troisième jour après sa mort » (évangile St Luc) » ; indications, en ht à gche : « N°62. », en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « Pl. 125. Inscription - Dans la lettre : Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro-dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « J.J. Grandville / E. Forest [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Sur les façades de théâtre, de gche à dte : « THEA[…] [THÉÂTRE] DE VARIÉTÉS », « […] [THÉÂTRE] NOUVEAU » ; noms des journaux indiqués sur des personnages ou des numéros épars : « CONSTITUTION[…] [CONSTITUTIONNEL] », « LA FRANCE [ ?] », « LA TRIBUNE » ; dans la boîte, sur des papiers : « PROCES du / MARECHAL / NEY » (maréchal Ney condamné à mort en 1815 ; jugé injuste par La Caricature); sur des pierres en bas,‎


‎ Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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EUR120.00 (€120.00 )

‎Grandville & E.Forest.- Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de‎

Reference : 25197

(1833)

‎Vite main et Coussin pleurant le 21 Janvier - Pl. n°3 de la série " Cérémonie des cendres politiques "- Lithographie, Coloriée -Hand-coloured lithograph,‎

‎ 1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 28 février 1833 (Planche n°251)- Hauteur: 27.3cm-Largeur: 35.8cmDimensions - Image :Hauteur: 15cm xLargeur: 31.5cm -[sans titre] ; légendes en bas, de gche à dte et de ht en bas : « Vite main et Coussin // pleurant le 21 Janvier. », « Un monstre // en Kératry. », « Le Constitutionnel // Jocrisse. », « La gratification portée par la France nouvelle, les Débats, le // Nouvelliste, Le bonhomme Richard, Le moniteur, l’Intendant // des Casseroles. », « La Gazette et la Quotidienne, // en folies », « Mr Roule, // fournisseur des vins de la Cour », « Le Diable boiteux, // prince de bien-au-vent et de Périgord. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°121. », en ht à dte : « Pl. 251. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, r. Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « J. J. Grand // E. For » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe] - Inscription - Sur la capuche de Villemain et Cousin : « 21 Janvier » (en référence à la date d’exécution de Louis XVI en 1793) ; sur le chapeau du Nouvelliste : « le NOUVELLISTE // Journal du Soir » et « Police »Pl. n°3 de la série "Cérémonie des cendres politiques". Cf. pl. n°1 (pl. 248 du numéro 120) et pl. n°2 (pl. 250 du numéro 121). Villemain et Victor Cousin, cachés sous des masques (loups) et enveloppés dans de grands manteaux, pleurent la chute de la monarchie qu’ils défendaient d’ailleurs auparavant. Les mouchoirs sont décorés de motifs de poires vertes. Derrière vient Kératry déguisé en monstre vert pourvu de deux cornes faites avec ses cheveux. Les incarnations des différents journaux défendant le régime portent la gratification, sous la forme d’un gros homme couché sur une civière, dont le corps est constitué de plaques avec des inscriptions. Le Constitutionnel en bouffon Jocrisse. Le Journal des « DÉBATS » en armure médiévale, le bonhomme Richard, "Le Moniteur" en vieille femme revêtu d’une calotte ornée de la cocarde tricolore, le Nouvelliste et Montalivet portant un casque en forme de poire, un brassard orné d’une fleur de lys et le visage peint en bandes bleue, blanche et rouge. La gratification est accompagnée d’un drapeau portant l’inscription « GRATIFICATION […] [GRATIFICATIONS] // accordées pour // les // Jours Gras ». Son corps est couvert de plaques grises sur lesquelles se lisent : « Fonds secret […] [secrets] », « MONITEUR », « à Mr // Vienn… // poète à // la Cour », « Bonhomme // Richard », « NOUVELLISTE », « AU FIGARO », « Aux DÉBATS », « FRANCE NOUVELLE ». Son couvre-chef porte la mention « A L’IMPRIME […] [IMPRIMERIE] // ROYALE ». Enfin, en fin de cortège, deux journaux légitimistes et carlistes incarnés par deux hommes déguisés en fous, suivis par Talleyrand, en diable, s’appuyant sur une béquille (« un diable-béni, un évêque-courtisan, le prince de Périgord » in explication). Au premier plan, « Mr Roule », portant deux seaux censés contenir du vin.‎


‎Personnages représentés:Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de; Bachasson, Marthe Camille, comte de Montalivet; Kératry, Auguste Hilarion de, comte Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎GRANDVILLE et DESPERET.‎

Reference : 25108

(1834)

‎Nicolasky Gargantuakoff. Pl. 362-363. 1834. Lithographie en noir.‎

‎ 1834 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - Lithographie. 480 x 295. Vic. col. 72. Planche double 362-363 de La Caricature N° 170.La Caricature, 20 fevrier 1834. Lithographie originale sur Velin blanc. Hauteur: 35.5cmx Largeur: 53cm - Image: Hauteur: 25.5cmx Largeur: 48.3cm.belle epreuve fraiche.‎


‎Le tsar russe Nicolas Ier est représenté tel le géant glouton Gargantua, personnage inventé par François Rabelais dans le roman éponyme (1534). Il possède une tête énorme et est attablé, attendant les mets que divers monarques doivent lui apporter à manger. Plusieurs monarques, surnommés « colossillons » dans l’explication, apportent leur tribut au tsar. Le sultan turc Mahmoud II lui a apporté la ville de « CONSTANTINOPLE [ ?] », matérialisée sous la forme d’une maquette posée dans un plat posé sur la table du tsar. François Ier d’Autriche, assis sur un tabouret, va lui donner l’ « ITALIE » (inscription sur une assiette qu’il a sur ses genoux) sous forme de « macaroni » (in explication), mais se sert d’abord, puisqu’on le voit en train de manger le plat. Guillaume IV d’Angleterre lui verse du « THE » « chauffé à la vapeur de la question belge et de la question hollandaise » (in explication) et de celle du « PORTUGAL ». Sur la table de festin du tsar se trouve une jarre dans laquelle coule d’un aigle le « SANG POLONAIS » (allusion à la non-intervention de la France pour aider le peuple polonais en 1831, tombé sous le joug de la Russie). Enfin, c’est la France qui se trouve représentée en plus grand nombre. Une grande partie des membres du gouvernement se tient en file indienne pour apporter les tributs au tsar. D’abord Louis-Philippe, tendant, accrochée à un trident décoré d’une fleur de lys, la « LIBERTÉ DE LA // PRESSE ». Thiers et Guizot, représentés de petite taille, lui apportent le « CHAPON // GAULOIS », c'est-à-dire la coq gaulois révolutionnaire, tué et prêt à être dévoré. Soult sort d’un panier l’ « obéissance // PASSIVE // De // L’armée » et les adjudications « ONEREU […] [ONEREUSES] ». Barthe vient offrir la « LOI » sur les « CRIEURS // PUBLICS » (adoptée par la France le 16 février 1834). D’Argout s’apprête à offrir les proscriptions des réfugiés (« REFUG […] [REFUGIES] // POLONAIS // ITALIENS »). Rigny apporte la « MARINE », et enfin, Lobau va offrir une seringue à clystère. Au second plan, à dte, des députés de « la chambre improstituée » (in explication), derrière une palissade, observent la scène, sans même essayer de l’empêcher. Jollivet ne regarde pas dans la bonne direction. On peut reconnaître Etienne à l’extrême dte, et peut-être Prunelle à l’extrême gche de ce groupe. La pl. met en lumière ce qu’elle considère être la soumission des pays européens à la Russie toute-puissante, dictant sa loi. La pl. se moque de la peur des monarques européens face au tsar duquel ils servent les intérêts. Les mesures autoritaires adoptées par la France vont dans le sens d’une grande répression, que la Russie applique elle-même. Recul des principes républicains et de la liberté.Personne / Personnage représenté:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Etienne, Charles Guillaume; Gauthier de Rigny, Henri, comte; Mouton, Georges, comte de Lobau; Guizot, François; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Barthe, Félix; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Jollivet, Adolphe Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville et Desperret - TALLEYRAND‎

Reference : 25151

(1833)

‎Très humbles et très dévoués gardes nationaux passés en revue par leurs très hautes, très puissantes et très colossales majestés.‎

‎ 1833 Lithographie de Grandville et Desperret parue dans le N° 159 du journal la Caricature du 21 novembre 1833. planche double n°332,pli central,qques rousseurs en marge‎


‎Le pied-bot du trône de Don Carlos est une allusion à Talleyrand.- Francois Prince von Joinville (1818-1900), Ferdinand Philippe Herzog von Orleans (1810-1842), Louis-Philippe und Leopold I. von Belgien (1790-1865) sitzen auf Sesseln und beobachten das von Marschall Georges Mouton de Lobau (1770-1838) vorgeführte Marionetten-Theater. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎GRANDVILLE et FOREST.[PRESTIDIGITATION].‎

Reference : 25105

(1832)

‎[PRESTIDIGITATION].- Mr Bosco, prestidigitateur.Lithographie originale sur Velin blanc‎

‎ 1832 1832. Lithographie.[PRESTIDIGITATION]. GRANDVILLE et FOREST. Mr Bosco, prestidigitateur. Pl. 223. 250 x 225. Vic. col. 65.Planche 223 de La Caricature N° 108.La Caricature, 29 novembre 1832. Lithographie originale sur Velin blanc,un peu jaunie,plis‎


‎La table des matières du 5e vol. de "La Caricature" apporte des précisions au titre : « Séance d’escamotage politique. Tour du pistolet philantrope [philanthrope] ». Saint Jean Bosco est le patron des prestidigitateurs. Bosco réalisait des tours de magie au 9, rue Taitbout. Il est représenté sous l’apparence de Louis-Philippe, reconnaissable de dos à ses favoris et son toupet. Le cou orné d’une fraise, il est situé sur une estrade en hauteur, devant une table sur laquelle se trouve une maquette de la chambre des députés (le roi se rendait au Palais-Bourbon le 19 novembre 1832 afin de prononcer son discours du trône). Il lève les bras en l’air. De la main dte, il tient un petit pistolet vide. A dte, caché du public par un rideau discrètement décoré de poires, en coulisses, Gisquet se tient derrière une table et regarde le spectateur. Parmi les personnes venues assister au spectacle, situées en contrebas, se trouve Thiers en train d’administer des sels à Adèle Boury faisant un malaise. Tandis que certains membres de l’assistance ont l’air admiratif, d’autres semblent plus sceptiques, notamment à l’extrême gche (sans doute s’agit-il de républicains s’inquiétant de ce tour de magie). La pl. est avant tout une parodie de l’attentat du 19 novembre 1832 sur la personne du roi. La plupart des journaux de l’opposition, dont "La Caricature", ont dénoncé cet attentat comme étant une machination mise en place par le gouvernement lui-même. Adèle Boury témoigna en affirmant avoir aperçu l’assassin, puis s’évanouit, sous le coup de l’émotion. La presse d’opposition vit en elle un des rouages du stratagème monté par la monarchie pour faire croire à un attentat. C’est ce qui explique la présence de Thiers à ses côtés. La pl. dénonce les moyens malhonnêtes employés par le roi pour regagner la faveur populaire. Le journal satirique ministériel "La Charge" avait insinué, dans son numéro 6 (11 novembre 1832) que la presse d’opposition poussait au régicide, soit huit jours avant l’attentat. Mais la presse d’opposition refuse d’endosser cette responsabilité. Selon Erre, « la presse anti-gouvernementale accuse le pouvoir de créer artificiellement un climat d’insécurité pour justifier sa mise au pas du pays et museler l’opposition ». Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte ‎

Reference : 25636

‎Digestion du Budjet ; travail administratif, politique, moral et surtout économique.- Lithographie sur blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 24 mai 1832 (Planche n°165)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 16.9cmx Largeur: 30.9cm - Titre en bas au centre : « Digestion du Bugjet [Budget] // travail administratif, politique, moral et surtout économique. » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal.) // (N°82) », en ht à dte : « Pl. 165. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « J.J.G.E.F. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Sur les liasses de feuilles en bas à gche, inscriptions : « CHATEA [CHATEAUX] », « DOTATIONS // N°150 [ ?] », [ ?] PROVISOIRE » ; sur la trappe ouverte à dte, inscription : « FONDS SECRETS »‎


‎ iconographie:Des gens du peuple versent leur argent sous forme de pièces de monnaie dans une grande cuve. A celle-ci est attaché un tuyau auquel boit Louis-Philippe, assis sur une banquette. Le contenu de la cuve, digéré par le roi, est ensuite avalé par les divers ministres du gouvernement (on peut y reconnaître le baron Louis et Casimir Périer sur le 2e banc, Keratry et Barthe sur le 3e) et enfin par le peuple, situé en fin de chaîne. Le diamètre du tuyau s’amenuise à mesure qu’il va vers ce dernier. Une trappe soulevée au premier plan par une personnification de "La Caricature" révèle qu’un second tuyau partant de la banquette du roi est destiné à alimenter les fonds secrets.Personnages représentés:Barthe, Félix; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Périer, Casimir; Kératry, Auguste Hilarion de, comte Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte ‎

Reference : 25639

‎Donnez moi la première chose venue Lithographie sur blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 4, 11 octobre1832 (Planche n°208)- Lithographie,pli central - ŒuvreHauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 24.6cmx Largeur: 18.4cm - Titre en bas au centre : « Donnez moi la première chose venue » ; légende plus bas au centre : « (La scène se passe chez le Pharmacien royal. – il s’agit // de composer un remède.) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°101) », en ht à dte : « Pl. 208. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert n°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « JJ. G. E. F. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Dans le coin inf gche, deux bouteilles de « SUCS // PROTOCOLES », et un bouquet d’herbes dans un sachet portant l’inscription : « DORMITIFS ». Sur le mur du fond, à gche, un « BAROMETRE » de l’ « Enthousiasme » portant les mesures : « République », « Glace », « Froid », « Temperé [Tempéré] », « Chaud », « à son comble ». Un petit garde national, bras droit tendu sur le côté, sert d’indicateur. Sur les bocaux rangés sur les étagères au fond : de « huile // d’Amendes // Douces » contenant une amende de « mille francs », du « Medium » contenant une poire, une « Liste Civile // 1832 », de l’ « OR », du « Dupinium // Sel neutre » contenant la figure de Dupin, de l’« Ex-Carbonaro » contenant le buste de Barthe, du « Sel Marin // neutralisé », de l’ « Eau des os », du « Sulfate d’oxygène // Désoxigéné [Désoxygéné] » contenant le baron Louis de profil en pied maintenant un portefeuille (portant l’inscription « FINANCE » sous son bras), du « Vernis Copal » contenant d’Argout de profil en pied maintenant aussi un portefeuille, du « Broglium // Aristocratisé » (duc de Broglie), du « Guizotinium // Caput mortum » (Guizot). Sur la table, d’autres bocaux de « Graine // de lin », de « Mars oxidé [oxydé] », de l’ « Extrait // de // Mercure » contenant une petit figure de Thiers, de l’ « Huile // Essencielle [Essentielle] // d’Alsace » (Georges Humann), et un billet de « PILULE [PILULES] DOREES ». Une poire en guise de bouchon ferme la fiole de la « Potion selon // la Formule » de la « PENSEE // DU 13 // MARS » (ex-gouvernement de Périer). Sous la table sur laquelle repose cette fiole, se trouve un alambic contenant du « Residu [Résidu] // de l’Etat // de Siege [Siège] ». Non loin est posé par terre un récipient d’ « Essence // Légitimité ». Sur le flanc de la table de préparation sont placardés les uns sur les autres des billets : « Ordonnance // Octtob […] [Octobre] 1832 », « Police // Dissolution », « AMENDES // PRISON »‎


‎La pl. étudie la composition du nouveau ministère, en remplacement de celui de Casimir Périer, qui s’acheva le 16 mai 1832. Après un long moment sans ministère, le gouvernement de Soult fut justement formé le jour de la publication de la pl., le 11 octobre 1832. Louis-Philippe, dont le visage n’est visible que de trois quarts dos, est le pharmacien qui prépare un remède. Soult, le nouveau président du conseil, au fond, hésite, dans son choix de nouveaux ministres, entre différents bocaux pour la préparation. La France, sous une figure de femme portant une forteresse sur la tête, assise en face du roi, attend que la préparation médicamenteuse qui lui est destinée, soit achevée. Au fond à gche, dans la petite ouverture, Lobau verse un liquide dans une seringue à clystère. La pl. est inquiète vis-à-vis du nouveau gouvernement qui va remplacer le précédent. Au vu des ingrédients que Soult est en train de choisir, la pl. a toutes les raisons d’être craintive. La patiente malade risque de ne pas guérir malgré ce nouveau médicament en préparation. Autrement dit, la France.Personne / Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Mouton, Georges, comte de Lobau Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville - Forest, Eugène-Hippolyte‎

Reference : 25248

(1832)

‎Encore une fois… Madame, voulez vous ou ne voulez vous pas divorcer, vous êtes parfaitement libre (IFF 43).Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ 1832 Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 3, 9 février 1832, (Planche n°135) - Œuvre :Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 19.1cmx Largeur: 23.4cm- Titre en bas au centre : « Encore une fois… Madame, voulez vous ou ne voulez vous pas divorcer, vous êtes parfaitement libre. » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) / (N°67.) », en ht à dte : « Pl. 135. »- Dans la lettre : « Lith. de Delaporte. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « JJ. Grand / E. For. / H. Del. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, Eugène Forest, lithographe, et « H. Del. » ( ?)]Inscription - Sur le papier tenu par Louis-Philippe : « Loi Du / Divorce / 1831 / Article » ; sur les papiers posés sur la table : « Promesse / avec […] », « Allian[…] [Alliance] / Liber[…] [Liberté] », « HOTEL / DE / VILLE » (allusion au prétendu programme de l’hôtel de ville auquel se référa fréquemment l’opposition républicaine, mais dont Louis-Philippe nia l’existence); sur les journaux jonchant le sol en bas à dte : « NÉMÉSIS », « LA CARICATURE », « La Tribune », « La Révolu[…] [Révolution] / de 1830 » (journaux de l’opposition); sur les cadres accrochés au mur du fond : « VALMY », « Jemmapes » ; à gche sur le mur, étiquettes d’un calendrier avec les dates des Trois GlorieusesDescription iconographique:La table des matières donne une précision sur le titre : « Le divorce d’Harpagon et de la Liberté ». Scène de ménage entre Louis-Philippe et la figure de la France républicaine, incarnée par une femme portant un bonnet phrygien à cocarde tricolore. Le roi brandit la loi du divorce de 1831 de la main gche et une masse de la main dte. Tous les éléments présents dans cet intérieur tendent à rendre sensible le décalage entre la fidélité aux idées républicaines rappelée par le roi (pendule de l’hôtel de ville, pavé de la révolution de juillet sous verre, tel une relique, son engagement révolutionnaire dans les batailles de Jemmapes et Valmy rappelé dans les tableaux accrochés au mur), et la réalité, c’est-à-dire, son éloignement de l’idéal révolutionnaire (coq enchaîné, buste brisé de La Fayette, journaux de l’opposition jetés à terre), et traitement infligée à la République, son épouse, dont il veut divorcer. La pl. met ainsi en lumière la volonté du roi de rompre avec les principes républicains.En outre, la pl. constitue une allusion à la loi sur le rétablissement du divorce qui venait d’être votée par la Chambre des députés (janvier 1832) et rejetée par les Pairs. Sur le même thème, cf. article du numéro 47, p. 367-370.Personne / Personnage représenté:Du Motier de La Fayette, Gilbert, marquis; Louis-Philippe Ier, roi des Français‎


‎iconographie:La table des matières donne une précision sur le titre : « Le divorce d’Harpagon et de la Liberté ». Scène de ménage entre Louis-Philippe et la figure de la France républicaine, incarnée par une femme portant un bonnet phrygien à cocarde tricolore. Le roi brandit la loi du divorce de 1831 de la main gche et une masse de la main dte. Tous les éléments présents dans cet intérieur tendent à rendre sensible le décalage entre la fidélité aux idées républicaines rappelée par le roi (pendule de l’hôtel de ville, pavé de la révolution de juillet sous verre, tel une relique, son engagement révolutionnaire dans les batailles de Jemmapes et Valmy rappelé dans les tableaux accrochés au mur), et la réalité, c’est-à-dire, son éloignement de l’idéal révolutionnaire (coq enchaîné, buste brisé de La Fayette, journaux de l’opposition jetés à terre), et traitement infligée à la République, son épouse, dont il veut divorcer. La pl. met ainsi en lumière la volonté du roi de rompre avec les principes républicains.En outre, la pl. constitue une allusion à la loi sur le rétablissement du divorce qui venait d’être votée par la Chambre des députés (janvier 1832) et rejetée par les Pairs. Sur le même thème, cf. article du numéro 47, p. 367-370.Personnages représentés:Du Motier de La Fayette, Gilbert, marquis; Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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Reference : 25646

‎Enlèvement des immondices - Lithographie sur velin blanc. ‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique volume 4, 25 octobre1832 (Planche n°211)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 24.5cmx Largeur: 20.6cm - Titre en bas au centre : « Elèvement des immondices » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°103. », en ht à dte : « Pl. 211. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, r. Childebert, 9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie Véro-Dodat. » ; dans l’image, en bas à gche, signature : « G. F. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Sous le pied droit du roi, deux feuilles avec inscriptions : « 60 » pour l’une, et « la v’la la grande // Ordonnance // qui vient de // paraitre // tout à l’heure » pour l’autre ; sous les pieds de d’Argout, deux feuilles avec inscriptions : « Exposition // Annuelle » pour l’une, et « BEAUX ARTS » pour l’autre ; aux pieds de Soult, deux feuilles avec inscriptions : « Circulaire » pour l’une, et « ETAT DE SIEGE » pour l’autre.iconographie:La table des matières du 4e vol. de "La Caricature" apporte une précision au titre : « (Promotion des 60 pairs) ». Louis-Philippe, à gche, pousse avec un balai vers la pelle de d’Argout des figurines représentant les pairs de France prêts à être jetés dans la charrette qui les emmènera vers le « PALAIS DU LUXEMBOURG ». Soult, à dte, en jette quelques-uns avec sa pelle. Les hommes sont habillés en charetiers. Une poire se trouve dans le coin inf. droit. La pl. dénonce la nomination de soixante pairs de France. Le titre joue sur la ressemblance entre les mots « enlèvement » et « élèvement ».Personnages représentés:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Louis-Philippe Ier, roi des Français‎


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Reference : 25644

‎Il faut céder à l’octroi et comment s’en dé-fen-dre [défendre] Lithographie sur blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 13 septembre 1832 (Planche n°199) - Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 19.7cmx Largeur: 29.7cm - Titre en bas au centre, sous une portée musicale : « Il faut céder à l’octroi et comment s’en dé-fen-dre [défendre] »; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal.) // (N°97.) », en ht à dte : « Pl. 199. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, sur la pancarte du bar, signature : « E.F.J.G. » [Eugène Forest, lithographe, et Jean-Jacques Grandville, dessinateur]Inscription - Sur la pancarte du bar, annonce du prix du vin : « VIN // à // 15 // 6 [barré] Sols // le litre » ; sur le sachet tenu par l’homme en train de manger à gche : « VIANDE // A LA // main » ; sur le baril tenu par un cuisinier : « Impôt sur // l’huile commune » ; sur la botte de paille : « IMPÔT // sur // le Foin » ; sur le pantalon de la personnification de l’octroi : « OCTROI // 1832 » ; à dte sur l’engin du paysan et sur le cochon : « IMPOSE » ; sur le bœuf : « SUR IMPOSE » ; sous les mains d’un enfant : « POUSSIERISME »iconographie:Observations : cf. explication p. 775 ; description, analyse : la personnification de l’octroi, de face, au premier plan : un être aux longues canines, aux ongles fourchus, et à la panse bien pleine. Il étend les bras sur des représentants du peuple. A gche, des hommes buvant et mangeant. A dte, des paysans, ainsi qu’une mère de famille assise par terre avec ses quatre enfants. Tous ont l’air effrayé de voir le monstre de l’octroi. La pl. dénonce la politique du gouvernement qui tend à imposer l’octroi sur toutes les marchandises, y compris celles de première nécessité (comme celles qui sont présentées dans la pl.), entraînant ainsi un appauvrissement considérable des masses populaires. D’après l’explication, il n’est qu’un moyen pour résister au pouvoir de l’octroi qui affaiblit surtout les pauvres gens: « c’est de faire fortune ». L’octroi participe à l’appauvrissement des plus miséreux, tandis qu’il n’handicape que très peu les privilégiés : en cela, « l’octroi est un digne soutien de la meilleure des républiques » (in explication), désignant ainsi ironiquement la monarchie de juillet et son injustice.‎


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‎Grandville - Forest, Eugène-Hippolyte‎

Reference : 25628

(1833)

‎L’AFFICHEUR. Le Constitutionnel. voilà la grande nouvelle qui vient de paraître, c’est l’extrait du Moniteur !! La Gazette. voilà le grand dementi [démenti] donné au moniteur touchant l’affaire de S.A.R. Madame la Duchesse de Berry ! - Lithographie sur blanc.‎

‎ 1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 14 mars 1833 (Planche n°256)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm - Image: Hauteur: 17.6cmx Largeur: 22.8cm - Titre en bas au centre : « L’AFFICHEUR. » ; légende plus bas au centre : « (dans le fond, la Gazette et le Constitutionnel.) », « Le Constitutionnel. voilà la grande nouvelle qui vient de paraître, c’est l’extrait du Moniteur !! La Gazette. voilà le grand // dementi [démenti] donné au moniteur touchant l’affaire de S.A.R. Madame la Duchesse de Berry ! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°223. [123] », en ht à dte : « Pl. 256. » - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « JJ Gran // EF » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]‎


‎L’affiche que le roi s’apprête à coller mentionne le titre « LE DESHONNEUR // D’UNE COUSINE », dont les mots sont à l’envers ; les autres affiches portent des titres en lien avec l’affaire : la première fait la publicité de la pièce de théâtre « COELINA…. // ou // L’Enfant du Mystère », drame en trois actes par Guilbert-Pixerécourt, datant de 1800. La deuxième est une affiche pour : « IL MATRIMONIO // SEGRETTO », opéra en deux actes créé en 1792, basé sur Le mariage clandestin par George Colman le Vieux et David Garrick. La troisième : « BARNAVE // par // J. JANIN // 3 vol. » fait référence au roman historique datant de 1831, composé d’une suite d’épisodes sur l’agonie de l’Ancien Régime. La quatrième affiche est une réclame pour : « L’ORPHELIN // DE LA // CHINE » (pièce de théâtre écrite par Voltaire en 1755) et « LA MERE // COUPABLE » (drame en cinq actes de 1792 écrit par Beaumarchais et dont le thème parle d’adultère et d’enfant illégitime). La cinquième contient une illustration et mentionne « AU MANTEAU Respectueux // du Père Noé // [ ?]n Tailleur… ». La sixième fait la publicité pour la « CHRONIQUE // Scandaleuse // du // Palais-Royal // Sous la Régence // 10 Vol. in 8° ». Sur le mur, des graffitis : l’un représente une poire, l’autre le profil de d’Argout avec son grand nezDescription iconographique:Au coin d’une rue, Louis-Philippe, reconnaissable à son toupet et à ses favoris, est représenté en afficheur. De dos, il se penche pour faire tremper son balai dans le petit cours d’eau de la rue (« (il trempe son pinceau dans la boue) » d’après l’explication) afin de mouiller le dos de l’affiche qu’il s’apprête à coller au mur. Les affiches déjà présentes sur le mur ont toutes, ou presque, un rapport avec le mariage de la duchesse du Berry et ou avec l’enfant que celle-ci attend. Dans la partie dte de la composition, deux personnages sont occupés à vendre leurs journaux. L’un est Le « CONSTITUTIONEL [CONSTITUTIONNEL] », journal du centre gche, représenté sous les traits d’un homme opulent coiffé d’un chapeau dont la forme se rapproche de celle d’une poire. Il tient dans ses mains des exemplaires du journal titré « MARIAGE ». Ce numéro se fait le relais de la déclaration de la duchesse de Berry dans le journal Le Moniteur. Tandis qu’un autre journal, La « GAZETTE », organe des royalistes, est représenté sous les traits d’une vieille femme portant des sabots. Elle se charge de vendre des exemplaires du numéro apportant un démenti à cette nouvelle. Au fond à dte, l’épicier « philippiste » de la boutique, dont l’enseigne est « TAMERLAN Fils, [ ?] » : il « se frotte les mains et rit de son rire malin ». Il s’agit de l’incarnation des défenseurs de la monarchie de juillet, qui se réjouit de la nouvelle, puisque celle-ci discrédite désormais complètement les légitimistes et écarte une des forces contestataires de la monarchie de juillet. Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte ‎

Reference : 25645

(1832)

‎La marche de Gros Gras et Bête et Suite et fin de la marche de gros Gras et Bête [planche double]. 3 planches doubles / [quatre planches doubles]. (Titre de l'ensemble) Lithographies sur blanc.‎

‎ 1832 Planche double, numérotée 145 et 146, d'une suite de quatre, publiée dans le journal la Caricature n°72, du 15 mars 1832. Feuille double page, conservée pliée avec Planche double, numérotée 149 et 150, d'une suite de quatre, publiée dans le journal la Caricature n°74, du 29 mars 1832.et Feuille double page, Planche double, numérotée 151 et 152, d'une suite de quatre, publiée dans le journal la Caricature n°75, du 5 avril 1832. Feuille double page, La marche de Gros Gras et Bête [quatre planches doubles]. (Titre de l'ensemble) - LithographieDimensions - Œuvre Hauteur: 36.5cmx Largeur: 54.5cm- Planche double, numérotée 145 et 146,149 et 150,151 et 152 - d'une suite de quatre, publiée dans le journal la Caricature n°72, du 15 mars 1832. Feuille double page, conservée pliée, gravure à l'intérieur‎


‎la serie incomplete des 3 planches doubles en noir Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte ‎

Reference : 25647

‎Mon cher, je voudrais bien avoir un joli bouquet bien fourni, pour souhaiter la bonne année a mes bons Cousins, Nicolas François et Guillaume. Lithographie sur blanc. Lithographie sur blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 20 décembre 1833 (Planche n°343)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27.2cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 17cmx Largeur: 21.4cm - Titre en bas au centre : « Mon cher, je voudrais bien avoir un joli bouquet bien fourni, pour souhaiter la bonne année a [à] mes bons // Cousins, Nicolas François et Guillaume. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°163. », en ht à dte : « Pl. 343. » - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « JJ G. AD. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Auguste Desperet, lithographe]Inscription - Le parasol porte deux feuilles collées pourvues d’inscriptions : « REQUIS […] [REQUISITION] », « ATTENTAT // HORRIBLE // 1832. » (référence à l’attentat du 19 novembre 1832. La Caricature (comme bon nombre de journaux d’opposition), était persuadé que cet attentat avait été monté de toutes pièces par le gouvernement. Ainsi la présence de cette référence va dans le même sens que la dénonciation du « procès des 27 »)Description iconographique:Non loin des Tuileries (une grille royale surmontée d’un blason en forme de poire couronnée se trouve à l’arrière-plan à gche), un fleuriste, sous les traits de Persil habillé en magistrat, a installé son échoppe dont on peut lire le nom sur le mur à dte : « AU BOUQUET DE PERSIL // Paircy Fleuriste De la Couronne ». Devant sa boutique, dehors, sous un parasol, il est occupé à confectionner des bouquets. Le roi Louis-Philippe, portant un énorme manteau par-dessus sa redingote, un parapluie et un chapeau haut de forme décoré de la cocarde tricolore dans les mains, s’approche du fleuriste pour lui passer une commande : souhaite-t-il offrir un bouquet à ses cousins à l’occasion de la nouvelle année ? Certainement pas selon l’explication. Le roi est plutôt intéressé par les bouquets contenant les têtes des vingt-sept accusés que Persil prépare. En effet, les bouquets que prépare Persil sont particuliers, puisqu’il ne s’agit pas de fleurs, mais de têtes d’hommes emballées dans des cornets en papier. Celui auquel il est affairé est un des bouquets des « 27 », dans lequel déjà deux têtes sont en place ds le groupe de gche, et trois dans le groupe de dte. Trois autres sont sur le point de les rejoindre. C’est à l’aide de sa petite scie (à l’apparence d’une guillotine miniature) pendant à son bras au bout d’un fil, que Persil a découpé les têtes. D’autres bouquets, dans des pots, entourent le fleuriste. La pl. dénonce ainsi les mesures de répression menées par le gouvernement, qui procède à des accusations que La Caricature juge injustifiées. Et la pl. a plus particulièrement pour sujet le « procès des vingt-sept ». Il s’agit d’un procès intenté à vingt- sept membres de la Société des Droits de l’Homme. Ils comparurent devant la Cour d’Assises. Ils étaient accusés d’avoir formé, lors du troisième anniversaire des journées de juillet 1830, un complot contre la sûreté de l’État. Ils furent finalement acquittés. Persil fut celui qui dressa l’acte d’accusation. Les débats prirent fin le 22 décembre 1833. La pl. dénonce les accusations, qu’elle juge non fondées, portées contre l’opposition républicaine. Dans la pl. en outre, il y a une référence à Lobau sur l’arrosoir posé à gche, puisque le goulot a la forme d’une seringue à clystère et la panse porte la mention « INVENTI […] [INVENTION] // LANCELOT ». Pour une pl. usant de la même thématique du bouquet, cf. pl. 197 du numéro 96 (6 septembre 1832).Personne / Personnage représenté:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français‎


‎iconographie:Non loin des Tuileries (une grille royale surmontée d’un blason en forme de poire couronnée se trouve à l’arrière-plan à gche), un fleuriste, sous les traits de Persil habillé en magistrat, a installé son échoppe dont on peut lire le nom sur le mur à dte : « AU BOUQUET DE PERSIL // Paircy Fleuriste De la Couronne ». Devant sa boutique, dehors, sous un parasol, il est occupé à confectionner des bouquets. Le roi Louis-Philippe, portant un énorme manteau par-dessus sa redingote, un parapluie et un chapeau haut de forme décoré de la cocarde tricolore dans les mains, s’approche du fleuriste pour lui passer une commande : souhaite-t-il offrir un bouquet à ses cousins à l’occasion de la nouvelle année ? Certainement pas selon l’explication. Le roi est plutôt intéressé par les bouquets contenant les têtes des vingt-sept accusés que Persil prépare. En effet, les bouquets que prépare Persil sont particuliers, puisqu’il ne s’agit pas de fleurs, mais de têtes d’hommes emballées dans des cornets en papier. Celui auquel il est affairé est un des bouquets des « 27 », dans lequel déjà deux têtes sont en place ds le groupe de gche, et trois dans le groupe de dte. Trois autres sont sur le point de les rejoindre. C’est à l’aide de sa petite scie (à l’apparence d’une guillotine miniature) pendant à son bras au bout d’un fil, que Persil a découpé les têtes. D’autres bouquets, dans des pots, entourent le fleuriste. La pl. dénonce ainsi les mesures de répression menées par le gouvernement, qui procède à des accusations que La Caricature juge injustifiées. Et la pl. a plus particulièrement pour sujet le « procès des vingt-sept ». Il s’agit d’un procès intenté à vingt- sept membres de la Société des Droits de l’Homme. Ils comparurent devant la Cour d’Assises. Ils étaient accusés d’avoir formé, lors du troisième anniversaire des journées de juillet 1830, un complot contre la sûreté de l’État. Ils furent finalement acquittés. Persil fut celui qui dressa l’acte d’accusation. Les débats prirent fin le 22 décembre 1833. La pl. dénonce les accusations, qu’elle juge non fondées, portées contre l’opposition républicaine. Dans la pl. en outre, il y a une référence à Lobau sur l’arrosoir posé à gche, puisque le goulot a la forme d’une seringue à clystère et la panse porte la mention « INVENTI […] [INVENTION] // LANCELOT ». Pour une pl. usant de la même thématique du bouquet, cf. pl. 197 du numéro 96 (6 septembre 1832).Personnage représenté:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte ‎

Reference : 25637

‎PAUVRE FRANCE ! Lithographie sur blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 24 mai 1832 (Planche 164)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 23.1cmx Largeur: 20.4cm - Titre en bas au centre : « PAUVRE FRANCE ! » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°82) », en ht à dte : « Pl. 164. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « JJG. EF. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]- Inscription - Sur les feuilles à dte, titres des journaux d’opposition: « LE NATIONAL », « LA CARICATURE », « LA TRIBUNE // du Mouvement », « LA RÉVOLUTION // 1830 », « LE COURRIER FRANCAI […] [FRANÇAIS] », « NÉMÉSIS » ; sur plusieurs feuilles de la végétation au premier plan, inscription : « DOCTRINE » (quatre occurrences) ; autour des lianes du fouet, inscriptions dans les airs : « Gare la République ! // La paix à tout prix // Peur de 93. » ; au premier plan, un bâton (ou serpent ?) portant l’inscription : « 14 juillet »‎


‎Political caricature, with creature whose head recalls the pear used for representing Louis-Philippe, sitting on the shoulders of a woman who is piling up republican newspapers on a press; in the background, the Hôtel de Ville of Paris.Of interest, is also depiction of printing press.iconographie:L'explication de la pl. (p. 654) précise : « La France, écrasée par le monstrueux Système du 13 mars, cherche un appui sur la presse. – L’Hôtel de ville, placé dans le fond du dessin, veut-il dire qu’on sera forcé d’y revenir ? – Nous le pensons. ». La France, personnifiée par une femme vêtue d’un drapé, pose ses mains sur des journaux posés sur une presse. Un personnage doté d’une tête disproportionnée, incarnant le « Système du 13 mars » (gouvernement de Casimir Périer ayant débuté le 13 mars 1831 ; se termina le 16 mai 1832) est monté sur les épaules de la France et agite un petit martinet. A l’arrière-plan se trouve l’Hôtel de ville de Paris. La pl. montre la France cherchant un appui sur la presse, menacée par le gouvernement de la monarchie de Juillet bafouant la liberté d’expression et les principes républicains. D’après la pl., cette situation ne peut pas durer. Incitation à bouleverser ordre des choses, sans doute par une nouvelle révolution. La pl. fait également une petite allusion au principe de non-intervention du pays dans les affaires extérieures (un des filets du martinet incarnant « La paix à tout prix »). Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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