1914 Paris, Ernest Leroux, 1914, grand in 8° broché, 340 pages ; non coupé ; couverture illustrée (un peu fanée, petit manque en tête du dos).
RARE. ...................... Photos sur demande ..........................
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FAYARD. Sept. 1994. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 231 pages.. . . . Classification Dewey : 909.04-Ethnologie
"Collection ""Les Enfants du Fleuve"". Classification Dewey : 909.04-Ethnologie"
Paris, Horizons de France 1958, 215x160mm, XIV - 362pages, reliure d'éditeur sous jaquette. Jaquette en rhodoïde. Bel exemplaire.
photos n/b,
Neuilly, Édition de "La Cause", 1928 in-12, 212 pp., broché.
Paris, Imprimerie nationale, 1791 in-8, 12 pp., broché.
Le 31 décembre 1790 fut créée une seule école des ponts et chaussées établie à Paris (au lieu de quatre sous l'Ancien Régime). Constituée de 60 élèves répartis en 3 classes, recrutés par concours et rémunérés 500 Liv. en première classe. Dans son projet de décret, Ramel-Nogaret revient sur l'organisation de la nouvelle école. Le ministre de l'intérieur présente le tableau des employés nommés pour remplir les fonctions d'ingénieurs en chef, d'inspecteurs et d'ingénieurs des départements.Martin & Walter, IV, 28705 a.
Paris, Delaunay [Imprimerie d'Hacquart], 1818 in-8, xl pp., 164 pp., un f. n. ch. d'errata, broché sous couverture d'attente de papier bleu.
Unique traduction française, et manifestation de l'intérêt apporté par le philanthrope bordelais Laffon de Ladébat (1746-1829) aux expériences menées outre-Manche pour traiter la question de plus en plus urgente de l'extension du paupérisme. Après 1815 en effet, le nombre de pauvres explosa, en raison de plusieurs facteurs : ralentissement de l'économie, paysans ruinés par de mauvaises récoltes — l'Année sans été est de 1816 —, ouvriers agricoles victimes de la mécanisation. Remontant à l'époque des Tudors, un ensemble de dispositions légales ou réglementaires d'une complexité rare organisait l'assistance au niveau de l'unité élémentaire qu'était la paroisse (parish), sous forme d'aides conditionnées. Elles furent toutes remodelées ou supprimées par le Poor Law Amendment Act de 1834, qui mit fin à l'assistance à domicile aux indigents, considérée comme trop onéreuse, et institua leur enfermement dans les célèbres workhouses.
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Paris, Payot (« Bibliotheque scientifique »), 1930. In-8, broché, 397 pages et 7 feuillets dépliants.
Très bon état. Exemplaire non coupé. [HI-1]
POPP SERBOIANU, C. J. (Professeur au séminaire de Blaj, Roumanie)
Reference : 98179
(1930)
1930 Editions Payot, collection "Bibliothèque Historique" - 1930 - In-8, broché - 385 pages - Tableaux rempliés en fin de volume
Bon état malgré quelques marques d'usures sur les tranches et petite déchirure au dos
1938 Payot, Paris, 1938. In-8 broché. Illustration sur couverture. 268 pages. Avec 48 photographies et 1 carte hors texte. Préface de M. Georges COEDES. (Collection d'études, de documents et de témoignages pour servir à l'histoire de notre temps).
Pages non coupées.
Laurence Porges, Bibliographie des régions du Sénégal, Edité pour le compte du Ministère du Plan Dakar 1969, broché, couverture souple rouge, 3 cartes en dépliant, 705 pages, bon exemplaire, rare.
Cet ouvrage constitue un instrument de travail pour les ethnologues, historiens, économistes et autres chercheurs, capable de leur faciliter les recherches sur toutes les questions intéressant les régions du Sénégal.
Auteuil, 30 octobre 1821 , 1 pp. bi-feuillet in-4, intitulé au verso "M. le comte Portalis, Pair de France, sous-secrétaire d’Etat au ministère de la Justice, Place Vendôme."
Belle lettre de recommandation en faveur de Louis Crespin de La Ruchée, avocat à la Cour royale de Paris, proche de Lally-Tollendal, pour l’une des quatre places de conseillers auditeurs vacantes à la Cour ; "(…) Fils de Mr Crespin qui a été nommé par le Roi en 1815 Conseiller à la Cour royale, après avoir été 7 ans lieutenant gal du Président de Provins, 7 ans persécuté dans sa personne et ses biens pour son royalisme, et 14 ans depuis l’an 1800, Président du Tribunal de cette même ville, Mr Crespin fils, âgé de 26 ans, a suivi plusieurs cours de droit, de jurisprudence et un cours de procédure pratique. Les personnes qui me le recommandent, m’écrivent qu’il joint à son instruction judiciaire, une moralité de principes et une délicatesse de sentimens qui le rendent sous tous les rapports digne de la protection de Monsieur le Garde des Sceaux ; et ces personnes sont les propriétaires les plus considérables et les plus considérées dans les arrondissemens de Provins et de Coulommiers (…). Je regarde en vérité cette affaire comme m’étant personnelle (…)."Le marquis de Lally-Tollendal ajoute à propos d’une autre affaire : "je remets à un autre jour à vous dire un mot sur mon vieux camarade de Collège, le Président des portes et sur le cercle vicieux dont on le rend victime. Je ne veux pas tourner la page pour être sût d’être lu. D’ailleurs, je vous écris un peu en contrebande. La Faculté me défend de m’occuper (…). "Gérard Lally-Tollendal (1751-1830) était le fils du baron Tollendal, officier français d'origine irlandaise, rendu responsable de la défaite de Pondichéry en 1761 et condamné à mort. Député en 1789, membre du Comité de Constitution à l'Assemblée nationale, il émigre dès 1790 pour revenir en 1792 pour tenter de sauver la famille royale et ses proches. Il échappe de peu aux massacres de septembre, se proposera de participer à la défense du Roi lors de son procès, avant de s'exiler à nouveau. Il ne rentrera en France que sous le Consulat. Il sera couvert d'honneur à la Restauration, nommé Académicien à la place de Sieyès, fait Pair de France et ministre d'Etat, chevalier commandeur et grand trésorier du Saint-Esprit.
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Paris, (circa 1820) , 2 pp. in-8 bi-feuillet.
Mounier adresse à Portalis, sous-secrétaire d'Etat à la Justice, l’ordonnance qui doit paraitre dans le Moniteur ; "(…) Le Roi l’a signée mais j’ignore si le contreseing du Duc de Richelieu est bien tel qu’il doit l’être (…)." Il demande de faire vérifier la forme avant impression. Joint un billet demandant à Portalis s’il a l’intention d’aller aux Tuileries ; "Soyez assez bon, mon cher Collègue, pour me dire quelles visites vous faites ce matin au Château ? Allez-vous chez le Roi ? Je serais fort aise de faire comme vous et encore plus aise de me trouver avec vous (…)."Claude-Philibert-Édouard Mounier (1784-1843) était le fils du révolutionnaire Jean-Joseph Mounier. Appelé en 1809 au poste de secrétaire du cabinet de l'Empereur, en remplacement du général Clarke, il passa les cinq années suivantes dans la confiance intime de Napoléon qui le nomma successivement maître des requêtes, baron, officier de la Légion d'honneur et le dota d'un domaine en Poméranie. A la Restauration, Mounier sera fait Pair de France, directeur général de la Police.
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(Paris), 19 août 1820 , 3 pp. in-4 bi-feuillet.
Importante lettre de Mounier exposant son avis sur les instructions de police communiquées aux préfets avant les élections et dont il voulait s’entretenir en Conseil ; "(…) Jusqu’à présent, je me suis borné à répondre aux préfets sur leurs demandes particulières ou à leur parler des élections à l’occasion de la position de leurs départemens (…) Vous connaissez suffisamment le sens dans lequel ma correspondance est dirigée. Je ne perds jamais de vue que nous devons dévier des députés du centre et subsidiairement des députés de la droite ; que par conséquent, tous les efforts doivent tendre à réunir les électeurs royalistes des différentes nuances (…). Tout ce qui concerne l’organisation, la convocation des Collèges, est traité par M. Capelle sous la signature et la direction du ministre (…)." Il lui transmet copie d’un paragraphe qui est ajouté à toutes les lettres du ministre pour les préfets ; "Il est un peu long (…) et vous y reconnaitrez le style ternaire de M. Capelle ; mais tel quel, l’effet ne peut en être mauvais et il est bon que vous le connaissiez (…)."Claude-Philibert-Édouard Mounier (1784-1843) était le fils du révolutionnaire Jean-Joseph Mounier. Appelé en 1809 au poste de secrétaire du cabinet de l'Empereur, en remplacement du général Clarke, il passa les cinq années suivantes dans la confiance intime de Napoléon qui le nomma successivement maître des requêtes, baron, officier de la Légion d'honneur et le dota d'un domaine en Poméranie. A la Restauration, Mounier sera fait Pair de France, directeur général de la Police.
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Paris, Gaume, 1882 in-8, 115 pp., broché.
Unique édition. Il s'agit apparemment d'une fantaisie pédagogique : en un échange de 54 lettres fictives entre divers acteurs de la vie scolaire des débuts de la IIIe République (le secrétaire de l'Inspection académique Sandaraque ; l'inspecteur d'Académie Isidore Flamberge ; l'inspecteur primaire Chrysostome ; les instituteurs Modeste, Patience, Bambochard, etc.), l'ouvrage dresse un tableau grinçant de la vie des instituteurs. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Gosselin et Cie, 1837 in-8, LVII-[3]-387-[1] pp., index, demi-basane vert foncé, dos à faux nerfs, palettes, fleurons et filets dorés, fleurons à froid, tranches mouchetées Bon exemplaire. (rel. de l'époque).
Première édition française.Kress C. 4463. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Condé-sur-Noireau, Corlet, Versailles, Librairie Pierre Portet, 1969, gr. in-8°, 85 pp, préface de François Balsan, 40 pl. de photos hors texte, broché, couv. illustrée, bon état, envoi a.s.
"Nous pensons qu'il convient de signaler ce curieux livre, dont la diffusion risque d'être assez confidentielle. C'est un livre de piété filiale et de communion dans l'intérêt porté à la civilisation gabonaise. Emile Graux (1852-1910), le père de Mme Portet, est une figure attachante et discrète. Après une carrière militaire (?), il reste au Gabon, au service de la maison Daumas, Béraud et Cie, d'abord à Lambaréné, puis comme directeur de la factorerie de Libreville. Il semble avoir quitté définitivement l'Afrique en 1888. Or Emile Graux était un passionné d'ethnologie, d'artisanat, d'art : « Je fais une véritable chasse à tout objet indigène, à tous les vieux fers, à tous les vieux pots que j'ai la bonne fortune de rencontrer dans les cases enfumées des Gabonais, des Bantous ou des Pahouins. J'ai en ma possession les fétiches les plus puissants qu'il soit... et ce, ajoutait-il, pour le plus grand profit de l'Histoire » ! Il ne semble pas avoir écrit l'étude qu'il projetait sans doute. Ses papiers et ses collections ont subi l'injure du temps. Il en est resté cependant un certain nombre de documents (Mme Portet publie 6 photos de Libreville en 1885, en particulier la factorerie Daumas), des armes, courantes ou de cérémonie, des poteries, quelques pièces en ivoire assez mystérieuses, et plusieurs statues, en particulier Fang et Inenga, dont certaines d'excellente qualité. Ce sont ces pièces que Mme Portet décrit avec amour et admiration, même si ses interprétations n'emportent pas toujours la conviction." (J.-Cl. Nardin, Revue française d'histoire d'outre-mer, 1970)
1931 1 3 cahiers de 4 pages (Fx-t., titre - Introduction - Table des planches) et 48 planches dont 6 en couleurs. Ex-libris imprimé en pied du faux-titre. P., Librairie des Arts décoratifs, A. Calavas éd., s.d. [1931], gd in-4° en feuilles sous chemise bleue à rabats rempliés, dos muet, étiquette de titre à filet d'encadrement noir contrecollée à la première de couverture. Chemise partiellement décolorée, mouillure marginale et petites taches en 4e de couv.
Publié à la suite de l'exposition organisée en 1930 par la Galerie de la Renaissance rue Royale et illustré de 48 planches dont 6 en couleurs : reproduction de statuettes, boucliers, instruments de musique, masques, écorces, objets usuels, ornements et superbes tapas, provenant des collections de Pierre Loeb (pour qui Jacques Viot collecta sur place), Eluard, Ascher, Stephen-Chauvet, Ratton, Tzara, Pomaret, du musée du Trocadéro, etc.Introduction (subtile) cosignée par le galeriste André Portier et le conservateur du musée des Arts décoratifs, François Poncetton. cf Ph. Peltier : L'art océanien entre les deux guerres : expositions et vision occidentale (Journal de la Société des océanistes, 1979, vol. 35)
Payot 1938 In-8 demi-maroquin brun à coins, dos à nerfs. 270 pp. 48 photographies et une carte hors texte. Lég. griffures au second plat, sinon très bon exemplaire.
Collection de documents et de témoignages pour servir à l'histoire de notre temps. Préface de Georges Coedès, correspondant de l'Institut et Directeur de l'Ecole française d'Extrême-Orient. Bon état d’occasion
Milano, Silvana Editoriale d'Arte, 1965, gr. in-8°, 270 p. + 1 f., exemplaire non coupé, original clothbound, orig. jacket ill. in colour. Slipcase.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Phnom-Penh, Commission des moeurs et Coutumes du Cambodge, sd (1950) 1950 in-8, demi-basane à coins, dos à nerfs, 84 pp., 13 illustrations dans le texte, tableau dépliant du calendrier des fêtes. Bon exemplaire.
Nouvel an, cérémonie du Labourage Royal, pleine lune de Vissakh, rites d'ordination, quinzaine des morts, cerfs-volants, etc. Bon état d’occasion
Paris, Imprimerie de Prault, 1790 in-8, 29 pp., dérelié.
Martin & Walter, Anonymes, 11254.
CHAMPION HONORE. 1898. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. XXXI + 329 pages + 2 planches depliantes en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 909.04-Ethnologie
Classification Dewey : 909.04-Ethnologie
1898 in-8, XXXi, 329pp., 2 cartes repl. en coul., br. (dos cassé). Paris Champion 1898.
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
Editions de Minuit, Paris 1955, 14x22,5cm, broché.
Edition originale, un des 300 ex numérotés sur vélin, seuls grands papiers avec 15 alfama. Envoi de Jules Pothier, bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Arthaud Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1964 Book condition, Etat : Bon broché In-8 1 vol. - 341 pages
1ere édition Contents, Chapitres : Frédéric Pottecher était le chroniqueur judiciaire de la R.T.F. tres legeres pliures sur les plats de couverture, sinon tres bon etat