Paris, Baudouin, (1789) in-8, 10 pp., dérelié.
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Lyon, J.B. Pélagaud, Paris, Poussielgue-Rusand, 1844 in-8, [4]-XVI-91 pp., broché sous couverture imprimée de l'éditeur. Infimes manques de papier au dos, rousseurs assez abondantes.
Nouvelle édition de cet essai politique, rédigé en 1809, au plus creux de l'existence de Maistre, ministre de Sardaigne en Russie, sans moyens et sans appointements, et qui a connu une première sortie anonyme en mai 1814 à l'adresse de Saint-Pétersbourg, rarissime. Il sera ensuite très souvent annexé aux rééditions des Considérations. C'est que les idées développées ici complètent dans un sens plus raisonné ce que le titre le plus célèbre du comte peut avoir de vaticinant. En somme, est proposée une rationalisation qui peut servir de guide à la pensée anti-libérale tout entière, partant de la réfutation du système des constitutions écrites et de la notion de loi comme expression de la volonté générale.Triomphe, p. 602 (pour l'originale). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
A Lyon, chez Rusand, A Paris, A la Librairie Ecclésiastique, 1822 in-8, XVI-92 pp., broché, couverture papier bleu de l'époque Manque le premier plat de couverture
Troisième édition de cet essai politique, rédigé en 1809, au plus creux de l'existence de Maistre, ministre de Sardaigne en Russie, sans moyens et sans appointements, et qui a connu une première sortie en 1814 à l'adresse de Saint-Pétersbourg, rarissime. Il sera ensuite très souvent annexé aux rééditions des Considérations. C'est que les idées développées ici complètent dans un sens plus raisonné ce que le titre le plus célèbre du comte peut avoir de vaticinant. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
Marseille, Antoine Ricard, s.d. (1815); in-12, 4 pp., en feuille.
Fils du grand jurisconsulte Jacques de Maleville, Pierre-Joseph de Maleville (1778-1832) avait été élu représentant à la Chambre des Cent-Jours ; cela ne l'empêcha pas de plaider en faveur des Bourbons. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
Paris, Henri Plon, 1857 in-8, 157 pp., un f. n. ch. de table, broché sous couverture bleue imprimée. Rousseurs.
La première édition est de 1854.Publiciste catholique très oublié, Pierre Mancel de Bacilly commit plusieurs essais sur les tendances politiques du XIXe siècle, dans un esprit globalement anti-parlementaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
Paris, Baudouin frères, Plancher, 1823 in-8, [4]-IV-40 pp., broché sous couverture d'attente de papier vert.
Recueil de plusieurs interventions à la Chambre, dans laquelle le député libéral de Vendée combat l'intervention française en Espagne, destinée à restaurer l'absolutisme de Ferdinand VII. A la suite du discours prononcé le 27 février 1823, les ultras demandèrent son exclusion, malinteprétant un passage où ils virent une justification de la déchéance de Louis XVI : en dépit de ses protestations, le malheureux député fut expulsé de la séance. Bravant sa déchéance, il revint le lendemain et prononça alors sa fameuse réplique: "M le Président, j'ai annoncé hier que je ne céderais qu'à la violence, aujourd'hui je viens tenir ma parole". Il fallut faire appel à la gendarmerie pour l'expulser de force, et Manuel fut ovationné par la foule en sortant de l'Assemblée. Absent de Palau comme de Del Burgo. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
Paris, 1815 in-8, [4]-73 pp., maroquin cerise à long grain, dos à nerfs orné de filets, pointillés et fleurons dorés, encadrement de double filet doré sur les plats, guirlande dorée sur les coupes, tranches dorées, guirlande de volutes dorées intérieure, gardes doublées de tabis vert (Thouvenin).
Le député du Gard.La carrière de député d'Anne-Henri Cabet de Dampmartin (1755-1825) fut brève (1813-1814) et provient de sa présentation par le collège électoral du Gard au Corps législatif en 1813. Le Sénat conservateur l'y fit entrer le 6 janvier 1813 comme député du Gard et c'est ainsi qu'il siégea à la première Chambre des Députés de la Restauration, y prenant assez occasionnellement la parole pour défendre des positions au demeurant libérales et modérées, qui contrastent avec sa future aversion des "régicides" (cf. les lignes qu'il consacre dans une autre partie de ses Mémoires à son prédécesseur Massieu au Dépôt de la Guerre). La réunion des discours inédits manuscrits et des discours imprimés.La plupart de ses interventions n'eurant pas l'honneur d'une publication, et on sera content de les trouver ici, en-dehors des pesants recueils parlementaires : opinion sur la méthode d'opiner (26 juin 1814) ; vote sur la proposition visant à dénommer "Parlement" la Chambre des Pairs et celle des Députés (16 juillet), etc. Le tout est lié par des considérations de motifs et des détails d'histoire de la session.Ont été reliés à la suite les quelques discours imprimés de Dampmartin :I. Opinion prononcée par M. Dampmartin, sur la loi relative à l'importation des fers étrangers. Séance du 1er octobre 1814 ([Paris], Hacquart, s.d. [1814], 11 pp.). - II. Opinion de M. Damp-Martin, sur le projet de loi relatif aux biens des émigrés. Séance du 26 octobre [Paris], Hacquart, s.d. [1814], 8 pp.). - III. Rapport fait au nom de la commission centrale, par M. dampmartin, relatif au rétablissement des Ecoles militaires. Séance du 12 novembre 1814 [Paris], Hacquart, s.d. [1814], 8 pp.). - IV. Opinion de M. Dampmartin, sur le projet de loi relatif à la réduction du nombre des membres de la Cour de Cassation. Séance du 24 décembre 1814 ([Paris], Hacquart, s.d. [1814], 7 pp.).Précieux exemplaire de l'auteur lui-même avec double vignette ex-libris : légendée ("Bibliothèque de A.H. Dampmartin, commencée en 1775") sur les premières gardes ; armoriée, sur les dernières.Très bel exemplaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
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S.l., s.d. (mai 1814) in-4 carré, [3] ff. n. ch. (dédicace, table des chapitres), 308 pp. couvertes d'une écriture fine et lisible (environ 25/30 lignes par page), maroquin cerise, dos lisse orné de hachurés et caissons fleurdelisés dorés, double encadrement de double filet doré enserrant des guirlandes sur les plats, fleurs de lis en écoinçon, armes au centre, tortillon doré sur les coupes, tranches dorées, hachuré doré sur les contreplats, gardes de papier violine (reliure de l'époque).
Exceptionnel état de la France manuscrit rédigé à la fin de l'Empire à destination de Louis XVIII lui-même.1. L'auteur.Signataire de la dédicace à Louis XVIII, Jean Saint-Sardos de Montagu, marquis de Mondenard (1761-1823) représente à merveille cette catégorie de nobles de fraîche date d'autant plus attachés à la monarchie que leur illustration est récente : d'une famille récemment anoblie (en mai 1764 en la personne de Pierre Saint-Sardos), il participa en 1789 aux assemblées de son Ordre à Cahors et Toulouse, émigra assez tôt en Angleterre tout en conservant pendant les années difficiles la terre et le château de Mondenard (entre Moissac et Cahors), acquis par son père en 1777. Il les garda jusqu'en 1812, date à laquelle il s'en sépara au profit du baron Chazal (préfet des Hautes-Pyrénées) pour acheter la terre de Malause. Sa mort sans héritier en 1823 mit fin à la brève existence de ce nom et de la lignée.Il fut l'auteur de quelques ouvrages imprimés, tous relatifs au gouvernement et aux finances, le plus important d'entre eux demeurant les Considérations sur l'organisation sociales, parues en trois volumes en 1802 chez Migneret. La dédicace rappelle d'ailleurs à Louis XVIII qu'il lui en avait envoyé un exemplaire lors de son exil en Pologne.Cf. Quérard VI, 198.2. Le texte.Il forme la suite des Considérations, et prétend donner à Louis XVIII un tableau complet de l'état législatif, administratif et politique du pays, sans ménager évidemment les conseils pour redresser tout ce que la Révolution a pu démolir ou abîmer. Mondenard est opposé à la Révolution et à l'Empire, mais se montre royaliste sans excès, très "chartiste" même, pas "pointu" en tout cas comme on dira plus tard, et nombre de ses préconisations sont raisonnables et mesurées : quand il critique par exemple l'ordonnance sur l'observance publique des dimanches et fêtes, il souligne avec justesse qu'elle n'apporte rien à la religion, tout en mécontentant fortement le grand nombre des ouvriers et artisans qui ne peuvent plus se permettre de chômer 52 dimanches, plus les fêtes, au long de l'année. Ses positions sur la liberté de la presse, les fêtes nationales, les proscriptions et confiscations annoncent un esprit plutôt libéral, et surtout cherchant à concilier les intérêts, non à les opposer. La meilleure partie du texte demeure celle consacrée aux finances publiques et à la fiscalité, domaines qu'il possède manifestement bien, et pour lesquelles il fat preuve de discernement (sa comparaison intuitive des charges respectives des contribuables anglais et français est éclairante, déjà). L'importance accordée à toutes les matières économiques et au développement de l'activité commerciale comme gage de paix sociales tranches vraiment avec la production classique des émigrés rentrés.Ce qui frappe également, c'est un quasi-silence sur les armées au sortir de l'aventure napoléonienne et alors que la reconversion des pléthoriques troupes sur le pied de guerre formait un des casse-têtes du nouveau régime : son chapitre "De la Force publique" tourne surtout autour de la gendarmerie, de la Garde nationale, de la sécurité intérieure, et renvoie marine et armée à leur presque-inutilité en temps de paix. Point de vue original, et sans vraies correspondances que ce soit chez les émigrés rentrés ou les anciens impériaux, tous fort belliqueux dans une mesure ou une autre.En toutes choses d'ailleurs, son séjour en Angleterre pendant l'émigration a marqué ses conceptions et son expérience : il n'idolâtre pas le modèle britannique, et sait plus que d'autres faire la part des conditions spécifiques du grand voisin pour ne pas vouloir importer moeurs et institutions, mais, comme la plupart des esprits réfléchis de l'époque, il y voit au moins une source d'inspiration.Une phrase prise dans la conclusion montre assez bien l'orientation générale de la pensée : "Il doit être évident, on ne sauroit trop le répéter que l'on ne peut consolider l'Etat qu'en donnant satisfaction réelle aux amis de la liberté, en épurant les moeurs, en établissant de véritables corporations, en soulageant les contribuables, en favorisant l'agriculture, les manufactures, les arts et le commerce ; en payant toute la dette publique, en effaçant le malheur des émigrés, enfin en conciliant tous les intérêts". C'est vaste, et sans doute irréalisable vu les divisions du pays, mais ce n'est pas idiot.Très bel exemplaire de présent aux armes de Louis XVIII. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
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S.l., (1815) in-8 et in-4, 3 feuillets distincts.
- Mesdames de Forbin... à Monsieur le comte de Neipperg en le décorant d'une fleur de lys.Neipperg fut chargé de tout faire pour empêcher l'impératrice de rejoindre Napoléon exilé à l'île d'Elbe.- A Son Altesse Royale Monsieur le comte d'Artois, en lui présentant un exemplaire des cérémonies instituées par le Roi René. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
A Paris, chez Renand, 1814 in-8, 43 pp., broché.
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1 vol. in-12° br., couv. éditeur illustrée, 319 p., très bon état.
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, Paris, Sirey 1948, in-8, br., non rogné, tableaux, graphiques et cartes en hors-texte, (fané, mq. 4ede couv.), intérieur frais, [ce livre provient de la bibliothèque personnelle de Bernard Pacteau], VIII-507p.
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Paris, Havard, 1833 in-8, XII-330 pp., front., broché. Dos fendillé. Qqs rouss.
D'abord publié en anglais en 1774, ce très célèbre ouvrage s'insurge contre le despotisme et analyse toutes ses manifestations.La paternité de cet ouvrage a été contestée à Marat par Quérard dans les "Supercheries Littéraires" (II, 1046) pour qui ce serait "la traduction d'un manuscrit anglais communiqué à Marat par son auteur" ; et Quérard de mettre en doute l'existence même de l'édition anglaise. Cette thèse n'a plus lieu d'être et l'on a vu apparaître sur des catalogues de libraires cette mythique édition anglaise (voir par exemple Gerits, 1993, n° 38)Martin et Walter, 22849. Monglond, II, 479.. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
Paris, de l'Imprimerie de Marat, l'an I (1793) in-8, 364 pp., broché, couverture papier bleu de l'époque. Manque au dos.
Edition originale française rare, dans son état de parution.D'abord publié en anglais en 1774, ce très célèbre ouvrage s'insurge contre le despotisme et analyse toutes ses manifestations.La paternité de cet ouvrage a été contestée à Marat par Quérard dans les "Supercheries Littéraires" (II, 1046) pour qui ce serait "la traduction d'un manuscrit anglais communiqué à Marat par son auteur" ; et Quérard de mettre en doute l'existence même de l'édition anglaise. Cette thèse n'a plus lieu d'être et l'on a vu apparaître sur des catalogues de libraires cette mythique édition anglaise (voir par exemple Gerits, 1993, n° 38).Erreurs de pagination mais bien complet.Martin et Walter, 22849. Monglond, II, 479. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
Paris, de l'Imprimerie de Marat, l'an I (1793) in-8, 364 pp., demi-basane verte maroquinée, dos lisse, filets dorés (reliure du XIXe).
Edition originale française rare.D'abord publié en anglais en 1774, ce très célèbre ouvrage s'insurge contre le despotisme et analyse toutes ses manifestations.La paternité de cet ouvrage a été contestée à Marat par Quérard dans les "Supercheries Littéraires" (II, 1046) pour qui ce serait "la traduction d'un manuscrit anglais communiqué à Marat par son auteur" ; et Quérard de mettre en doute l'existence même de l'édition anglaise. Cette thèse n'a plus lieu d'être et l'on a vu apparaître sur des catalogues de libraires cette mythique édition anglaise (voir par exemple Gerits, 1993, n° 38).Erreurs de pagination mais bien complet.Martin et Walter, 22849. Monglond, II, 479. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
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Paris, de l'Imprimerie de Marat, l'an I (1793) in-8, 364 pp., demi-basane caramel, dos lisse, roulettes dorées et décor à froid (reliure du XIXe).
Edition originale française rare.D'abord publié en anglais en 1774, ce très célèbre ouvrage s'insurge contre le despotisme et analyse toutes ses manifestations.La paternité de cet ouvrage a été contestée à Marat par Quérard dans les "Supercheries Littéraires" (II, 1046) pour qui ce serait "la traduction d'un manuscrit anglais communiqué à Marat par son auteur" ; et Quérard de mettre en doute l'existence même de l'édition anglaise. Cette thèse n'a plus lieu d'être et l'on a vu apparaître sur des catalogues de libraires cette mythique édition anglaise (voir par exemple Gerits, 1993, n° 38).Erreurs de pagination mais bien complet.Martin et Walter, 22849. Monglond, II, 479. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
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Plon. 1950. In-8. Broché. 313 pages. jaquette conservée.
Bon état général. Intérieur frais et agréable, couverture avec quelques traces d’âge. Mais sinon, bon exemplaire. NON COUPÉ Envoi soigné.
Couverture souple. En bon état. Broché. 602 pages.
Livre. Presses universitaires de France (Collection : Thémis), 1955.
Paris, Lebigre-Duquesne [Typographie de Gaittet], 1858 in-12, [2] ff. n. ch., 359 pp., broché sous couverture imprimée. Très nombreuses rousseurs, dos fendillé.
Une des éditions parues l'année de l'originale.Charles de Bussy est le pseudonyme du pamphlétaire Charles Marchal (1822-1870), l'auteur de Pourquoi j'ai été républicain, pourquoi je ne le suis plus (1854). Dans cet ouvrage, Bussy s'insurge contre les activités politiques menées en toute impunité depuis la trop tolérante ville de Londres par des anciens meneurs de 1848 (Mazzini, Ledru-Rollin, Kossuth etc.). Il faut dire que la capitale anglaise accueillait alors tout ce que l'Europe comptait d'agités et d'agitateurs qui continuaient en toute impunité depuis l'exil leurs activités de déstabilisation. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
, Paris, Les cours de droit 1956, fasc. séparés, (fanés), 835p.
Phone number : 01 43 29 46 77
Paris, Charles Douniol, s.d. (1867) in-12, XII pp., 418 pp., demi-basane cerise, dos lisse orné de filets dorés, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Dos légèrement insolé.
Unique édition de cette utopie dans laquelle on a voulu une anticipation de la Société des Nations.Seulement deux exemplaires au CCF (BnF et Lyon).Cachet humide de la bibliothèque de l'Association des comptables du commerce et de l'industrie du département de la Seine. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
1 volume in-12° broché, 192 p. Très bon état.
Phone number : 06.31.29.75.65
Paris, Hachette, 1932. In-8 broché, 95 p. Assez bon état : rousseurs sur couv. Non coupé.Hommage de l'auteur.
, Paris, Litec 2000, in-8, br., bon état hormis qq. traces sur la couv., [X]-404p.
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Paris-Nancy, Berger-Levrault, 1891 6 vol. grands in-8, brochés. Dos abîmé, mouillures.
Tout ce qui a paru de cette entreprise de philosophie politique : c'est-à-dire que nos six volumes ne contiennent en tout et pour tout que le "Discours préliminaire". On imagine ce qu'aurait été l'oeuvre complète si l'auteur avait pu rentrer dans le vif du sujet.L'auteur, Gustave Marqfoy (1831-1899), ancien polytechnicien fut trésorier-payeur-général. Ses autres productions sont nettement plus techniques (la banque, la télégraphie) et de dimensions comparativement étiques.I. xxxiij pp., 615 pp. - II. vi pp., 579 pp. - III. viij pp., 630 pp. - IV. viij pp., 502 pp. - V. xiij pp., 460 pp. - VI. xi pp., 483 pp. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.